Merci à la voix du nord pour cette enquête approfondie.
Pour le fond: le lien derrière le mot « chemtrails » mène à un texte ressassant le mot « complot », sans plus-value informative1 – alors qu’il devait mener au site d’information de l’ACSEIPICA. Ce faux pas nous indique d’emblée une enquête peu sérieuse.
Cette introduction fort malheureuse jette le doute, voire le discrédit sur le reste de l’article, qui d’ailleurs tire ensuite ses conclusions lapidaires sur le seul avis d’une unique personne consultée, qui ne parle que de son sujet de prédilection, dans ce cas: les araignées.
Une analyse chimique de ces filaments revient relativement cher – et encore faut-il trouver un laboratoire. Cependant, le test d’un échantillon à la flamme était à la portée du journal.
À savoir si c’était des Lockheeds Martin F-22 Raptor, je n’y connais rien en matière d’aviation, une chose CERTAINE, c’est que c’était des avions de chasse de l’armée, couleur gris foncé sans aucune démarcation, sans signe particulier sur leur habitacle visible. Ceci quelques heures avant la pluie de filaments du 07 novembre 2013 en Drôme Ardèche, phénomène ayant défrayé la chronique.
Le hasard a voulu que j’assiste de mes propres yeux au passage de ces chasseurs manœuvrant en vols parallèles, situés en basse altitude arrivant du Sud en direction du Nord. Tous laissaient de grosses traînées blanches derrière eux. Visuellement, la distance entre chacun d’eux était identique. Sauf, l’un d’eux, plus en retrait, qui avant de s’aligner avec les autres, a fait un cercle complet. Celui-ci m’a particulièrement stupéfié après avoir fait un largage 2 à 3 fois plus important que le restant du groupe, entraînant derrière lui une épaisse fumée cotonneuse blanche qui s’étendait et s’étalait de façon spectaculaire !!! J’ai besoin d’un éclaircissement : « Comment cela se fait-il que des opérations semi-dévoilées au grand public, censées être exercées exclusivement dans le cadre de la géoingénierie, ensemencement des nuages et création de bouclier nuageux artificiel, se fasse juste en dessus des habitations et en si basse altitude !??? Il m’est personnellement difficile de ne pas y voir là une toute autre expérimentation parallèle bien moins avouable….
Deux ans plus tard, les journalistes du secteur ont renouvelé un article au vu que cet événement soit porté définitivement aux oubliettes. Aussi, je remercie par avance les hommes de pouvoir qui voudront bien se risquer à me répondre. Je suis patiente, c’est quand vous voulez….
Bref, quelques heures après le passage des chasseurs, le ciel se voilait et dans l’après-midi commençait la chute des mystérieux filaments… Dans notre Région (Drôme), depuis la pluie de filaments du 07 novembre 2013, qu’est ce qui a changé pour ce qui concerne les polymères organiques aéroportés ? C’est aussi à partir de là que j’ai commencé à me poser des questions et à réagir activement en multipliant les observations de terrain, les recherches et les contacts cherchant à m’informer, presse, internet,… et contactai différents organismes.
Personnellement ça fait bien longtemps depuis que je ne regarde pas la météo mais me fie à l’état anthropique du ciel…
À savoir, qu’avant cet événement très préoccupant, mon attention était orientée dans le cadre d’une maladie infectieuse appelée : la borréliose de Lyme et sa chronicité. Comme le nuage de Tchernobyl, cette maladie s’est arrêtée à nos frontières : « En France, 5 000 cas sont officiellement recensés en 2012, contre prêt de 1 000 000 de patients traités en Allemagne !!! ». Sous l’effet du réchauffement climatique et la déforestation, la Borréliose de Lyme est devenue la deuxième maladie infectieuse après le SIDA. (L’estimation réelle en France étant d’environ 65 000 nouveaux cas/an et 80 000 nouveaux cas/an pour les données allemandes, ce qui se tient. Ceci est égal à 1% atteint de cette maladie et donc « potentiellement » 1% des donneurs de sang !…). La Borréliose de Lyme est une réelle pandémie, plus dramatique encore que cette maladie grave, tenace et insidieuse, je reste sidérée de voir autant de victimes d’un système destructeur où les malades à leurs dépends sont utilisés comme source d’énergie faisant émerger un business financier fleurissant… Mais COMMENT POUVAIS-JE UN INSTANT IMAGINER RENCONTRER UNE SITUATION BIEN PIRE ENCORE !!!???… En juin 2013 environ, je suis tombée par hasard sur des vidéos via internet exposant le déni orchestré autour d’une maladie appelée le Morgellon. On ne sera d’ailleurs pas étonné, que des personnes atteintes de Morgellon, soient aussi positif à la Lyme en raison d’un système immunitaire affaibli… Puis, le temps a passé et j’ai attendu le 07 novembre 2013 !!! BEN OUI !…QUE ÇA ME TOMBE SUR LA TÊTE POUR RÉAGIR !!!….
