PATHOLOGIES ET REMEDES

Quatre parutions médicales que nous avons le plaisir de communiquer

  • MALADIE DE LYME

auteur Dr Jean PIerre Willem – source La Revue de la MTRL – septembre 2014 – numéro 83
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  • FIBROMYALGIE, MALADIES DES ONDES

extrait du livre « Les maladies des ondes, comment s’en préserver? » du Dr Gérard Dieuzaide chapitre 8
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  • MORGELLONS

Etiologie des morgellons: un nouvel organisme infectieux semblable à une plante du Brésil et ses manifestations cutanées – en anglais
Etiology of Yan (Morgellons) Disease: A new plant-Like Infectious Organism from Brazil and Its skin Manifestations
auteur Chun-Yeung Yan – publié dans Clinical Medicine Insights: Dermatology 2012:5 – téléchargeable en ligne sur http://insights.sagepub.com//journal_homepage.php 
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  • LES CONSÉQUENCES DES MÉTAUX TOXIQUES ET DES AÉROSOLS CHIMIQUES SUR LA SANTE HUMAINE

article du Dr Sandra Ilya Perlingheri – déjà en ligne sur ce site
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la « grande nouvelle » du 21ème siècle

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique

La vie terrestre est en péril

En voici la preuve et les raisons clarifiées

Claudia von Werlhof (1)

PBME

PLANETARE BEWEGUNG FÜR MUTTER ERDE

PMME – PLANETARY MOVEMENT FOR MOTHER EARTH

MPPM – MOVIMIENTO PLANETARIO POR LA PACHAMAMA

  1. Info-Brief, April 2018

L’heure de vérité est venue:

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique – La vie terrestre est en péril. En voici la preuve et les raisons clarifiées.

Et maintenant ?

 

Du rayonnement cosmique létal atteint la surface de la Terre

Depuis le 4.4.2018, il n’y a plus de doute. Par-delà toutes les déclarations officielles et les spéculations sur l’augmentation du CO2 considéré comme menace pour la vie sur terre, il y a maintenant la preuve du contraire. Le rayonnement cosmique ultraviolet constitue la véritable menace pour la vie, il a déjà atteint la surface de la Terre parce que la couche d’ozone ne l’empêche plus d’entrer.

Cela signifie qu’une partie de l‘atmosphère, ce fameux et unique bleu de la planète Terre pour lequel tous les cosmonautes s’emballent, est en train de se dissoudre. L’atmosphère ne nous offre plus la protection qu’elle a élaborée au cours de la vie de la Terre. C’est en particulier la couche d’ozone, qui assure cette protection, qui est en train de disparaître. Déjà, à la fin du Permien, il y a  250 millions d’années, presque toute la vie sur Terre a disparu parce que plus rien ne poussait. L’extinction dite «la grande extinction » est probablement due à la même cause (Gabattis 2018).

Aujourd’hui, le problème consiste non seulement dans l’existence des fameux trous de la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique et de l’Arctique aussi, lesquels  malgré les attentes ne se referment pas (Titze 2018) mais aussi dans le fait qu’en même temps la couche d’ozone dans son ensemble est devenue tellement faible qu’elle laisse passer le rayonnement cosmique partout. Jusqu’à présent, on avait toujours nié que cela soit possible.

L’auteur de ce terrible message est le Dr. Marvin Herndon, avec Raymond Hoisington et Mark Whiteside ; ils viennent de publier leurs résultats respectifs de recherche scientifique dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, 14 (2): 1-11, 2018, Article no. JGEESI.40245, sous le titre suivant: „Deadly Ultraviolet UV-C and UV-B Penetration to Earth´s Surface: Human and Environmental Health Implications”, en français:

Pénétration mortelle des rayons ultraviolets UV-C et UV-B à la surface de la Terre: implications pour la santé humaine et l’environnement

Dans l’article, les auteurs expliquent que le rayonnement UV-B est “un facteur de stress“ ayant d’importants effets négatifs sur la survie et la croissance des organismes marins et d’eau douce, comme par exemple le plancton dans sa forme végétale ainsi qu’animale. Cela réduit et menace la source d’approvisionnement de la vie marine. D’ailleurs, le rayonnement UV-B peut nuire à la photosynthèse, empêcher la croissance et endommager les taux métaboliques du monde sous-marin ; il peut perturber les communautés de récifs coralliens et les détruire en les blanchissant et causer l’instabilité du génome chez les plantes. Cependant, le rayonnement UV est nocif aussi pour les sols,  pour les arbres dont il modifie l’environnement biologique et chimique. Les conifères peuvent développer des pollens appauvris, leur reproduction peut être perturbée et ils peuvent même devenir stériles. La toxicité des UV-B est bien connue. Elle s’applique également à d’autres êtres vivants.

Le rayonnement UV-C, à son tour, a des effets létaux sur les insectes et les micro-organismes. Il mène les plantes à une mort cellulaire programmée. Il suscite des dommages cellulaires chez les rats et pour le moins des lésions de la peau chez l’homme selon la durée de l’exposition au rayonnement UV-C.

Dans l’annonce de la publication il y a un résumé – (début de citation) :

Dernière nouvelle

La Trans dyne Corporation révèle

Des rayons ultraviolets mortels atteignent maintenant la surface de la Terre

San Diego, 2 avril 2018

“On croit généralement que l’ozone atmosphérique bloque la partie mortelle du rayonnement solaire, les UV-C et la plupart des UV-B, et l’empêche d’atteindre la surface de la Terre. Une publication scientifique récente remet cette hypothèse en question.

mnb

Publié cette semaine dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, l’article de J. Marvin Herndon, PhD, de la Transdyne Corporation, Raymond D. Hoisington de iRay SpectraMetrics, et Mark Whiteside, MD, MPH, médecin du Ministère de la Santé de Floride, confirme la preuve publiée par la NASA en 2007 mais dont elle n’a  pas assuré le suivi. »

La NASA était informée depuis des années

Il y a onze ans, des scientifiques de la NASA ont publié la première preuve que le rayonnement UV-C et UV-B pénétrait la couche d’ozone et atteignait la surface de la Terre. Cette preuve est maintenant confirmée par Herndon et al. Après l’article de D’Antoni et al. en 2007 qui montrait que les UV-C et UV-B atteignaient la surface de la Terre, la NASA n’a mené, contrairement aux protocoles éthiques,  aucun suivi dans la recherche, malgré les graves implications de ses propres résultats.

