Rejets d’échappement des avions, caractérisation chimique

par spectrométrie de masse des rejets d’échappement fraîchement émis par des avions

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Caractérisation chimique par spectrométrie de masse des rejets d’échappement des avions – 2016

Ce sont les premières mesures sur les rejets d’échappement des avions qui utilisent la spectrométrie de masse pour l’analyse de particules simples.

Elles ont été effectuées sur l’aéroport de Zurich (Suisse) et ont porté sur des avions équipés de trois types de moteurs différents.
Ce qui en ressort :

! La majorité des particules examinées contiennent un ou plusieurs composants métalliques.
! Les métaux et la suie s’avèrent mélangés dans les particules émises.
! Les sources potentielles des métaux détectés (le carburant, les huiles et les protections de moteur) ont été discutées.

 

Interview du Dr Ulrike Lohmann

membre de cette équipe de recherche, par Matthias Hancke,

dans le film Overcast

Nous savons que les rejets des avions dégagent des suies et des particules et donc nous voulons savoir quelle est la composition chimique des rejets.

Ces mesures ont été faites peu de fois.

En 2013, nous avons eu l’occasion de mesurer les émissions des turbines à l’aéroport de Zurich, avec « l’office fédéral de l’aviation » et nous avons pratiquement pu examiner la composition chimique des gaz d’échappement de quelques turbines.

Des suies essentiellement de carbone pur ont été trouvées, donc des particules de suie, comme dans les gaz d’échappement des voitures.

Mais nous trouvons également des métaux dans les gaz d’échappement aéronautique, seize métaux différents et entre autre, de l’aluminium et du baryum comme déjà cité, qui proviennent du kérosène et de l’huile, et de l’aluminium qui pourrait venir des turbines.

Nous avons aussi fait des mesures sur le combustible même : nous y avons relevé la présence d’aluminium et de baryum dans le combustible; leur concentration est mesurée en parties par million (PPM).

Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas qu’ils se font asperger comme des insectes que l’on veut éliminer?

Pourquoi ne voient-ils pas l’incroyable quantité d’avions et leurs traînées anormales ?

Pourquoi ne comprennent-ils pas la guerre dont ils sont les victimes … et les acteurs  ignorants et zélés ?

La première condition pour que ça cesse, c’est de reconnaître que ça existe …

1.       Notre civilisation nous conditionne à être aveugle

Quand j’ai vu, pour la première fois de ma vie, des traînées persistantes produites par des avions volant manifestement beaucoup plus bas que l’altitude requise pour former une traînée de condensation (c’est-à-dire 8000 mètres comme je l’avais appris auparavant en étudiant la météorologie de montagne), c’était au Québec, le 26 décembre 1999, alors que la France subissait la double tempête la plus mémorable de son histoire (mais à ce moment-là, je n’en savais rien). Un frisson d’horreur m’a parcouru l’échine. «Ils» font ça! Ils vont jusque-là dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au non-respect de la vie! J’appris ensuite le même jour d’une habitante locale du petit village où je me trouvais, du nom charmant de Saint Adolphe (!), que le Canada subissait ces traînées depuis 1995. De retour en France, je l’ai oublié jusqu’à ce qu’un manège d’avions quadrillant le ciel en produisant le même type de traînées se déroule sous mes yeux, de ma fenêtre, le 16 mai 2002. Depuis, cela n’a pas cessé et n’a fait que s’intensifier.

L’horreur et la révolte qui m’ont saisie à la vue de ces premiers épandages manifestes de produits toxiques dans le ciel ont pourtant fait place en moi dans un premier temps à un formidable espoir: tout le monde allait vite s’en rendre compte et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, de la croyance naïve que les dirigeants du monde œuvrent pour le bien des peuples et que les armées nous protègent; la croyance naïve que la technique et la chimie de synthèse pouvaient résoudre les souffrances de l’humanité –alors qu’elles ne font que l’engendrer et l’infligent aux autres créatures. Ce n’était que le mal ou signal nécessaire à l’ouverture des yeux et du cœur des êtres humains, à leur prise en main de leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et tout simplement, au respect de la Vie. L’occasion de tourner la page de 5000 ans d’impérialismes, ayant engendré tant de souffrances humaines, de destructions de la Nature et de la Connaissance.

«Il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel»[1]. Pourtant, la plupart de ceux qui promeuvent ces phrases ne voient pas ces grands signes dans le ciel, tracés tous les jours par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.

Comment est-il possible de perdre à ce point son instinct de survie ?

Mais que se passe-t-il dans notre cerveau?

Nous sommes en 2017. Les chaines de montage de l’aérospatiale dans notre région de Toulouse, tournent à plein rendement et sans relâche pour produire des avions. Mais qui donc en achète autant? … Heureusement, le nombre de ceux qui constatent quelque chose d’anormal dans le nombre d’avions qui circulent, leur altitude, leurs traînées et leurs effets sur l’atmosphère, la météo et la santé, augmente de jour en jour. Un constat de fait est une priorité vitale ; il est  nécessaire que cela cesse au plus vite. C’est le point focal, celui qu’il faut viser pour démonter la clé de voûte de tout l’édifice de mensonge qui empoisonne aujourd’hui complètement notre santé, notre mental et l’environnement: la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et tous les domaines de notre vie quotidienne, la pharmacopée, les vaccins, les OGM, la cacophonie dans toutes les longueurs d’onde et tout le reste de la panoplie nucléaire, bactériologique, électromagnétique et climatique des apprentis sorciers qui tiennent les manettes des commandes du monde.

L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète, “Overcast”[2].

Cela a commencé parce que …

L’histoire récente est particulièrement bien étudiée par Claire Séverac dans son livre “La guerre secrète contre les peuples[3]”. Dans cette enquête, menée avec brio, elle remonte la trace juridique et évènementielle des tractations internes au complexe politico-militaro-industriel de ces 150 dernières années qui aboutissent aux épandages aériens et aux interventions électromagnétiques d’aujourd’hui. Mais pourquoi font-ils cela? – “parce que nous les laissons faire“ dit Muchael Murphy[4] Comment envisager une issue à cette situation dramatique ?

Comme j‘ai à cœur de réveiller la conscience de notre être primal, originel, « dont l’ignorance fatale couronne l’obscur règne »[5] », je me suis consacrée à approfondir d’une part les concepts qui soutendent les valeurs de nos sociétés actuelles, et d’autre part le fonctionnement  de notre cerveau.

“les êtres humains ne prêtent pratiquement pas attention aux causes fondamentales, premières, de chaque chose. C’est ce dont l’humanité ne veut pas se soucier, nous n’avons pas envie d’y penser.”[6]». Selon Noberto Keppe[7], cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui consiste à penser que l’énergie sort de la matière et non pas l’inverse. Certes, nous nous laissons bien souvent abuser à nos dépends mais n’avons-nous pas aussi une paresse fondamentale à réviser nos croyances ? A nous occuper du ménage au fond de l’âtre de notre vie, où les cendres s’accumulent si vite ?

Claudia Von Werlhof[8], elle, l’analyse comme étant la “haine de la vie”, concept fondamental de toutes nos civilisations impérialistes, jamais remis en question: il s’agit de détruire ce qui est, pour reconstruire selon un « idéal ».

