Demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire sur les épandages aériens et les pratiques secrètes de géo ingénierie en France

Nous l’avons minutieusement préparée dans l’optique de marquer efficacement le plus grand nombre ainsi que nos élus.

Une telle action dans le chaos ambiant ?

Au point où l’on en est … tous les scandales se révèlent. Celui-ci est énormissime, mais son tour va venir, grâce à nous tous qui n’aurons pas lâché le morceau. C’est une affaire de longue haleine.

Tant qu’il nous reste du souffle !

Nous vous sollicitions vivement pour prendre rendez-vous auprès de votre député et de votre sénateur pour leur remettre en main propre une version papier de cette lettre. C’est ce qui fera le plus de poids et assurera la validité de l’action.

Les envois par mail sont en bonne voie. Vous pouvez désormais utililiser la version ci-dessous, récemment complétée d’une annexe « Géoingéniérie: Quel impact sur la santé publique ? » pour:

  • l’imprimer et la porter en main propre à votre député et vos sénateurs (téléchargez le pdf)
  • la diffuser dans votre entourage, dans vos réseaux, vos associations et les médias que vous avez envie de contacter (commentaires sur le web ou courrier des lecteurs pour les journaux/revues papier)

Faites-nous part des contacts auxquels vous avez fait suivre ici même en commentaire.

Pour toute question concernant votre participation à cette action, écrivez-nous à acseipica.association@gmail.com

Un grand merci !

ALERTE SANITAIRE ET ENVIRONNEMENTALE

Demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire
sur les
épandages aériens et les pratiques secrètes de géo ingénierie en France

En vertu de la Constitution1, notamment en son article 51-2 ;

« Pour l’exercice des missions de contrôle et d’évaluation définies au premier alinéa de l’article 24, des commissions d’enquête peuvent être créées au sein de chaque assemblée pour recueillir, dans les conditions prévues par la loi, des éléments d’information. La loi détermine leurs règles d’organisation et de fonctionnement. Leurs conditions de création sont fixées par le règlement de chaque assemblée »,

De la Charte de l’environnement2, notamment en son article 5 ;

« Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertain en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution et dans leurs domaines d’attributions, à la mise en œuvre de procédures d’évaluation des risques et à l’adoption de mesures provisoires et proportionnées afin de parer à la réalisation du dommage »,

de la loi n° 95-101 du 2 février 1995, relative au renforcement de la protection de l’environnement3,

du Code de l’environnement, notamment en son article 110-14,

de la Convention sur la diversité biologique, notamment en son article 145,

de la Convention de Berne6,

de la jurisprudence CEDH 25 sept. 2012, El Haski c/ Belgique, n° 649/08, § 83, RFDA 2013. 5767.

À Mesdames et Messieurs les Députés et Sénateurs Français, Mesdames, Messieurs,

Nous, membres de l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA), vous alertons sur le danger sanitaire et environnemental sans précédent causé par des opérations secrètes de géoingénierie en France et, par conséquent, nous vous demandons la création d’une Commission d’Enquête parlementaire.

Aujourd’hui nul ne peut nier l’existence de la géo-ingénierie

Les médias abordent le sujet8. Dans sa version civile, la géo-ingénierie propose de réduire le « réchauffement climatique », notamment en dispersant dans le ciel des aérosols composés de particules pour réfléchir le rayonnement solaire et le renvoyer dans l’espace9.

Quelques faits reconnus et les dispositions légales internationales relatives

  • Militaires 

Des essais de guerre bactériologique ont été menés en secret au Royaume-Uni entre 1940 et 1979 sur la population britannique10.

Durant la guerre du Vietnam, l’armée américaine a empoisonné le terrain de l’ennemi en utilisant l’agent Orange11 et a provoqué des pluies diluviennes pour le rendre impraticable avec l’Opération Popeye12. « Dans le plus grand secret, des bombardiers larguent, entre 1967 et 1972, des tonnes d’iodure d’argent au-dessus de la piste Hô Chi Minh, par laquelle les Nord-Vietnamiens, communistes, ravitaillent la guérilla au sud en contournant la ligne de démarcation par les pays voisins. »13

Suite à ces événements, l’Assemblée Générale de l’ONU a adopté le 10 décembre 1976 la Convention Internationale ENMOD, qui porte sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles, mais la France n’a jamais été partie de cette Convention14.

Le terme « géo-ingénierie » n’a été inventé qu’après l’an 2000 mais c’est déjà de cela que relèvent ces exactions, puisqu’il s’agit de manipulations de l’environnement à grande échelle.

  • Civils 

L’opération Cirrus ou projet « Stormfury » était un programme expérimental américain de recherches sur la modification des cyclones, mené par les États-Unis entre 1962 et 198315.

La Chine n’a pas caché qu’elle utilisait des techniques de géoingénierie pour éviter les pluies pendant les Jeux Olympiques de 2008 à Pékin16 ou lors du 100ème anniversaire de la République populaire de Chine17. Elle dispose d’une administration météorologique, sur le site internet de laquelle il est mentionné que la Chine manipule le climat depuis 60 ans18. Et, d’après plusieurs articles publiés dans la presse, dont celui du journal The Guardian datant du 3 décembre 2020 : « La Chine prévoit une expansion rapide de son programme de modification des conditions météorologiques … »19

La Fédération de Russie ne cache pas non plus qu’elle utilise de telles pratiques lors de grands événements comme les défilés militaires pour la fête nationale20.

Dispositions légales

Le 27 octobre 2010 à Nagoya, la dixième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB), a adopté la décision X/33, « moratoire de fait » concernant la géo ingénierie civile.21 La France a ratifié cette convention le 31 août 201622.

Aux États-Unis, l’État de Rhode Island a adopté, en janvier 2022, le « Clean Atmosphere Act ». Ce projet de loi est vaste et comprend la réglementation et l’interdiction d’activités allant de l’injection d’aérosols, du blocage du rayonnement solaire et de la manipulation météorologique à la séquestration du carbone et à la fertilisation des océans, en passant par l’élimination des rayonnements radiofréquences et micro-ondes inutiles. Le projet de loi propose que toutes les activités atmosphériques soient soumises à une autorisation de l’État. 23

Le Mexique a interdit explicitement la géo-ingénierie le 13 janvier 2023. Le Secrétariat à l’environnement et aux ressources naturelles précise alors dans un communiqué : « Il y a suffisamment d’études qui montrent qu’il y aurait des impacts négatifs et inégaux associés à la libération de ces aérosols »24.

Et, en 2023 aux USA, après l’état du Texas, le New Hampshire, l’état de Rhode Island, le Dakota du Sud, l’Illinois et le Kentucky viennent de promulguer une loi interdisant nommément: les épandages de produits chimiques, la géo ingénierie, l’ensemencement des nuages et l’injection d’aérosols dans la stratosphère25 .

Mais ces actes publics ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

En effet, hormis les opérations passées qui sont aujourd’hui déclassifiées, les pratiques de géo-ingénierie militaire et civile, clandestines, ne relèveraient-elles pas du secret défense ?

En France comme dans les autres pays membres de l’Union Européenne, l’acceptation forcée d’un programme d’épandages aériens ne nous serait-elle pas imposée par l’OTAN ? Sous le sceau du secret ? Depuis les années 1998-2000 ?

Faits clandestins, observations, témoignages et questions

Depuis 20 ans, nous compilons les relevés de nombreux observateurs en France. Cela met en évidence que deux jours sur trois en moyenne, le trafic aérien est anormalement dense, et que la plupart des avions ne sont pas identifiables26.

Les jours où la circulation aérienne est anormalement intense, si nous cherchons à identifier les aéronefs à l’aide de l’application en ligne « Flightradar » qui notifie en temps réel les avions équipés d’un transpondeur actif, tels que les avions civils, nous constatons qu’une grande majorité d’entre eux ne sont pas reconnus par l’application. Nous en déduisons que ces avions n’activent pas leur transpondeur et qu’ils ne sont donc pas civils. Sont-ils militaires ? Clandestins ? Il y en a de toutes sortes, c’est ce qui ressort à l’observation aux jumelles27.

Quels sont donc ces avions non identifiés que nous voyons se suivre à la queue leu leu sur la même trajectoire, ou en escadrille, dessinant des courbes, en-dessous des couloirs civils en laissant des traînées persistantes ?

Ils volent bas, bien plus bas que les avions de ligne, en dessous des couloirs civils, dans l’espace aérien réservé aux militaires. On entend le vrombissement de leurs moteurs, leur carlingue se distingue à l’œil nu ce qui trahit leur faible altitude, inférieure à celle des avions de ligne – qui doivent voler au minimum à 8 000 mètres, et croisent en pratique autour de 12 000 mètres. À 8 000 mètres, même le plus gros des avions, l’A380, ne se voit plus que sous la forme d’un point dans le ciel. Donc, aucun avion en croisière, visible à l’œil nu dans le ciel, ne peut être au-dessus de 8 000 mètres et ne peut par conséquent être un avion de ligne. Ces appareils se succèdent pourtant à des cadences surréalistes en comparaison de la circulation civile affichée en temps réel.

Avant l’an 2000, l’altitude minimale de croisière des avions civils était de 4 000 mètres. Cette année-là, elle a été élevée à 8 000 mètres, sous prétexte de moindre consommation de carburant en haute altitude. Corollaire non négligeable: l’espace aérien en-dessous revenait ainsi aux armées28.

Selon les lois de la physique, les traînées de condensation des avions à réaction se forment au-dessus de 8 000 mètres d’altitude dans certaines conditions de température, de pression et d’humidité29.

Or, il faut nécessairement des aérosols particuliers pour créer des noyaux de condensation permettant de former de la condensation persistante en-dessous de 8 000 mètres d’altitude.

Ces pratiques clandestines, et donc illégales, s’opèrent devant nos yeux dans le plus grand mutisme, sans aucune information des citoyens et, par conséquent, sans leur consentement. Elles échappent à tout contrôle démocratique quant à leur dangerosité pour la santé et l’environnement. En jargon militaire, on parle de « guerre non conventionnelle » pour désigner ces opérations.

Le ciel n’est quasiment plus jamais limpide : même par les plus belles journées, demeurent toujours à l’horizon des brumes opaques qui se teintent de gris violacé à l’aube et au crépuscule. Les traînées persistantes finissent par créer un voile30 qui va de pair avec un accroissement local de la température.

Nos alertes pour dénoncer cette catastrophe en cours sont jusqu’alors restées vaines. Il y a depuis le début de ces opérations menées de manière généralisée, soit depuis le début de ce siècle, un déni officiel absolu. Nous avons eu toutefois quelques échanges avec des élus31.

Dangers de la géoingéniérie

1- Les épandages aériens

Les quantités massives de ces particules pulvérisées quotidiennement dans l’atmosphère finissent par retomber au sol, d’autant plus vite qu’elles sont pulvérisées à basse altitude (quelques jours à 2 000 m), et d’autant moins vite qu’elles sont pulvérisées en haute altitude (4 ans à 10 000 mètres)32.

Nous sommes en droit de vous demander :

Quelles sont les particules pulvérisées ? De quelles matières sont-elles composées ?

Quelle est la quantité annuelle de ces particules dispersées dans le ciel français ?

Les particules sont-elles ajoutées au carburant ou sont-elles pulvérisées indépendamment ?

Quels sont les effets nocifs des épandages aériens sur le vivant et l’environnement ?

Le lanceur d’alerte Dane Wingington aux USA expose dans une vidéo récente une estimation qui évalue à des dizaines de millions de tonnes les nanoparticules métalliques épandues par an dans l’atmosphère33

Un scientifique de haut niveau et 50 ans de carrière, J. Marvin Herndon Ph.D, sans surprise vilipendé sur Wikipedia, s’est penché sur le sujet et a produit de nombreux articles qui documentent déjà ces questions; nous vous serions gré de bien vouloir vous pencher dessus34

Nous remettons aussi, à l’appui de notre argumentaire et pour alimenter votre enquête, dix résultats d’un laboratoire agréé COFRAC d’analyses d’eaux de pluie, collectées depuis 2012 sur le même site, qui révèlent des taux anormalement élevés de métaux lourds (aluminium, baryum, strontium et autres). Nous constatons une augmentation très inquiétante des taux des produits recherchés, en particulier en ce qui concerne l’aluminium avec des pics qui ont déjà atteint 100 fois le taux normalement admis35.

Dangers pour la santé

Nous savons que le corps humain élimine l’aluminium lorsqu’il est dans des proportions naturelles dans l’environnement. Ce métal se trouve exclusivement dans le sol normalement et n’entre nullement dans la composition de l’atmosphère. Il est donc alarmant d’en trouver dans les eaux de pluie, tout comme dans les lacs de haute montagne36. Comment cela peut-il se faire autrement que par l’introduction de particules dans l’atmosphère ? Le taux d’aluminium recueilli dans nos échantillons d’eau de pluie, toujours collectés et analysés dans les mêmes conditions et au même endroit, ne cesse d’augmenter. Il est passé de moins de 10 microgrammes par litre en 2012 à 516 microgrammes par litre en 2021 ! Lorsque le taux d’aluminium inhalé ou ingéré est anormalement élevé, le corps humain ne peut plus l’éliminer ; il le laisse circuler jusqu’au cerveau, ce qui est une des causes avérées des maladies neurodégénératives comme les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson37. Voir notre document en annexe ci-dessous.

D’autre part, ces analyses ne portent que sur la chimie non organique mais en ce qui concerne la chimie organique d’autres analyses révèlent des virus, des bactéries, des fibres polymères38.

Il nous faut aussi mentionner la présence de graphène et d’oxyde de graphène dans l’eau de pluie telle qu’elle a été révélée dans des analyses menées aux États-Unis.39

Dangers pour les écosystèmes

Toute forme de vie sur la planète, tant dans sa chimie naturelle que dans son écosystème, est inévitablement impactée par ce facteur, bien anthropique quoique jamais évoqué40.

Assisterions-nous, sans le moindre recours, à une guerre totale contre le vivant ?

Dangers pour le climat et la planète

Effet recherché ou effet secondaire ? La géo-ingénierie peut déchaîner les éléments, provoquer des sécheresses continues, des pluies diluviennes, générer ou amplifier des catastrophes climatiques et telluriques dont la fréquence s’accroît indéniablement.

Toutes ces pratiques, mises en œuvre depuis les années 1950, et généralisées depuis l’an 2000, ne seraient-elles pas en réalité, une, si ce n’est la, cause du dérèglement climatique ?41

Le CO2 qui représente toujours moins de 0,05 % des gaz de notre atmosphère ne servirait-il pas de leurre pour masquer les effets catastrophiques de la géo ingénierie militaire et clandestine ?

2- La manipulation de l’ionosphère

Nous n’avons parlé ici que des épandages aériens mais il faut tenir compte aussi des effets à grande échelle des stimulations de l’ionosphère par des installations de type HAARP, terme devenu aujourd’hui générique pour désigner ce type de procédé. Cela consiste à utiliser les propriétés réfléchissantes de l’ionosphère en pulsant des ondes électromagnétiques ultra haute fréquence et en modulant les ondes reçues en retour en basses fréquences. Cela s’apparente à des réchauffeurs agissant comme un four à micro-ondes42. L’Arctique est entouré de ces stations et il en existe aujourd’hui dans de nombreux pays dans le monde43.