Il est dit dans cet article : « En science lorsqu’on fait une découverte qui contredit la compréhension actuelle, les scientifiques ont la responsabilité de tenter de réfuter cette découverte au-delà de tout doute raisonnable. S’il est impossible de le faire, les implications de cette nouvelle découverte devraient être discutées dans la littérature scientifique. L’article de 2007 D’Antoni et al démontrant que le rayonnement UV-C atteignait la surface de la Terre aurait dû faire l’objet d’intenses recherches de la part de la NASA pour deux raisons, l’une scientifique et l’autre éthique. »

En dépit de l’implication des découvertes de la NASA en 2007 pour la science atmosphérique et malgré leurs profondes implications pour la santé humaine et l’environnement, la NASA s’est abstenue de mener plus loin la recherche. Cette non-action soulève la question : la NASA est-elle complice d’une activité mondiale secrète telle que de la « défense nationale » militaire sous forme de pulvérisation aérienne de cendres volantes de charbon toxiques, ce qui pose de sérieux risques pour la vie sur Terre?

Depuis au moins 20 ans, avec une augmentation continue en quantité et en durée, les militaires ont commencé à pulvériser des particules dans la zone où les nuages se forment pour manipuler et transformer l’atmosphère et les conditions météorologiques en armes de guerre. Les résultats d’analyses d’échantillons de pluie et de neige correspondent à la composition des cendres volantes de charbon toxiques, celles-ci constituant la principale substance utilisée dans les aérosols. Depuis environ 2010, ces pulvérisations aériennes sont devenues des opérations quasi quotidiennes et planétairement généralisées.

Comme le révèle cet article, les pulvérisations aériennes déposent d’énormes quantités de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphère ; tous ces éléments ont le pouvoir de détruire la couche d’ozone… D’autres substances contenues dans les aérosols de cendres de charbon volantes, y compris les nanoparticules, pourraient nuire à l’ozone atmosphérique.’

L’affaiblissement de la couche d’ozone est maintenant mondial et permet à des rayons ultraviolets mortels d’atteindre le sol. L’article note aussi : ‘Le rayonnement ultraviolet est le composant le plus nocif et génotoxique du spectre solaire. Les effets mutagènes et létaux du rayonnement solaire présentent deux maximums, et les deux se trouvent dans la zone UV du spectre.’

En introduction, les auteurs « fournissent des informations sur les effets dévastateurs des UV-B et UVC sur les humains, le phytoplancton, le corail, les insectes et les plantes. »

Les militaires pourraient considérer tout cela comme des ‘dommages collatéraux’, mais cela est beaucoup plus grave car cela menace virtuellement toute la vie sur Terre”.

(Fin de la citation)

Informations et pdf: http://www.nuclearplanet.com/uv.html

Source: J. Marvin Herndon, Ph.D. Transdyne Corporation Email: mherndon@san.rr.com

Site Web: http://NuclearPlanet.com

Figure 1, Traînées de particules de cendres volantes toxiques pulvérisées par avion au-dessus de Soddy-Daisy, TN (USA) avec la permission de David Tulis.

Figure 2, Mesures spectrométriques solaires. Notez la mesure de 2002 qui illustre la fausse idée communément admise, de l’absence de rayonnement UV-C à la surface de la Terre.

D’autres raisons pour la mort de l’ozone: La géo-ingénierie militaire dans son ensemble

Voilà pour ce qui concerne Herndon et al. Si nous revenons à l’étude de Rosalie Bertell “Planète Terre, la dernière arme de la guerre“, il devient clair que la pulvérisation de nanoparticules dans l’atmosphère (que l’on appelle « gestion du rayonnement solaire – « solar radiation management » ou SRM), que visent aujourd’hui également les géo-ingénieurs civils, a contribué à la destruction de la couche d’ozone, et continue d’y contribuer, de plus en plus:

  1. La radioactivité:

Il y eu 2.200 essais nucléaires, y compris ceux des bombes à hydrogènes, en particulier dans l’atmosphère entre 1958 et 1998 dont les deux tiers furent menés par les États-Unis et l’autre tiers par l’Union soviétique ; à cela s’ajoutent les dommages causés par des accidents des centrales nucléaires, de Harrisburg et Tchernobyl à Fukushima laquelle, depuis 2011,  doit être considérée comme une catastrophe nucléaire majeure qu’on ne peut stopper, et qui est responsable de l’apparition du trou de la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique ; en outre, il y a la nano poussière d’innombrables tonnes de munitions à uranium (UA – l’Uranium appauvri) qui proviennent pour la plupart des déchets de l’industrie nucléaire) et dont on a fait usage dans toutes les guerres depuis la première Guerre du Golfe, dans les Balkans et au Moyen-Orient ainsi qu’en Afghanistan (récemment Hänsel 2017) ; de plus, il y a certainement de la contamination radioactive dont on ne sait rien (secret militaire),  et de la contamination non comptée comme celle de l’activité normale des centrales nucléaires. Wilhelm Reich a déjà prouvé dans les années 50 que la radioactivité détruit l’énergie vitale qu’il appelait «l’Orgone » principalement celle de l’air (voir Senf 2003).

  1. Les vols supersoniques contribuent à la destruction de la couche d’ozone dans l’atmosphère (c’est pourquoi le projet du Concorde qui visait à introduire le vol supersonique dans le trafic aérien civil a été abandonné).
  2. Le lancement d’une fusée contribue à la destruction de l’atmosphère en raison des propulseurs de la fusée, dont certains comme ceux de la sonde Cassini en 1997, fonctionnent au plutonium.
  3. L’irradiation de la ionosphère avec des milliards d’ondes artificielles pulsées, à grand coups de watts, par les « réchauffeurs ionosphériques », ces installations dispersées dans le monde entier, du type « HAARP » en Alaska réchauffe l’ionosphère et la charge fortement, ce qui la coupe et y fait des trous (voir Begich/Manning 2001). Les ondes traversent toujours la couche d’ozone sous-jacente.
  4. Les activités « Star Wars » des militaires depuis l’espace, l’utilisation de satellites et la formation de quadrillages électroniques qui visent à surveiller, contrôler et influencer énergétiquement l’espace aérien de toute la Terre (Freeland 2018) sous la forme d’un verrouillage planétaire sont à l’image des activités militaires terrestres.
  5. Les micro-ondes, la transmission d’énergie sans fil, les antennes relais et en général la production terrestre d’ondes électromagnétiques comme la radiographie en médecine, dans l’industrie alimentaire et au quotidien.
  6. Même le trafic aérien « normal » est devenu un agent malfaisant de l’affaiblissement de la couche d’ozone (Herndon 2017, Loppow déjà en 1993), sans parler de l’émission de métaux lourds et autres substances toxiques dans la troposphère et dans la stratosphère, ce que Herndon a notamment mentionné.