Je vais donc commencer par retracer l’histoire évènementielle, puis j’exposerai brièvement quelques chapitres éclairant cette recherche des causes fondamentales :

  • la désescalade de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis les origines de l’Histoire.
  • la naissance et l’accouchement aujourd’hui, qui illustrent et conditionnent la perpétuation d’un protocole diamétralement opposé à la physiologie[9]
  • la scission de la “Mère des sciences“: Astronomie et Astrologie
  • le fonctionnement du cerveau humain

Histoire récente des compagnies industrielles, chimiques et pétrolières

Les scientifiques qui s’interrogent sur l’éthique de la science aujourd’hui constatent qu’elle n’est menée que par ceux qui la financent[10]. Or, ceux qui la financent sont depuis plusieurs siècles les détenteurs des richesses du sol et du sous-sol. Ils sont aujourd’hui, plus précisément depuis la fin du 19e siècle, les consortiums du pétrole, des produits chimiques et des médicaments. Ils interviennent soit directement, soit sous couvert d’institutions officielles, celles de l’Europe notamment. Comme en témoigne le Dr Rath[11], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, vite « blanchis » après la deuxième guerre mondiale, c’est à dire les promoteurs de ces sociétés (Bayer, IG Farben …) qui ont précédemment œuvré à leur montée au pouvoir en Allemagne dans les années 30[12].

Un amplificateur: La prohibition du chanvre

Petit encart sur un sujet corrélé, rarement, si ce n’est jamais, mentionné comme tel: la prohibition du chanvre/cannabis. C’était la plante la plus commune à la surface de la planète. Au 19e siècle, les citoyens américains étaient tenus de cultiver un arpent de chanvre et payaient leurs impôts en chanvre[13]. En Europe également, toute ferme avait sa chanvrière. Le chanvre a beaucoup de bienfaits pour la santé des gens et des sols et  beaucoup d’utilités communes. Mais il était trop concurrentiel pour les plastiques, les produits chimiques et pharmaceutiques, aussi il fut soudainement interdit. Cela s’est passé dans les années 1930, d’abord en France (1934), puis aux USA (1937), sous la pression des lobbies puritains et des sociétés chimiques. Depuis cette époque, la fleur de chanvre, le fameux “cannabis” ou “marijuana” a été rendu démoniaque et banni comme une drogue dangereuse, alors qu’elle est réellement efficace pour relier les deux hémisphères du cerveau et nettoyer la glande pinéale. Il est difficile de mesurer à quel point, sa consommation, très répandue et pourtant illicite, entretient le moral et la santé du peuple, mais il y fort à parier que sans elle, l’hécatombe serait encore plus prononcée. Aujourd’hui en France, la propagande et la désinformation concernant le cannabis s’amplifient dans les médias et auprès des responsables sociaux; la façon dont elles sont menées s’apparente à toutes les campagnes de dénigrement ciblées sur une catégorie de personnes, dont l’Histoire, regorge …

Les gouvernements perdent leur souveraineté

Ces consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques sont devenus très riches grâce aux produits toxiques qu’ils ont fabriqués et vendus pour les tranchées de la première guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement des Etats-Unis s’était ruiné en s’engageant dans la guerre. Alors ils l’ont acheté ! Donc, depuis un siècle, le gouvernement des Etats-Unis a perdu sa souveraineté: il est mené par ce cartel des compagnies industrielles et des banques. C’est expressément dit par Al Gore lui-même dans son dernier livre “The Future: Six Drivers of Global Change”: “le gouvernement des Etats-Unis a perdu de sa force et de sa liberté. Il semble sclérosé. Pour employer un terme habituellement utilisé en informatique, je dirais que la démocratie américaine a été piratée. Le Congrès, incarnation des corps législatifs élus démocratiquement, est à présent incapable de voter des lois sans l’accord des lobbies industriels ou d’autres intérêts particuliers qui participent au financement de leurs campagnes électorales”.

Grâce à la prohibition du chanvre, les produits de la chimie de synthèse purent être facilement introduits dans l’agriculture, le textile, les médicaments, la nourriture, et ces produits sont très actifs en toxicité en l’absence du chanvre pour réparer leurs dommages.

Puis il y eut l’horreur de la seconde guerre mondiale et des chambres à gaz pour lesquelles ces sociétés ont produit encore plus de produits toxiques et sont devenus encore plus riches… et où furent menées d’ignobles expériences sur des hommes et des femmes au nom de la “science” …

C’est là qu’a été introduit le fluor dans l’eau de boisson afin de rendre les prisonniers plus dociles. Cela s’est généralisé et se perpétue …  A l’inverse du chanvre, le fluor bloque la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Cette pratique se poursuit de nos jours; cela fait partie des entraves à la perception de ce qui se passe dans le ciel.

L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui perpétue aussi cet esprit nazi: de plus en plus d’examens, de moins en moins de diagnostic, de plus en plus de chimie, de moins en moins de santé…

“ Il y a pire que le bruit des bottes, il y a le silence feutré des pantoufles” Max Frisch

Après la seconde guerre mondiale, tous les pays d’Europe de l’Ouest durent se rallier à l’OTAN … pour aider le “grand frère” (big brother) et se placer sous sa “protection. Sans parler de toutes les guerres qui n’ont cessé depuis de par le monde, fomentées pour alimenter le marché …

Au moins deux chefs d’Etat de pays européens opposèrent une résistance sérieuse à l’expansion de l’OTAN: De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 fut utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, quand Tito, qui était le leader des pays non-alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves furent assassinés à l’étranger et la discorde fut activée au sein du peuple…

Durant les années 90, les autorités françaises n’ont probablement pas accepté spontanément de collaborer aux épandages dans notre ciel. Nous avons eu droit à ce qui s’apparente fort à une œuvre de HAARP avec les tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Alors nous fûmes OK et les épandages généralisés purent commencer, en 2001, 2002. Quasiment personne n’a rien vu …

Introduction en Europe de la géoingéniérie civle et d’un nouvel ennemi: le CO2

Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques au sujet de la “géoingéniérie“. Ce nouveau mot a été ensuite introduit dans les autres pays et les autres langues européennes par les séminaires et congrès de différents instituts avec l’induction d‘une forte croyance : le CO2 émis par les activités humaines est la cause du réchauffement climatique. Il n’est toujours question que du CO2 émis par les activités civiles ; les activités militaires, qui en émettent beaucoup plus, ne sont jamais évoquées …

La proportion de CO2 dans l’atmosphère terrestre est pourtant ridiculement faible (inférieure à 0,05%). En 10 ans, ce gaz est devenu le bouc émissaire, le faux problème sur lequel on détourne notre attention pour masquer le réchauffement provoqué par les armes électromagnétiques de type HAARP. En fait il y a bien d’une part énormément de pollution et d’autre part un réchauffement anthropogénique (dû à l’homme) mais ce dernier n’a pratiquement rien à voir avec le CO2 émis par nos activités civiles: il est dû aux armes qui font fondre la calotte polaire, dévient les jet-streams et créent le chaos climatique. Elles représentent la partie immergée de l’iceberg, les huit neuvièmes.

Les plantes sont avides de gaz carbonique et elles ont juste besoin de la lumière du Soleil pour le synthétiser et le restituer en oxygène. Au lieu de cela, les “doctes ignorants” cautionnent le principe d’empêcher  les rayons du Soleil de passer en créant une couverture nuageuse artificielle pour limiter le soi-disant réchauffement soi-disant dû au CO2.