Les aérosols métalliques présents dans l’atmosphère facilitent la propagation des ondes.

Cela n’aurait-il aucun rapport avec les dérèglements du climat ? La géo-ingénierie peut-elle prétendre être une solution salvatrice alors qu’elle en est plutôt très probablement une cause importante au vu de ce que nous exposons ici ?

La géo ingénierie est qualifiée de pratique d’apprentis sorciers par les médias qui en parlent, de plus en plus fréquemment44. Elle est reconnue comme dangereuse, voire mortifère, à l’échelle planétaire45. Certes, les promoteurs de la géo ingénierie civile mettent en avant des fins louables, pacifiques, favorables à l’agriculture et à certains intérêts ciblés. Certes, le moratoire de Nagoya interdit la fertilisation des océans à grande échelle. Mais pourquoi tant d’opérations aériennes secrètes menées sous nos yeux tous les jours n’ont pas d’existence officielle ? Pourquoi interdire la géo-ingénierie au-dessus des océans et des mers pour la protection du milieu marin, et l’autoriser secrètement au-dessus de nos têtes ?

Secret pour la défense de qui ? Au profit de qui ? Et comment le coût énorme de telles opérations échappe-t-il à la traçabilité dans le budget national ? Qu’en est-il des restrictions sur tous les services publics depuis 20 ans et des taxes croissantes ? Paierions-nous pour creuser notre tombe ?

Notre responsabilité en tant que citoyens et la vôtre en tant qu’élus représentants des Français

En 2011, nous avons déjà alerté l’ensemble de nos parlementaires sur les effets potentiellement graves des épandages aériens et de la géo-ingénierie en général sur la santé et sur l’environnement. Nous avons demandé la création d’une commission d’enquête parlementaire46. Deux députés ont eu le courage de soulever la question devant l’Assemblée Nationale, en 2012 et en 201347 ; leur voix a été vite étouffée.

En 2015, nous avons remis à l’Assemblée Nationale une pétition « STOP aux épandages aériens », qui est toujours en ligne et recueille, le 4 février 2024, 46 097 signatures48

Pour toutes ces raisons et en vertu des textes susvisés49,

nous formulons ici notre demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire pour lever en toute probité, le voile sur l’évidence et le financement des opérations clandestines de géo ingénierie en France,

et, au sujet desdites opérations qui seraient sous commandements militaires, nous demandons la saisine de la Commission du secret de la défense nationale (C.S.D.N.).

Le 5 février 2024

Le Collège Directeur de l’ACSEIPICA

Claire HENRION, Rémy Cahen, Bruno Kleb, Romuald Raveau, Séverine Felt

1 La Constitution https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000571356/

2 Charte de l’environnement

https://www.legifrance.gouv.fr/contenu/menu/droit-national-en-vigueur/constitution/charte-de-l-environnement

3 loi n° 95-101 du 2 février 1995, relative au renforcement de la protection de l’environnement

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000551804/

4 Code de l’environnement, article 110-1

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038845984/

5 Convention sur la diversité biologique, article 14 https://www.cbd.int/doc/legal/cbd-fr.pdf

6Convention de Berne

https://www.coe.int/fr/web/conventions/full-list?module=treaty-detail&treatynum=104

7jurisprudence CEDH 25 sept. 2012, El Haski c/ Belgique, n° 649/08, § 83, RFDA 2013. 576

https://hudoc.echr.coe.int/fre#{« itemid »:[« 001-113336 »]}

8Le Monde_Les traînées de condensation des avions de plus en plus décriées pour leurs conséquences climatiques https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/09/05/pollution-apres-le-co-le-secteur-aerien-confronte-a-la-question-des-trainees-de-condensation_6187838_3234.html

9 Rapport sur la géoingéniérie du Programme des Nations Unies pour l’Environnement du 28 février 2023

https://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/41903/one_atmosphere.pdf?sequence=3&isAllowed=y

https://webserver.rilegislature.gov/BillText22/HouseText22/H7787.pdf

Colloque TransTerre 26 juin 2023 : https://transterre.sciencesconf.org/

Gouverner la recherche en géo-ingénierie et/ou gouverner le déploiement des techniques https://savoirs.ens.fr/expose.php?id=1598

Stefan C. Aykut et Amy Dahan, Gouverner le climat ? Vingt ans de négociations internationales https://journals.openedition.org/rac/1785

10 essais secrets de guerre bactériologique au Royaume-Uni 1940 – 1979 https://www.theguardian.com/politics/2002/apr/21/uk.medicalscience

11 Agent Orange https://fr.wikipedia.org/wiki/Agent_orange

https://www.techno-science.net/glossaire-definition/Agent-orange.html

12 Opération Popeye https://history.state.gov/historicaldocuments/frus1964-68v28/d274

https://fr.wikipedia.org/wiki/Opération_Popeye

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caf97038222/pluies-artificielles-au-vietnam

13 https://www.liberation.fr/sciences/2008/03/18/les-maitres-du-deluge_67527/

14 Convention ENMOD : https://treaties.un.org/doc/Treaties/1978/10/19781005%2000-39%20AM/Ch_XXVI_01p.pdf

15 Opération Stormfury « Cirrus » https://fr.wikipedia.org/wiki/Stormfury

https://www.aoml.noaa.gov/hrd/hrd_sub/sfury.html (anglais)

16 Modification du Climat en Chine https://www.theguardian.com/world/2021/dec/06/china-modified-the-weather-to-create-clear-skies-for-political-celebration-study

https://www.theguardian.com/world/2020/dec/03/china-vows-to-boost-weather-modification-capabilities

Comment la Chine utilise des pluies artificielles pour lutter contre la sécheresse
https://www.lexpress.fr/monde/asie/comment-la-chine-utilise-des-pluies-artificielles-pour-lutter-contre-la-secheresse_2179076.html#:~:text=Pékin%20avait%20affirmé%20avoir%20notamment,ou%20pour%20adoucir%20la%20grêle.

Ils chassent les nuages du ciel de Pékin, article Le Particulier
https://www.lefigaro.fr/international/2008/07/29/01003-20080729ARTFIG00003-ils-chassent-les-nuages-du-ciel-de-pekin-.php

La Chine, ou le plus grand créateur de pluie, article Le journal international https://www.lejournalinternational.fr/La-Chine-ou-le-plus-grand-createur-de-pluie_a1442.html 11Août 2008

Succès des fusées anti-pluie pour les JO article Le Monde 11 août 2008 https://www.lemonde.fr/import/article/2008/08/11/succes-des-fusees-anti-pluie-pour-les-jo_1082241_3544.html

17 https://www.theguardian.com/world/2021/dec/06/china-modified-the-weather-to-create-clear-skies-for-political-celebration-study

18 https://www.cma.gov.cn/en2014/news/Features/202111/t20211110_4232903.html 

19 https://www.theguardian.com/world/2020/dec/03/china-vows-to-boost-weather-modification-capabilities

20 Modification du Climat en Russie https://www.youtube.com/watch?v=GBssCK2raTg Source France 2 – Télé matin 19/05/2011

21 Moratoire sur l’usage de la géoingéniérie adopté à la Conférence des Parties de l’ONU à Nagoya en 2010 : https://www.cbd.int/doc/decisions/cop-10/cop-10-dec-33-fr.pdf  https://enb.iisd.org/fr/summary-report-18-october-2010    Earth Negociations Bulletin 


Nagoya : La géo-ingénierie, arme de manipulation massive, article L’humanité 28oct2010 https://www.humanite.fr/27_10_2010-la-géo-ingénierie-arme-de-manipulation-massive-456567

22 Signataires du moratoire de Nagoya : https://treaties.un.org/pages/ViewDetails.aspx?src=IND&mtdsg_no=XXVII-8-b&chapter=27&clang=_fr 

23 https://webserver.rilegislature.gov/BillText22/HouseText22/H7787.pdf

24 https://www.gob.mx/semarnat/prensa/la-experimentacion-con-geoingenieria-solar-no-sera-permitida-en-mexico?idiom=es

25 https://www.gencourt.state.nh.us/bill_status/pdf.aspx?id=23323&q=billVersion

https://zerogeoengineering.com/2024/kentucky-hb506-introduced-prohibiting-srm-geoengineering/

26 Traînées d’avions et analyse du trafic aérien, vidéo

27 Présentation ACSEIPICA (Claire Henrion) à la conférence « Au-delà des théories de modification climatique – la société civile contre la géoingéniérie » au Parlement européen à Bruxelles le 9 avril 2013 : https://fr.slideshare.net/clairehenri12/pandages-ariens-clandestins-en-europe-18749571

28 http://www.rockastres.org/spip.php?article144

29 https://www.acseipica.fr/lois-physique-valeurs-radiosondes/

30 https://www.acseipica.fr/photos-du-ciel-en-france/

31 Quelques échanges officiels avec des élus, des ministères ou des organismes d’état https://www.acseipica.fr/mme-dion-deputee-interpelle-mme-touraine-ministre-de-la-sante/

Réponses de quelques personnalités politiques et médias à des courriers envoyés par une adhérente : http://acseipica.blogspot.com/p/lettres-officielles.html

L’amendement AS388 à l’article 10 de la loi « Modernisation de notre système de santé », présenté par M le député G. Sebaoun dans son rapport du 6 novembre 2015, et adopté le 17 décembre 2015, a été censuré par le Conseil Constitutionnel : https://www.acseipica.fr/etude-de-la-pollution-generee-par-le-transport-aerien-amendement-de-lassemblee-nationale-au-gouvernement-annule-par-le-conseil-constitutionnel/

Réponses reçues à notre pétition : https://www.acseipica.fr/remise-de-notre-petition-reponses-officielles-recues/

Réponse de Météo France : https://www.acseipica.fr/reponse-de-meteo-france/

Lettre à Madame Ségolène ROYAL, Ministre de l’Écologie suite à sa réponse à la question de novembre 2013 du député des Hautes Alpes, Monsieur Joël Giraud : https://www.acseipica.fr/lettre-segolene-royal/

Réponse du Ministère de l’Écologie à la question du député de la Haute Garonne Gérard BAPT, du 16 octobre 2012 au sujet des « mystérieuses traînées dans le ciel » plus connues sous le nom de « chemtrails » : https://www.acseipica.fr/sacre-poisson-davril/

Signatures d’élus et de médecins sur notre pétition : https://www.acseipica.fr/signatures-delus-de-medecins-sur-notre-petition/

32 Rapport Case Orange https://www.acseipica.fr/786/

http://rockastres.org/IMG/pdf/case_orange_1-99._def_doc.pdf

33 Vidéo https://www.cielvoile.fr/2023/04/des-dizaines-de-millions-de-tonnes-d-aluminium-par-an-epandues-par-avions.html

34 Articles scientifiques de Marvin Herndon sur la géo-ingénierie traduits en français par Ciel voilé

https://www.cielvoile.fr/2022/10/articles-scientifiques-de-marvin-herndon-sur-la-geo-ingenierie-traduits-en-francais-par-ciel-voile.html

35 https://www.cancer-environnement.fr/fiches/expositions-environnementales/aluminium/

https://www.anses.fr/fr/system/files/EAUX-Ra-Aluminium.pdf

36 Analyse de l’eau des lacs des Pyrénées https://www.larepubliquedespyrenees.fr/sciences-et-technologie/pyrenees-une-pollution-toxique-revelee-dans-des-lacs-d-altitude-10408454.php

37 https://www.francealzheimer.org/laluminium-et-les-metaux-lourds-contenus-dans-leau-du-robinet-sont-ils-facteurs-de-risque-pour-la-maladie-dalzheimer/#:~:text=Depuis%2C%20certaines%20études%20ont%20montré,développer%20la%20maladie%20d%27Alzheimer

38 https://www.acseipica.fr/filaments-aeroportes-teneur-en-metaux-lourds-rapport-analytika-31-mai-2016/ 

39 https://www.youtube.com/watch?v=zm261O9BRB0

40 « Dix années de guerre chimique par les épandages aériens, effondrement du système immunitaire », Ilya Sandra PERLINGIERE PH. D. 2009 : https://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2014/01/effets-sante-environnement-ISPerlingheri.pdf

Épandages aériens clandestins, effets sur la santé de la guerre du ciel toxique sur les humains, les animaux et les plantes, présentation de Desiree Röver à la conférence « Au-delà des théories de modification climatique – la société civile contre la géoingéniérie » au Parlement européen à Bruxelles le 9 avril 2013 : https://www.slideshare.net/LovingTruth/chemtrails-hearing-eu-parliament 

41 https://www.cielvoile.fr/2018/10/feux-de-forets-et-geo-ingenierie.html https://www.cielvoile.fr/2016/07/la-modification-en-cours-du-temps-met-en-danger-les-etres-humains-et-l-environnement.html

https://www.cielvoile.fr/2023/03/tremblement-de-terre-en-turquie-le-6-fevrier-2023-intentionnel.html https://www.cielvoile.fr/2022/10/nouveau-paradigme-les-cendres-volantes-de-charbon-comme-cause-principale-de-l-appauvrissement-de-l-ozone-stratospherique.html https://www.cielvoile.fr/2022/09/destruction-de-l-ozone-stratospherique-role-du-fer-des-cendres-volantes-de-charbon-en-aerosols.html

https://www.cielvoile.fr/2022/06/les-cendres-volantes-de-charbon-sont-les-principales-responsables-de-la-destruction-de-la-couche-d-ozone-stratospherique.html https://www.cielvoile.fr/2019/05/role-de-la-convection-atmospherique-dans-le-rechauffement-planetaire.html

https://www.cielvoile.fr/2018/10/la-pollution-atmospherique-est-la-principale-cause-du-rechauffement-climatique-pas-les-gaz-a-effet-de-serre.html

https://www.cielvoile.fr/2017/05/marvin-herndon-preuve-de-la-production-variable-de-chaleur-terrestre.html

https://www.cielvoile.fr/2017/02/indication-d-une-volonte-deliberee-de-provoquer-le-rechauffement-planetaire-et-la-fonte-des-glaciers.html

Développé dans :

La planète Terre, ultime arme de guerre, Dr Rosalie Bertell, 2000 (traduction en français de 2018), éditions Talma

L’arme climatique, la manipulation du climat par les militaires, Patrick Pasin, éditions Talma 2017

L’arme environnementale, opérations et programmes secrets des militaires, Patrick Pasin, éditions Talma 2018

Films :

The dimming, 2021 : https://www.geoengineeringwatch.org/the-dimming-full-length-climate-engineering-documentary/

Bye Bye Blue Sky, 2009 : https://www.youtube.com/watch?v=a2k97WChmN0

42 « Le Programme HAARP : science ou désastre ? » Rapport du GRIP de Luc Manfrey 1998 http://archive.grip.org/fr/siteweb/images/RAPPORTS/1998/1998-05.pdf

43 Liste partielle des réchauffeurs ionosphériques (transmetteurs) et des observatoires (receveurs) dans Chemtrails, Haarp, and the Full Spectrum Dominance of Planet Earth -Elana Freeland , Feral House, 2014 – pages 54 à 59.