Synthèse sur les filaments aéroportés : Au fils du temps et les mois qui ont suivi, la chute et leur présence sur les sols ont été quotidiennes et le sont toujours aujourd’hui (preuves clichés en vidéo), bien que moins visibles en raison d’une augmentation des vents anthropiques tout azimut, fragmentant la fibre des polymères.
Leur observation en amas devint moins courant. Quelques heures après les épandages chimiques, leur présence, en filament épar rend la prise d’un cliché en macro assurément compliquée, voire impossible.
Une fois à terre, selon les vents et températures, les polymères perdent rapidement de leur volume (- H2O), donc moins collants jusqu’à perdre leur propriété élastique.
Moins chargés en eau, au microscope, leur matière est plus dense, plus compacte, plus chargée en poussières et additifs polluants. D’un blanc immaculé, certains filaments sont passés au gris, se fragmentent jusqu’à ne plus devenir visibles à l’œil nu.
Il existe plusieurs fibres et de différentes couleurs : rouge vif métallisé – jaunes doré – blanc – bleu….
Plusieurs mois après, je constatai que leur membrane interne devint plus cassante, soit, se désintégrant d’avantage en fines particules dans l’air. Les polymères sont du coup beaucoup moins entremêlés, plus épars, moins de présence d’amas, donc moins perceptibles à l’ œil nu ainsi que stipulé ci-dessus.
Ils disparaissent plus rapidement par le système d’évaporation d’eau et par dilution : si l’air et les sols sont plus chargés en hygrométrie.
Une fois tombés au sol, les polymères semblent perdre de leur capacité adhésive. Il n’en demeure pas moins qu’ils conservent leur caractéristique électromagnétique. Soit, il reste courant d’en retrouver sur les carrosseries de véhicules, grillages de clôtures, fils d’étendage… mais surtout, le comble de l’ironie : ils se font piéger par les toiles d’araignées !!! (il ne suffisait pas d’avoir accusé à tort les aranéides, voilà que maintenant leur habitacle est devenu inhospitalier, littéralement infecté pour certains)…
Cette vidéo est une synthèse relatant des faits et documents réels, vécus depuis le 07 novembre 2013 jusqu’à ce jour. Aujourd’hui, je reste seulement active dans l’envoi régulier des clichés du ciel anthropique de ma Région auprès de l’Association citoyenne ACSEIPICA. Il s’agit d’une enquête indépendante, personnelle, menée à la suite des filaments tombés du ciel le 07 novembre 2013 sur notre Région de Drôme-Ardèche. Par mesure de précaution, de respect et droit à la personne, aucun nom, ne sera divulgué.
Pourquoi ? Dès lors que je me suis mise à m’intéresser aux problématiques liées aux épandages aériens et que j’ai voulu en savoir plus sur les polymères organiques aéroportés, j’ai été confrontée à une forme de réticence de la part de certains interlocuteurs. Indéniablement, le simple fait d’évoquer le sujet « Filaments issus des Chemtrails » dérangeait grandement.
À noter quelques railleries ou on vous envoie vers d’autres interlocuteurs, histoire de se débarrasser plus vite du problème. Également des formes de déni orchestrées, genre : « jamais entendu parlé, non, je ne vois pas, non, pas au courant… », mais essentiellement des contrevérités, des formes d’hypocrisie cocasse, genre : « Ah, non ! Nous on ne fait pas ce type d’analyses ici, ou cela, vous coûterez quelques milliers d’Euros, etc… » (ça c’est pas mal non plus, histoire de dissuader…). Etc.