Le CO2 est en train de prendre aujourd’hui la fonction ignoble endossée par la femme depuis des siècles alors que celle-ci semble finir de perdre ses véritables qualités féminines. Le genre féminin demeure la bête noire mais il est transposé à l’échelle globale, celle de la respiration de notre planète. La fonction masculine revient à l’oxygène, la fonction féminine au CO2[14]. Concevoir le monde à l’échelle planétaire nous fait passer d’une civilisation à un système[15]. Sans avoir remis en question le point fondamental : pourquoi un genre noble et l’autre ignoble si ce n’est pour nuire à la vie ?

La règle patriarcale mène à la scission entre les deux hémisphères du cerveau:

 

L’hémisphère droit -féminin et le gauche -masculin, aussi bien à l’échelle individuelle que  sociale, cette dernière s’exprimant par nos sciences et croyances.

La “haine de la vie” a d’abord été posée comme une règle[16]. C‘est clairement défini dans la civilisation grecque: le masculin est noble, le féminin est ignoble ! Selon cette règle se sont développées les civilisations impérialistes, occidentales comme orientales: en ce qui concerne la civilisation occidentale, ses empires, les trois religions monothéistes, nos références gréco-romaines pour l’éthique, les sciences et la politique, relèvent toutes de ce principe. Basées sur la croyance en un Dieu unique, innaccessible et extérieur à nous, dont le monarque est le représentant sur Terre, et sur les forces armées, elles ont étendu leur emprise sur le monde jusqu’à se fondre aujourd’hui en un système, alors même que toute la structure sociale des Etats-nations et des religions s’effondre.  De surcroît, nous pouvons remarquer que: premièrement, le déclin du statut de la femme est similaire et simultané au Japon et en Chine; deuxièmement, que ce déclin advint dans les Empires et troisièmement que les empires sont nés et se sont développés dans les zones de passage les plus peuplées: le long de la Route de la Soie en Eurasie et de part et d’autre de l’Isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). On observe, particulièrement dans les populations d’insectes, que le même phénomène d’organisation sociale en superstructures se retrouve en cas de confinement d’habitat. C’est semble-t-il, une loi universelle de rapport de proportion dans une population.

Les êtres humains, d’abord assujettis, soumis, convertis, par la force ou par la ruse à la volonté du plus fort, au nom de son idéal, ont été, et sont encore plus aujourd’hui, les acteurs zélés du système qui n’a de cesse de détraquer la planète entière, dont nous sommes, rappelons-le, les  créatures et dont dépend entièrement notre existence.

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Chacun d’entre nous, peu ou prou, est à la fois la victime et l’acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais été menée sur Terre, aussi loin que notre mémoire historique en atteste. Il ne faut toutefois pas oublier que cette Histoire a été écrite durant tous ces temps selon les dogmes imposés par les puissants et que de grands pans ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation se confirme par l’astronomie amènent à déduire que des civilisations précédentes ont pu  s’autodétruire comme nous le faisons actuellement.

Nous nous accrochons à nos croyances comme au mât de sauvetage d’un navire qui sombre et reproduisons aveuglément les erreurs, fatales à la vie, que nous véhiculons dans notre insconscient collectif: la Nature est mauvaise, la Terre est ingrate, il faut la dominer, en devenir le maître …

Les religions, qui sont ambivalentes, enseignent bien la valeur de la reconnaissance, de l’amour et de la gratitude mais elles véhiculent simultanément ce principe : détruire ce qui vit au nom d’un idéal mythique qui prétend faire mieux.

Le mythe grec

La civilisation grecque est la référence en ce qui concerne l’art, l’éthique, la politique et la science depuis des siècles. On célèbre en elle la naissance d’une explication du monde atomiste et objective. Le pendant social a été la dévaluation des fonctions féminines qui s’est traduit par la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et par le fait que les femmes aisées se sont délestées de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves[17].

Plus que toute autre, la mythologie grecque a peuplé le ciel : ses mythes relatent les œuvres de Zeus et de sa cour, qui sont essentiellement des rapts, des viols et des assassinats, dont les victimes sont projetées dans les constellations célestes pour l’absolution de ces actes criminels, toujours motivés par la jalousie. La créature féminine est un objet de possession sur lequel Zeus entend avoir tous les droits.

L’exaltation du noble masculin et la déchéance de l’ignoble féminin dans la société grecque antique est bien référencée par André Brahic[18], célèbre astrophysicien français, dans son livre “Enfants du Soleil” : « … les esclaves y accomplissaient les tâches matérielles, et les citoyens avaient tout le loisir de s’intéresser aux questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun pouvait s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser ainsi des questions philosophiques sans avoir besoin de recourir à un mythe. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. En fait le triomphe de la raison a été beaucoup plus long et beaucoup plus difficile à comprendre que ces rapides phrases le laisseraient croire. »

Chacun signifie pas de femmes, pas d’esclaves, rien que des “citoyens”, c’est à dire un cercle restreint particulier d’hommes qui avaient le temps de penser, complètement détachés des contraintes matérielles de la vie quotidienne, qui mettaient ainsi de côté la moitié de la réalité de la vie ! Ainsi le triomphe de la raison serait d’asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à sa nature !

Cette “merveilleuse science” n’a-t-elle pas un défaut ? On se félicite aujourd’hui de sa raison qui  évacue les mythes, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir une grosse mite insatiable qui dévore les tissus vivants!!! N’est-ce pas ainsi que la conscience finit par déserter la science ?

[ ] La «Science » aujourd’hui se glorifie de ne raisonner que sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale.

Au Moyen-Age, jusqu’à Copernic[19] et encore longtemps après, la logique des deux sphères d’Aristote a été l’unique référence cosmologique:

  • La sphère des cieux, fixe, immuable et parfaite, qui porte la noblesse du masculin
  • La sphère de la Terre, changeante et imparfaite, celle des manifestations concrètes, chargée de l’ignominie du féminin.

La Renaissance a beaucoup remis en question les concepts aristotéliciens. Nous avons presque oublié la cosmologie des deux sphères, mais n’avons pas remis en question, à la base,  ce qui est toujours le dogme: ne raisonner que sur les faits, trouver dans les faits eux-mêmes la cause de leur existence. Il manque quelque chose, il y a quelque chose de faux …

“En Physique, on se focalise sur comment extraire de l’énergie de la matière … comment casser un tout en particules pour libérer de l’énergie.  L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gênes sont la structure basique de l’être humain et que si on peut contrôler les gènes alors on peut contrôler tous les aspects de l’être humain. Une des ramifications de ce mode de pensée inversée est que les scientifiques pensent que la matière est la base de toute chose. Les généticiens disent que tout est 100%  génétique et que l’environnement nous affecte à 100%. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, pas seulement social. Cela signifie que notre pensée et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui pense que la matière est la base de toute chose et est aussi la source d’énergie. Nous devons voir que c’est le contraire qui est vrai: c’est l’énergie qui affecte la matière.[20]

Tu enfanteras dans la douleur

La santé primale[21], physique et mentale, de chaque être s’ancre dans sa naissance.