44 Émission d’ARTE 6 janvier 2016 : https://web.archive.org/web/20220804014205/https://www.youtube.com/watch?v=7u2x7nYz57s

45 Rapport sur la géoingéniérie du Programme des Nations Unies pour l’Environnement du 28 février 2023

https://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/41903/one_atmosphere.pdf?sequence=3&isAllowed=y

46 Notre demande d’enquête parlementaire de 2011 :

https://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2014/01/18-DEC-2011-LETTRE-AUX-DEPUTES-SENATEURS3.pdf

47 Gérard Bapt en 2012 https://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-7016QE.htm

et Joël Giraud en 2013 https://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-42050QE.htm

48 Notre pétition https://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/epandages-aeriens-stop/5304

49 Cf. notes 1 à 7

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000571356/

https://www.legifrance.gouv.fr/contenu/menu/droit-national-en-vigueur/constitution/charte-de-l-environnement

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000551804/ https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000038845984/

https://www.cbd.int/doc/legal/cbd-fr.pdf

https://www.coe.int/fr/web/conventions/full-list?module=treaty-detail&treatynum=104

jurisprudence CEDH 25 sept. 2012, El Haski c/ Belgique, n° 649/08, § 83, RFDA 2013. 576 https://hudoc.echr.coe.int/fre#{%22itemid%22:[%22001-113336%22]}

ANNEXE

Géoingéniérie: Quel impact sur la santé publique ?

Quels sont les risques potentiels d’ une exposition prolongée aux produits chimiques utilisés lors des épandages ?

La géoingéniérie ne fait plus partie des « théories du complot », les médias ( ARTE, TF1, Presse écrite) diffusent de plus en plus d’informations sur « la bonne » utilisation de la géoingéniérie, considérée comme l’outil miracle contre le réchauffement climatique.

Mais quel est l’impact de la pulvérisation de particules dans l’atmosphère pour les êtres humains et l’écosystème?

Il n’y a eu aucune divulgation publique sur la totalité des substances pulvérisées, aucun consentement éclairé et aucune enquête sérieuse sur les conséquences néfastes pour notre santé. Un débat public et scientifique doit avoir enfin lieu!

Actuellement, la pollution atmosphérique est la principale cause environnementale de maladies et décès dans le monde et elle augmente à un rythme alarmant( WHO). Rajouter une pollution volontaire et surtout incontrôlée dans l’atmosphère par la géoingéniérie pour un but plus que douteux doit être considéré comme criminel. L’ ACSEIPICA ne cesse d’alerter depuis des années sur les risques, rassemble des documents scientifiques et surveille la qualité de l’air et de l’ eau de pluie. La présence de plus en plus de particules de métaux dans l’air, prouvée par l’analyse des filtres à air par les organismes compétents et ce dans le monde entier (tableau), est en fait non contestée.

L’exposition aux particules de pollution de l’air inférieures à PM 2,5 est particulièrement préjudiciable à la santé humaine. Depuis 2012 les analyses d’eau de pluie prélevés par l’ ACSEIPICA confirment une augmentation très importante de métaux dans l’eau de pluie, ce qui prouve une pollution croissante de l’air et de l’eau (documents d’analyses joints). La présence de métaux comme Aluminium, Baryum, Strontium, Manganèse, Fer, Plomb, Titane, Arsenic, Cadmium etc. dans une concentration au dessus des normes en microgramme/litre inquiète de plus en plus de médecins et de scientifiques.

Il se rajoute alors à la pollution de l’air la pollution de l’eau de pluie qui contamine par la suite les nappes d’eau souterraines, les sources et notre eau potable, sans oublier la pollution des terres et des végétaux.

De nombreuses affections physiques et mentales sont provoquées par une intoxication chronique aux métaux lourds. En termes d’effets secondaires, ils sont susceptibles d’activer les lymphocytes T et donc d’induire une auto-immunité par un fonctionnement anormal de l’organisme par des maladies pulmonaires, cardio-vasculaires, neurologiques, le diabète, les AVC, cancers, la mortalité prématurée et l’épuisement chronique (Dr JP. Willem). Les états membres du Conseil de l’ Europe sont appelés à mettre en pratique les résultats des recherches les plus récentes et à restreindre l’usage de métaux lourds dans l’agriculture, l’industrie ainsi que dans le secteur médical, afin de limiter leur bio accumulation continue dans la nature, la chaîne alimentaire et, enfin, dans le corps humain ( Document 12613 du 12 mai 2011). Mais en ce qui concerne les émissions par la géoingéniérie … pas de réponse.

En 2017 le Haut Conseil de la Santé HCSP demande une politique limitant l’exposition de la population aux facteurs de risques de maladies neurologiques telle que l’aluminium dans l’eau du robinet. Certaines études selon la HCSP mettent en évidence un lien entre l’aluminium et le développement de maladies neurodégénératives comme Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Selon ces études la consommation de 100mg/L d’aluminium était associée à un risque accru de développer la maladie d’Alzheimer. Selon le rapport Qualio pour l’ ACSEIPICA du 20 04 2021 la concentration de l’aluminium dans l’eau de pluie était de 526mg/L. Pas étonnant que l’eau de pluie a été déclarée impropre à la consommation! Des prélèvements dans de nombreux pays et des régions souvent éloignées de l’activité industrielle montrent des résultats très inquiétants.

Les populations sont de plus en plus malades, à un âge de plus en plus précoce. Des bébés naissent avec des cancers, des jeunes en meurent, une personne sur deux va avoir un cancer dans sa vie. Nous constatons également une croissance significative des allergies, de l’asthme et des maladies de la peau. Bien sûr, les causes sont multifactorielles! Mais pour les maladies neurodégénératives le lien avec les métaux lourds est scientifiquement prouvé. Selon l’institut du Cerveau à Paris il existe 500 000 cas d’autisme en France. Cet institut confirme l’origine d’un accroissement spectaculaire de cette maladie par les composantes environnementales comme les pesticides et les métaux lourds. En France on compte 200 000 nouveaux cas d’ Alzheimer par an ce qui représente un coût très important pour la santé publique et tant de souffrance pour les familles … Ceci concerne évidemment une grosse partie de la population mondiale et en particulier des pays ou la géoingéniérie est pratiquée depuis de nombreuses années, voir la différence avec le continent africain jusqu’ici peu concerné.

Le Dr. Russel Blaylock, neurologue, publiait déjà le 12 Avril 2013 « L’Aluminium des chemtrails pourrait entraîner une explosion des maladies neurodégénératives »! Il existe des preuves que des tonnes de composés d’aluminium de taille nanométrique sont pulvérisées. L’effet de ces nanoparticules sur le cerveau et la moelle épinière est particulièrement inquiétant, comme en atteste le nombre croissant de maladies neurodégénératives. Des études ont montré que ces particules traversent les voies olfactives reliées directement à la zone du cerveau qui est la plus touchée par l’ Alzheimer. C’est aussi dans cette maladie que l’on retrouve le taux le plus élevé d’ aluminium dans le cerveau. Et il conclut: « Je prie pour que les pilotes qui pulvérisent ces substances dangereuses comprennent bien qu’ils détruisent la vie et la santé de leurs familles. Cela est également vrai de nos responsables politiques. Une fois que le sol, les plantes et les sources d’eau sont fortement contaminés il n’y aura plus moyen de réparer les dommages provoqués. »

Un autre fait inquiétant doit être abordé : les filaments aéroportés. Partout en France des personnes ont observé des filaments qui tombent du ciel ou qui recouvrent massivement les sols, des plantes ou des balcons. Le Laboratoire Analytica a eu plusieurs échantillons de filaments à analyser et le chef du laboratoire Bernard Taillez a affirmé qu’ils étaient d’origine synthétique et en aucun cas naturelle. Les filaments contiennent des perturbateurs endocriniens, des phtalates, des composants de lubrifiants et carburants, produits courants pour des moteurs thermique d’avions à réaction. Il conclut: « La nature n’y est pour rien. La main de l’homme est responsable. »

L’inhalation de ces filaments dans les voies respiratoires va provoquer une forte réaction inflammatoire dont on ne connaît pas les effets à long terme. Par les animaux qui broutent l’herbe et ingurgitent ces filaments, la chaîne alimentaire va être également contaminée!

En effet, il reste beaucoup de questions et d’inquiétudes mais les résultats de recherches présentés ici et ailleurs fournissent des preuves de plus en plus solides en faveur de notre hypothèse de la dangerosité des particules d’aérosols dispersés dans l’atmosphère, pour la santé humaine et de l’environnement.

Nous demandons l’application du principe constitutionnel de « Précaution » par l’état français.

Dr Bettina Khote-Faday, ACSEIPICA 22 août 2022

MARCHE MONDIALE pour dénoncer la géo-ingénierie lundi 22 AVRIL 2019

Jour de la Terre

Cette année, en plus, c’est le lundi de Pâques !

Nous vous invitons donc, où que vous soyez, à prévoir de marquer le coup !

Pour informer largement sur la problématique, le mieux sera d’aller à la rencontre du public dans les foires, marchés, rassemblements et festivités de toutes sortes qui auront lieu ce jour là près de chez vous.

  • Si rien n’est annoncé autour de chez vous, prenez l’initiative de lancer une action ! Si cela ne vous embête pas trop, vous deviendrez de ce fait ponctuellement référent pour votre localité. C’est le premier pas pour organiser une action adaptée à votre environnement et aux participants.
  • Nous en avertir par le forum de ce site, dans le groupe Facebook ou par mail afin de vous mettre en relation avec nos adhérents qui pourront grossir votre groupe.
  • si vous ne faites pas de marche mais un stand, parlez de « JOURNÉE MONDIALE »

Nous tenons à votre disposition tracts et affiches

Lettre ouverte de Claudia Von Werlhof à Greta Thunberg

Les véritables causes du désastre planétaire

Chère Greta Thunberg,

Comme tant d’autres, j’ai suivi vos activités et celles de tant de jeunes gens concernés par les problèmes dont souffre notre planète. Oui, c’est de panique dont nous avons besoin , plutôt que d’espoir sans fondement. C’est ce que je veux dire également et je suis heureuse que la jeunesse commence à agir enfin ! 

J’ai créé le « Mouvement Planétaire pour la Terre Mère »  dont je suis la présidente, mouvement fondé en Allemagne en 2010 et basé en Autriche (www.pbme-online.org). Ces dernières semaines des gens m’ont approchée pour me demander si je pouvais prendre contact avec vous. Donc j’essaie, car il y a un point très important :

La cause de tous ces terribles problèmes que nous observons sur la Terre n’est pas le CO2.

La raison en est la géoingénierie militaire, inventée pendant la 2nde guerre mondiale et développée depuis cette date mais restée secrète. Nous en avons été informés d’abord par le Dr Rosalie Bertell, une scientifique et religieuse catholique (Sœurs de la Charité de Montréal/Sœurs Grises) qui a travaillé avec les Nations Unies sur les problèmes environnementaux de la planète durant toute sa vie jusqu’à son décès en 2012. Son dernier livre : « La Planète Terre, Ultime arme de guerre » fût publié en 2000 mais ne fût pratiquement pas connu car l’éditeur fit faillite. Lorsque je fis la connaissance de Rosalie Bertell en 2010, nous avons fondé le Mouvement et avons traduit son livre en allemand, en y ajoutant toute sa connaissance complémentaire acquise depuis. Le livre existe à présent en espagnol, en italien et en français. Il explique l’histoire des technologies actuellement en train de détruire tous les systèmes de vie de notre Terre et en train de transformer notre planète en une arme de guerre et de destruction massive, comme R. Bertell le dit elle-même.

Je suis justement en train d’ajouter un chapitre -manuscrit en cours- sur la géo-ingénierie pour un livre, « Avertissement planétaire ! La géoingénierie est en train de dévaster notre planète », qui va être prochainement publié par les éditions Talma Studios à Paris; il contient des articles de 12 femmes d’Europe, du Proche Orient, et des Amériques concernant cette question qui expliquent le problème dans sa chronologie et sa complexité.

Le CO2 n’explique rien de ce qui se passe actuellement. Au contraire, il détourne tous les efforts pour comprendre dans la mauvaise direction, ce qui n’aide en rien pour surmonter les réels dangers qui sont encore beaucoup plus nombreux et plus graves que ceux annoncés couramment.  

Donc, c’est en qualité de grand-mère, vu mon âge, que je suis heureuse d’essayer au moins de vous transmettre un autre type d’information, à vous et à vos camarades, afin de surmonter la brèche entre la politique officielle et ce qu’il est nécessaire de faire maintenant, et de toute urgence.

Bien à vous,

Prof. Em Dr Claudia Von Werlhof, Université de Innsbruck, Autriche

Dans le lien suivant, vous trouverez des informations détaillées concernant la géoingénierie militaire, comme celles que nous donnons dans nos lettres d’information (Lien: Info Briefe), en plusieurs langues, ainsi qu’un essai du livre de Rosalie Bertell “Planet Earth: The Latest Weapon of War” et sa version allemande mise à jour : “Kriegswaffe Planet Erde” du Prof. em Dr. Claudia von Werlhof. (Lien: Earth as Weapon/Geoengineering as War)

A diffuser largement

Télécharger la lettre en pdf

Commander des exemplaires

Le discours de Greta Thunberg à la COP 24

la « grande nouvelle » du 21ème siècle

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique

La vie terrestre est en péril

En voici la preuve et les raisons clarifiées

 

Claudia von Werlhof (1)

PBME

PLANETARE BEWEGUNG FÜR MUTTER ERDE

PMME – PLANETARY MOVEMENT FOR MOTHER EARTH

MPPM – MOVIMIENTO PLANETARIO POR LA PACHAMAMA

 

  1. Info-Brief, April 2018

 

L’heure de vérité est venue:

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique – La vie terrestre est en péril. En voici la preuve et les raisons clarifiées.

Et maintenant ?

Du rayonnement cosmique létal atteint la surface de la Terre

Depuis le 4.4.2018, il n’y a plus de doute. Par-delà toutes les déclarations officielles et les spéculations sur l’augmentation du CO2 considéré comme menace pour la vie sur terre, il y a maintenant la preuve du contraire. Le rayonnement cosmique ultraviolet constitue la véritable menace pour la vie, il a déjà atteint la surface de la Terre parce que la couche d’ozone ne l’empêche plus d’entrer.

Cela signifie qu’une partie de l‘atmosphère, ce fameux et unique bleu de la planète Terre pour lequel tous les cosmonautes s’emballent, est en train de se dissoudre. L’atmosphère ne nous offre plus la protection qu’elle a élaborée au cours de la vie de la Terre. C’est en particulier la couche d’ozone, qui assure cette protection, qui est en train de disparaître. Déjà, à la fin du Permien, il y a  250 millions d’années, presque toute la vie sur Terre a disparu parce que plus rien ne poussait. L’extinction dite «la grande extinction » est probablement due à la même cause (Gabattis 2018).

Aujourd’hui, le problème consiste non seulement dans l’existence des fameux trous de la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique et de l’Arctique aussi, lesquels  malgré les attentes ne se referment pas (Titze 2018) mais aussi dans le fait qu’en même temps la couche d’ozone dans son ensemble est devenue tellement faible qu’elle laisse passer le rayonnement cosmique partout. Jusqu’à présent, on avait toujours nié que cela soit possible.