J’ai eu aussi un personnel qualifié dans les pollens et micro environnement et qui restait toujours sur sa position initiale (qu’en est-il aujourd’hui, je l’ignore) : « les polymères sont issus des fils de dispersion de la vierge liés à certaines espèces d’aranéides ! disait-il… ». Cette personne poussera le vis et la dérision en rajoutant ceci : « Vous savez, un jour, une personne m’a amené des échantillons en disant que ça ressemblait à de la peau humaine alors que c’était des résidus d’écorces de cyprès… ». Mais, bien sûuuuuur !!!! Pffff….. Et, quand vous lui dites, qu’il y a eu des analyses qui ont été faites concernant les polymères et que vous lui annoncez ce que c’est en réalité, il vous dit : « désolé je n’ai pas le temps, là, j’ai du travail !… ».
Y’en a eu un, dans le lot, qui a été moins « langue de bois » que les autres et qui m’a dit : « nous privilégions la piste « anthropique » sans pouvoir la démontrer avec certitude, d’autres spécialistes dont c’est le domaine (biologie, chimie) doivent faire leur travail, pour confirmer cela ou pas, ce n’est pas le nôtre !!! » et il rajoutera entre autre : « pour moi il y a deux types de spécialistes à interroger : – des spécialistes de l’environnement et en particulier des araignées ; – des chimistes pour analyser chimiquement ces fils ; J’ai été contacté par une chercheuse du CNRS qui travaille justement sur ce phénomène des « fils de la vierge ». Elle semble formelle sur le côté « naturel » de la chose…et donc de ce que l’on a observé en Drôme ; l’ampleur du phénomène l’a seulement un peu intriguée et pourrait s’expliquer par des conditions météo particulières…. ». Cette chercheuse du CNRS a été impossible à retrouver !!!!! : « inconnue au bataillon !!! », bien sûr ce sont des choses qui arrivent souvent !!! : Peut-être la retrouverais-je dans les » FAITS DIVERS » ??? avec un gros titre genre : « DISPARITION INEXPLIQUÉE DE PERSONNELS AU SEINS DU CNRS »… Mais restons sérieux…
Bref, de fils en aiguille, j’ai eu la chance qu’on me mette en relation, enfin, auprès d’une autre chercheuse du CNRS pour l’échange d’échantillons de polymères, piège à particules sèches, récolte d’eau de pluie. L’entretien suivi aura duré plusieurs mois. Je suppose que si cela aura pu se faire, c’est que je me serais contentée tout ce temps d’écouter et de suivre les instructions sans poser de questions ou presque ? Par contre, bien qu’allant à l’encontre de l’avis de la chercheuse, jouant « cartes sur table », j’aurais pris la peine de l’informer, dès le départ, de mon point de vu « ferme et arrêté » sur l’origine des polymères. Mon premier contact qui a été téléphonique, aura été pour le moins très surprenant mais malheureusement toujours dans le même état d’esprit !!! Surtout avant de lire ce qui va suivre : pensez que cette scientifique ne fait que répéter les consignes et ordres qui lui ont été conférés et commandités…. :
Les points positifs : 1- La personne ne dénigre pas l’évidence même : aussi que ces filaments ne sont pas du tout de même nature que les toiles d’aranéides !!! 2- Elle est sensibilisée par le fait que la circulation croissante liée aux passages des avions peut également entraîner une perturbation climatique….
Le point négatif, (à savoir que je n’avais fait aucune demande particulière, ni posé aucune question) : Cette personne, d’une voie très calme, mélodieuse et de façon méthodique se met à me relater les faits du 15 février 2013, où une grosse météorite est entrée et a explosé dans l’atmosphère terrestre à plusieurs kilomètres d’altitude, provoquant ainsi cette pluie de météorites autour de la ville russe de Chelyabinsk (dans l’Oural). Elle m’informe que depuis la désintégration de cette météorite, on a pu remarquer une modification significative sur un dérèglement climatique, cela, sur l’ensemble du globe. Nous suivons cela de très prés dit-elle ! La dernière fois qu’un tel événement s’est produit avec des dégâts encore plus importants, c’était le 30 juin 1908, en Sibérie, dans la région de la Toungouska….
