OVERCAST à Rodez-25 nov et Montpellier-4 dec 2016

Tous droits réservés
Publié en 1968 en édition cartonnée et une édition Viking Compass de Viking Press, Inc., 625 Madison Avenue, New York, N. Y. 10022
Numéro de carte du catalogue de la Librairie du Congrès : 68-28023
Imprimé aux U.S.A. par The Colonial Press Inc.
Deuxième impression : décembre 1968
Le professeur MacDonald est co-directeur de l’Institut de Géophysique et de Physique planétaire de l’Université de Californie à Los Angeles. Ses recherches englobent une diversité considérable de phénomènes naturels et ses intérêts professionnels s’étendent encore avec sa participation à l’élaboration des politiques scientifiques nationales. Il est membre du Comité Consultatif Scientifique « Président Johnson ».
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PARMI LES FUTURS MOYENS d’atteindre des objectifs nationaux par la force, il existe une possibilité reposant sur la capacité de l’homme à contrôler et manipuler l’environnement de sa planète. Une fois atteint, ce pouvoir sur son milieu ambiant lui fournira une nouvelle force apte à causer d’énormes dégâts, sans discrimination. Notre compréhension actuelle primaire de la modification intentionnelle de l’environnement fait qu’on a du mal à imaginer un monde où l’on pratique la guerre géophysique. Ce pourrait être un monde où les armes nucléaires seraient effectivement prohibées et où les armes de destruction massive seraient celles de la dévastation écologique. Alternativement, je puis envisager qu’un monde de stabilité nucléaire résultant de la parité de tels armements soit rendu instable par le développement par une nation particulière d’une technologie avancée à même de modifier l’écosystème terrestre. Ou bien, des armes géophysiques peuvent intégrer l’armement de chaque nation. Comme je le développerai, ces armes sont particulièrement adaptées aux guerres clandestines ou secrètes.
La littérature de science-fiction contient moult suggestions sur les façons dont les guerres seraient menées si l’homme avait la capacité effective de modifier la météo, le climat ou les courants océaniques. Nombre de ces suggestions fictives, et autres débats plus sérieux, oublient de prendre en compte les limites de la nature. Jules Verne a donné une description détaillée du déplacement des calottes glaciaires, rendant ainsi plus équitables les zones climatiques du monde (Les Voyages extraordinaires ; Sans Dessus Dessous, Metzel, 1889). Verne proposait d’annuler l’inclinaison de 23 degrés de l’axe de la Terre, la mettant à angle droit du plan soleil-terre. Toutefois, comme Verne l’a ensuite correctement souligné dans un exposé, le gonflement terrestre à l’équateur stabilise notre planète et, même si on lançait un projectile de 180 000 tonnes, le déplacement produit ne serait que d’un dixième de micron. Le sénateur Estes Kefauver, candidat à la vice-présidence lors de l’élection américaine de 1956, redécouvrit la proposition d’origine de Verne et fut fortement préoccupé par le basculement de l’axe terrestre. Il rapporta que l’axe de la Terre pouvait, par suite de l’explosion d’une … lire la suite
télécharger Comment dévaster l’environnement
Marc Filterman est l’auteur du livre « Les armes de l’ombre », paru en 1999, aujourd’hui épuisé (possible à trouver d’occasion)
Article paru dans le numéro 2660 de l’OBS (29 oct 2015). Cette étude exclusive, commandée cet été au Laboratoire Luxembourgeois Human Biomonitoring Research Unit – porte sur l’analyses de mèches de cheveux de 63 enfants, de la ville et de la campagne. Les résultats sont édifiants, bien difficiles à comprendre pour les auteurs de l’article qui ne semblent pas soupçonner ce qui tombe du ciel.
Ils sont pourtant à mettre en parallèle avec les résultats publiés dans les rapports AnAlytikA d’analyses de filaments tombés du ciel: il s’agit de perturbateurs endocriniens; ceux nommés dans l’article se retrouvent dans les rapports AnAlytikA … entre autres des traces d’acide 2,4 dichlorophénoxyacétique, qui entre dans la composition de l’AGENT ORANGE, ce défoliant que les Etats Unis ont déversé par avion sur les forêts pendant la guerre du Vietnam et qui continue de provoquer des vagues de cancers et de malformations dans ce pays.