La condamnation biblique « tu enfanteras dans la douleur” est la règle qui a mené les femmes d’aujourd’hui à être pour la plupart – et avec leur consentement- totalement dépossédées de leur plénitude, de leur dignité et de leur santé dans l’acte sacré de mettre un enfant au monde. Accoucher en se pliant au protocole hospitalier, qui est point par point à l’opposé du processus physiologique, est cause de privation d’une joie fondamentale, de faiblesses ou de maladies mentales et physiques pour la mère et l’enfant.

Histoire de la perte des droits fondamentaux de la femme qui enfante

Au commencement de la désescalade des fonctions féminines dans nos sociétés patriarcales occidentales il y a simultanément la sentence biblique «tu enfanteras dans la douleur» et la déchéance du féminin dans la société grecque. Un survol de cette  désescalade illustre particulièrement bien comment une règle s’incarne dans une civilisation pour finalement former un système.

Auparavant, d’après les témoignages apportés par les tablettes sumériennes d’il y a environ trois mille ans, la femme jouissait du même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et les écrits bibliques, c’est à dire dans le courant du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines se sont ancrées comme nobles relativement au féminin auquel échut l’ignoble. Pour les femmes elles-mêmes, les fonctions féminines devinrent ignobles: les riches se délestaient de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves. Au 4e siècle après JC, la réunion de l’Empire de Rome avec l’Eglise sonna le glas pour beaucoup de femmes inspirées comme Sainte Foy, martyrisée par Rome pour sa foi en Christ ou savantes comme Hypathie d’Alexandrie, martyrisée 100 ans plus tard parce qu’elle ne portait pas allégeance à l’Eglise… A partir du 14e siècle, les bûchers au nom de l’Eglise qui s’érigeait en seule pourvoyeur de connaissance, emportèrent dans les flammes les hommes et les femmes savants, pour leur “sorcellerie”. Ainsi s’effacèrent de grands pans de la connaissance populaire, celle des plantes contraceptives entre autres[22], ce qui eut pour conséquence enfants non désirés et abandons, famine et épidémies, sur fond de guerre de Cent Ans.

Arriva Louis XIV qui imposa aux femmes d’accoucher allongée, pour satisfaire un caprice que l’on peut qualifier de voyeurisme. Cette “bonne manière” s’est répandue comme une traînée de poudre à la surface du globe … C’est la pire souffrance et c’est la ruine pour les mères et les nouveaux nés car c’est totalement anti-physiologique. De nos jours, beaucoup de sirènes font croire aux femmes qu’elles peuvent éviter d’affronter cette épreuve grâce à la chimie et à la chirurgie autrement dit qu’elles peuvent avoir leur bébé sans vivre sa venue au monde. Cela se paie en fait par la suite, non  seulement par un affaiblissement de la santé globale mais aussi par une immaturité, une irresponsabilité parentale de plus en plus grave. Le protocole hospitalier de naissance détruit des liens essentiels au démarrage de la vie. Pourquoi ?

Physiologie de l’accouchement et fonctionnement du cerveau

Pour mettre facilement un enfant au monde, la mère doit être en mesure de relâcher le contrôle néocortical[23], celui de l’identité, qualité masculine, pour laisser agir l’obscur cerveau reptilien au profit de la perpétuation de l’espèce, qualité féminine. Cela a été particulièrement démontré par, Michel Odent[24], chirurgien et obstétricien français qui s’est particulièrement consacré à l’étude de la physiologie de l’accouchement.

En résumé, dans l’accouchement, mais aussi dans la vie sexuelle en général et finalement dans toute notre vie hormonale, deux hormones antinomiques, l’ocytocine, typiquement féminine et l’adrénaline, typiquement masculine, accompagnées de leurs familles, entrent en jeu :

– l’ocytocine[25], ou « hormone de l’amour » a pour source le cerveau reptilien. Elle est, secrétée par l’hypothalamus, une structure ancienne du cerveau, et stockée dans la glande hypophyse postérieure. Elle est libérée dans le courant sanguin à l’occasion de circonstances particulières[26]. En interagissant avec la force contraire produite par l’adrénaline, qui a pour source le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsations : les contractions ; la fonction de l’ocytocine est d’ouvrir la porte à un autre référentiel.

– l’adrénaline : la phase finale de tout évènement de la vie sexuelle est déclenchée par l’adrénaline, « hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection, selon le cas: du sperme, du fœtus, du lait. Sa fonction est d’expulser pour protéger l’intégrité individuelle, générant ainsi une dissociation[27].

Séparation entre astronomie et astrologie

Sur le plan social, considérons l’astronomie et l’astrologie qui sont universellement reconnues comme étant, conjointement, la “Mère des Sciences” : elles sont aujourd’hui deux sœurs ennemies.

La scission advint en France  au solstice d’hiver 1666, quand Colbert fonda l’Académie des Sciences sous le règne de Louis XIV … bien que Rabelais ait dit, un peu plus de cent ans plus tôt, que “science sans conscience n’est que ruine de l’âme[28]”… L’abstraction délibérée de toute cosmologie est devenue la norme. En conséquence, une “docte ignorance”[29] s’est développée depuis lors. “La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si toute chose venait de nulle part et spécifiquement comme si l’énergie provenait de la matière. Si c’était le cas, d’où viendrait la matière, alors?[30]…“les principales influences philosophiques des scientifiques sont cachées. Et de plus, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais mises en question; en fait, elles sont maintenant retirées maintenant des livres scientifiques [31]”. Nous pouvons effectivement remarquer que depuis des décennies, les études ressemblent de plus en plus à du bachotage: elles sont de plus en plus spécialisées – ce qui est naturel dans une organisation sociale qui se complexifie mais, surtout, il y a un schisme avec les fondations métaphysiques de la Science. Les seuls autorisés à faire référence officiellement sur un sujet de nos jours sont de plus en plus ceux qui n’ont aucune expérience de ce sujet. C’est particulièrement vrai – et parfois carrément drôle- pour ces sujets fondamentaux « hors des clous » que sont l’Astrologie, la naissance, le climat et … le cannabis!

Bien que cette science idéaliste n’ait jamais cessé de pourfendre l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est encore bien vivante dans nos sociétés. Répondrait-elle à un besoin fondamental de l’être humain, à une fonction naturelle de la vie qui revient au galop quand on la chasse ? Depuis 350 ans, la science se bâtit sur le déni de la moitié de notre cerveau.

Comment fonctionne notre cerveau ?

La fonction de l’hémisphère gauche est de distinguer, identifier, dénombrer, développer. Elle consiste en une ouverture et produit du mouvement, de l’excitation. Dans cet hémisphère on part du néo-cortex et on va vers la complexité. C’est le « –nom-ique », il décode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui notre droite.

La fonction de l’hémisphère droit, elle, est d’unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer l’information. Il part de la complexité qui affecte notre cerveau reptilien pour en déduire quelque chose d’intelligible pour le système limbique et le néo-cortex. Ce faisant, il maintient la protection de l’individu face au milieu extérieur, fait masse et entretient l’homéostasie de l’organisme. C’est le «  –log-ique », il encode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre gauche.

Dans « logique » il y a « log », dans « nomique », il y a « nom ». En termes mathématiques, l’astronomie a la fonction « exponentielle », elle dénombre; en regard l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle structure en une formule assimilable par l’organisme.