Bref, cette personne fait le lien entre cet événement du 15 février 2013 et les filaments tombés du ciel le 7 novembre 2013 !!! Elle dit que ceux-ci font partis des mystères de la nature et que l’on est loin d’imaginer toutes ses merveilles… (le mots « merveilleux », par ailleurs, revient avec insistance et à plusieurs reprises).
Soit : cette matière se diluant dans les sols ne représenterait aucun danger pour l’Homme, voire au contraire : elle ferait partie des mystères fascinant de la vie au même titre que les traces d’ADN retrouvées dans certains météorites…
Cette personne se veut rassurante et me dirige ainsi par ses propos vers la théorie extraterrestre pour ce qui est à l’origine de ces filaments !!!
TOUS CES PROPOS QUI REPOSENT SUR DES FAITS RÉELS, SELON MOI, SONT, BIEN ENTENDU, PURES DIVAGATIONS ET PROPAGANDES HISTOIRE DE NOYER LE POISSON DANS L’EAU…
À noter que si une météorite similaire avait déjà frappé la terre en fin 2012 (date des premiers prélèvements d’échantillons analysés) ou même en 2007, lors des analyses du Docteur Zamengo de l’université Ca’ Foscari en Italie et bien cela se saurait !!!!! C’est vraiment à se demander pourquoi autant de zèle et d’application dans une histoire comme celle-ci, à dormir debout ?
QUE VEULENT-ILS BIEN NOUS CACHER ? – Que leurs essais d’épandages comportent des risques sur l’environnement, l’écosystème, la biodiversité, le monde animal et l’être humain et qu’ils ne sont pas en mesure réellement de quantifier exactement leurs impacts ? (Est-ce que ce sera 10, 20, 30% ou plus de la population qui sera affectée ?) – Qu’exposer au monde de tels procédés en stade expérimental, ceux-ci n’auraient jamais pu voir le jour car jugés, par la population, trop risqués et peu viables, quelles qu’en soient les raisons exposées ? – En gros, qu’ils ne maîtrisent, en fin de compte, pas grand-chose, qu’ils ne sont pas en mesure de dire si le jeu en vaut réellement la chandelle ? – Que maintenant la machine lancée, ils ne peuvent plus faire marche arrière : trop d’investissements économiques, financiers sont en jeu ? – Que spéculateurs et investisseurs tiennent les rênes et qu’eux-mêmes sont devenus les instruments d’autres marionnettistes bien plus avides et perfides ? – Que sous-couvert d’une lutte contre le réchauffement climatiques, lutte hasardeuse et soumise à controverses entres scientifiques, mais soit disant utile et nécessaire, d’autres profitent de l’opportunité pour officier dans des buts (militaires, puisque ayant racheter les brevets scientifiques des géoingénieristes…) bien plus risqués et bien plus inavouables encore ? (Il ne suffirait certainement pas des 10 doigts de la main pour énoncer les toutes les raisons aux multiples facettes des épandages). – Que nous sommes entrés dans une guerre silencieuse « légitime », sous forme de sélection naturelle, sans merci, évoquant une surpopulation mondiale engendrant une baisse critique des ressources terrestres ne pouvant assurer telle que la pérennité de l’existence humaine sur terre ? (Justement on en parle aujourd’hui à la télévision, y a-t-il vraiment de hasard, où suis-je Madame Irma !???LOL)…..
En fin de compte, la réalité ne dépasserait-elle pas la fiction ??? « Ne sommes nous pas les figurants, victimes d’un scénario catastrophe qui aurait pu être inspiré des plus grands chefs-d’œuvre de Stephen King avec une fin s’annonçant peu glorieuse ? »
N’en déplaise à certains, mais j’étais bien au premières loges lorsque des « Chasseurs » précédant cette pluie massives de filaments du 07 novembre 2013, sont passés au dessus de la maison . Ils laissaient s’échapper derrière eux des épandages d’épaisses fumées blanches s’étalant dans le ciel jusqu’à former un voile sur toute sa superficie.
J’ai pu remarquer que plus la pression atmosphérique est chargé en eau plus les filaments sont épais, collants & résistants (élastiques) et l’on peut alors apercevoir des amas qui se forment (filaments entremêlés). Ne pas les voir, ne veut pas dire qu’ils ne demeurent pas.