Tout ce programme est mis en œuvre par la géoingénierie militaire en cours du CMI, le complexe militaro-industriel (voir Werlhof 2018).

Que faire?

Nous expérimentons un processus de destruction en continu. Il a apparemment atteint maintenant un point de changement radical, autrement dit, il a commencé à devenir irréversible. Il n’a pas fallu plus de 50 ans pour cela si l’on compte à partir de la découverte non reconnue des rayonnements UV-B et UV-C sur Terre par la NASA en 2007. Ce n’est pas long si on considère que ce processus a déclenché des effets planétaires qui ne font rien d’autre que menacer notre vie sur Terre et qui vont même y mettre fin si nous,  les êtres humains – ne faisons pas ce qu’il faut maintenant.

Or, la catastrophe a déjà commencé il y a longtemps: le « printemps silencieux » que Rachel Carson a prédit dans les années 60 (Carson 1962) est déjà là. On remarque une baisse de la population d’oiseaux et d’insectes de 40 à 70 %, le blanchissement des coraux dans les mers, des vides dans l’Océan Pacifique depuis Fukushima et l’extinction quotidienne d’ espèces d’animaux et de plantes (WWF 2008).

Il est évident qu’il faudrait mettre fin presque immédiatement au processus de destruction de l’atmosphère par la géoingénierie  militaire afin que la Terre ait une chance de guérir les blessures qui lui ont été infligées, en particulier l’affaiblissement de la couche d’ozone. Combien de temps cela prendrait-il ? Et : Y aurait-il assez de temps pour sauver la vie terrestre et la renouveler ? Ou bien avons-nous déjà laissé passer cette chance ? Cela serait le cas si les effets ressentis aujourd’hui n’étaient que la première étape d’une série dont certains ont besoin de 40 à 60 ans pour être perçus. Ainsi, tout le reste suivrait et nous ne serions qu’au début de ce qui est déjà en marche …

On estime en général qu’il faut 50 ans à la couche d’ozone pour se reconstituer (cf. Ozon). Or, cela ne s’est pas encore réalisé parce que les conditions n’étaient pas du tout réunies. Il y a même eu des tentatives pour attaquer la couche d’ozone directement et y faire des expériences qui s’apparentent à l’ingéniérie climatique, comme par exemple produire un trou dans la couche d’ozone au-dessus d’un territoire ennemi. Néanmoins, le responsable Harry Wexler a expressément lancé un avertissement avant sa mort (Wexler 1962, voir Fleming 2018). Cependant,  aujourd’hui, on est étonné que la couche d’ozone soit aussi mince que jamais et cela juste au-dessus nos têtes (Läubli 2018), donc loin des trous de la couche d’ozone!

Quelle que soit la façon dont on comprend les choses, nous devons agir sur les causes de la disparition de l’ozone dont nous n’avons généralement pas eu connaissance jusqu’à présent et/ou qu’on nous a cachées. Il n’y a aucune autre alternative. Ne faire rien n’est pas une option et signifierait que nous consentons au suicide de l’humanité et à la mort de toute la vie terrestre en général.

Cependant, la thèse précédemment défendue par la communauté scientifique, prétend toujours que ce sont les substances CFC des réfrigérateurs qui seraient la cause des trous dans la couche d’ozone. Ayant interdit les CFC, on a espéré une diminution de ces trous. Or, ce n’est pas arrivé (Titze 2018, voir Ozon). La radioactivité et d’autres substances ou d’autres procédés n’ont jamais, en aucun cas, fait partie du débat parce que le militaire est tabou et peut faire tout ce qu’il veut. C’est ce que finalement nous avons appris récemment par la Commission Européenne lorsque nous, groupe de militants européens, les « Skyguards », avons demandé au Parlement Européen au moyen d’une pétition, de vérifier la géoingénierie et ses effets pour la deuxième fois (1999 puis 2013 -Fraile 2018). La réponse d’en haut fut que les activités militaires ne concernaient pas le Parlement.

Cependant, si ces activités même sans guerre, menacent toute la vie sur Terre et sont en train de la détruire, alors quoi ?

Jusqu’à présent, un tel point de vue n’avait pas du tout sa place dans la discussion publique et en cas de doute, on le considérait comme un fatalisme minable ou une théorie de conspiration. Or, maintenant on a la preuve que c’est vrai et de quelle façon c’est effectivement le cas. Même ceux qui le  savaient déjà ont maintenant la preuve en main. Cela change tout.

Cette preuve est « la grande nouvelle»  du 21ième siècle.

Pour la première fois et pour tous les habitants de la Terre il n’existe pas de message plus important. Maintenant tout le monde peut le savoir et personne ne peut prétendre n’en avoir rien su. Cela n’aiderait en rien. Il ne s’agit plus de justifications éventuelles mais de la question suivante: sommes-nous capables, nous, prétendument « Homo Sapiens » de sauver, dans les faits, la vie terrestre ou pas ? Étant donné qu’éventuellement nous avons permis à quelques-uns d’entre nous de prendre ce risque sciemment ou à notre insu. Toutefois, qui comprend cette nouvelle parmi toutes les effroyables nouvelles qui nous inondent constamment? Qui « l’entend » et entend son « appel »? Qui la laisse pénétrer sa carapace ? Qui s’en effraye ? Qui tombe des nues ? Qui reconnaît la vérité crue, indicible qu’elle nous annonce ?

Or, malgré nos réactions ou notre refus de réaction, cette nouvelle a déjà changé le monde. Il y a un Avant et un Après, quoi que nous en pensions. Objectivement, à partir de maintenant, tout prend une signification différente, quoi que nous fassions ou que nous évitions de faire, et quoi que nous en pensions: pour la première fois dans l’histoire, nous avons la preuve que nous, humains, avons ont déjà mis la planète elle-même en danger, que nous parvenions à la sauver ou pas – avec la vie dans, sur et au-dessus, la nôtre incluse.