En 1666 l’Académie des Sciences fut crée et elle est devenue le nouveau corps officiel de la représentation du savoir. Dans les siècles qui suivirent, elle prit la place dogmatique que l’Eglise avait tenue pendant les mille ans précédents. Et depuis cette époque,  les astrologues et les astronomes qui n’avaient jamais été différenciés jusque-là, se sont trouvés divisés en deux catégories distinctes, l’une recevant les honneurs au nom de la Science érigée en mythe, l’autre la misère humaine dont le prêtre n’a eu cure.  Depuis cette scission, tant les astronomes que les astrologues tournent en rond dans leur hémisphère respectif, comme les deux faces d’une même médaille, en s’écharpant sur la frontière du zodiaque, qui n’est autre que le plan de notre matrice Soleil-Terre.  C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun des partenaires se renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice-versa. Une majorité d’astrologues ignorent tout de l’astronomie tandis que certains astronomes font office de grand guru, sans aucune astro-logique et nous habituent à l’effroi du « silence glacé des espaces infinis »[32].

N’avons-nous pas encore intégré la relativité?

Le postulat de l’héliocentrisme, confirmé par Galilée cinquante ans après la scission de 1666, induit la relativité: la Terre n’est pas le centre de l’univers[33]. Tout corps est un centre. En conséquence, un phénomène peut être considéré de différents points de vue[34]. A partir de là, comment statuer qu’un point de vue est supérieur aux autres ou peut remplacer les autres ? Ne sont-ils pas tous vrais et précieux ? Autant vous-même, que la Terre, que le Soleil ? Et pourtant, notre psyché, conditionnée par l’impérialisme du Pater Arche[35], pense toujours qu’il n’en faut retenir qu’un, seul et unique.

La relativité n’est pas encore vraiment intégrée dans nos esprits ; l’Astrologie s’est trouvée coupée de l’Astronomie au moment où les dogmes (religieux) qui légitimaient la suprématie d’un point de vue sur les autres et l’esclavage de certains humains par les autres depuis de nombreux siècles, ont été fondamentalement remis en question par la Révolution copernicienne. Cette intégration est en cours ; c’est l’objet du SORI’Astres[36].

Comme l’Eglise n’est plus la référence ultime et a perdu une grande part de son influence, le pouvoir spirituel est devenu l’objet de la rivalité entre les deux disciplines. Pour asseoir sa dominance, le dogme de l’astronomie contemporaine renie la réalité physique du zodiaque des signes (dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre sur son plan de révolution) pour ne considérer comme réelles que les constellations (qui sont des arrangements visuels et culturels des étoiles). La négation du rythme notre environnement essentiel, notre matrice originelle Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), c’est-à-dire l’alternance d’éclairage de ses pôles que marquent équinoxes et solstices, n’est-elle pas une énorme erreur astronomique ? Quelle que soit la constellation devant laquelle il a lieu, le zéro degré du signe du Bélier demeure l’équinoxe de printemps Nord/automne Sud. C’est la base de la mécanique céleste, qui se trouve sapée. Dans cette chasse aux sorcières, le dogme scientiste scie la branche sur laquelle il est assis, et cette branche n’est pas la moindre car c’est celle de la Mère des Sciences.

Dans le cerveau divisé de la Mère des Sciences, la science officielle s’est développée en circuit fermé depuis 350 ans : elle a perdu de plus en plus la relation avec son cerveau droit, lequel renvoie l’observateur / expérimentateur à lui-même. De son côté, l’astrologie coupée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre, ses symboles de plus en plus creux ; il faut dire qu’elle était déjà sévèrement corrompue et soumise depuis des siècles au bon vouloir des puissants qui y ont imposé leurs maîtrises.

Le résultat, c’est que l’éthique scientifique aujourd’hui, c’est de savoir mettre sa conscience au congélateur … Cela ne serait-il pas l’essence même de l’esprit nazi ?

  1. cela peut changer …

Jeter l’astrologie, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain, un bain d’impérialisme, vieux de 5000 ans …

Cette fonction naturelle qui revient au galop quand on la chasse est la fonction du cerveau droit, la moitié féminine qui amène la sagesse, l’hémisphère de la con-naissance, absolument nécessaire à la vie pour se perpétuer, aveuglément combattue par la « haine de la vie ».

Elle est certainement beaucoup plus forte qu’on ne le croit car au vu de l’armada dont on dispose[37] et des fous qui sont aux commandes, sans elle, la Terre serait déjà pulvérisée. Entraînons-nous très vite à la re-connaître et ne nous dressons pas les uns contre les autres, mais tous ensemble pour la vérité !

[1] Evangile St Luc 21.11

[2]Film “Overcast“ Matthias Hancke 2015

[3]“La guerre secrète contre les peuples“, Claire Séverac, éditions Kontre Kulture 2015

[4]Film “Why in the world are they spraying ?“ Michael Murphy and Barry Kolski 2012

[5] Gilles Roy, devise de l’association « Rock Astres » 1993

[6] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[7] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[8] Claudia Von Werlhof,  http://www.pbme-online.org/ , Skyguards – Autriche

[9]Physiologie: étude du fonctionnement naturel d’un organisme vivant

[10]Colloque Science à très grande échelle – COMETS-CNRS Paris janvier 2014

[11]http://legacy.movement-of-life.org/index.php

[12]„“Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles“ Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk 2011

[13]Gabriel Luneau https://www.youtube.com/watch?v=VTRfViLgKoM

[14] Viktor Schauberger

[15] Claudia Von Werlhof

[16] Claudia Von Werlhof

[17] André Brahic “Enfants du Soleil“ 1999

[18] décédé en 2016

[19]Copernic, mort en 1549

[20]The ABCs of the NEW PHYSICS, a workbook based on the New Physics by Noberto R.Keppe. author : Claudia Bernhardt de Souza Pacheco and collaborators; Proton Editora 2008

[21]Michel Odent “La santé primale“ 1986

[22] Fruit d’une recherche personnelle: les peuples les plus récemment touchés par notre “civilisation“ connaissent et emploient des plantes contraceptives (Tibétains –confirmation écrite de l’Institut de médecine thibétaine de Daramsala-, Indiens d’Amazonie, Aborigènes …); dans l’Antiquité grecque et romaine et jusqu’au 13e siècle, il n’est pas particulièrement fait mention de trop nombreux enfants par femme. De nombreuses variétés de plantes, différentes selon les climats et les sols existent et sont bien simples: pour chez nous: calendula, safran … J’en conclus que les bûchers de l’Inquisition ont fait disparaître cette connaissance. De rares bribes de connaissance de plantes abortives ont perduré.

[23] Le néocortex, la partie la plus complexe du cerveau, particulièrement développée chez l’humain, la plus récente du point de vue de l’évolution.

[24]Michel Odent « L’amour scientifié » éd. Jouvence 2001 et autres ouvrages. Connu depuis sa direction de la maternité de Pithiviers de 1962 à 1985 où il a lancé le concept d’accouchement en salles de naissance « comme à la maison » ou en piscine.

[25]et ses consoeurs, prolactine et endorphine. Prolactine : hormone ancienne sur le plan de l’évolution, impliquée dans les comportements du maternage : construction des nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle qui allaite

[26]Cette libération se fait de manière discontinue,  par pulsations. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit la naissance, elle est libérée pendant l’orgasme et joue un rôle direct dans la reproduction. (Michel Odent « L’amour scientifié »).