L’auteur de ce terrible message est le Dr. Marvin Herndon, avec Raymond Hoisington et Mark Whiteside ; ils viennent de publier leurs résultats respectifs de recherche scientifique dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, 14 (2): 1-11, 2018, Article no. JGEESI.40245, sous le titre suivant: „Deadly Ultraviolet UV-C and UV-B Penetration to Earth´s Surface: Human and Environmental Health Implications”, en français:

Pénétration mortelle des rayons ultraviolets UV-C et UV-B à la surface de la Terre: implications pour la santé humaine et l’environnement

Dans l’article, les auteurs expliquent que le rayonnement UV-B est “un facteur de stress“ ayant d’importants effets négatifs sur la survie et la croissance des organismes marins et d’eau douce, comme par exemple le plancton dans sa forme végétale ainsi qu’animale. Cela réduit et menace la source d’approvisionnement de la vie marine. D’ailleurs, le rayonnement UV-B peut nuire à la photosynthèse, empêcher la croissance et endommager les taux métaboliques du monde sous-marin ; il peut perturber les communautés de récifs coralliens et les détruire en les blanchissant et causer l’instabilité du génome chez les plantes. Cependant, le rayonnement UV est nocif aussi pour les sols,  pour les arbres dont il modifie l’environnement biologique et chimique. Les conifères peuvent développer des pollens appauvris, leur reproduction peut être perturbée et ils peuvent même devenir stériles. La toxicité des UV-B est bien connue. Elle s’applique également à d’autres êtres vivants.

Le rayonnement UV-C, à son tour, a des effets létaux sur les insectes et les micro-organismes. Il mène les plantes à une mort cellulaire programmée. Il suscite des dommages cellulaires chez les rats et pour le moins des lésions de la peau chez l’homme selon la durée de l’exposition au rayonnement UV-C.

Dans l’annonce de la publication il y a un résumé – (début de citation) :

Dernière nouvelle

La Trans dyne Corporation révèle

Des rayons ultraviolets mortels atteignent maintenant la surface de la Terre

San Diego, 2 avril 2018

“On croit généralement que l’ozone atmosphérique bloque la partie mortelle du rayonnement solaire, les UV-C et la plupart des UV-B, et l’empêche d’atteindre la surface de la Terre. Une publication scientifique récente remet cette hypothèse en question.

Publié cette semaine dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, l’article de J. Marvin Herndon, PhD, de la Transdyne Corporation, Raymond D. Hoisington de iRay SpectraMetrics, et Mark Whiteside, MD, MPH, médecin du Ministère de la Santé de Floride, confirme la preuve publiée par la NASA en 2007 mais dont elle n’a  pas assuré le suivi. »

La NASA était informée depuis des années

Il y a onze ans, des scientifiques de la NASA ont publié la première preuve que le rayonnement UV-C et UV-B pénétrait la couche d’ozone et atteignait la surface de la Terre. Cette preuve est maintenant confirmée par Herndon et al. Après l’article de D’Antoni et al. en 2007 qui montrait que les UV-C et UV-B atteignaient la surface de la Terre, la NASA n’a mené, contrairement aux protocoles éthiques,  aucun suivi dans la recherche, malgré les graves implications de ses propres résultats.

Il est dit dans cet article : « En science lorsqu’on fait une découverte qui contredit la compréhension actuelle, les scientifiques ont la responsabilité de tenter de réfuter cette découverte au-delà de tout doute raisonnable. S’il est impossible de le faire, les implications de cette nouvelle découverte devraient être discutées dans la littérature scientifique. L’article de 2007 D’Antoni et al démontrant que le rayonnement UV-C atteignait la surface de la Terre aurait dû faire l’objet d’intenses recherches de la part de la NASA pour deux raisons, l’une scientifique et l’autre éthique. »

En dépit de l’implication des découvertes de la NASA en 2007 pour la science atmosphérique et malgré leurs profondes implications pour la santé humaine et l’environnement, la NASA s’est abstenue de mener plus loin la recherche. Cette non-action soulève la question : la NASA est-elle complice d’une activité mondiale secrète telle que de la « défense nationale » militaire sous forme de pulvérisation aérienne de cendres volantes de charbon toxiques, ce qui pose de sérieux risques pour la vie sur Terre?

Depuis au moins 20 ans, avec une augmentation continue en quantité et en durée, les militaires ont commencé à pulvériser des particules dans la zone où les nuages se forment pour manipuler et transformer l’atmosphère et les conditions météorologiques en armes de guerre. Les résultats d’analyses d’échantillons de pluie et de neige correspondent à la composition des cendres volantes de charbon toxiques, celles-ci constituant la principale substance utilisée dans les aérosols. Depuis environ 2010, ces pulvérisations aériennes sont devenues des opérations quasi quotidiennes et planétairement généralisées.

Comme le révèle cet article, les pulvérisations aériennes déposent d’énormes quantités de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphère ; tous ces éléments ont le pouvoir de détruire la couche d’ozone… D’autres substances contenues dans les aérosols de cendres de charbon volantes, y compris les nanoparticules, pourraient nuire à l’ozone atmosphérique.’

L’affaiblissement de la couche d’ozone est maintenant mondial et permet à des rayons ultraviolets mortels d’atteindre le sol. L’article note aussi : ‘Le rayonnement ultraviolet est le composant le plus nocif et génotoxique du spectre solaire. Les effets mutagènes et létaux du rayonnement solaire présentent deux maximums, et les deux se trouvent dans la zone UV du spectre.’

En introduction, les auteurs « fournissent des informations sur les effets dévastateurs des UV-B et UVC sur les humains, le phytoplancton, le corail, les insectes et les plantes. »

Les militaires pourraient considérer tout cela comme des ‘dommages collatéraux’, mais cela est beaucoup plus grave car cela menace virtuellement toute la vie sur Terre”.

(Fin de la citation)

(Informations et pdf: http://www.nuclearplanet.com/uv.html

Source: J. Marvin Herndon, Ph.D. Transdyne Corporation Email: mherndon@san.rr.com

Site Web: http://NuclearPlanet.com

Figure 1, Traînées de particules de cendres volantes toxiques pulvérisées par avion au-dessus de Soddy-Daisy, TN (USA) avec la permission de David Tulis.

Figure 2, Mesures spectrométriques solaires. Notez la mesure de 2002 qui illustre la fausse idée communément admise, de l’absence de rayonnement UV-C à la surface de la Terre.

 

D’autres raisons pour la mort de l’ozone: La géo-ingénierie militaire dans son ensemble

Voilà pour ce qui concerne Herndon et al. Si nous revenons à l’étude de Rosalie Bertell “Planète Terre, la dernière arme de la guerre“, il devient clair que la pulvérisation de nanoparticules dans l’atmosphère (que l’on appelle « gestion du rayonnement solaire – « solar radiation management » ou SRM), que visent aujourd’hui également les géo-ingénieurs civils, a contribué à la destruction de la couche d’ozone, et continue d’y contribuer, de plus en plus:

  1. La radioactivité:

Il y eu 2.200 essais nucléaires, y compris ceux des bombes à hydrogènes, en particulier dans l’atmosphère entre 1958 et 1998 dont les deux tiers furent menés par les États-Unis et l’autre tiers par l’Union soviétique ; à cela s’ajoutent les dommages causés par des accidents des centrales nucléaires, de Harrisburg et Tchernobyl à Fukushima laquelle, depuis 2011,  doit être considérée comme une catastrophe nucléaire majeure qu’on ne peut stopper, et qui est responsable de l’apparition du trou de la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique ; en outre, il y a la nano poussière d’innombrables tonnes de munitions à uranium (UA – l’Uranium appauvri) qui proviennent pour la plupart des déchets de l’industrie nucléaire) et dont on a fait usage dans toutes les guerres depuis la première Guerre du Golfe, dans les Balkans et au Moyen-Orient ainsi qu’en Afghanistan (récemment Hänsel 2017) ; de plus, il y a certainement de la contamination radioactive dont on ne sait rien (secret militaire),  et de la contamination non comptée comme celle de l’activité normale des centrales nucléaires. Wilhelm Reich a déjà prouvé dans les années 50 que la radioactivité détruit l’énergie vitale qu’il appelait «l’Orgone » principalement celle de l’air (voir Senf 2003).

  1. Les vols supersoniques contribuent à la destruction de la couche d’ozone dans l’atmosphère (c’est pourquoi le projet du Concorde qui visait à introduire le vol supersonique dans le trafic aérien civil a été abandonné).

  2. Le lancement d’une fusée contribue à la destruction de l’atmosphère en raison des propulseurs de la fusée, dont certains comme ceux de la sonde Cassini en 1997, fonctionnent au plutonium.

  3. L’irradiation de la ionosphère avec des milliards d’ondes artificielles pulsées, à grand coups de watts, par les « réchauffeurs ionosphériques », ces installations dispersées dans le monde entier, du type « HAARP » en Alaska réchauffe l’ionosphère et la charge fortement, ce qui la coupe et y fait des trous (voir Begich/Manning 2001). Les ondes traversent toujours la couche d’ozone sous-jacente.

  4. Les activités « Star Wars » des militaires depuis l’espace, l’utilisation de satellites et la formation de quadrillages électroniques qui visent à surveiller, contrôler et influencer énergétiquement l’espace aérien de toute la Terre (Freeland 2018) sous la forme d’un verrouillage planétaire sont à l’image des activités militaires terrestres.

  5. Les micro-ondes, la transmission d’énergie sans fil, les antennes relais et en général la production terrestre d’ondes électromagnétiques comme la radiographie en médecine, dans l’industrie alimentaire et au quotidien.

  6. Même le trafic aérien « normal » est devenu un agent malfaisant de l’affaiblissement de la couche d’ozone (Herndon 2017, Loppow déjà en 1993), sans parler de l’émission de métaux lourds et autres substances toxiques dans la troposphère et dans la stratosphère, ce que Herndon a notamment mentionné.

Tout ce programme est mis en œuvre par la géoingénierie militaire en cours du CMI, le complexe militaro-industriel (voir Werlhof 2018).

 

Que faire?

Nous expérimentons un processus de destruction en continu. Il a apparemment atteint maintenant un point de changement radical, autrement dit, il a commencé à devenir irréversible. Il n’a pas fallu plus de 50 ans pour cela si l’on compte à partir de la découverte non reconnue des rayonnements UV-B et UV-C sur Terre par la NASA en 2007. Ce n’est pas long si on considère que ce processus a déclenché des effets planétaires qui ne font rien d’autre que menacer notre vie sur Terre et qui vont même y mettre fin si nous,  les êtres humains – ne faisons pas ce qu’il faut maintenant.

Or, la catastrophe a déjà commencé il y a longtemps: le « printemps silencieux » que Rachel Carson a prédit dans les années 60 (Carson 1962) est déjà là. On remarque une baisse de la population d’oiseaux et d’insectes de 40 à 70 %, le blanchissement des coraux dans les mers, des vides dans l’Océan Pacifique depuis Fukushima et l’extinction quotidienne d’ espèces d’animaux et de plantes (WWF 2008).

Il est évident qu’il faudrait mettre fin presque immédiatement au processus de destruction de l’atmosphère par la géoingénierie  militaire afin que la Terre ait une chance de guérir les blessures qui lui ont été infligées, en particulier l’affaiblissement de la couche d’ozone. Combien de temps cela prendrait-il ? Et : Y aurait-il assez de temps pour sauver la vie terrestre et la renouveler ? Ou bien avons-nous déjà laissé passer cette chance ? Cela serait le cas si les effets ressentis aujourd’hui n’étaient que la première étape d’une série dont certains ont besoin de 40 à 60 ans pour être perçus. Ainsi, tout le reste suivrait et nous ne serions qu’au début de ce qui est déjà en marche …

On estime en général qu’il faut 50 ans à la couche d’ozone pour se reconstituer (cf. Ozon). Or, cela ne s’est pas encore réalisé parce que les conditions n’étaient pas du tout réunies. Il y a même eu des tentatives pour attaquer la couche d’ozone directement et y faire des expériences qui s’apparentent à l’ingéniérie climatique, comme par exemple produire un trou dans la couche d’ozone au-dessus d’un territoire ennemi. Néanmoins, le responsable Harry Wexler a expressément lancé un avertissement avant sa mort (Wexler 1962, voir Fleming 2018). Cependant,  aujourd’hui, on est étonné que la couche d’ozone soit aussi mince que jamais et cela juste au-dessus nos têtes (Läubli 2018), donc loin des trous de la couche d’ozone!

Quelle que soit la façon dont on comprend les choses, nous devons agir sur les causes de la disparition de l’ozone dont nous n’avons généralement pas eu connaissance jusqu’à présent et/ou qu’on nous a cachées. Il n’y a aucune autre alternative. Ne faire rien n’est pas une option et signifierait que nous consentons au suicide de l’humanité et à la mort de toute la vie terrestre en général.

Cependant, la thèse précédemment défendue par la communauté scientifique, prétend toujours que ce sont les substances CFC des réfrigérateurs qui seraient la cause des trous dans la couche d’ozone. Ayant interdit les CFC, on a espéré une diminution de ces trous. Or, ce n’est pas arrivé (Titze 2018, voir Ozon). La radioactivité et d’autres substances ou d’autres procédés n’ont jamais, en aucun cas, fait partie du débat parce que le militaire est tabou et peut faire tout ce qu’il veut. C’est ce que finalement nous avons appris récemment par la Commission Européenne lorsque nous, groupe de militants européens, les « Skyguards », avons demandé au Parlement Européen au moyen d’une pétition, de vérifier la géoingénierie et ses effets pour la deuxième fois (1999 puis 2013 -Fraile 2018). La réponse d’en haut fut que les activités militaires ne concernaient pas le Parlement.

Cependant, si ces activités même sans guerre, menacent toute la vie sur Terre et sont en train de la détruire, alors quoi ?

Jusqu’à présent, un tel point de vue n’avait pas du tout sa place dans la discussion publique et en cas de doute, on le considérait comme un fatalisme minable ou une théorie de conspiration. Or, maintenant on a la preuve que c’est vrai et de quelle façon c’est effectivement le cas. Même ceux qui le  savaient déjà ont maintenant la preuve en main. Cela change tout.

Cette preuve est « la grande nouvelle»  du 21ième siècle.

Pour la première fois et pour tous les habitants de la Terre il n’existe pas de message plus important. Maintenant tout le monde peut le savoir et personne ne peut prétendre n’en avoir rien su. Cela n’aiderait en rien. Il ne s’agit plus de justifications éventuelles mais de la question suivante: sommes-nous capables, nous, prétendument « Homo Sapiens » de sauver, dans les faits, la vie terrestre ou pas ? Étant donné qu’éventuellement nous avons permis à quelques-uns d’entre nous de prendre ce risque sciemment ou à notre insu. Toutefois, qui comprend cette nouvelle parmi toutes les effroyables nouvelles qui nous inondent constamment? Qui « l’entend » et entend son « appel »? Qui la laisse pénétrer sa carapace ? Qui s’en effraye ? Qui tombe des nues ? Qui reconnaît la vérité crue, indicible qu’elle nous annonce ?