Il est clair que le tabou autour du militaire doit tomber. Cependant, les mouvements sociaux et les politiciens qui plaident pour « la justice climatique » et la fin de l’émission civile du CO2 doivent s’occuper immédiatement du fait qu’ils croyaient, sciemment ou pas, à un mythe et que le problème est tout à fait différent. Repenser les choses de manière radicale va être nécessaire …

Un sursaut mondial est nécessaire

En d’autres termes, maintenant que la preuve de ce vrai problème est immanquablement sur la table, il faut un soulèvement mondial, suivi d’un mouvement également mondial qui ne se laisse pas déconcerter ni entraîner dans la confusion. Cependant les militaires n’arrêteront pas d’eux-mêmes de faire ce qu’ils font – il y a au moins onze ans qu’ils savent ce qu’ils font ! Et ceci ne doit pas être la seule chose qu’ils savent sans que nous le sachions. Actuellement ils essaient de transférer leurs programmes à la vie civile dans les universités du monde, au moyen de la soi-disant géoingénierie civile,  une stratégie qu’ils poursuivent depuis toujours, parce qu’il devient de plus en plus difficile pour les militaires de se débarrasser de leurs « réussites ».

Donc, nous devons garantir ce changement. En fait, nous n’avons pas d’autre choix et avant tout, pas le temps. Cela est vrai pour chacun d’entre nous, c’est-à-dire « l’humanité » elle-même. Cela paraît incroyable mais du point de vue d’une appréciation objective, « nous » devons objectivement parvenir à ce que :

  1. Aucune nouvelle radioactivité ne soit produite
  2. Les militaires cessent le vol supersonique
  3. Aucune fusée lancée dans l’espace
  4. Tous les réchauffeurs ionosphériques fermés
  5. Les satellites mis à l‘arrêt et aucun nouveau installé
  6. la transmission d’énergie sans fil et
  7. le trafic aérien largement ralentis

Il ne semble pas qu’il y ait la moindre chance de gagner sur un seul de ces points, où que ce soit. Et pourtant, c’est ce qui est au programme, que cela fonctionne ou pas et que nous le voulions ou pas.

Ou bien est-ce que nous, humains, voulons perdre, ensemble les animaux, les plantes de la Terre et les bases élémentaires de notre propre vie, sans même avoir résisté, sans même comprendre ce qui se passe parce que, parce que nous n’avions pas connaissance de notre propre technologie et donc, ne pouvions pas nous y opposer, sans parler des machinations qui se trament par derrière… ? (voir BUMERANG 3/2018).

Il en est ainsi, subitement. Tout se révèle complètement différent de ce que nous avons l’habitude de penser. Il n’y a pas d’erreur ; il n’y a plus de doutes. C’est une nouvelle époque. L’heure de vérité a sonné. Maintenant c’est à nous de jouer, que cela nous plaise ou pas, que nous soyons préparés ou pas et que nous en soyons capables ou pas. Que la vie terrestre s’arrête ou non dépend de nous – et ceci très rapidement car les causes persistent et se développent continuellement.

Rosalie Bertell a déjà dit en 2000 que si le trou de la couche d’ozone doublait, il n’y aurait plus d’agriculture sur Terre. Or c’est sur le point de devenir encore pire que cela.

Nous ne pouvons pas attendre que plus rien ne pousse avant de commencer à faire quelque chose. C’est évident, n’est-ce pas ?

Ça va être un sacré réveil !

  • Je remercie Maria Heibel pour ses informations et références

Traduction: Denise et Claire Henrion (à partir de la version anglaise)

Bibliographie:

Begich, Nick und Manning, Jeane: Löcher im Himmel, Michaels Verlag, Peiting 2001

Bertell, Rosalie: Planet Earth. The Latest Weapon of War, London 2000, The Women´s Press

___: Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausen 2013 und 2016, J.K. Fischer

BUMERANG 3, www.fipaz.at/bumerang, 2018

Carson, Rachel: Der Stumme Frühling, Beck, München 1962

Dönges, Jan: Ozonloch wirkt offenbar bis in die Tropen.

Das Ozonloch zieht nicht nur Flora und Fauna in Mitleidenschaft, sondern ändert auch das Klimagefüge der Erde. Der Effekt erstreckt sich bis in den tropischen Pazifik, News 14.6.2017

Fleming, James Roger: http://www.nogeoingegneria.com/news-eng/was-harry-wexler-the-man-who-caused-the-ozone-hole/, 2018

Fraile, Josefina: Geoengineering: The truth hidden in the Paris’ Climate Agreements or the moral incapacity of the United Nations to defend the common good, in Werlhof, C.v. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Freeland, Elana: Under an Ionized Sky, Feral House, Port Townsend WA 2018

Gabbattis, Josh: The Great Dying’: World’s worst-ever extinction event ’caused by UV radiation’, News, 8.2.2018

Hänsel, Rudolf: Der Krieg, der nicht zu Ende geht, in: Neue Rheinische Zeitung, NRhZ, Köln, v. 16.10.2017

Herndon, Marvin: http://www.NuclearPlanet.com/uv.html, 2018

____: http://www.thehindu.com/sci-tech/energy-and-environment/aeroplanes-may-be-affecting-ozone-monsoon/article19498497.ece, 2017

Läubli, Martin: http://www.sueddeutsche.de/wissen/atmosphaere-die-ozonschicht-ist-so-duenn-wie-noch-nie-1.3856013. SZ, 7.2.2018

Loppow, Bernd: Himmelfahrtskommando Luftverkehr? Zeit-online, 5.3.1993, http://www.zeit.de/1993/10/himmelfahrtskommando-luftverkehr

Ozon: http://www.ozonelayer.noaa.gov/science/basics.htm

Senf, Bernd: Die Wiederentdeckung des Lebendigen, Omega, Aachen 2003

Titze, Sven: Die Ozonschicht erholt sich nicht wie erwartet, NZZ, 6.2.2018

Werlhof, Claudia von: Geoengineering: From Geo-Weaponry to Geo-Warfare, in dies. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Wexler, Harry: http://www.colby.edu/sts/wexlerozone.pdf, 1962
WWF: Abschied der Arten, Frankfurt 2008

Preuve de la production variable de chaleur terrestre …

Journal of Geography, Environment and Earth Science International

10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220

ISSN: 2454-7352

Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d’un changement climatique mondial non anthropique ainsi que d’un réchauffement planétaire et d’une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie

 

J.Marvin Herndon

Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA

Contribution de l’auteur

L’auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit

 

Référence de l’article

DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220

 

Editeur:

Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain

Revues :

(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA

.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya

.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania

.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada

.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA

.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland

Historique complet des revues par des pairs :

http://www.sciencedomain.org/review

Reçu le 15 février 2017

Accepté le 19 avril 2017

Publié le 21 avril 2017

Traduction française : Ciel voilé

http://www.nuclearplanet.com/variable_heat.pdf

Résumé

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d’une activité sismique variable et les preuves géologiques d’un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l’océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l’atmosphère. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d’affecter l’équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l’échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu’il s’agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d’accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l’autorité morale des Nations Unies.