Tout me laisse à penser que les caractéristiques et propriétés des filaments, entrant en combinaison avec les quelques éléments de l’air auxquels ils s’associent (eau, hydrogène, oxygène, azote, etc.), auraient la capacité de se régénérer? Ceci m’a donné l’idée d’en faire une culture afin d’en étudier l’endurance, l’avancement et le comportement.
Intéressant de savoir que quelques morceaux de brindilles auxquels étaient agrippés les filaments ont été également déposés dans le liquide. Le bois des brindilles même coupé continue à travailler, c’est un matériau dit « hygroscopique ». Même constat pour les filaments, même après avoir hiberné pendant 2 mois au frigo, à l’abri de l’air, sous pli aluminium !!! Une sacrée résistance en somme !!!
Les filaments après s’être dissous littéralement se sont comportés comme un champignon parasitaire venant ensuite s’agglutiner autour des morceaux de brindilles et ont fabriqué ensuite des ramifications faisant comme une forme de cocon fibreux cotonneux.
Ensuite, une forme de mère jaunâtre, comme ce que l’on peut voir dans le vinaigre, se forma, mais d’aspect beaucoup, beaucoup, plus fluide, se dispensant dès qu’on agite le flacon et se reformant au repos !!!!…. D’après moi, ils peuvent se présenter sous différentes formes, donc, particulaires, dissoutes, volatiles ou non, en fonction des différents critères de situations (pression atmosphérique, hygrométrie, températures…).
Les filaments ne sont pas toujours perçus à l’œil nu. Ce qui est de toute façon visible (par beau temps, de façon évidente), c’est la formation de voiles nuageux artificiels d’origine anthropique dans le ciel. Ciel aux couleurs dénaturées et/ou saturées, tellement chargé en particules polluantes après épandages chimiques (ou Chemtrails).
Mes observations complémentaires : La matière des polymères est capable de faire corps avec les éléments. La nature chimique des chemtrails crée artificiellement des zones dépressionnaires provoquant nuages et/ou pluies, vents…. La masse nuageuse anthropique crée un bouclier et empêche la pollution ascendante de se disperser de façon homogène dans l’atmosphère et rend l’air moins respirable et donc plus nocif (effet de serre), comme nous le savons.
Suivant les conditions, les différents critères de situation, les éléments, auxquels est soumis le polymère organique complexe (ou dit « non identifiable » après analyses, puisque fabriqué en laboratoire, non breveté pour éviter les fuites de divulgation), son aspect varie.
Une partie s’évapore (air), une partie se dilue dans l’eau (sol), une partie de dissout en fines particules (poussière) dans l’air et une partie n’est-elle pas directement ingérée par la matière organique vivante ? À l’échelle du nanomètre toutes les hypothèses sont envisageables…. Que maîtrisons-nous au juste? Dans le cadre de la nanotechnologie, créer une nouvelle forme de vie en combinant du vivant et du non-vivant, ça aujourd’hui, on sait le faire !!! Oui, créer ne semble plus poser de problème, mais, conscientiser, appréhender de façon concise et responsable, l’interaction et l’impact éventuelle auprès des formes de vie déjà naturellement présentes sur terre, là, la tâche devient plus compliquée !!! Il n’y a aucun mérite, quel que soit l’enjeu, de créer une nouvelle forme de vie qui détruit ou déstabilise l’équilibre naturel de la vie sur terre…. La nature nous apprend de surcroît que toutes choses perdurent dans le temps à condition qu’elles vivent avec ses particularités propres en harmonie avec son environnement et non au détriment de celui-ci en se comportant comme un vulgaire parasite !!! Tout repose, dans l’Unité, intelligemment, en un subtil équilibre.
Le polymère est capable de rester longtemps en suspension dans l’air. Il remplit avec succès ses fonctions premières, orchestrée par nos apprentis sorciers, soit, entres autres : « servir de parachute pour diverses additifs créant ainsi une barrière pour les rayonnements du soleil afin de retarder les effets du « dit » réchauffement climatique ».