[27] L’adrénaline et sa famille sont à l’origine les hormones secrétées d’urgence quant il faut soudain se protéger par la fuite ou le combat. A leur source, le néocortex. Elles sont mises en jeu quand la survie de l’individu devient la priorité et passe avant la survie de l’espèce, alors que la famille de l’ocytocine est impliquée dans le cas contraire.

Il en est également de même quant au fonctionnement de notre cœur  : le ventricule  gauche propulse le sang dans  l’organisme et le droit rappelle ce dernier pour être régénéré.

[28] Rabelais, « Pantagruel »

[29]“la docte ignorance” Merleau Ponty, philosophe français (1950)

[30]Noberto Keppe NEW PHYSICS

[31]idem

[32] Blaise Pascal

[33] Thomas S. Kuhn „La révolution copernicienne“

[34] En astronomie, il y a différents systèmes de coordonnées, définis par un centre, un plan et deux axes, qui décrivent: le point de vue topocentrique (vous en êtes le centre), le point de vue géocentrique (la Terre est le centre) et le point de vue héliocentrique (le Soleil est le centre); on peut aussi se projeter sur une autre planète ou en tout point de l‘univers

[35] Claudia Von Werlhof http://www.pbme-online.org/

[36] SORI’Astres, voir www.rockastres.org

[37]Rosalie Bertell “Planet Earth, the latest weapon of war“

Preuve de la production variable de chaleur terrestre …

Journal of Geography, Environment and Earth Science International

10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220

ISSN: 2454-7352

Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d’un changement climatique mondial non anthropique ainsi que d’un réchauffement planétaire et d’une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie

 

J.Marvin Herndon

Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA

Contribution de l’auteur

L’auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit

 

Référence de l’article

DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220

 

Editeur:

Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain

Revues :

(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA

.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya

.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania

.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada

.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA

.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland

Historique complet des revues par des pairs :

http://www.sciencedomain.org/review

Reçu le 15 février 2017

Accepté le 19 avril 2017

Publié le 21 avril 2017

Traduction française : Ciel voilé

http://www.nuclearplanet.com/variable_heat.pdf

Résumé

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d’une activité sismique variable et les preuves géologiques d’un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l’océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l’atmosphère. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d’affecter l’équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l’échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu’il s’agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d’accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l’autorité morale des Nations Unies.

1.INTRODUCTION

Le premier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu’un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l’ajout de dioxyde de carbone (CO2), d’origine anthropique, dans l’atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d’énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l’acidification des océans, et qu’elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l’aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz « à effet de serre ». Comme l’a souligné l’éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d’affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d’apporter à l’attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n’a pas prises en compte dans la construction et l’évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l’irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.

Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d’un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu’un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n’en parlait plus. Cette norme s’est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s’est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l’adoption anticipée d’une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n’a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l’anonymat des pairs[8]. En outre, l’apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu’ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d’origine anthropique) et qu’ ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres – un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.

La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l’ignorance systématique d’un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.

Dans les années 1970, lors de l’étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J’ai écrit un court document, résumé ainsi : d’après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j’ai reçu une lettre complémentaire d’Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés – l’habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale – par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu’à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j’ai démontré que: (1) 82% de l’intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l’uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu’ Hawaï et l’Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s’expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l’état fortement réduit de l’intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m’a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l’hypothèse d’une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j’ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l’origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l’origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l’origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?

Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L’idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.

2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE

Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu’ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l’océan, a d’abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l’océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l’océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l’océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l’océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l’échelle du temps humain, la chaleur émanant de l’intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).

Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n’ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d’un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l’impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.

Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d’une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.

Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie

 

Radionucléides

de longue vie

Demi-vie

(année)

235U

7.04 X 108

238U

4.47 X 109

232Th

1.41 X 1010

40K

1.25 X 109

3.PREUVE DE L’AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS

Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d’Hawaï et d’Islande. Lorsqu’elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s’étendent à l’interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l’Islande et des îles hawaïennes tout au long de l’ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.

Le lien entre les grands tremblements de terre et l’activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l’apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l’activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.

La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d’occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l’U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l’hypothèse d’une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu’au cours des 43 dernières années.

 

Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l’échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l’ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d’amplitude indiquées au cours de l’intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l’augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l’augmentation est de 74%.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l’activité géodynamique de l’énergie n’est pas constante. En outre, l’association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l’augmentation de l’activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l’hypothèse d’une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.

4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L’APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS

Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l’augmentation de la chaleur de l’océan que nous pouvons déduire de l’augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l’océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l’océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu’à la surface en Islande [ 52].

5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L’AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN

L’hypothèse d’une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l’océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l’eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:

[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)

Dans l’équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l’eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:

K0
CO2 (g) = [CO2] (2)

Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.

Weiss [54] a dérivé l’équation suivante pour K0 de l’équation intégrée Van’t Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:

Dans K0 = A1 + A2 (100 / T) + A3ln (T / 100) + S [B1 + B2 (T / 100) + B3 (T / 100) 2] (3)

Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.

La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l’eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.

Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l’équation (2). À partir de [54].

 

Unités de K0

moles/l●atm moles/kg●atm

A1

0.7

4.3

A2

0.73

4.4

A3

33

190

B1

2.4

6.3

B2

11

20

B3

1.02

1.81

Comme on le sait à partir d’enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l’éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l’atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s’échapper dans l’atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer.

Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d’autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l’eau de mer environnante [56,57]. En d’autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l’augmentation de l’acidification des océans observée dans le monde entier.

Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l’eau de mer. Ce chiffre montre qu’une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.

La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d’environ un tiers le taux d’augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d’énergie de l’activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d’événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.

Il existe d’autres preuves à l’appui de l’hypothèse de l’apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l’apport variable de chaleur dans l’eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l’eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l’apport variable de CO2 volcanique dans l’eau de mer et de l’apport de chaleur variable à l’eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l’eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l’eau de mer.

Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l’institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.

6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c’est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l’ionosphère – tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c’est-à-dire depuis plus d’un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].

Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d’un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l’air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l’autorisation de British Antarctic Survey.

Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages ​​avec des substances chimiques telles que l’iodure d’argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l’inhibition des précipitations [63].

La technique d’inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L’aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d’humidité de s’assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu’à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l’activité de géo- ingénierie troposphérique.

Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d’eau dans les gaz d’échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l’existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu’il s’agirait de traînées de condensation.

Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d’humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s’évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d’eau de leur échappement s’évaporent rapidement; la troisième traînée qui s’étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.

La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l’air une matière particulaire et qu’il ne s’agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s’interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d’approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.

Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s’étalent, formant parfois des nuages ​​artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d’ une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages ​​naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d’eau invisible.

Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d’Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.

Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l’atmosphère prétendent qu’aucun aérosol délibérément pulvérisé n’influence l’atmosphère qu’ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l’échelle régionale et très probablement à l’échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l’air que nous respirons et, d’après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].

Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d’énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].

Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu’à ce que les nuages ​​se surchargent tellement qu’ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l’humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l’atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l’albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].

Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l’air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l’évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n’est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l’aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.

 

Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l’une des pulvérisations s’interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d’eau se trouvant dans les gaz d’échappement du moteur. Photo de l’auteur.

Figure 8. Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages ​​naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.