CONTRAILS = traînées de condensation laissées par les avions
CHEMTRAIL = idem, mais provoqué artificiellement
Avertissement :
L’objectif de cet article est de proposer une modélisation simplifiée des traînées de condensation laissées par les avions. C’est bien de la condensation, tout comme les panaches des centrales nucléaires, mais la modélisation de ces phénomènes fait l’objet de polémiques pour plusieurs raisons :
Résumé :
Les lois de la physique nous montrent que les traînées de condensation laissées par les avions ne devraient pas persistantes. Si elles restent visibles et finissent pas opacifier le ciel, c’est la preuve qu’elles contiennent autre chose que de l’eau. Pour s’en convaincre il suffit d’observer le ciel : certains avions laissent des traces, d’autres pas, dans le même ciel calme et uniforme, et à la même altitude d’après flightradar24.com. Exemple : http://www.acseipica.fr/forum/viewtopic.php?f=41&t=32 .
Explication :
L’eau existe sous 3 états bien connus, solide, liquide, gaz.
Voici l’abaque de changement d’état que les scientifiques reconnaîtront :
A notre pression atmosphérique (P=1bar) elle change d’état à 0 degré Celsius et 100°C.
Sur le diagramme de changement d’état ci-dessus on se déplace sur la droite horizontale P=1, et on retrouve :
En altitude, la pression est inférieure, mais le fonctionnement reste le même. A 10km par exemple, hauteur standard des avions de ligne, on a une pression de 264 hecto Pascal (soit 26400 Pascal, c’est-à-dire beaucoup plus que les 611 Pascal du point triple de l’eau visible ci-dessus à 0,006 atmosphère ou bar).
Notre atmosphère visible devrait donc être :
En pratique, comme l’ont fait remarquer des spécialistes, c’est plus flou que cela, car les phases coexistent au-delà des limites prévues. Cela vient probablement du fait que l’eau n’est pas un fluide parfait, que la composition chimique est variable, que le rayonnement solaire (beaucoup plus agressifs à 10km) apporte de l’énergie, et que l’eau n’est pas un fluide parfait comme l’hydrogène mais un dipôle, etc.
Les notions d’état métastable ou d’hystérésis sont proches de cela : si la transformation est faite en douceur, on peut persister dans un état alors même qu’on est passé de l’autre côté de la courbe. A l’inverse, les impuretés ou irrégularités jouent un rôle capital dans la déstabilisation qui permet de basculer d’un coté à l’autre de la courbe (explosion de vapeur d’eau avec le café, prise en glace par agitation). Ce constat est la base de la manipulation du climat par ensemencement des nuages.
Cependant toutes les subtilités décrites ci-dessus ont leurs limites, la chaleur évapore et que le froid condense, c’est la base. Cela vient du paramètre le plus important : la chaleur latente de changement d’état qui est très importante.
Quand on démarre la journée avec un ciel uniformément bleu, on est généralement d’un côté ou de l’autre de la courbe. Et si on front froid arrive, il est orienté, et non réparti uniformément sur toute la voûte céleste … à l’endroit de passage des avions.
La perturbation créée par l’avion déplace la masse d’air dans le diagramme, car la température augmente en sortie de réacteur, et la pression est modifiée. Poussée d’Archimède : la masse d’air déplacée est égale au poids de l’avion, disons 100 tonnes pour un gros avion de ligne. La masse d’atmosphère au dessus de nous est facile à calculer, 1 bar = 1 kg par cm2, soit 100 x 100 = 10 000 kg = 10 tonnes par mètre carré. La voûte céleste des objets situés à 10 000 mètres étant d’un rayon d’environ 100km, cela nous fait PI R2 = 3,14 * 100000 * 100000 = 314.000.000.000 tonnes.