1.INTRODUCTION

Le premier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu’un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l’ajout de dioxyde de carbone (CO2), d’origine anthropique, dans l’atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d’énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l’acidification des océans, et qu’elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l’aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz « à effet de serre ». Comme l’a souligné l’éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d’affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d’apporter à l’attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n’a pas prises en compte dans la construction et l’évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l’irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.

Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d’un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu’un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n’en parlait plus. Cette norme s’est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s’est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l’adoption anticipée d’une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n’a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l’anonymat des pairs[8]. En outre, l’apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu’ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d’origine anthropique) et qu’ ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres – un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.

La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l’ignorance systématique d’un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.

Dans les années 1970, lors de l’étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J’ai écrit un court document, résumé ainsi : d’après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j’ai reçu une lettre complémentaire d’Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés – l’habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale – par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu’à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j’ai démontré que: (1) 82% de l’intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l’uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu’ Hawaï et l’Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s’expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l’état fortement réduit de l’intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m’a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l’hypothèse d’une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j’ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l’origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l’origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l’origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?

Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L’idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.

2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE

Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu’ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l’océan, a d’abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l’océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l’océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l’océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l’océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l’échelle du temps humain, la chaleur émanant de l’intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).

Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n’ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d’un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l’impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.

Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d’une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.

Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie

 

Radionucléides

de longue vie

Demi-vie

(année)

235U

7.04 X 108

238U

4.47 X 109

232Th

1.41 X 1010

40K

1.25 X 109

3.PREUVE DE L’AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS

Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d’Hawaï et d’Islande. Lorsqu’elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s’étendent à l’interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l’Islande et des îles hawaïennes tout au long de l’ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.

Le lien entre les grands tremblements de terre et l’activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l’apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l’activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.

La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d’occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l’U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l’hypothèse d’une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu’au cours des 43 dernières années.

 

Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l’échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l’ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d’amplitude indiquées au cours de l’intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l’augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l’augmentation est de 74%.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l’activité géodynamique de l’énergie n’est pas constante. En outre, l’association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l’augmentation de l’activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l’hypothèse d’une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.

4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L’APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS

Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l’augmentation de la chaleur de l’océan que nous pouvons déduire de l’augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l’océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l’océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu’à la surface en Islande [ 52].

5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L’AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN

L’hypothèse d’une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l’océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l’eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:

[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)

Dans l’équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l’eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:

K0
CO2 (g) = [CO2] (2)

Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.

Weiss [54] a dérivé l’équation suivante pour K0 de l’équation intégrée Van’t Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:

Dans K0 = A1 + A2 (100 / T) + A3ln (T / 100) + S [B1 + B2 (T / 100) + B3 (T / 100) 2] (3)

Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.

La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l’eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.

Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l’équation (2). À partir de [54].

 

Unités de K0

moles/l●atm moles/kg●atm

A1

0.7

4.3

A2

0.73

4.4

A3

33

190

B1

2.4

6.3

B2

11

20

B3

1.02

1.81

Comme on le sait à partir d’enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l’éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l’atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s’échapper dans l’atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer.

Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d’autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l’eau de mer environnante [56,57]. En d’autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l’augmentation de l’acidification des océans observée dans le monde entier.

Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l’eau de mer. Ce chiffre montre qu’une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.

La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d’environ un tiers le taux d’augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d’énergie de l’activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d’événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.

Il existe d’autres preuves à l’appui de l’hypothèse de l’apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l’apport variable de chaleur dans l’eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l’eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l’apport variable de CO2 volcanique dans l’eau de mer et de l’apport de chaleur variable à l’eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l’eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l’eau de mer.

Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l’institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.

6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c’est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l’ionosphère – tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c’est-à-dire depuis plus d’un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].

Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d’un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l’air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l’autorisation de British Antarctic Survey.

Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages ​​avec des substances chimiques telles que l’iodure d’argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l’inhibition des précipitations [63].

La technique d’inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L’aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d’humidité de s’assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu’à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l’activité de géo- ingénierie troposphérique.

Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d’eau dans les gaz d’échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l’existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu’il s’agirait de traînées de condensation.

Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d’humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s’évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d’eau de leur échappement s’évaporent rapidement; la troisième traînée qui s’étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.

La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l’air une matière particulaire et qu’il ne s’agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s’interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d’approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.

Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s’étalent, formant parfois des nuages ​​artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d’ une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages ​​naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d’eau invisible.

Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d’Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.

Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l’atmosphère prétendent qu’aucun aérosol délibérément pulvérisé n’influence l’atmosphère qu’ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l’échelle régionale et très probablement à l’échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l’air que nous respirons et, d’après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].

Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d’énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].

Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu’à ce que les nuages ​​se surchargent tellement qu’ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l’humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l’atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l’albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].

Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l’air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l’évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n’est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l’aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.

 

Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l’une des pulvérisations s’interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d’eau se trouvant dans les gaz d’échappement du moteur. Photo de l’auteur.

Figure 8. Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages ​​naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.

7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu’il s’agissait du largage accidentel d’un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j’ai obtenu des échantillons de l’un des résidents pour analyse et j’ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.

La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle – poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes – absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m’a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d’aggraver le réchauffement climatique.

Beaucoup de temps et d’argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d’application cachée. C’est clairement l’indication d’une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu’il s’agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.

8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES

La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l’échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l’Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l’évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l’augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l’espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.

Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].

Figure 10. La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].

Les contributions anthropiques provenant de l’utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d’utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l’activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l’augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l’océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s’est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.

Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d’intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n’est qu’un épisode d’une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].

De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d’autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l’attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l’histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre2008 dans l’ensemble de données de température russes d’octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].

9. CONCLUSIONS

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre.

Les preuves géophysiques de l’activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, l’augmentation des apports de chaleur à l’océan diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l’atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.

La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l’équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l’atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel d’un matériau modifié indiquent qu’il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d’amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l’autorité morale des Nations Unies sont compromises.

On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l’activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l’air que nous respirons presque quotidiennement à l’échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l’opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l’intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d’aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d’autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l’économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu’a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n’est rien moins qu’une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu’ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?

 

Pour le bien de l’humanité, du biote et de l’environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.