7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu’il s’agissait du largage accidentel d’un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j’ai obtenu des échantillons de l’un des résidents pour analyse et j’ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.

La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle – poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes – absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m’a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d’aggraver le réchauffement climatique.

Beaucoup de temps et d’argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d’application cachée. C’est clairement l’indication d’une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu’il s’agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.

8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES

La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l’échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l’Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l’évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l’augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l’espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.

Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].

Figure 10. La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].

Les contributions anthropiques provenant de l’utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d’utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l’activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l’augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l’océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s’est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.

Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d’intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n’est qu’un épisode d’une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].

De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d’autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l’attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l’histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre2008 dans l’ensemble de données de température russes d’octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].

9. CONCLUSIONS

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre.

Les preuves géophysiques de l’activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, l’augmentation des apports de chaleur à l’océan diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l’atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.

La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l’équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l’atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel d’un matériau modifié indiquent qu’il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d’amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l’autorité morale des Nations Unies sont compromises.

On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l’activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l’air que nous respirons presque quotidiennement à l’échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l’opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l’intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d’aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d’autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l’économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu’a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n’est rien moins qu’une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu’ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?

 

Pour le bien de l’humanité, du biote et de l’environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.

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80. Fleming, J.R. Fixing the sky: The checkered history of weathe and climate control. Columbia University Press: New York, 2010.

 

OVERCAST à Rodez-25 nov et Montpellier-4 dec 2016

Actualisation: le film est maintenant disponible en ligne
https://www.youtube.com/watch?v=yoxMEbPp_7Y

 

Une enquête sur l’ingénierie climatique

un film de Matthias Hancke,
présenté en finale au Deauville Green Awards 2016
commander le DVD


overcast-broussy24nov16A RODEZ

vendredi 25 novembre 2016 à 18 heures

Au café « Le Broussy »

1, place d’Armes, 12000 RODEZ
projection suivie d’un débat avec Claire Henrion et les membres ACSEIPICA locaux
entrée libre


overcast-montpel4dec16A MONTPELLIER

dimanche 4 décembre 2016 à 15 h 

66 Cours Gambetta, 34000 MONTPELLIER
Tram 3, Station Plan Cabanes
Projection suivie d’un débat avec Selim Saou et les membres ACSEIPICA locaux
Elle s’inscrit dans la continuité du café climat du 29 novembre organisé par Happy Planet.
De 15h à 19h, entrée gratuite

Comment dévaster l’environnement

unless peace comes
Traduction de l’article

« Comment dévaster l’environnement »

couvrant les pages 181 à 205 du livre « Unless Peace Comes – A scientific forecast of new weapons » (À moins que la paix ne vienne – Une Prévision scientifique de nouvelles armes)
 Copyright © Nigel Calder, 1968

Tous droits réservés

Publié en 1968 en édition cartonnée et une édition Viking Compass de Viking Press, Inc., 625 Madison Avenue, New York, N. Y. 10022

Numéro de carte du catalogue de la Librairie du Congrès : 68-28023

Imprimé aux U.S.A. par The Colonial Press Inc.

Deuxième impression : décembre 1968

COMMENT DÉVASTER L’ENVIRONNEMENT

PAR

GORDON J.F. MacDONALD

États-Unis

 

Le professeur MacDonald est co-directeur de l’Institut de Géophysique et de Physique planétaire de l’Université de Californie à Los Angeles. Ses recherches englobent une diversité considérable de phénomènes naturels et ses intérêts professionnels s’étendent encore avec sa participation à l’élaboration des politiques scientifiques nationales. Il est membre du Comité Consultatif Scientifique « Président Johnson ».

____

 

PARMI LES FUTURS MOYENS d’atteindre des objectifs nationaux par la force, il existe une possibilité reposant sur la capacité de l’homme à contrôler et manipuler l’environnement de sa planète. Une fois atteint, ce pouvoir sur son milieu ambiant lui fournira une nouvelle force apte à causer d’énormes dégâts, sans discrimination. Notre compréhension actuelle primaire de la modification intentionnelle de l’environnement fait qu’on a du mal à imaginer un monde où l’on pratique la guerre géophysique. Ce pourrait être un monde où les armes nucléaires seraient effectivement prohibées et où les armes de destruction massive seraient celles de la dévastation écologique. Alternativement, je puis envisager qu’un monde de stabilité nucléaire résultant de la parité de tels armements soit rendu instable par le développement par une nation particulière d’une technologie avancée à même de modifier l’écosystème terrestre. Ou bien, des armes géophysiques peuvent intégrer l’armement de chaque nation. Comme je le développerai, ces armes sont particulièrement adaptées aux guerres clandestines ou secrètes.

La littérature de science-fiction contient moult suggestions sur les façons dont les guerres seraient menées si l’homme avait la capacité effective de modifier la météo, le climat ou les courants océaniques. Nombre de ces suggestions fictives, et autres débats plus sérieux, oublient de prendre en compte les limites de la nature. Jules Verne a donné une description détaillée du déplacement des calottes glaciaires, rendant ainsi plus équitables les zones climatiques du monde (Les Voyages extraordinaires ; Sans Dessus Dessous, Metzel, 1889). Verne proposait d’annuler l’inclinaison de 23 degrés de l’axe de la Terre, la mettant à angle droit du plan soleil-terre. Toutefois, comme Verne l’a ensuite correctement souligné dans un exposé, le gonflement terrestre à l’équateur stabilise notre planète et, même si on lançait un projectile de 180 000 tonnes, le déplacement produit ne serait que d’un dixième de micron. Le sénateur Estes Kefauver, candidat à la vice-présidence lors de l’élection américaine de 1956, redécouvrit la proposition d’origine de Verne et fut fortement préoccupé par le basculement de l’axe terrestre. Il rapporta que l’axe de la Terre pouvait, par suite de l’explosion d’une … lire la suite

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GUERRE CLIMATIQUE ou MANIPULATION DU CLIMAT

guerre climatique ou manipulation du climat - M.Filterman

Conférence de Marc FILTERMAN aux 17e Universités de l’Environnement et de la Santé

à Saintes (Charente Maritime) le dimanche 28 juin 2015.

  • Inventaire historique des actions de manipulation climatique et épandages aériens aujourd’hui reconnus: Amérique, Europe, Chine, Russie …
  • Propos contradictoires dans les rapports du GIEC: aveux sur la réalité de la gestion du rayonnement solaire en cours  
  • Inventaire des techniques de la géo-ingéniérie
  • Liste détaillée des carburants de l’aviation

Télécharger le .pdf

guerre climatique-M.Filterman

 

Marc Filterman est l’auteur du livre « Les armes de l’ombre », paru en 1999, aujourd’hui épuisé (possible à trouver d’occasion)

Son site

Des perturbateurs endocriniens dans les cheveux d’enfants

Article paru dans le numéro 2660 de l’OBS (29 oct 2015). Cette étude exclusive, commandée cet été au Laboratoire Luxembourgeois Human Biomonitoring Research Unit – porte sur l’analyses de mèches de cheveux de 63 enfants, de la ville et de la campagne. Les résultats sont édifiants, bien difficiles à comprendre pour les auteurs de l’article qui ne semblent pas soupçonner ce qui tombe du ciel.