On peut donc conclure que les 100 tonnes de chaque avion sont une quantité négligeable (c’est la masse de 3 milliards d’avions visibles au dessus de nos têtes). De plus le réchauffement lié à la combustion et l’agitation devrait évaporer l’eau plutôt que de la condenser, et c’est ce que l’on constate sur les avions « propres ».
En conséquence, la perturbation engendrée, si elle est uniquement thermodynamique, doit revenir à l’état antérieur au passage de l’avion, c’est-à-dire bleu si le ciel était bleu. Des conditions intermédiaires (traînées discontinues) peuvent être obtenues si le ciel est non uniforme, par exemple nuageux ou mouvementé. Cela correspond a un point (P,T) proche des courbes de changement d’état.
Conclusion :
Les « contrails » créées par le changement d’état de la vapeur contenue dans l’atmosphère lors du passage des avions NE sont PAS persistantes si l’avion est « propre ».
article du Pr Marvin Herndon paru dans Current Science, revue officielle de l’Académie des Sciences de l’Inde – version originale
– dans un article dans Current Science (Science Actuelle, revue officielle de l’Académie des sciences de l’Inde), le spécialiste des Sciences de la Terre de San Diego, J. Marvin Herndon révèle : « En gros, depuis plus d’une décennie, avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance non-naturelle : la dispersion de particules d’aluminium toxique dans l’environnement…. Mais il n’y a eu aucune déclaration publique, aucune explication, aucune investigation académique, aucun consentement en connaissance de cause, et aucune révélation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l’air. » Lire la suite M.Herndon-Com de presse SAN DIEGO, June 23, 2015
Source : Ciel voilé
Cette vidéo sous-titrée en français vient de : The Haarp report sur YouTube :
https://www.youtube.com/watch?v=F6r0GqbH9Os
L’industrie du charbon recyclerait ses déchets notamment les cendres du charbon, pour fournir la base des chemtrails.
L’auteur de la vidéo a découvert, après sa mise en ligne, deux erreurs [avoir enlevé le mot « base » et ajouté le mot « slurry » ( boue) ] qu’il rectifie :
* Les cendres volantes du charbon constitueraient la base du mélange pour chemtrails, mais d’autres composants seraient ajoutés.
* Les cendres volantes sont traitées à sec en utilisant des équipements de transport pneumatique en vrac. Par conséquent, l’ensemble des opérations : homogénéisation, broyage, et stockage, se font complètement à sec.
* Les cendres volantes sont envoyées, via les wagons-citernes, aux unités de retraitement sur place, où les composants supplémentaires sont ajoutés, et l’ensemble du mélange est homogénéisé et stocké, pour le chargement sur les avions à réaction, à proximité.
* Le processus de traitement de cendres volantes se compose de: « lixiviation » des métaux à partir des cendres volantes, séparation et lavage du résidu. Le sable de silice est considéré comme un déchet, et n’est pas utilisé dans le mélange de base chemtrail.
* Pour prouver que les chemtrails ne sont pas des trainées de condensation : comparer avec les relevés d’humidité de l’air. Si l’humidité de l’air n’est pas supérieure à 60%, ce n’est pas de la condensation.
Le « charbon » est bien utilisé comme carburant alternatif dans l’aéronautique : le CTL ( coal to liquid) :
Pour le reste consultez : http://chemtrailsplanet.net/2015/02/07/chemtrails-are-coal-ash-really/
article original
http://scienzamarcia.blogspot.fr/2012/01/laviazione-francese-stravolge-le-leggi.html
Comme quiconque peut le vérifier sur n’importe quel livre de physique ou sur un site universitaire, la pression de vapeur saturante (souvent aussi appelée la tension de vapeur saturante) correspond à la pression maximale qui peut être exercée par la vapeur d’une substance lorsque le liquide de la substance même coexiste avec sa vapeur; c’est une valeur théorique, car il y a aussi des conditions dans lesquelles peuvent persister des vapeurs sursaturées qui se condensent quand quelque chose casse ce genre d’équilibre instable en fournissant les noyaux de condensation nécessaires (ce qui trouve application dans les détecteurs de particules telle que la chambre de Wilson).