Or, malgré nos réactions ou notre refus de réaction, cette nouvelle a déjà changé le monde. Il y a un Avant et un Après, quoi que nous en pensions. Objectivement, à partir de maintenant, tout prend une signification différente, quoi que nous fassions ou que nous évitions de faire, et quoi que nous en pensions: pour la première fois dans l’histoire, nous avons la preuve que nous, humains, avons ont déjà mis la planète elle-même en danger, que nous parvenions à la sauver ou pas – avec la vie dans, sur et au-dessus, la nôtre incluse.

Il est clair que le tabou autour du militaire doit tomber. Cependant, les mouvements sociaux et les politiciens qui plaident pour « la justice climatique » et la fin de l’émission civile du CO2 doivent s’occuper immédiatement du fait qu’ils croyaient, sciemment ou pas, à un mythe et que le problème est tout à fait différent. Repenser les choses de manière radicale va être nécessaire …

Un sursaut mondial est nécessaire

En d’autres termes, maintenant que la preuve de ce vrai problème est immanquablement sur la table, il faut un soulèvement mondial, suivi d’un mouvement également mondial qui ne se laisse pas déconcerter ni entraîner dans la confusion. Cependant les militaires n’arrêteront pas d’eux-mêmes de faire ce qu’ils font – il y a au moins onze ans qu’ils savent ce qu’ils font ! Et ceci ne doit pas être la seule chose qu’ils savent sans que nous le sachions. Actuellement ils essaient de transférer leurs programmes à la vie civile dans les universités du monde, au moyen de la soi-disant géoingénierie civile,  une stratégie qu’ils poursuivent depuis toujours, parce qu’il devient de plus en plus difficile pour les militaires de se débarrasser de leurs « réussites ».

Donc, nous devons garantir ce changement. En fait, nous n’avons pas d’autre choix et avant tout, pas le temps. Cela est vrai pour chacun d’entre nous, c’est-à-dire « l’humanité » elle-même. Cela paraît incroyable mais du point de vue d’une appréciation objective, « nous » devons objectivement parvenir à ce que :

  1. Aucune nouvelle radioactivité ne soit produite

  2. Les militaires cessent le vol supersonique

  3. Aucune fusée lancée dans l’espace

  4. Tous les réchauffeurs ionosphériques fermés

  5. Les satellites mis à l‘arrêt et aucun nouveau installé

  6. la transmission d’énergie sans fil et

  7. le trafic aérien largement ralentis

Il ne semble pas qu’il y ait la moindre chance de gagner sur un seul de ces points, où que ce soit. Et pourtant, c’est ce qui est au programme, que cela fonctionne ou pas et que nous le voulions ou pas.

Ou bien est-ce que nous, humains, voulons perdre, ensemble les animaux, les plantes de la Terre et les bases élémentaires de notre propre vie, sans même avoir résisté, sans même comprendre ce qui se passe parce que, parce que nous n’avions pas connaissance de notre propre technologie et donc, ne pouvions pas nous y opposer, sans parler des machinations qui se trament par derrière… ? (voir BUMERANG 3/2018).

Il en est ainsi, subitement. Tout se révèle complètement différent de ce que nous avons l’habitude de penser. Il n’y a pas d’erreur ; il n’y a plus de doutes. C’est une nouvelle époque. L’heure de vérité a sonné. Maintenant c’est à nous de jouer, que cela nous plaise ou pas, que nous soyons préparés ou pas et que nous en soyons capables ou pas. Que la vie terrestre s’arrête ou non dépend de nous – et ceci très rapidement car les causes persistent et se développent continuellement.

Rosalie Bertell a déjà dit en 2000 que si le trou de la couche d’ozone doublait, il n’y aurait plus d’agriculture sur Terre. Or c’est sur le point de devenir encore pire que cela.

Nous ne pouvons pas attendre que plus rien ne pousse avant de commencer à faire quelque chose. C’est évident, n’est-ce pas ?

Ça va être un sacré réveil !

 

  • Je remercie Maria Heibel pour ses informations et références

Traduction: Denise et Claire Henrion (à partir de la version anglaise)

 

Bibliographie:

Begich, Nick und Manning, Jeane: Löcher im Himmel, Michaels Verlag, Peiting 2001

Bertell, Rosalie: Planet Earth. The Latest Weapon of War, London 2000, The Women´s Press

___: Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausen 2013 und 2016, J.K. Fischer

BUMERANG 3, www.fipaz.at/bumerang, 2018

Carson, Rachel: Der Stumme Frühling, Beck, München 1962

Dönges, Jan: Ozonloch wirkt offenbar bis in die Tropen.

Das Ozonloch zieht nicht nur Flora und Fauna in Mitleidenschaft, sondern ändert auch das Klimagefüge der Erde. Der Effekt erstreckt sich bis in den tropischen Pazifik, News 14.6.2017

Fleming, James Roger: http://www.nogeoingegneria.com/news-eng/was-harry-wexler-the-man-who-caused-the-ozone-hole/, 2018

Fraile, Josefina: Geoengineering: The truth hidden in the Paris’ Climate Agreements or the moral incapacity of the United Nations to defend the common good, in Werlhof, C.v. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Freeland, Elana: Under an Ionized Sky, Feral House, Port Townsend WA 2018

Gabbattis, Josh: The Great Dying’: World’s worst-ever extinction event ’caused by UV radiation’, News, 8.2.2018

Hänsel, Rudolf: Der Krieg, der nicht zu Ende geht, in: Neue Rheinische Zeitung, NRhZ, Köln, v. 16.10.2017

Herndon, Marvin: http://www.NuclearPlanet.com/uv.html, 2018

____: http://www.thehindu.com/sci-tech/energy-and-environment/aeroplanes-may-be-affecting-ozone-monsoon/article19498497.ece, 2017

Läubli, Martin: http://www.sueddeutsche.de/wissen/atmosphaere-die-ozonschicht-ist-so-duenn-wie-noch-nie-1.3856013. SZ, 7.2.2018

Loppow, Bernd: Himmelfahrtskommando Luftverkehr? Zeit-online, 5.3.1993, http://www.zeit.de/1993/10/himmelfahrtskommando-luftverkehr

Ozon: http://www.ozonelayer.noaa.gov/science/basics.htm

Senf, Bernd: Die Wiederentdeckung des Lebendigen, Omega, Aachen 2003

Titze, Sven: Die Ozonschicht erholt sich nicht wie erwartet, NZZ, 6.2.2018

Werlhof, Claudia von: Geoengineering: From Geo-Weaponry to Geo-Warfare, in dies. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Wexler, Harry: http://www.colby.edu/sts/wexlerozone.pdf, 1962
WWF: Abschied der Arten, Frankfurt 2008

Lettre ouverte au Maire de Nice

Monsieur Christian Estrosi

 

Claire Gillespie

24 rue Alphonse Karr

06000 Nice

 

Nice, le 25 janvier 2018

à Monsieur Christian Estrosi,

Maire de Nice

06000 MAIRIE DE NICE

LETTRE OUVERTE

Objet : Épandages inquiétants dans notre notre ciel (géo-ingénierie ?)

Monsieur le Maire,

Avez-vous pris le temps de regarder notre ciel ? Il s’y passe des phénomènes perturbants….

Où est passé le bleu profond de notre ciel d’azur qui durait pendant des jours ….. et sa luminosité ? … et les couleurs douces des paysages de notre région ? Ou sont passé les orages qui éclataient au printemps et en automne ? Prenez le temps Monsieur le Maire de regarder notre ciel …. et ce qu’il devient ….

 

Depuis plusieurs années, je suis témoin (et je ne suis pas la seule !) d’ épandages d’avions probablement civils et militaires (les couloirs de ces avions étant différents et les pulvérisations proviennent de ces différentes hauteurs), à fréquence quasi quotidienne, de manière importante et avec une conséquence effrayante sur la qualité de notre ciel, de notre air et des rayonnements du soleil.

 

Ces perturbations se sont étonnamment accentuées depuis la COP21 (fin 2016). Les traînées que tracent les avions sont parfois assez basses (pas toujours), très longues, elles quadrillent le ciel et s’étalent, particulièrement devant le soleil, transformant rapidement un ciel bleu d’origine en un ciel laiteux, en le recouvrant d’un voile ou de nuages jamais vus auparavant. Très souvent une couche cotonneuse opaque s’installe dans le ciel au lieu des nuages que nous avions l’habitude d’y voir circuler. D’ailleurs, ce ne sont plus des nuages mais des formations artificielles. Je ne pense pas vous étonner en portant à votre connaissance ma protestation et ma colère qui sont aussi celles de nombreux citoyens.

 

En qualité de maire, vous êtes responsable envers vos administrés, en matière de Santé-Environnement des pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article 1.2212-2 du Code Général des collectivités territoriales), je ne peux donc, que me tourner vers vous, dans un premier temps, pour exprimer mes craintes et mon questionnement quant aux risques d’une dégradation irrémédiable de notre atmosphère et par conséquent de la santé des êtres (humains, animaux, insectes, végétaux) qui en dépendent.

1/3

Que sont ces épandages incessants dans notre ciel ? Quelle en est l’origine ? Quelles sont les particules contenues dans ces traînées qui retombent forcément vers le sol portant un préjudice certain et grave à tout être vivant lorsqu’on sait que certains métaux lourds et autres éléments inquiétants participent de leur composition (des analyses en témoignent).

 

Il faut bien différencier :

  • d’une part le problème de pollution grave causée par la circulation accrue et régulière des avions de ligne, dont les tarifs ridiculement bas encouragent le développement irresponsable (quand on a à l’esprit la dégradation et le réchauffement de notre climat) au dépend de la qualité de notre air. Il suffit d’observer la couche épaisse de pollution jaunâtre-marron sur l’horizon, que l’on distingue parfaitement du sol, ou vue d’avion, à laquelle s’ajoute la perte de transparence de l’air, pour s’inquiéter sérieusement de cette situation !
  • d’autre part, et c’est l’objet de mon courrier, celle d’un autre genre, dont la mission est liée à la géo ingéniérie, avec épandages réels, volontaires et abondants de particules (voire de nano particules) pour des raisons dont vous avez peut-être connaissance et dont nous aimerions être rapidement informés.

 

Pour cette deuxième catégorie, vous, votre famille, vos amis, peuvent aussi constater la présence de trop nombreux avions et de leurs traînées qui s’étalent à des heures irrégulières dans le ciel, de façon quotidienne (sauf exception), à la vue de tous, décrivant des formes jamais vues (des croix, des arcs de cercle, des quadrillages, des triangles ….). Parfois c’est un véritable feu d’artifice d’avions et de leurs longues traînées blanches qui, assez rapidement, s’élargissent, s’étalent, pour former une couverture ouateuse. J’ai pu compter jusqu’à 10 avions en même temps pulvérisant leurs particules dans notre magnifique ciel d’Azur qui bientôt n’aura d’azur plus que le nom ! (Vous trouverez ci-joint quelques photos  qui illustrent mon propos).

 

Du fait de ces particules en suspension dans l’air le soleil n’éclaire plus de la même façon. Il est devenu froid, son éclat est particulièrement aveuglant, il n’a plus la lumière douce et généreuse qu’il diffusait encore jusqu’autour des années 2000, le paysage lui-même n’est plus éclairé de la même façon. L’air est de plus saturé de particules et les montagnes sont souvent à peine visibles.

 

Cet état devrait alerter les pouvoirs publics qui ont en mains tous les outils d’observation et d’analyse dont la population assure le coût au travers de ses impôts. Il est donc impératif qu’elle puisse bénéficier de ces outils.  Les contrôleurs de la navigation aérienne et les pilotes des avions de l’aéroport de Nice peuvent apporter leurs témoignages …. . Cette insanité doit être dénoncée officiellement et doit cesser.

 

Des analyses ont été faites auprès de laboratoires indépendants qui mettent en évidence des taux élevés d’aluminium, baryum, fer, plomb, etc… pouvant provenir du carburant des avions mais aussi des particules composant ces trainées relevant de la géoingéniérie. Plus amples analyses pourraient être menées de l’air, de l’eau de pluie pour confirmer et compléter les résultats dont nous disposons.

 

2/3

 

Ces éléments extrêmement toxiques expliquent que nos arbres tombent malades et ne peuvent plus lutter contre les parasites qui les envahissent (palmiers, marronniers, figuiers, acacias, buis, cyprès  ……..). Il en est de même des êtres humains où la maladie devient la règle et la bonne santé l’exception ! Y a-t-il une corrélation entre ce que nous respirons et notre état de santé ?

 

Des brevets prouvent l’existence et la dangerosité de ces mélanges épandus (comme par exemple le Brevet Welsbach n° US5003186 Hughes Aircraft Company -1991- contenant des particules d’oxyde de métal comme le dioxyde de thorium, l’oxyde d’aluminium).

 

Monsieur le Maire j’espère que vous aurez pris la mesure de ce qui précède et que vous voudrez bien y apporter une suite de la manière que vous estimerez la plus appropriée possible. Je vous demande de bien vouloir intervenir pour que notre ciel azur nous revienne …

 

Veuillez recevoir, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.

P.J. : quelques photos récentes du ciel de Nice

 

 

 

CC à : Nice Matin, ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques), Ciel Voilé.

Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas qu’ils se font asperger comme des insectes que l’on veut éliminer?

Pourquoi ne voient-ils pas l’incroyable quantité d’avions et leurs traînées anormales ?

Pourquoi ne comprennent-ils pas la guerre dont ils sont les victimes … et les acteurs  ignorants et zélés ?

La première condition pour que ça cesse, c’est de reconnaître que ça existe …

1.       Notre civilisation nous conditionne à être aveugle

Quand j’ai vu, pour la première fois de ma vie, des traînées persistantes produites par des avions volant manifestement beaucoup plus bas que l’altitude requise pour former une traînée de condensation (c’est-à-dire 8000 mètres comme je l’avais appris auparavant en étudiant la météorologie de montagne), c’était au Québec, le 26 décembre 1999, alors que la France subissait la double tempête la plus mémorable de son histoire (mais à ce moment-là, je n’en savais rien). Un frisson d’horreur m’a parcouru l’échine. «Ils» font ça! Ils vont jusque-là dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au non-respect de la vie! J’appris ensuite le même jour d’une habitante locale du petit village où je me trouvais, du nom charmant de Saint Adolphe (!), que le Canada subissait ces traînées depuis 1995. De retour en France, je l’ai oublié jusqu’à ce qu’un manège d’avions quadrillant le ciel en produisant le même type de traînées se déroule sous mes yeux, de ma fenêtre, le 16 mai 2002. Depuis, cela n’a pas cessé et n’a fait que s’intensifier.