Ils sont pourtant à mettre en parallèle avec les résultats publiés dans les rapports AnAlytikA d’analyses de filaments tombés du ciel: il s’agit de perturbateurs endocriniens; ceux nommés dans l’article se retrouvent dans les rapports AnAlytikA … entre autres des traces d’acide 2,4 dichlorophénoxyacétique, qui entre dans la composition de l’AGENT ORANGE, ce défoliant que les Etats Unis ont déversé par avion sur les forêts pendant la guerre du Vietnam et qui continue de provoquer des vagues de cancers et de malformations dans ce pays.

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Lois de la physique et traînées de condensation

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A notre pression atmosphérique (P=1bar) elle change d’état à 0 degré Celsius et 100°C.

Sur le diagramme de changement d’état ci-dessus on se déplace sur la droite horizontale P=1, et on retrouve :

  • la glace solide en dessous de 273,15 degrés Kelvin (0°C)
  • l’eau liquide depuis ce point jusqu’à 373°K (100°C)
  • l’eau vapeur au-delà de 373,15°K

En altitude, la pression est inférieure, mais le fonctionnement reste le même. A 10 km par exemple, hauteur standard des avions de ligne, on a une pression de 264 hecto Pascal (soit 26400 Pascal, c’est-à-dire beaucoup plus que les 611 Pascal du point triple de l’eau visible ci-dessus à 0,006 atmosphère ou bar).

Notre atmosphère visible devrait donc être :

  • blanche si la température est négative (cristaux de glace)
  • grise si la température est entre 0 et t
  • bleue si la température est supérieure

En pratique, comme l’ont fait remarquer des spécialistes, c’est plus flou que cela, car les phases coexistent au-delà des limites prévues. Cela vient probablement du fait que l’eau n’est pas un fluide parfait, que la composition chimique est variable, que le rayonnement solaire (beaucoup plus agressifs à 10 km) apporte de l’énergie, et que l’eau n’est pas un fluide parfait comme l’hydrogène mais un dipôle, etc.

Les notions d’état métastable ou d’hystérésis sont proches de cela : si la transformation est faite en douceur, on peut persister dans un état alors même qu’on est passé de l’autre côté de la courbe. A l’inverse, les impuretés ou irrégularités jouent un rôle capital dans la déstabilisation qui permet de basculer d’un coté à l’autre de la courbe (explosion de vapeur d’eau avec le café, prise en glace par agitation). Ce constat est la base de la manipulation du climat par ensemencement des nuages.

Cependant toutes les subtilités décrites ci-dessus ont leurs limites, la chaleur évapore et que le froid condense, c’est la base. Cela vient du paramètre le plus important : la chaleur latente de changement d’état qui est très importante.

Quand on démarre la journée avec un ciel uniformément bleu, on est généralement d’un côté ou de l’autre de la courbe. Et si on front froid arrive, il est orienté, et non réparti uniformément sur toute la voûte céleste … à l’endroit de passage des avions.

La perturbation créée par l’avion déplace la masse d’air dans le diagramme, car la température augmente en sortie de réacteur, et la pression est modifiée. Poussée d’Archimède : la masse d’air déplacée est égale au poids de l’avion, disons 100 tonnes pour un gros avion de ligne. La masse d’atmosphère au dessus de nous est facile à calculer, 1 bar = 1 kg par cm², soit 100 x 100 = 10 000 kg = 10 tonnes par mètre carré. La voûte céleste des objets situés à 10 000 mètres étant d’un rayon d’environ 100km, cela nous fait PI R2 = 3,14 * 100000 * 100000 = 314.000.000.000 tonnes.

On peut donc conclure que les 100 tonnes de chaque avion sont une quantité négligeable (c’est la masse de 3 milliards d’avions visibles au dessus de nos têtes). De plus le réchauffement lié à la combustion et l’agitation devrait évaporer l’eau plutôt que de la condenser, et c’est ce que l’on constate sur les avions « propres ».

En conséquence, la perturbation engendrée, si elle est uniquement thermodynamique, doit revenir à l’état antérieur au passage de l’avion, c’est-à-dire bleu si le ciel était bleu. Des conditions intermédiaires (traînées discontinues) peuvent être obtenues si le ciel est non uniforme, par exemple nuageux ou mouvementé. Cela correspond a un point (P,T) proche des courbes de changement d’état.

Conclusion :

Les « contrails » créées par le changement d’état de la vapeur contenue dans l’atmosphère lors du passage des avions NE sont PAS persistantes si l’avion est « propre ».

Chemtrail / Contrail V1 David Landelle – dl@LVideoServices.com

Voir aussi

Un article scientifique officiel dénonce la géo-ingéniérie et l’épandage des cendres volantes de charbon

Aluminium poisoning humanity and earth’s biota,

article du Pr Marvin Herndon paru dans Current Science, revue officielle de l’Académie des Sciences de l’Inde – version originale

dans un article dans Current Science (Science Actuelle, revue officielle de l’Académie des sciences de l’Inde), le spécialiste des Sciences de la Terre de San Diego, J. Marvin Herndon révèle : « En gros, depuis plus d’une décennie, avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance non-naturelle : la dispersion de particules d’aluminium toxique dans l’environnement…. Mais il n’y a eu aucune déclaration publique, aucune explication, aucune investigation académique, aucun consentement en connaissance de cause, et aucune révélation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l’air. » Lire la suite M.Herndon-Com de presse SAN DIEGO, June 23, 2015

Chemtrails et cendre de charbon

Source : Ciel voilé

 

Cette vidéo sous-titrée en français vient de : The Haarp report sur YouTube :

https://www.youtube.com/watch?v=F6r0GqbH9Os

L’industrie du charbon recyclerait ses déchets notamment les cendres du charbon, pour fournir la base des chemtrails.
L’auteur de la vidéo a découvert, après sa mise en ligne, deux erreurs [avoir enlevé le mot « base » et ajouté le mot « slurry » ( boue) ] qu’il rectifie :

* Les cendres volantes du charbon constitueraient la base du mélange pour chemtrails, mais d’autres composants seraient ajoutés.
* Les cendres volantes sont traitées à sec en utilisant des équipements de transport pneumatique en vrac. Par conséquent, l’ensemble des opérations : homogénéisation, broyage, et stockage, se font complètement à sec.
* Les cendres volantes sont envoyées, via les wagons-citernes, aux unités de retraitement sur place, où les composants supplémentaires sont ajoutés, et l’ensemble du mélange est homogénéisé et stocké, pour le chargement sur les avions à réaction, à proximité.
* Le processus de traitement de cendres volantes se compose de: « lixiviation » des métaux à partir des cendres volantes, séparation et lavage du résidu. Le sable de silice est considéré comme un déchet, et n’est pas utilisé dans le mélange de base chemtrail.
* Pour prouver que les chemtrails ne sont pas des trainées de condensation : comparer avec les relevés d’humidité de l’air. Si l’humidité de l’air n’est pas supérieure à 60%, ce n’est pas de la condensation.

Le « charbon » est bien utilisé comme carburant alternatif dans l’aéronautique : le CTL ( coal to liquid) :

http://www.cielvoile.fr/2015/02/carburants-pour-l-aeronautique-le-juteux-marche-europeen-de-l-otan.html

Pour le reste consultez : http://chemtrailsplanet.net/2015/02/07/chemtrails-are-coal-ash-really/