Personnellement, ce qui me pose problème par-dessus tout, c’est ma théorie exposée ci-dessus, concernant son adaptabilité aux éléments terrestres et son autorégulation dans notre atmosphère et notre environnement…
Différents critères me pousse à émettre l’hypothèse suivante : Après avoir été épandus, la formation des polymères s’auto-régule en partie, peut-on parler alors de régénérescence ?? Quoiqu’il en soit, ils ont une force d’adaptation spectaculaire !!!! Autonomes, sans qu’il soit besoin de les réalimenter constamment, ils semblent s’auto-alimenter grâce à la molécule d’eau présente dans l’air et le cycle de celle-ci.
Pour se faire des bactéries sont automatiquement utilisées, mais lesquelles sont-elles, E-Coli et leur effet glaçogène, etc… ???
J’ai lu plus tard que que le baryum absorbant fortement le dioxyde de carbone et l’eau, en combinaison avec l’aluminium, agiraient ensemble pour diffuser du courant dans le « dit » bouclier, ajoutés au nitrates, monoxyde, dioxydes de carbone, fluorocarbones, hydrocarbornes…. ainsi que nos fameux polymères électromagnétiques (pouvoir d’attraction, servant de véhicules), mélangés avec du matériel biologique, permettrait la suspension de tout ces mélanges de particules dans l’atmosphère pendant de plus longues périodes… avant de retomber sur terre ou de se dissoudre dans les pluies, les sols… bien évidemment rien ne se perd !!!
À l’époque j’avais fait un beau travail également auprès de la spécialiste en aranéologie maintes fois citée dans les média. J’ avais été la seule à comprendre qu’elle avait été plus ou moins dupée par les média et que ses propos avaient été coupés et utilisés à ses dépends, aussi je lui avais envoyé des filaments qu’elle aura pu étudier personnellement pour se faire son propre avis avec des bases solides, d’authentiques échantillons prélevés sur le terrain. Après quelques échanges elle s’était confiée que dorénavant elle se méfierait.
Bilan : lors des épandages intensifs devenus aujourd’hui récurrents avec d’avantage d’ondes ajoutées (HAARP) qu’il y a 2 ans, je peux remarquer une recrudescence de problèmes de santé divers et varié, allergies ORL & cutané, (yeux, nez, voies respiratoires, peau), fatigues, maux de têtes, difficulté de concentration… des maladies gastriques, cancers poumon, colon…, accidents de la route en augmentation également dus aux intempéries liées à la modification climatique engendrée par ces opérations d’épandages orchestrés et pas uniquement à une baisse de vigilance, dépression, Alzheimer, autisme…. Des gens meurent ou sont affectés à différents niveaux en raison des problèmes occasionnés par ces épandages chimiques… Nous, nous le savons !!!!
Pour terminer, ma petite attention aux plus sceptiques, pour vous aider à avaler la pilule rouge, j’ai quand-même pensé à vous mettre de la musique douce !! ;-)) Gardons, consciemment, la Foi et l’humour… Amicalement Vôtre,
Chantal, alias « Fleur de Lotus » pour le microcosme et ce que la Nature a fait de plus beau & « The Mutant 26 », pour le reste et ce que l’homme a fait de pire, car quand je vois cela, je n’ai pas l’impression d’appartenir au même monde !!
A la demande conjointe de l’ACSEIPICA et du Collectif pour notre Terrele laboratoireAnAlytikAa fait effectuer un dépistage systématique des métaux lourds contenus dans un échantillon de filaments aéroportés recueillis en novembre 2012 à Thenioux (Cher).
Cet échantillon a été déjà analysé du point de vue de la chimie organique par le même laboratoire et a fait l’objet de 2 rapports
Article paru dans le numéro 2660 de l’OBS (29 oct 2015). Cette étude exclusive, commandée cet été au Laboratoire Luxembourgeois Human Biomonitoring Research Unit – porte sur l’analyses de mèches de cheveux de 63 enfants, de la ville et de la campagne. Les résultats sont édifiants, bien difficiles à comprendre pour les auteurs de l’article qui ne semblent pas soupçonner ce qui tombe du ciel.