L’horreur et la révolte qui m’ont saisie à la vue de ces premiers épandages manifestes de produits toxiques dans le ciel ont pourtant fait place en moi dans un premier temps à un formidable espoir: tout le monde allait vite s’en rendre compte et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, de la croyance naïve que les dirigeants du monde œuvrent pour le bien des peuples et que les armées nous protègent; la croyance naïve que la technique et la chimie de synthèse pouvaient résoudre les souffrances de l’humanité –alors qu’elles ne font que l’engendrer et l’infligent aux autres créatures. Ce n’était que le mal ou signal nécessaire à l’ouverture des yeux et du cœur des êtres humains, à leur prise en main de leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et tout simplement, au respect de la Vie. L’occasion de tourner la page de 5000 ans d’impérialismes, ayant engendré tant de souffrances humaines, de destructions de la Nature et de la Connaissance.

«Il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel»[1]. Pourtant, la plupart de ceux qui promeuvent ces phrases ne voient pas ces grands signes dans le ciel, tracés tous les jours par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.

Comment est-il possible de perdre à ce point son instinct de survie ?

Mais que se passe-t-il dans notre cerveau?

Nous sommes en 2017. Les chaines de montage de l’aérospatiale dans notre région de Toulouse, tournent à plein rendement et sans relâche pour produire des avions. Mais qui donc en achète autant? … Heureusement, le nombre de ceux qui constatent quelque chose d’anormal dans le nombre d’avions qui circulent, leur altitude, leurs traînées et leurs effets sur l’atmosphère, la météo et la santé, augmente de jour en jour. Un constat de fait est une priorité vitale ; il est  nécessaire que cela cesse au plus vite. C’est le point focal, celui qu’il faut viser pour démonter la clé de voûte de tout l’édifice de mensonge qui empoisonne aujourd’hui complètement notre santé, notre mental et l’environnement: la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et tous les domaines de notre vie quotidienne, la pharmacopée, les vaccins, les OGM, la cacophonie dans toutes les longueurs d’onde et tout le reste de la panoplie nucléaire, bactériologique, électromagnétique et climatique des apprentis sorciers qui tiennent les manettes des commandes du monde.

L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète, “Overcast”[2].

Cela a commencé parce que …

L’histoire récente est particulièrement bien étudiée par Claire Séverac dans son livre “La guerre secrète contre les peuples[3]”. Dans cette enquête, menée avec brio, elle remonte la trace juridique et évènementielle des tractations internes au complexe politico-militaro-industriel de ces 150 dernières années qui aboutissent aux épandages aériens et aux interventions électromagnétiques d’aujourd’hui. Mais pourquoi font-ils cela? – “parce que nous les laissons faire“ dit Muchael Murphy[4] Comment envisager une issue à cette situation dramatique ?

Comme j‘ai à cœur de réveiller la conscience de notre être primal, originel, « dont l’ignorance fatale couronne l’obscur règne »[5] », je me suis consacrée à approfondir d’une part les concepts qui soutendent les valeurs de nos sociétés actuelles, et d’autre part le fonctionnement  de notre cerveau.

“les êtres humains ne prêtent pratiquement pas attention aux causes fondamentales, premières, de chaque chose. C’est ce dont l’humanité ne veut pas se soucier, nous n’avons pas envie d’y penser.”[6]». Selon Noberto Keppe[7], cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui consiste à penser que l’énergie sort de la matière et non pas l’inverse. Certes, nous nous laissons bien souvent abuser à nos dépends mais n’avons-nous pas aussi une paresse fondamentale à réviser nos croyances ? A nous occuper du ménage au fond de l’âtre de notre vie, où les cendres s’accumulent si vite ?

Claudia Von Werlhof[8], elle, l’analyse comme étant la “haine de la vie”, concept fondamental de toutes nos civilisations impérialistes, jamais remis en question: il s’agit de détruire ce qui est, pour reconstruire selon un « idéal ».

Je vais donc commencer par retracer l’histoire évènementielle, puis j’exposerai brièvement quelques chapitres éclairant cette recherche des causes fondamentales :

  • la désescalade de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis les origines de l’Histoire.
  • la naissance et l’accouchement aujourd’hui, qui illustrent et conditionnent la perpétuation d’un protocole diamétralement opposé à la physiologie[9]
  • la scission de la “Mère des sciences“: Astronomie et Astrologie
  • le fonctionnement du cerveau humain

Histoire récente des compagnies industrielles, chimiques et pétrolières

Les scientifiques qui s’interrogent sur l’éthique de la science aujourd’hui constatent qu’elle n’est menée que par ceux qui la financent[10]. Or, ceux qui la financent sont depuis plusieurs siècles les détenteurs des richesses du sol et du sous-sol. Ils sont aujourd’hui, plus précisément depuis la fin du 19e siècle, les consortiums du pétrole, des produits chimiques et des médicaments. Ils interviennent soit directement, soit sous couvert d’institutions officielles, celles de l’Europe notamment. Comme en témoigne le Dr Rath[11], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, vite « blanchis » après la deuxième guerre mondiale, c’est à dire les promoteurs de ces sociétés (Bayer, IG Farben …) qui ont précédemment œuvré à leur montée au pouvoir en Allemagne dans les années 30[12].

Un amplificateur: La prohibition du chanvre

Petit encart sur un sujet corrélé, rarement, si ce n’est jamais, mentionné comme tel: la prohibition du chanvre/cannabis. C’était la plante la plus commune à la surface de la planète. Au 19e siècle, les citoyens américains étaient tenus de cultiver un arpent de chanvre et payaient leurs impôts en chanvre[13]. En Europe également, toute ferme avait sa chanvrière. Le chanvre a beaucoup de bienfaits pour la santé des gens et des sols et  beaucoup d’utilités communes. Mais il était trop concurrentiel pour les plastiques, les produits chimiques et pharmaceutiques, aussi il fut soudainement interdit. Cela s’est passé dans les années 1930, d’abord en France (1934), puis aux USA (1937), sous la pression des lobbies puritains et des sociétés chimiques. Depuis cette époque, la fleur de chanvre, le fameux “cannabis” ou “marijuana” a été rendu démoniaque et banni comme une drogue dangereuse, alors qu’elle est réellement efficace pour relier les deux hémisphères du cerveau et nettoyer la glande pinéale. Il est difficile de mesurer à quel point, sa consommation, très répandue et pourtant illicite, entretient le moral et la santé du peuple, mais il y fort à parier que sans elle, l’hécatombe serait encore plus prononcée. Aujourd’hui en France, la propagande et la désinformation concernant le cannabis s’amplifient dans les médias et auprès des responsables sociaux; la façon dont elles sont menées s’apparente à toutes les campagnes de dénigrement ciblées sur une catégorie de personnes, dont l’Histoire, regorge …

Les gouvernements perdent leur souveraineté

Ces consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques sont devenus très riches grâce aux produits toxiques qu’ils ont fabriqués et vendus pour les tranchées de la première guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement des Etats-Unis s’était ruiné en s’engageant dans la guerre. Alors ils l’ont acheté ! Donc, depuis un siècle, le gouvernement des Etats-Unis a perdu sa souveraineté: il est mené par ce cartel des compagnies industrielles et des banques. C’est expressément dit par Al Gore lui-même dans son dernier livre “The Future: Six Drivers of Global Change”: “le gouvernement des Etats-Unis a perdu de sa force et de sa liberté. Il semble sclérosé. Pour employer un terme habituellement utilisé en informatique, je dirais que la démocratie américaine a été piratée. Le Congrès, incarnation des corps législatifs élus démocratiquement, est à présent incapable de voter des lois sans l’accord des lobbies industriels ou d’autres intérêts particuliers qui participent au financement de leurs campagnes électorales”.

Grâce à la prohibition du chanvre, les produits de la chimie de synthèse purent être facilement introduits dans l’agriculture, le textile, les médicaments, la nourriture, et ces produits sont très actifs en toxicité en l’absence du chanvre pour réparer leurs dommages.

Puis il y eut l’horreur de la seconde guerre mondiale et des chambres à gaz pour lesquelles ces sociétés ont produit encore plus de produits toxiques et sont devenus encore plus riches… et où furent menées d’ignobles expériences sur des hommes et des femmes au nom de la “science” …

C’est là qu’a été introduit le fluor dans l’eau de boisson afin de rendre les prisonniers plus dociles. Cela s’est généralisé et se perpétue …  A l’inverse du chanvre, le fluor bloque la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Cette pratique se poursuit de nos jours; cela fait partie des entraves à la perception de ce qui se passe dans le ciel.

L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui perpétue aussi cet esprit nazi: de plus en plus d’examens, de moins en moins de diagnostic, de plus en plus de chimie, de moins en moins de santé…

“ Il y a pire que le bruit des bottes, il y a le silence feutré des pantoufles” Max Frisch

Après la seconde guerre mondiale, tous les pays d’Europe de l’Ouest durent se rallier à l’OTAN … pour aider le “grand frère” (big brother) et se placer sous sa “protection. Sans parler de toutes les guerres qui n’ont cessé depuis de par le monde, fomentées pour alimenter le marché …

Au moins deux chefs d’Etat de pays européens opposèrent une résistance sérieuse à l’expansion de l’OTAN: De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 fut utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, quand Tito, qui était le leader des pays non-alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves furent assassinés à l’étranger et la discorde fut activée au sein du peuple…

Durant les années 90, les autorités françaises n’ont probablement pas accepté spontanément de collaborer aux épandages dans notre ciel. Nous avons eu droit à ce qui s’apparente fort à une œuvre de HAARP avec les tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Alors nous fûmes OK et les épandages généralisés purent commencer, en 2001, 2002. Quasiment personne n’a rien vu …

Introduction en Europe de la géoingéniérie civle et d’un nouvel ennemi: le CO2

Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques au sujet de la “géoingéniérie“. Ce nouveau mot a été ensuite introduit dans les autres pays et les autres langues européennes par les séminaires et congrès de différents instituts avec l’induction d‘une forte croyance : le CO2 émis par les activités humaines est la cause du réchauffement climatique. Il n’est toujours question que du CO2 émis par les activités civiles ; les activités militaires, qui en émettent beaucoup plus, ne sont jamais évoquées …

La proportion de CO2 dans l’atmosphère terrestre est pourtant ridiculement faible (inférieure à 0,05%). En 10 ans, ce gaz est devenu le bouc émissaire, le faux problème sur lequel on détourne notre attention pour masquer le réchauffement provoqué par les armes électromagnétiques de type HAARP. En fait il y a bien d’une part énormément de pollution et d’autre part un réchauffement anthropogénique (dû à l’homme) mais ce dernier n’a pratiquement rien à voir avec le CO2 émis par nos activités civiles: il est dû aux armes qui font fondre la calotte polaire, dévient les jet-streams et créent le chaos climatique. Elles représentent la partie immergée de l’iceberg, les huit neuvièmes.

Les plantes sont avides de gaz carbonique et elles ont juste besoin de la lumière du Soleil pour le synthétiser et le restituer en oxygène. Au lieu de cela, les “doctes ignorants” cautionnent le principe d’empêcher  les rayons du Soleil de passer en créant une couverture nuageuse artificielle pour limiter le soi-disant réchauffement soi-disant dû au CO2.

Le CO2 est en train de prendre aujourd’hui la fonction ignoble endossée par la femme depuis des siècles alors que celle-ci semble finir de perdre ses véritables qualités féminines. Le genre féminin demeure la bête noire mais il est transposé à l’échelle globale, celle de la respiration de notre planète. La fonction masculine revient à l’oxygène, la fonction féminine au CO2[14]. Concevoir le monde à l’échelle planétaire nous fait passer d’une civilisation à un système[15]. Sans avoir remis en question le point fondamental : pourquoi un genre noble et l’autre ignoble si ce n’est pour nuire à la vie ?

La règle patriarcale mène à la scission entre les deux hémisphères du cerveau:

 

L’hémisphère droit -féminin et le gauche -masculin, aussi bien à l’échelle individuelle que  sociale, cette dernière s’exprimant par nos sciences et croyances.

La “haine de la vie” a d’abord été posée comme une règle[16]. C‘est clairement défini dans la civilisation grecque: le masculin est noble, le féminin est ignoble ! Selon cette règle se sont développées les civilisations impérialistes, occidentales comme orientales: en ce qui concerne la civilisation occidentale, ses empires, les trois religions monothéistes, nos références gréco-romaines pour l’éthique, les sciences et la politique, relèvent toutes de ce principe. Basées sur la croyance en un Dieu unique, innaccessible et extérieur à nous, dont le monarque est le représentant sur Terre, et sur les forces armées, elles ont étendu leur emprise sur le monde jusqu’à se fondre aujourd’hui en un système, alors même que toute la structure sociale des Etats-nations et des religions s’effondre.  De surcroît, nous pouvons remarquer que: premièrement, le déclin du statut de la femme est similaire et simultané au Japon et en Chine; deuxièmement, que ce déclin advint dans les Empires et troisièmement que les empires sont nés et se sont développés dans les zones de passage les plus peuplées: le long de la Route de la Soie en Eurasie et de part et d’autre de l’Isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). On observe, particulièrement dans les populations d’insectes, que le même phénomène d’organisation sociale en superstructures se retrouve en cas de confinement d’habitat. C’est semble-t-il, une loi universelle de rapport de proportion dans une population.

Les êtres humains, d’abord assujettis, soumis, convertis, par la force ou par la ruse à la volonté du plus fort, au nom de son idéal, ont été, et sont encore plus aujourd’hui, les acteurs zélés du système qui n’a de cesse de détraquer la planète entière, dont nous sommes, rappelons-le, les  créatures et dont dépend entièrement notre existence.

.

Chacun d’entre nous, peu ou prou, est à la fois la victime et l’acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais été menée sur Terre, aussi loin que notre mémoire historique en atteste. Il ne faut toutefois pas oublier que cette Histoire a été écrite durant tous ces temps selon les dogmes imposés par les puissants et que de grands pans ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation se confirme par l’astronomie amènent à déduire que des civilisations précédentes ont pu  s’autodétruire comme nous le faisons actuellement.

Nous nous accrochons à nos croyances comme au mât de sauvetage d’un navire qui sombre et reproduisons aveuglément les erreurs, fatales à la vie, que nous véhiculons dans notre insconscient collectif: la Nature est mauvaise, la Terre est ingrate, il faut la dominer, en devenir le maître …

Les religions, qui sont ambivalentes, enseignent bien la valeur de la reconnaissance, de l’amour et de la gratitude mais elles véhiculent simultanément ce principe : détruire ce qui vit au nom d’un idéal mythique qui prétend faire mieux.

Le mythe grec

La civilisation grecque est la référence en ce qui concerne l’art, l’éthique, la politique et la science depuis des siècles. On célèbre en elle la naissance d’une explication du monde atomiste et objective. Le pendant social a été la dévaluation des fonctions féminines qui s’est traduit par la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et par le fait que les femmes aisées se sont délestées de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves[17].

Plus que toute autre, la mythologie grecque a peuplé le ciel : ses mythes relatent les œuvres de Zeus et de sa cour, qui sont essentiellement des rapts, des viols et des assassinats, dont les victimes sont projetées dans les constellations célestes pour l’absolution de ces actes criminels, toujours motivés par la jalousie. La créature féminine est un objet de possession sur lequel Zeus entend avoir tous les droits.