L’humidité relative est le rapport entre la pression de vapeur d’eau dans un certain environnement et la valeur maximale de cette pression (la pression de vapeur saturante ci-dessus). Ce rapport est généralement exprimé en pourcentage. Si par exemple on a une pression de vapeur d’eau de 0,7 atmosphères à une température de 100 degrés centigrades, en sachant que, à cette température la pression de vapeur saturée est exactement une atmosphère, la relation entre la pression de vapeur et la pression de vapeur saturante est 07 / 1 = 0,7; si cette fraction est exprimée en pourcentage est obtenue une valeur d’humidité relative de 70%.
D’une manière similaire à ce qu’on vient de voir , il est possible de définir la pression de vapeur non pas par rapport au liquide, mais par rapport au solide. Même la neige , c’est reconnu, «s’évapore» (le terme scientifique correct est sublimation) et il est donc utile pour de nombreuses applications de considérer la pression de vapeur par rapport à la glace.
Dans une réponse de l’aviation civile française à une lettre d’une association de citoyens préoccupés par le phénomène des traînées dans le ciel (cf reponse DGAC 23sept11), nous voyons comment une telle institution assure que ce que nous voyons dans le ciel serait totalement du à la condensation.
Les paramètres fournis dans cette réponse officielle sont cependant légèrement différents de ceux qui sont réaffirmés par les météorologues italiens. Comme vous pouvez le voir, ce document (reponse DGAC 23sept11) se réfère aux conditions suivantes pour la formation de traînées de condensation: -30 Degrés de température et une humidité allant de 100% à 130% de sursaturation.
Notre colonel Costante De Simone, lui, dans son article «Les traînées de vapeur produites par les jet », (publié le 02.05.2007 sur le Journal de Météorologie Aéronautique) affirme:
« Pour qu’une traînée soit visible depuis le sol et dure dans le temps de manière à apparaître comme un nuage de forme allongée, l’avion qui la génère doit voler dans une bande de l’atmosphère dans laquelle la température de l’air est inférieure à 36 degrés centigrades au-dessous de zéro et avec une quantité appropriée d’humidité dans l’air. »
Alors que sur le site meteoromagna.com ,dans le document « la vieille question des traînées de condensation » signés par Pierluigi Randi, nous lisons au sujet de la formation des traînées … « La température de l’air est généralement plus favorable si comprise entre -25 ° C et -40 ° C et dans ces conditions environnementales, elles ont tendance à être plus persistantes. »
Ici, chaque météorologiste invente du nouveau! Traînées persistantes entre -25 et -40 degrés centigrades est une affirmation pour le moins audacieuse comme nous le verrons grâce aux calculs suivants, pour ne pas mentionner le fait que le texte de météorologie de Jérôme Sansosti et Alfio Giuffrida affirme que des températures inférieures à -40 degrés sont nécessaires pour la formation d’une traînée ! Notez que ce livre a été publié en 2006, presque contemporain aux affirmations des autres météorologistes.
Mais revenons au document de l’aviation française, où il est dit que au dessus de 130 % de saturation on a la formation de nuages. Eh bien, l’observation constante et continue du ciel (si possible toutes les dix minutes pour voir comment parfois, les traînées persistent, s’élargissent, et comment leurs croisements se transforment en une sorte d’ apparente «masse nuageuse » ) montre que cette transformation en nuages a lieu trop souvent (presque tous les jours pendant certaines périodes de l’année), tandis que les données d’observation des radiosondes montrent que les valeurs d’humidité indiquées par l’organisme Français ne sont pas dans la réalité.
Pour être plus précis, je suppose que cet organisme français veut se référer à une quantité égale à 100% ou 130% de la pression de vapeur saturante par rapport à la glace (130% d’humidité relative à haute altitude est pure science-fiction, ce sont des valeurs qui n’existent pas dans les régions de l’atmosphère considérée). La pression de vapeur saturante par rapport à la glace correspond à peu près à une valeur de 60/70 pour cent d’humidité relative, en fonction de la température.