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LES CONSÉQUENCES SUR LA SANTÉ DES ÉPANDAGES AÉRIENS

Articles du Dr Sandra Ilya Perlingheri ,

décédée le 6 octobre 2013 à San Diego (Californie)

 

Dr Ilya Sandra Perlingieri à The Environment/Chemtrails Lecture 2012
Dr Ilya Sandra Perlingieri à The Environment/Chemtrails Lecture 2012

Son dernier article date du 25 septembre 2013

  • DIX ANNÉES DE GUERRE CHIMIQUE PAR LES ÉPANDAGES AÉRIENS – 2009

et

  • MISE A JOUR RÉCENTE DE NOS CONNAISSANCES SUR LES TOXINES CONTENUES DANS LES AÉROSOLS – 2011

 effets sante environnement ISPerlingheri

Al Gore reconnait publiquement l’existence de programmes d’épandages d’aérosols – chemtrails

Vidéo sur YouTube

Traduction du texte de présentation
L’ancien vice président des Etats Unis Al Gore apparaît dans cette émission d’Ellen Degenere sur NBC et reconnaît que des scientifiques ont « proposé » des programmes dont l’intention est de « trouver un moyen pour bloquer le soleil », un effort que beaucoup affirment être déjà en cours via les « chemtrails ».

postez ici votre message

Des documents du gouvernement américain relient le réchauffement climatique global aux techniques militaires de pointe de modification du climat.

Des documents de 1966 révèlent que la mission de modifier le climat est confiée aux militaires et aux agences fédérales.

Article original: chemtrailsplanet.net

Ci-dessous traduction des titres de l’article.
Une relecture de cette traduction et une traduction intégrale seraient fort bienvenues. Merci de votre contribution.

«La science du réchauffement climatique est établie », citation d’Al Gore .

– Plans présents et futurs des agences fédérales en matière de modification du climat.
– L’évolution d’un programme R&D (?) de modification du climat en système d’armement militaire. Une critique de 1986 sur les initiatives de 1966.

Réchauffer l’Arctique avec des projets de géoingéniérie à grande échelle est la vision des industriels depuis 100 ans et l’est toujours.

Vous souvenez-vous de l’époque où l’on pensait que réchauffer l’Arctique était une bonne idée ?
Vous souvenez-vous de l’époque où les scientifiques pensaient que réchauffer l’Arctique était une bonne idée ?

Si réchauffer l’Arctique est considéré comme bon pour le commerce depuis 100 ans, pourquoi la découverte que le dioxyde de carbone fait déjà le travail gratuitement a été soudain considérée comme une catastrophe à prévenir ?

Pourquoi un optimisme de plusieurs décades dans le réchauffement de l’Arctique a t-il soudainement fait place à une campagne de crainte et de menaces pour l’avenir à cause des conséquences du réchauffement de l’Arctique sous l’appellation « réchauffement global », est une question qui reste largement inexpliquée.

Depuis 1958 le Congrès et les militaires travaillent sur des systèmes de guerre climatique exotique qui comprennent la manipulation électromagnétique de la ionosphère.


Il est inacceptable que l’ONU et le GIEC (IPCC) continuent à promouvoir le CO2 comme cause du changement climatique mais refusent d’admettre que les militaires sont activement engagés dans les technologies d’armes de réchauffement climatique.

– Des documents de 1966 révèlent comment les militaires et les agences fédérales modifient le climat global.

En 1962, les efforts de la géoingéniérie pour réchauffer l’Arctique étaient encore un amusement mais en 1966 l’empêcher de se réchauffer d’un seul degré est devenu la première des priorités.

De cette inversion de conduite soudaine -entre promouvoir l’intervention sur le climat de l’Arctique et prévenir le réchauffement global- a résulté l’idée que les deux (le CO2 et les armes de réchauffement climatique) polluaient l’atmosphère ET devenaient une source de réchauffement global.

Les aérosols de la géoingéniérie réchauffent l’atmosphère et sont une source de réchauffement climatique.

Les propositions de géoingéniérie pour réchauffer l’Arctique sont remplacées par la peur du réchauffement climatique.

Au delà de « Être maîtres du temps en 2025 »

Le monde est en train de s’éveiller aux crimes d’état de réchauffement et catastrophes climatiques par la combinaison des armes électromagnétiques et des épandages d’aérosols.

postez ici votre message

DIX ANNEES DE GUERRE CHIMIQUE PAR LES EPANDAGES AERIENS (CHEMTRAILS)