L’exaltation du noble masculin et la déchéance de l’ignoble féminin dans la société grecque antique est bien référencée par André Brahic[18], célèbre astrophysicien français, dans son livre “Enfants du Soleil” : « … les esclaves y accomplissaient les tâches matérielles, et les citoyens avaient tout le loisir de s’intéresser aux questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun pouvait s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser ainsi des questions philosophiques sans avoir besoin de recourir à un mythe. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. En fait le triomphe de la raison a été beaucoup plus long et beaucoup plus difficile à comprendre que ces rapides phrases le laisseraient croire. »

Chacun signifie pas de femmes, pas d’esclaves, rien que des “citoyens”, c’est à dire un cercle restreint particulier d’hommes qui avaient le temps de penser, complètement détachés des contraintes matérielles de la vie quotidienne, qui mettaient ainsi de côté la moitié de la réalité de la vie ! Ainsi le triomphe de la raison serait d’asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à sa nature !

Cette “merveilleuse science” n’a-t-elle pas un défaut ? On se félicite aujourd’hui de sa raison qui  évacue les mythes, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir une grosse mite insatiable qui dévore les tissus vivants!!! N’est-ce pas ainsi que la conscience finit par déserter la science ?

[ ] La «Science » aujourd’hui se glorifie de ne raisonner que sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale.

Au Moyen-Age, jusqu’à Copernic[19] et encore longtemps après, la logique des deux sphères d’Aristote a été l’unique référence cosmologique:

  • La sphère des cieux, fixe, immuable et parfaite, qui porte la noblesse du masculin
  • La sphère de la Terre, changeante et imparfaite, celle des manifestations concrètes, chargée de l’ignominie du féminin.

La Renaissance a beaucoup remis en question les concepts aristotéliciens. Nous avons presque oublié la cosmologie des deux sphères, mais n’avons pas remis en question, à la base,  ce qui est toujours le dogme: ne raisonner que sur les faits, trouver dans les faits eux-mêmes la cause de leur existence. Il manque quelque chose, il y a quelque chose de faux …

“En Physique, on se focalise sur comment extraire de l’énergie de la matière … comment casser un tout en particules pour libérer de l’énergie.  L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gênes sont la structure basique de l’être humain et que si on peut contrôler les gènes alors on peut contrôler tous les aspects de l’être humain. Une des ramifications de ce mode de pensée inversée est que les scientifiques pensent que la matière est la base de toute chose. Les généticiens disent que tout est 100%  génétique et que l’environnement nous affecte à 100%. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, pas seulement social. Cela signifie que notre pensée et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui pense que la matière est la base de toute chose et est aussi la source d’énergie. Nous devons voir que c’est le contraire qui est vrai: c’est l’énergie qui affecte la matière.[20]

Tu enfanteras dans la douleur

La santé primale[21], physique et mentale, de chaque être s’ancre dans sa naissance.

La condamnation biblique « tu enfanteras dans la douleur” est la règle qui a mené les femmes d’aujourd’hui à être pour la plupart – et avec leur consentement- totalement dépossédées de leur plénitude, de leur dignité et de leur santé dans l’acte sacré de mettre un enfant au monde. Accoucher en se pliant au protocole hospitalier, qui est point par point à l’opposé du processus physiologique, est cause de privation d’une joie fondamentale, de faiblesses ou de maladies mentales et physiques pour la mère et l’enfant.

Histoire de la perte des droits fondamentaux de la femme qui enfante

Au commencement de la désescalade des fonctions féminines dans nos sociétés patriarcales occidentales il y a simultanément la sentence biblique «tu enfanteras dans la douleur» et la déchéance du féminin dans la société grecque. Un survol de cette  désescalade illustre particulièrement bien comment une règle s’incarne dans une civilisation pour finalement former un système.

Auparavant, d’après les témoignages apportés par les tablettes sumériennes d’il y a environ trois mille ans, la femme jouissait du même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et les écrits bibliques, c’est à dire dans le courant du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines se sont ancrées comme nobles relativement au féminin auquel échut l’ignoble. Pour les femmes elles-mêmes, les fonctions féminines devinrent ignobles: les riches se délestaient de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves. Au 4e siècle après JC, la réunion de l’Empire de Rome avec l’Eglise sonna le glas pour beaucoup de femmes inspirées comme Sainte Foy, martyrisée par Rome pour sa foi en Christ ou savantes comme Hypathie d’Alexandrie, martyrisée 100 ans plus tard parce qu’elle ne portait pas allégeance à l’Eglise… A partir du 14e siècle, les bûchers au nom de l’Eglise qui s’érigeait en seule pourvoyeur de connaissance, emportèrent dans les flammes les hommes et les femmes savants, pour leur “sorcellerie”. Ainsi s’effacèrent de grands pans de la connaissance populaire, celle des plantes contraceptives entre autres[22], ce qui eut pour conséquence enfants non désirés et abandons, famine et épidémies, sur fond de guerre de Cent Ans.

Arriva Louis XIV qui imposa aux femmes d’accoucher allongée, pour satisfaire un caprice que l’on peut qualifier de voyeurisme. Cette “bonne manière” s’est répandue comme une traînée de poudre à la surface du globe … C’est la pire souffrance et c’est la ruine pour les mères et les nouveaux nés car c’est totalement anti-physiologique. De nos jours, beaucoup de sirènes font croire aux femmes qu’elles peuvent éviter d’affronter cette épreuve grâce à la chimie et à la chirurgie autrement dit qu’elles peuvent avoir leur bébé sans vivre sa venue au monde. Cela se paie en fait par la suite, non  seulement par un affaiblissement de la santé globale mais aussi par une immaturité, une irresponsabilité parentale de plus en plus grave. Le protocole hospitalier de naissance détruit des liens essentiels au démarrage de la vie. Pourquoi ?

Physiologie de l’accouchement et fonctionnement du cerveau

Pour mettre facilement un enfant au monde, la mère doit être en mesure de relâcher le contrôle néocortical[23], celui de l’identité, qualité masculine, pour laisser agir l’obscur cerveau reptilien au profit de la perpétuation de l’espèce, qualité féminine. Cela a été particulièrement démontré par, Michel Odent[24], chirurgien et obstétricien français qui s’est particulièrement consacré à l’étude de la physiologie de l’accouchement.

En résumé, dans l’accouchement, mais aussi dans la vie sexuelle en général et finalement dans toute notre vie hormonale, deux hormones antinomiques, l’ocytocine, typiquement féminine et l’adrénaline, typiquement masculine, accompagnées de leurs familles, entrent en jeu :

– l’ocytocine[25], ou « hormone de l’amour » a pour source le cerveau reptilien. Elle est, secrétée par l’hypothalamus, une structure ancienne du cerveau, et stockée dans la glande hypophyse postérieure. Elle est libérée dans le courant sanguin à l’occasion de circonstances particulières[26]. En interagissant avec la force contraire produite par l’adrénaline, qui a pour source le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsations : les contractions ; la fonction de l’ocytocine est d’ouvrir la porte à un autre référentiel.

– l’adrénaline : la phase finale de tout évènement de la vie sexuelle est déclenchée par l’adrénaline, « hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection, selon le cas: du sperme, du fœtus, du lait. Sa fonction est d’expulser pour protéger l’intégrité individuelle, générant ainsi une dissociation[27].

Séparation entre astronomie et astrologie

Sur le plan social, considérons l’astronomie et l’astrologie qui sont universellement reconnues comme étant, conjointement, la “Mère des Sciences” : elles sont aujourd’hui deux sœurs ennemies.

La scission advint en France  au solstice d’hiver 1666, quand Colbert fonda l’Académie des Sciences sous le règne de Louis XIV … bien que Rabelais ait dit, un peu plus de cent ans plus tôt, que “science sans conscience n’est que ruine de l’âme[28]”… L’abstraction délibérée de toute cosmologie est devenue la norme. En conséquence, une “docte ignorance”[29] s’est développée depuis lors. “La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si toute chose venait de nulle part et spécifiquement comme si l’énergie provenait de la matière. Si c’était le cas, d’où viendrait la matière, alors?[30]…“les principales influences philosophiques des scientifiques sont cachées. Et de plus, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais mises en question; en fait, elles sont maintenant retirées maintenant des livres scientifiques [31]”. Nous pouvons effectivement remarquer que depuis des décennies, les études ressemblent de plus en plus à du bachotage: elles sont de plus en plus spécialisées – ce qui est naturel dans une organisation sociale qui se complexifie mais, surtout, il y a un schisme avec les fondations métaphysiques de la Science. Les seuls autorisés à faire référence officiellement sur un sujet de nos jours sont de plus en plus ceux qui n’ont aucune expérience de ce sujet. C’est particulièrement vrai – et parfois carrément drôle- pour ces sujets fondamentaux « hors des clous » que sont l’Astrologie, la naissance, le climat et … le cannabis!

Bien que cette science idéaliste n’ait jamais cessé de pourfendre l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est encore bien vivante dans nos sociétés. Répondrait-elle à un besoin fondamental de l’être humain, à une fonction naturelle de la vie qui revient au galop quand on la chasse ? Depuis 350 ans, la science se bâtit sur le déni de la moitié de notre cerveau.

Comment fonctionne notre cerveau ?

La fonction de l’hémisphère gauche est de distinguer, identifier, dénombrer, développer. Elle consiste en une ouverture et produit du mouvement, de l’excitation. Dans cet hémisphère on part du néo-cortex et on va vers la complexité. C’est le « –nom-ique », il décode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui notre droite.

La fonction de l’hémisphère droit, elle, est d’unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer l’information. Il part de la complexité qui affecte notre cerveau reptilien pour en déduire quelque chose d’intelligible pour le système limbique et le néo-cortex. Ce faisant, il maintient la protection de l’individu face au milieu extérieur, fait masse et entretient l’homéostasie de l’organisme. C’est le «  –log-ique », il encode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre gauche.

Dans « logique » il y a « log », dans « nomique », il y a « nom ». En termes mathématiques, l’astronomie a la fonction « exponentielle », elle dénombre; en regard l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle structure en une formule assimilable par l’organisme.

En 1666 l’Académie des Sciences fut crée et elle est devenue le nouveau corps officiel de la représentation du savoir. Dans les siècles qui suivirent, elle prit la place dogmatique que l’Eglise avait tenue pendant les mille ans précédents. Et depuis cette époque,  les astrologues et les astronomes qui n’avaient jamais été différenciés jusque-là, se sont trouvés divisés en deux catégories distinctes, l’une recevant les honneurs au nom de la Science érigée en mythe, l’autre la misère humaine dont le prêtre n’a eu cure.  Depuis cette scission, tant les astronomes que les astrologues tournent en rond dans leur hémisphère respectif, comme les deux faces d’une même médaille, en s’écharpant sur la frontière du zodiaque, qui n’est autre que le plan de notre matrice Soleil-Terre.  C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun des partenaires se renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice-versa. Une majorité d’astrologues ignorent tout de l’astronomie tandis que certains astronomes font office de grand guru, sans aucune astro-logique et nous habituent à l’effroi du « silence glacé des espaces infinis »[32].

N’avons-nous pas encore intégré la relativité?

Le postulat de l’héliocentrisme, confirmé par Galilée cinquante ans après la scission de 1666, induit la relativité: la Terre n’est pas le centre de l’univers[33]. Tout corps est un centre. En conséquence, un phénomène peut être considéré de différents points de vue[34]. A partir de là, comment statuer qu’un point de vue est supérieur aux autres ou peut remplacer les autres ? Ne sont-ils pas tous vrais et précieux ? Autant vous-même, que la Terre, que le Soleil ? Et pourtant, notre psyché, conditionnée par l’impérialisme du Pater Arche[35], pense toujours qu’il n’en faut retenir qu’un, seul et unique.

La relativité n’est pas encore vraiment intégrée dans nos esprits ; l’Astrologie s’est trouvée coupée de l’Astronomie au moment où les dogmes (religieux) qui légitimaient la suprématie d’un point de vue sur les autres et l’esclavage de certains humains par les autres depuis de nombreux siècles, ont été fondamentalement remis en question par la Révolution copernicienne. Cette intégration est en cours ; c’est l’objet du SORI’Astres[36].

Comme l’Eglise n’est plus la référence ultime et a perdu une grande part de son influence, le pouvoir spirituel est devenu l’objet de la rivalité entre les deux disciplines. Pour asseoir sa dominance, le dogme de l’astronomie contemporaine renie la réalité physique du zodiaque des signes (dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre sur son plan de révolution) pour ne considérer comme réelles que les constellations (qui sont des arrangements visuels et culturels des étoiles). La négation du rythme notre environnement essentiel, notre matrice originelle Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), c’est-à-dire l’alternance d’éclairage de ses pôles que marquent équinoxes et solstices, n’est-elle pas une énorme erreur astronomique ? Quelle que soit la constellation devant laquelle il a lieu, le zéro degré du signe du Bélier demeure l’équinoxe de printemps Nord/automne Sud. C’est la base de la mécanique céleste, qui se trouve sapée. Dans cette chasse aux sorcières, le dogme scientiste scie la branche sur laquelle il est assis, et cette branche n’est pas la moindre car c’est celle de la Mère des Sciences.

Dans le cerveau divisé de la Mère des Sciences, la science officielle s’est développée en circuit fermé depuis 350 ans : elle a perdu de plus en plus la relation avec son cerveau droit, lequel renvoie l’observateur / expérimentateur à lui-même. De son côté, l’astrologie coupée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre, ses symboles de plus en plus creux ; il faut dire qu’elle était déjà sévèrement corrompue et soumise depuis des siècles au bon vouloir des puissants qui y ont imposé leurs maîtrises.

Le résultat, c’est que l’éthique scientifique aujourd’hui, c’est de savoir mettre sa conscience au congélateur … Cela ne serait-il pas l’essence même de l’esprit nazi ?

  1. cela peut changer …

Jeter l’astrologie, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain, un bain d’impérialisme, vieux de 5000 ans …

Cette fonction naturelle qui revient au galop quand on la chasse est la fonction du cerveau droit, la moitié féminine qui amène la sagesse, l’hémisphère de la con-naissance, absolument nécessaire à la vie pour se perpétuer, aveuglément combattue par la « haine de la vie ».

Elle est certainement beaucoup plus forte qu’on ne le croit car au vu de l’armada dont on dispose[37] et des fous qui sont aux commandes, sans elle, la Terre serait déjà pulvérisée. Entraînons-nous très vite à la re-connaître et ne nous dressons pas les uns contre les autres, mais tous ensemble pour la vérité !