En utilisant l’équation de Clausius-Clapeyron pour le calcul des deux pressions de vapeur (tableau ci-dessus) et ensuite en calculant le rapport entre pression de vapeur saturée par rapport à la glace et pression de vapeur saturée par rapport à l’eau, on obtient la valeur d’humidité relative à laquelle correspond la saturation par rapport à la glace. Les calculs rapportés dans le tableau ci-dessus sur ont été effectués avec une feuille de calcul dont n’importe qui peut vérifier l’exactitude.
…
En réalité, on peut lire à la page 143 d’un magazine US Air Force 1975 (Aviation Weather) que la traînée peut ne pas se former même dans des conditions de saturation favorables, et ne peut encore moins persister (voir l’article de l’annexe).
Toutefois, après avoir calculé le taux d’humidité relative qui correspond à la saturation (100%) on augmente les données obtenues par 130 % pour l’obtention de la dernière colonne, qui indique l’humidité relative de 90/70% à une altitude de 8/13 km là où vous rencontrez de telles
températures. L’observation systématique des données de radiosondage montre que ces valeurs ne sont tout simplement pas observées dans l’atmosphère de nos latitudes.
A notez que la persistance des traînées invoquée par Pierluigi Randi pour des températures de -25 à -40 degrés Celsius ne pourrait être obtenue que lorsque l’humidité relative varie entre 68,5% et 78,6%, des valeurs que l’on retrouve dans les données de radiosondage à une cote de croisière des avions, mais si rarement que cela n’ explique pas la profusion de traînées persistantes que nous voyons, au minimum, la moitié des jours de l’année.
Annexe
30 décembre 2008 – Humidité relative très faible a toutes les altitudes
traduction
« Les traînées de condensation de la vapeur s’échappant du moteur se forment suite à la mise en atmosphère de vapeur d’eau ajoutée à partir des moteurs de l’aéronef en une quantité suffisante pour provoquer la saturation ou la sursaturation de l’air. Du moment que l’atmosphère est également chauffée par le moteur de l’aéronef, la vapeur d’eau ajoutée doit être d’une quantité apte à saturer ou sursaturer l’atmosphère malgré la chaleur additionnelle. »
Pour confirmer davantage voyons le « Manuel de la météorologie, Un guide pour la compréhension des conditions météorologiques et climatiques » en collaboration avec l’UAI (Unione Astrofili Italiani) – un livre de Jérôme Sansosti et Alfio Giuffrida (Gremese – 2006), où se lit à la page 86 :
“La libération dans l’atmosphère des gaz d’échappement des avions, riche en noyaux de condensation et de vapeur d’eau, détermine la sursaturation de la vapeur d’eau et, par conséquent, la formation de traînées de condensation. Les traînées sont formées à des hauteurs où la température de l’air est très faible (inférieure à -40 ° C), avec une humidité relative d’au moins 60%.“
Notez comment ce livre fournit une valeur différente (moindre!) de la température requise pour la formation de traînées de condensation.
Télécharger (pdf)
analyses de filaments récoltés le 13 novembre 2013 devant huissier à St Martin de Crau (13)
Le dossier imprimé est disponible pour le prix de 8€ port compris. A commander à
acseipica.association@gmail.com
Avec le froid sibérien qui sévit aux États-Unis cet hiver, on voit circuler sur Youtube beaucoup de vidéos étranges où des personnes tentent de faire fondre de la neige et remarquent que celle-ci met du temps à céder et surtout, ne se transforme pas en eau !!
Les bactéries glaçogènes, c’est quoi ? Voici deux articles qui peuvent nous mettre sur la piste: ils concernent les bactéries dites « glaçogènes » et nous rappellent les conditions naturelles de formation de la condensation (de la vapeur d’eau) :
Est-ce que ces bactéries sont présentes dans les trainées d’avions (chemtrails) et sont la cause de cette neige au comportement étrange ? La question mérite en tout cas d’être posée.
Qu’en pensez-vous ?