Partie 1

EFFONDREMENT DU SYSTEME IMMUNITAIRE

Par Dr Ilya Sandra PERLINGIERI  2009

Traduit de l’anglais par D.Henrion et F.Cazeaux

Hiver inquiétant : Les états de Nelle Angleterre ont été frappés par une succession de tempêtes de neige particulièrement étranges. L ‘ hiver précédant avait été semblable. La neige a une forte odeur de produits chimiques……… et ressemble à de la neige artificielle …….. ce n’ait  absolument pas la même neige que nous envoie Mère Nature dans toute sa splendeur  depuis des millions d’années.
La neige nous est maintenant fournie par l’armée U S, le Pentagone et des avions commerciaux spécialement équipés pour déverser sur nous  à partir d’altitudes diverses des aérosols hautement toxiques…
L’armée de l’air affirme déjà officiellement qu’elle <<  veut maîtriser le climat vers 2025 ( 1 )…..>> ceci est déjà en partie une réalité : plus de 60 programmes clandestins de modification du temps nous assaillent chaque jour. Malgré cela, dans les bulletins météo, c’est le black-out au sujet des chemtrails.
Il n’y a eu aucun débat public sur les Chemtrails. Tout au long de ces 10 dernières années, aucun personnage officiel n’a répondu aux innombrables lettres et appels téléphoniques émanant de citoyens concernés. La raison est que les programmes sont secrets parce que l’EPA fédéral et les organismes de surveillance de l’environnement n’ont pas besoin de connaître les sous-produits chimiques illégaux et extrêmement nuisibles. C’est pour cela qu’il a été déclaré que ces projets doivent être tenus secrets. C’est totalement illégal selon la loi fédérale et la loi d’état.
Le congrès est complice de ce secret. Nous sommes donc à notre insu des cobayes dans une guerre militaire mondiale d’une telle amplitude qu’il s’agit de crimes de guerre à grande échelle…..
Selon le code U.S 50 ….. « il est illégal d’utiliser une population civile pour tester des agents chimiques ou biologiques ».
Au cours de cette année, il y a eu une recrudescence de saignements de nez imprévisibles et prétendument inexpliqués d’une telle gravité –comme si un robinet coulait à plein régime – qu’ils ont nécessité des soins hospitaliers d’urgence. Je connais plusieurs cas aussi bien sur la côte Est que sur la côte Ouest où des gens ont dû être emmenés d’urgence à l’hôpital parce que le saignement ne s’arrêtait pas. Ceci semble affecter des personnes âgées aussi bien que des très jeunes. Les médecins allopathes semblent déconcertés et n’ont aucune explication concernant cette recrudescence.
Tous les mammifères sont également touchés, les vétérinaires n’ont  aucune explication.
Cependant, ceux qui lisent les écrits fiables et les sites web sur les chemtrails sont conscients du lien entre le fait de respirer l’air très chargé en baryum et ses effets nocifs sur l’ensemble de notre système immunitaire. Dans notre environnement, entre autres choses, les chemtrails modifient de façon dramatique «  la densité des sels dans nos sols »(3). Avec Mr Carmicom, j’ai discuté de cet empoisonnement cauchemardesque. Selon de nombreux chercheurs, le Baryum – minéral terrestre- est connu pour sa toxicité pour tous les mammifères. Or il est utilisé pour nous empoisonner. Sous forme d’aérosols, il est un des composants de ce mélange chimique qui est dans l’air que nous respirons,dans la neige et dans la pluie. L’épandage d’aérosols au Baryum signifie moins d’oxygène à respirer. Il est également lié à une plus grande pression sur les sinus et à des saignements de nez incontrôlés.
D’autres maladies sont liées à une exposition répétée aux épandages chimiques :
1-      Saignement des poumons … multiples cas d’asthme et autres allergies pulmonaires. Le taux de cancer du poumon est plus élevé que jamais.
2-      Bronchites, symptômes grippaux et pneumonies (véritables épidémies maintenant)… et les antibiotiques habituels sont inefficaces ; peut-être en partie à cause d’une utilisation abusive pour des maladies moins graves,peut-être aussi parce que ces pneumonies peuvent être différentes de celles que les médecins voient habituellement.
D’après l’E.P.A, les particules inférieures au micron passent à travers les filtres des poumons et pénètrent dans le système sanguin ce qui provoque une montée de la tension artérielle pouvant en moins de 2 heures provoquer une crise cardiaque. Des chercheurs affirment «  une augmentation significative du nombre de victimes d’attaques lorsque la proportion de particules est plus élevée »….
3-      Sueurs nocturnes et fièvres inexpliquées…
4-      Problèmes gastro-intestinaux à tout âge y compris chez les animaux domestiques…..
5-      Peau et lèvres extrêmement sèches et fissurées même par temps chaud. Plaies qui ne guérissent pas où qui se forment et disparaissent brusquement.
Infections fongiques qui ne guérissent pas ou qui mettent très longtemps à le faire ; vieillissement accéléré de la peau parfois en quelques semaines ou quelques mois.
6-      Audition : perte de l’audition subite ; quelquefois surdité partielle, tintements grêles et vertiges, souvent juste avant ou aussitôt  après des orages ou de nouveaux fronts météo, y compris par temps de brouillard épais.
7-      Vue : vision floue, ceci également peut-être lié à l’arrivée d’un nouveau front météo, cataracte en augmentation même chez les jeunes.
8-      Pertes de mémoire pour des évènements récents dus  à des épandages d’aérosols chargés de nano particules d’aluminium recouvert de fibre de verre, aluminium dont le lien avec le dysfonctionnement cérébral est bien connu, et confusion mentale ou impression d’être dans le brouillard chez les jeunes comme chez les personnes âgées, particulièrement après le passage de bancs de brouillard épais ou de brumes chargées de toxines de chemtrails.
9-      Problèmes d’auto-immunité en augmentation (fibromyalgies, syndromes de fatigue chronique, maladie de Lime, arthrite rhumatoïdes, lupus, problèmes thyroïdiens).
Encore une fois, tout ceci est complètement dissimulé : « il faut qu’on ne sache pas » ce qui continue à nous exposer à de hauts risques.
De toute évidence,le problème est très complexe. Nous vivons maintenant  dans un monde fortement  pollué par plus de 100 000 produits chimiques dont la plupart n’ont jamais été testé pour savoir s’ils ne sont pas dangereux pour  les humains….
Tout ceci est littéralement  le présage d’une situation d’une extrême gravité pour nous tous.
La plupart de ces produits toxiques en suspension dans l’air sont chargés de particules qui sont hautement nuisibles pour notre système immunitaire déjà gravement éprouvé.
Ces particules peuvent également atteindre nos poumons et causer des dégâts, depuis l’asthme qui atteint maintenant un niveau record, jusqu’aux maladies cardio-pulmonaires (9).
Actuellement, notre système immunitaire est attaqué quotidiennement par des produits toxiques.
Il est vraisemblable que les journaux médicaux parleront  un jour de ces maladies inexpliquées. 

Cependant , à ce jour,il semble que personne ne s’y intéresse ou ne prenne conscience de ce problème qui perdure.

La couche de neige que j’ai déblayée ce matin a incontestablement une atroce odeur de produits chimiques……Ayant fait analyser ma neige en 2007, je sais que cette odeur provient de poisons invisibles épandus dans mon jardin, poisons  parmi lesquels on trouve du baryum, de l’aluminium et d’autres micro-organismes toxiques. Je ne suis pas la seule personne à avoir fait analyser la neige ou la pluie. Provenant de tout les U.S.A, des rapports confirment cela. Certains rapports proviennent également d’Allemagne et d’Italie (12). Ce n’est plus la neige de mon enfance !!!! cette beauté immaculée qui recouvre mon jardin est une totale illusion.
Mon jardin et tous les autres jardins ou la neige est tombée en Nelle Angleterre sont maintenant recouverts d’une couche empoisonnée qui finira par fondre empoisonnant de surcroît le sol et les nappes phréatiques. Elle étendra son poison à tous les mammifères de mon jardin : écureuils,lapins,souris,daims, élans,hérissons et même les chats du voisinage.
En moins d’une heure,alors que j’écris cet article,le bleu quelque peu délavé du ciel a été remplacé par un manteau gris,non pas des nuages distincts les uns des autres, mais une couche de chemtrails avec leurs poisons.
En moins de 2 heures, d’un bout de l’horizon à l’autre, le ciel s’est couvert d’une couche monochrome gris-perle. La neige n’est plus fiable. Elle empoisonne tous les enfants qui adorent jouer avec elle.
Je m’inquiète énormément des dangers extrêmes que représente cette neige chargée de chemtrails pour mes petits-enfants innocents. Ils empoisonnent tout !!!!!
Depuis la Nouvelle-Angleterre recouverte par de lourdes chutes de neige,jusqu’au Sud-Est des U.S.A avec ses pluies torrentielles, nous baignons dans un mélange toxique de produits criminels. Ces poisons pénètrent dans notre corps non seulement en respirant et en mangeant,mais aussi par le biais d’odieuses nanotechnologies non encore testées.
 