Ils sont pourtant à mettre en parallèle avec les résultats publiés dans les rapports AnAlytikA d’analyses de filaments tombés du ciel: il s’agit de perturbateurs endocriniens; ceux nommés dans l’article se retrouvent dans les rapports AnAlytikA … entre autres des traces d’acide 2,4 dichlorophénoxyacétique, qui entre dans la composition de l’AGENT ORANGE, ce défoliant que les Etats Unis ont déversé par avion sur les forêts pendant la guerre du Vietnam et qui continue de provoquer des vagues de cancers et de malformations dans ce pays.
Rapport d’analyse de fibres de morgellons issues des cheveux de Séverine L. par le laboratoire AnAlytikA.
Il y a des similitudes avec les filaments aéroportés mais le laboratoire aurait besoin de refaire une analyse de filaments plus récente pour avoir les mêmes conditions afin de pouvoir le prouver de manière encore plus sûre.
Protocole pour recueillir des échantillons en vue d’analyses, proposition d’action et adresse utile
NE PAS TOUCHER LES FILAMENTS DIRECTEMENT AVEC LES DOIGTS.
Les manipuler avec des baguettes et dès que possible, mettre des gants
Au préalable, tester un échantillon à la flamme : s’il crépite, c’est qu’il s’agit de matière organique (fils d’araignée),
mais s’il fond et se réduit en boule comme du plastique, c’est qu’il ne s’agit pas de matière organique; il y a donc matière à analyse et nous recommandons de suivre le protocole suivant si vous voulez mener une action individuelle facile et peu onéreuse (flacons + envoi d’un recommandé).
1) AVANT d’y toucher, prendre une photo datée de l’échantillon que vous avez décidé de prélever
Le poids total de tous les échantillons réunis doit être d’au moins 50 milligrammes (mg). Il faut une masse de matière conséquente pour pouvoir effectuer des analyses.
2) En prélever un maximum, sur plusieurs jours au même endroit s’il y a lieu (la récolte peut s’échelonner jusqu’à un mois ou deux).
3) Prélever au plus tôt après les « pluies » de filaments.
4) Les flacons dans lesquels seront déposés les échantillons doivent être achetés en pharmacie (flacons stériles avec une spatule dans le bouchon).
Précautions à prendre pour assurer la pureté des échantillons
1) Mettre des gants en latex non poudrés (gants latex chirurgicaux)
2) S’attacher les cheveux.
3) Ne pas souffler sur les échantillons, ne pas parler pendant le prélèvement (postillons), ne pas éternuer (si possible se couvrir la bouche).
4) Ne pas écraser l’échantillon : sa structure doit rester intacte.
5) Utiliser uniquement la spatule fournie avec le flacon de pharmacie pour récolter l’échantillon.
6) Rester neutre et sans idées préconçues (ex. : …. »ce sont les avions »….. « ce sont les chemtrails »…. « c’est l’US Air Force »… »c’est extra-terrestre »… etc.. etc…). Récolter les échantillons à la façon d’un chercheur avec uniquement cette pensée : « Qu’est-ce que c’est ?? ».
Une datation est indispensable
1) Vous avez pris une photo datée de l’échantillon AVANT prélèvement.
2) Notez sur le flacon : le JOUR, l’HEURE, le LIEU (+ pays) et le numéro de la PHOTO correspondant à l’échantillon.
Stockage
La récolte des échantillons pouvant s’échelonner sur un mois ou deux, il est donc nécessaire de stocker les flacons dans le bac à légumes du réfrigérateur en veillant à ce qu’ils restent bien au propre et au sec.
Nous vous proposons d’envoyer en recommandé vos échantillons de filaments recueillis de votre mieux en respectant le protocole ci-dessus, accompagnés des rapports AnAlytikA 1 , AnAlytikA 2 , AnAlytikA 3
à
Fédération Atmo France 7 rue Crillon 75004 Paris
Ainsi, ils seront face à la matière.
Soyez préventifs: envoyez leur les recommandations de manipulation !
Merci de rapporter vos actions en commentaire sous cet article
Comme lors des journées du 24 octobre et du 7 novembre, hier mardi 3 décembre, de grands filaments tombaient encore sur la vallée de la Drôme. Mais aussi sur le sud de la région parisienne et sur Chartres. Témoignages recueillis au siège de l’ACSEIPICA le 4 décembre 2013