Si l’on considère que le critère axial du politique[14] est constitué par la désignation de l’ennemi, nous sommes ici confrontés à un ennemi qui se dérobe à notre prise ; car les globalistes politiques refusent de se présenter comme guidés par une volonté de puissance et de domination. Il n’existe dès lors selon nous qu’un seul moyen efficace pour identifier clairement l’ennemi mondialiste : analyser et scruter ses actions et ses méthodes pour comprendre (et peut-être anticiper) ses actions. C’est ce que nous faisons à nouveau dans cette étude avec la question de la guerre climatique comme nous l’avons précédemment fait avec celle du néo-malthusianisme, des « armes d’immigration massive », de la manipulation des droits de l’homme ou encore des « révolutions de couleurs ».
Nous allons voir qu’en matière de guerre climatique, comme pour les autres pans de l’action métapolitique globaliste, l’accusation de complotisme ne constitue qu’une façade bien fragile qui ne résiste pas à l’analyse. Cette diversion sémantique martelée de manière orwellienne, constitue l’habituelle barrière psychopolitique que les globalistes politiques tentent d’ériger entre le grand public et la réalité de l’existence des technologies de géo-ingénierie et de contrôle climatique.
Ces technologies relèvent pour nous de cette nouvelle norme sociopolitique qui accompagne la montée en puissance de la forme globalitaire (globaliste et totalitaire) : l’extension de la guerre à toutes choses et la fin de la limite, de la frontière, entre guerre et paix, entre civil et militaire, entre géopolitique et « métropolitique ».
Entretien avec Claire Séverac : la Guerre Secrète Contre les Peuples (Médias Presse Info). VIDEO 46mn.
On nous dit que ce sont de simples avions de ligne…Dormez bien, braves gens, il ne se passe rien ! De ces traînées blanches laissées par des avions qui pulvérisent sur nos têtes des produits toxiques, transformant nos beaux ciels bleus en plafonds laiteux, au programme Haarp, officiellement destiné à permettre les communications longue distance, mais qui sert à bien d’autres fins… on nous ment sur tout. Le temps qui se détraque, les catastrophes météorologiques à répétition, dus au CO2 vraiment ? Des documents déclassifiés de l’armée, des experts repentis, des scientifiques intègres parlent, eux, de guerre climatique. Quelles meilleures armes que celles qui se dissimulent sous des phénomènes naturels ! Beaucoup d’entre nous ont entendu parler des diverses expériences de la CIA, toutes plus horrifiantes les unes que les autres…
REMARQUE de l’ACSEIPICA: historienne et spécialiste de la géo-ingénierie, Amy Dahan reconnait la géo-ingénierie comme une réalité passée et une possibilité pour le futur. Or nous (l’ACSEIPICA) voyons bien que toutes ces techniques sont dors et déjà mises en oeuvre depuis un bon moment et sont bien en cours.
La géo-ingénierie rassemble les techniques émergentes qui visent à contrôler le climat planétaire afin de pallier les effets des dérèglements climatiques. En réponse à l’impasse des négociations climatiques des dernières années, elle a commencé à s’installer dans le débat international comme un plan B de plus en plus séduisant pour beaucoup d’acteurs. En effet, contrebalancer les aléas climatiques permet de ne pas remettre en question les émissions actuelles de gaz à effet de serre et, plus globalement, un système arrivant en bout de course. Pour la présenter sous un meilleur jour, ses promoteurs passent bien souvent sous silence tous les risques et les incertitudes – scientifiques, environnementales, diplomatiques et éthiques – que soulèvent lesdites techniques.
Caractérisation chimique par spectrométrie de masse des rejets d’échappement des avions – 2016
Ce sont les premières mesures sur les rejets d’échappement des avions qui utilisent la spectrométrie de masse pour l’analyse de particules simples.
Elles ont été effectuées sur l’aéroport de Zurich (Suisse) et ont porté sur des avions équipés de trois types de moteurs différents.
Ce qui en ressort :
! La majorité des particules examinées contiennent un ou plusieurs composants métalliques. ! Les métaux et la suie s’avèrent mélangés dans les particules émises. ! Les sources potentielles des métaux détectés (le carburant, les huiles et les protections de moteur) ont été discutées.
Nous savons que les rejets des avions dégagent des suies et des particules et donc nous voulons savoir quelle est la composition chimique des rejets.
Ces mesures ont été faites peu de fois.
En 2013, nous avons eu l’occasion de mesurer les émissions des turbines à l’aéroport de Zurich, avec « l’office fédéral de l’aviation » et nous avons pratiquement pu examiner la composition chimique des gaz d’échappement de quelques turbines.
Des suies essentiellement de carbone pur ont été trouvées, donc des particules de suie, comme dans les gaz d’échappement des voitures.
Mais nous trouvons également des métaux dans les gaz d’échappement aéronautique, seize métaux différents et entre autre, de l’aluminium et du baryum comme déjà cité, qui proviennent du kérosène et de l’huile, et de l’aluminium qui pourrait venir des turbines.
Nous avons aussi fait des mesures sur le combustible même : nous y avons relevé la présence d’aluminium et de baryum dans le combustible; leur concentration est mesurée en parties par million (PPM).
Paris le 14 juillet 2015, rendez-vous avec Claire Henrion fondatrice de l’association ACSEIPICA. Interview sur les chemtrails, les dessous d’une vérité bien cachée…