Quand aux aliments biologiques «  plus surs » ils ne sont désormais plus fiables….. car ils ont été cultivés (ou nourris) dans un sol chargé de chemtrails dont on l’asperge depuis plus de 10 ans. Ces poisons sont désormais présents dans toute la chaîne alimentaire et dans un tissu de vie complexe mais qui se détériore rapidement.
Où est la grande communauté de ceux qui croient au « bio » : agriculteurs, sociétés,organisations bénévoles, et ces millions de consommateurs qui dépensent davantage pour une nourriture supposée plus sure !!!!!.
Pourquoi n’exigent-ils pas l’arrêt total de ces chemtrails qui nous empoisonnent ?
Existe-il une quelconque sécurité alimentaire étant donné la toxicité de ces aérosols chimiques ? Le label Bio n’a plus aucun sens quand la terre et l’eau sont lourdement chargés de ces poisons !!! Est-ce que nous réalisons ??? Nous consommons des aliments Bio empoisonnés !!!!!
Pourquoi est ce que toute la communauté Bio ne fait-elle pas pression sur les responsables pour que cesse cette folie ???
Ce poison est donc dans la chaîne alimentaire. Nous les humains, sommes au sommet de cette mortelle chaîne alimentaire, délibérément empoisonnée par ceux qui dans les bureaux de l’armée et des gouvernements ont mis ce processus  en place soi-disant  pour nous protéger.
Tandis que ces aérosols chimiques illégaux continuent à gravement détériorer notre santé déjà compromise, les responsables ne sont toujours pas tenus de rendre des comptes pour ces dégâts graves et délibérés.
Le Dr Joyce R.Young N .I a dit à plusieurs occasions « nous ne sommes pas encore assez malades , c’est pourquoi rien n’est fait ».
Etant donné la multiplication rapide des maladies, le temps est beaucoup trop court pour trouver les remèdes quels qu’ils soient. Est-ce là le plan de l’élite ??? Quelle genre de vie saine et productive pouvons nous réellement avoir alors que chaque jour, nous sommes délibérément empoisonnés ??? Comment survivrons nos enfants et nos petits-enfants dans cette atmosphère ???
       Des millions d’entre eux sont déjà gravement malades.
       Sommes nous encore capables de nous réveiller et d’exiger que cesse ce cauchemar ????
      Pouvons nous rassembler de toute urgence les bases nécessaires à une politique de Paix…….tant                             qu’il y a encore assez de citoyens à qui il reste un peu de santé ???

    Où se trouve notre capacité morale à réagir???

Educatrice et écrivain spécialisée dans l’environnement, le Dr Ilya Sandra Perlingiéri est l’auteur de
« The uterine crisis » que la revue Londonienne « The Ecologist » mentionne comme «  A lire absolument »       E.P.A : Agence pour la protection de l’environnement.
 
 
 
 
     
 
 
 
 

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Clifford Carnicom, des réflexions inédites

Article de James F Tracy, retraçant le parcours de Clifford Carnicom paru sur la Newsletter de Global Research, Canada:

Chemtrails aerosol geoengineering and bioengineering – a massive biological experiment of unknown purpose

Traduction de quelques extraits (si vous avez une meilleure traduction à proposer, merci de poster un commentaire):

because the system of responsible government has failed, the immediate collective efforts of citizens are necessary “to claim their rights upon this planet.”
Comme la responsabilité gouvernementale est en faillite, l’effort collectif immédiat des citoyens est nécessaire « pour clamer leurs droits sur cette planète ».

“There’s a personal journey everyone has to take about the reality of this,”
Admettre cette réalité est pour chacun une démarche intérieure.

Après avoir rappelé les faits officiellement connus d’opérations d’épandages toxiques sur la population américaine par l’US Army ces dernières décennies …
With such instances in mind the question is no longer, “Would the government partake in such human experimentation that may be injurious or fatal to its own population?” It is instead, “What safeguards and systems of accountability exist that would prevent the government from using members of the general population as unwitting lab animals?”
Une fois que l’on a cela en mémoire, la question n’est plus, « le gouvernement participerait à une telle expérimentation humaine qui peut être nuisible ou mortelle à sa propre population ? » Elle est à la place, « quels sauvegardes et systèmes de responsabilité existent qui empêcheraient le gouvernement de se servir des membres de sa population comme animaux de laboratoire inconscients ? »

Drawing a conclusion to his remarks on the GlobalSkywatch call, Mr. Carnicom responded to an attendee articulating frustrations shared by many conscious and concerned citizens. “How do we get this to stop? How do we get the government to respond to us?”
En conclusion, M. Carnicom répond à un argumentaire de frustrations partagées par beaucoup de citoyens conscients et intéressés : « Comment faire pour que ça s’arrête ?
Comment faire pour que le gouvernement nous réponde ? »

“Ask not what your country can do for you. Ask what you can do for your country.”
Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.

The second thing is that our world has been transformed now. Normal things don’t work. Frustration does not eliminate the call for duty that exists upon each of us … This is more a level of consciousness and awareness; of planting a seed, but the level that is going to be required is so different in this world than anything that has been imagined in terms of the demand for the right to a healthful and peaceful existence on this planet. It’s going to have to happen at a level that we’re not thinking of right now because the normal processes are not working. The Million Man March doesn’t cut it. I wish that I could answer simply what it is going to be. But it is going to [require] a shift in consciousness and awareness that is so forthright and direct that all of the games and manipulations–and the business of three, four, six companies controlling the media–no longer works and no longer applies. I don’t want for it to be decades in our future.

La deuxième chose est que notre monde est maintenant transformé. Les choses normales ne fonctionnent pas. La frustration n’élimine pas l’appel au devoir qui tire chacun de nous vers le haut … Il s’agit plutôt d’un niveau de conscience et d’attention ; la conscience de semer une graine, mais le niveau qui va être exigé est très différent de tout ce qui a été imaginé en ce monde en termes de demande de droits à une existence saine et paisible sur cette planète. Il va devoir se produire à un niveau auquel nous ne pensons pas en ce moment parce que les processus normaux ne fonctionnent pas. .. J’espère que je pourrais répondre simplement à ce qu’il va être. Mais il va requérir un décalage dans la conscience et l’attention, si (droite et) direct que tous les jeux et manipulations – et les affaires des trois, quatre, six sociétés qui commandent les media – ne fonctionneront plus et ne s’appliqueront plus. Je ne voudrais pas que ce soit dans des décennies.

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