[1] Evangile St Luc 21.11

[2]Film “Overcast“ Matthias Hancke 2015

[3]“La guerre secrète contre les peuples“, Claire Séverac, éditions Kontre Kulture 2015

[4]Film “Why in the world are they spraying ?“ Michael Murphy and Barry Kolski 2012

[5] Gilles Roy, devise de l’association « Rock Astres » 1993

[6] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[7] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[8] Claudia Von Werlhof,  http://www.pbme-online.org/ , Skyguards – Autriche

[9]Physiologie: étude du fonctionnement naturel d’un organisme vivant

[10]Colloque Science à très grande échelle – COMETS-CNRS Paris janvier 2014

[11]http://legacy.movement-of-life.org/index.php

[12]„“Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles“ Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk 2011

[13]Gabriel Luneau https://www.youtube.com/watch?v=VTRfViLgKoM

[14] Viktor Schauberger

[15] Claudia Von Werlhof

[16] Claudia Von Werlhof

[17] André Brahic “Enfants du Soleil“ 1999

[18] décédé en 2016

[19]Copernic, mort en 1549

[20]The ABCs of the NEW PHYSICS, a workbook based on the New Physics by Noberto R.Keppe. author : Claudia Bernhardt de Souza Pacheco and collaborators; Proton Editora 2008

[21]Michel Odent “La santé primale“ 1986

[22] Fruit d’une recherche personnelle: les peuples les plus récemment touchés par notre “civilisation“ connaissent et emploient des plantes contraceptives (Tibétains –confirmation écrite de l’Institut de médecine thibétaine de Daramsala-, Indiens d’Amazonie, Aborigènes …); dans l’Antiquité grecque et romaine et jusqu’au 13e siècle, il n’est pas particulièrement fait mention de trop nombreux enfants par femme. De nombreuses variétés de plantes, différentes selon les climats et les sols existent et sont bien simples: pour chez nous: calendula, safran … J’en conclus que les bûchers de l’Inquisition ont fait disparaître cette connaissance. De rares bribes de connaissance de plantes abortives ont perduré.

[23] Le néocortex, la partie la plus complexe du cerveau, particulièrement développée chez l’humain, la plus récente du point de vue de l’évolution.

[24]Michel Odent « L’amour scientifié » éd. Jouvence 2001 et autres ouvrages. Connu depuis sa direction de la maternité de Pithiviers de 1962 à 1985 où il a lancé le concept d’accouchement en salles de naissance « comme à la maison » ou en piscine.

[25]et ses consoeurs, prolactine et endorphine. Prolactine : hormone ancienne sur le plan de l’évolution, impliquée dans les comportements du maternage : construction des nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle qui allaite

[26]Cette libération se fait de manière discontinue,  par pulsations. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit la naissance, elle est libérée pendant l’orgasme et joue un rôle direct dans la reproduction. (Michel Odent « L’amour scientifié »).

[27] L’adrénaline et sa famille sont à l’origine les hormones secrétées d’urgence quant il faut soudain se protéger par la fuite ou le combat. A leur source, le néocortex. Elles sont mises en jeu quand la survie de l’individu devient la priorité et passe avant la survie de l’espèce, alors que la famille de l’ocytocine est impliquée dans le cas contraire.

Il en est également de même quant au fonctionnement de notre cœur  : le ventricule  gauche propulse le sang dans  l’organisme et le droit rappelle ce dernier pour être régénéré.

[28] Rabelais, « Pantagruel »

[29]“la docte ignorance” Merleau Ponty, philosophe français (1950)

[30]Noberto Keppe NEW PHYSICS

[31]idem

[32] Blaise Pascal

[33] Thomas S. Kuhn „La révolution copernicienne“

[34] En astronomie, il y a différents systèmes de coordonnées, définis par un centre, un plan et deux axes, qui décrivent: le point de vue topocentrique (vous en êtes le centre), le point de vue géocentrique (la Terre est le centre) et le point de vue héliocentrique (le Soleil est le centre); on peut aussi se projeter sur une autre planète ou en tout point de l‘univers

[35] Claudia Von Werlhof http://www.pbme-online.org/

[36] SORI’Astres, voir www.rockastres.org

[37]Rosalie Bertell “Planet Earth, the latest weapon of war“

un ancien Premier ministre de Colombie-Britannique condamne la géoingéniérie

Bill Vander Zalm, ancien Premier ministre de Colombie-Britannique, condamne la géoingéniérie et agit à son niveau pour faire connaître les faits au peuple. Entretien avec Dane Wigington.
 

sous-titres en anglais seulement en attendant une traduction. Appel aux bonnes volontés compétentes ! Merci d’avance.

LETTRE OUVERTE AUX CANDIDATS aux élections PRÉSIDENTIELLES

– à relayer le plus largement possible

 

Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques

LETTRE OUVERTE AUX CANDIDATS aux élections PRESIDENTIELLES

cher candidat(e),

Afin d’éclairer notre choix pour ces élections présidentielles, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir nous faire part de ce que vous savez et des dispositions que vous entendez prendre au sujet d’un fléau que nous subissons tous, tous les jours, à nos frais: l’empoisonnement de l’atmosphère par des épandages aériens de produits toxiques.
Certes, le discours officiel nie l’évidence et ce faisant, il ne prouve qu’une seule chose : c’est qu’il ment ! Il suffit de compter les avions qui nous survolent pour s’en rendre compte! De tous les coins de France, c’est tous les jours ou presque que d’innombrables personnes témoignent de la présence de nombreux aéronefs qui sillonnent leur ciel et laissent derrière eux des traînées persistantes qui s’étalent, voilent le ciel et produisent des nuages aux formes et aux couleurs pas naturelles. Ce sont de nouveaux types de nuages qui n’existaient pas avant que ne commence cette activité aérienne, c’est à dire avant les années 2000. Une observation un tantinet plus attentive permet de constater que beaucoup de ces engins visibles du sol, volent bien en-dessous de l’altitude requise aujourd’hui pour les avions de ligne (8000 mètres), et ne sont pas, pour la plupart, équipés de transpondeurs. Il s’agit donc d’une circulation aérienne clandestine. Bien que leur mise en pratique soit niée, ces activités sont parfaitement décrites dans la littérature scientifique officielle sous les termes: « gestion du rayonnement solaire », « épandages d’aérosols », « géoingéniérie » …
Notre ciel est envahi d’aéronefs non répertoriés, c’est un fait constatable par toute personne consentant à bien vouloir observer, qu’entendez-vous faire pour y remédier ?
Cette intense circulation aérienne, partout en France (mais aussi dans une grande majorité des pays du monde aujourd’hui), constitue non seulement un lamentable outrage visuel mais, encore plus grave, est le vecteur d’un empoisonnement généralisé, d’une atteinte sans précédent contre la nature et la santé de toutes les créatures.
Les analyses d’eau de pluie, de filaments gélatineux tombés du ciel, ainsi que de sang chez des personnes saines après des épandages intensifs, analyses jusqu’à présent effectuées par nos soins ou par d’autres organismes ou particuliers, en France et dans le monde entier, aboutissent toutes à la même conclusion: ces traînées sont chargées de particules qui finissent par retomber au sol: on y retrouve toujours aluminium, baryum, strontium et un coktail très varié de polymères et autres produits de synthèse, organiques et non-organiques, hautement toxiques pour tout ce qui vit sur Terre: les êtres humains mais aussi les animaux, les végétaux… La présence de ces particules ne peut pas être imputée exclusivement à l’activité industrielle et à la circulation automobile car 1) elles ne sont pas typiques de ces activités et 2) on les trouve tout autant dans les lieux les plus déserts que les plus peuplés. Les multiples maladies émergentes ont toutes quelque chose à voir avec ces produits.
Face à cet énorme problème, à cette guerre totale qui ne se dit pas, nous nous sommes constitués en association citoyenne pour pallier au déni et à la démission de l’Etat français jusqu’à présent. Nos informations sont à la disposition de tous sur le site www.acseipica.fr
Avez-vous l’intention de poursuivre la ligne de conduite aveugle de vos prédécesseurs ou entendez-vous lever le voile sur cette guerre non-conventionnelle ?
Entendez-vous mener des enquêtes honnêtes avec les moyens de l’Etat et la participation des citoyens engagés sur cette question ? Entendez-vous œuvrer au plan national et international pour que cela cesse et si oui, qu’envisagez-vous ?
Voilà les questions les plus préoccupantes au sujet desquelles nous vous sollicitons. Nous vous remercions vivement de votre attention, et à l’avance de votre réponse.
Recevez, Madame, Monsieur l’expression de nos meilleures salutations citoyennes.

 

PS ci-joint appel des Skyguards (organisation européenne dont nous faisons partie) suite au rejet de la pétition présentée en 2013 au Parlement Européen sur la violation des droits fondamentaux des citoyens par la géoingéniérie.

APPEL Clôture Pétition Parlement Européen 2016

Preuve de la production variable de chaleur terrestre …

Journal of Geography, Environment and Earth Science International

10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220

ISSN: 2454-7352

Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d’un changement climatique mondial non anthropique ainsi que d’un réchauffement planétaire et d’une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie

 

J.Marvin Herndon

Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA

Contribution de l’auteur

L’auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit

 

Référence de l’article

DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220

 

Editeur:

Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain

Revues :

(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA

.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya

.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania

.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada

.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA

.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland

Historique complet des revues par des pairs :

http://www.sciencedomain.org/review

Reçu le 15 février 2017

Accepté le 19 avril 2017

Publié le 21 avril 2017

Traduction française : Ciel voilé

http://www.nuclearplanet.com/variable_heat.pdf

Résumé

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d’une activité sismique variable et les preuves géologiques d’un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l’océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l’atmosphère. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d’affecter l’équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l’échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu’il s’agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l’atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d’accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l’autorité morale des Nations Unies.

1.INTRODUCTION

Le premier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu’un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l’ajout de dioxyde de carbone (CO2), d’origine anthropique, dans l’atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d’énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l’acidification des océans, et qu’elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l’aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz « à effet de serre ». Comme l’a souligné l’éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d’affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d’apporter à l’attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n’a pas prises en compte dans la construction et l’évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l’irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.

Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d’un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu’un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n’en parlait plus. Cette norme s’est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s’est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l’adoption anticipée d’une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n’a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l’anonymat des pairs[8]. En outre, l’apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu’ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d’origine anthropique) et qu’ ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres – un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.

La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l’ignorance systématique d’un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.

Dans les années 1970, lors de l’étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J’ai écrit un court document, résumé ainsi : d’après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j’ai reçu une lettre complémentaire d’Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés – l’habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale – par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu’à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j’ai démontré que: (1) 82% de l’intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l’uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu’ Hawaï et l’Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s’expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l’état fortement réduit de l’intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m’a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l’hypothèse d’une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j’ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l’origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l’origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l’origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?

Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L’idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.

2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE

Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu’ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l’océan, a d’abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l’océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l’océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l’océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l’océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l’échelle du temps humain, la chaleur émanant de l’intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).

Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n’ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d’un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l’impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.

Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d’une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.

Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie

 

Radionucléides

de longue vie

Demi-vie

(année)

235U

7.04 X 108

238U

4.47 X 109

232Th

1.41 X 1010

40K

1.25 X 109

3.PREUVE DE L’AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS

Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d’Hawaï et d’Islande. Lorsqu’elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s’étendent à l’interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l’Islande et des îles hawaïennes tout au long de l’ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.

Le lien entre les grands tremblements de terre et l’activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l’apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l’activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.

La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d’occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l’U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l’hypothèse d’une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu’au cours des 43 dernières années.

 

Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l’échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l’ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu’il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d’amplitude indiquées au cours de l’intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l’augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l’augmentation est de 74%.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l’activité géodynamique de l’énergie n’est pas constante. En outre, l’association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l’augmentation de l’activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l’hypothèse d’une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.

4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L’APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS

Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l’augmentation de la chaleur de l’océan que nous pouvons déduire de l’augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l’océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l’océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu’à la surface en Islande [ 52].

5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L’AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN

L’hypothèse d’une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l’océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l’eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:

[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)

Dans l’équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l’eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:

K0
CO2 (g) = [CO2] (2)

Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.

Weiss [54] a dérivé l’équation suivante pour K0 de l’équation intégrée Van’t Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:

Dans K0 = A1 + A2 (100 / T) + A3ln (T / 100) + S [B1 + B2 (T / 100) + B3 (T / 100) 2] (3)

Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.

La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l’eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.

Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l’équation (2). À partir de [54].

 

Unités de K0

moles/l●atm moles/kg●atm

A1

0.7

4.3

A2

0.73

4.4

A3

33

190

B1

2.4

6.3

B2

11

20

B3

1.02

1.81

Comme on le sait à partir d’enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l’éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l’atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s’échapper dans l’atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer.

Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d’autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l’eau de mer environnante [56,57]. En d’autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l’augmentation de l’acidification des océans observée dans le monde entier.

Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l’équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l’eau de mer. Ce chiffre montre qu’une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.

La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d’environ un tiers le taux d’augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.

L’augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d’énergie de l’activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d’événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.

Il existe d’autres preuves à l’appui de l’hypothèse de l’apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l’apport variable de chaleur dans l’eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l’eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l’apport variable de CO2 volcanique dans l’eau de mer et de l’apport de chaleur variable à l’eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l’eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l’eau de mer.

Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l’institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.

6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c’est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l’ionosphère – tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c’est-à-dire depuis plus d’un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].

Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d’un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l’air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l’autorisation de British Antarctic Survey.

Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages ​​avec des substances chimiques telles que l’iodure d’argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l’inhibition des précipitations [63].

La technique d’inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L’aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d’humidité de s’assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu’à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l’activité de géo- ingénierie troposphérique.

Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d’eau dans les gaz d’échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l’existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu’il s’agirait de traînées de condensation.

Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d’humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s’évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d’eau de leur échappement s’évaporent rapidement; la troisième traînée qui s’étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.

La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l’air une matière particulaire et qu’il ne s’agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s’interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d’approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.

Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s’étalent, formant parfois des nuages ​​artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d’ une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages ​​naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d’eau invisible.

Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d’Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.

Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l’atmosphère prétendent qu’aucun aérosol délibérément pulvérisé n’influence l’atmosphère qu’ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l’échelle régionale et très probablement à l’échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l’air que nous respirons et, d’après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].

Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d’énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].

Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu’à ce que les nuages ​​se surchargent tellement qu’ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l’humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l’atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l’albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].

Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l’air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l’évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n’est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l’aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.

 

Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l’une des pulvérisations s’interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d’eau se trouvant dans les gaz d’échappement du moteur. Photo de l’auteur.

Figure 8. Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages ​​naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.

7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu’il s’agissait du largage accidentel d’un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j’ai obtenu des échantillons de l’un des résidents pour analyse et j’ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.

La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle – poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes – absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m’a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d’aggraver le réchauffement climatique.

Beaucoup de temps et d’argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d’application cachée. C’est clairement l’indication d’une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu’il s’agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.

8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES

La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l’échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l’Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l’évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l’augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l’espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.

Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].

Figure 10. La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].

Les contributions anthropiques provenant de l’utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d’utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l’activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l’augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l’océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s’est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.

Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d’intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n’est qu’un épisode d’une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].

De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d’autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l’attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l’histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre2008 dans l’ensemble de données de température russes d’octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].

9. CONCLUSIONS

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l’intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d’autres gaz à effet de serre.

Les preuves géophysiques de l’activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l’activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d’origine volcanique augmentent. En outre, l’augmentation des apports de chaleur à l’océan diminue la solubilité du CO2 dans l’eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l’atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l’augmentation de l’activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l’acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.

La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l’équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l’atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d’un largage aérien accidentel d’un matériau modifié indiquent qu’il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d’amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l’autorité morale des Nations Unies sont compromises.

On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l’activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l’air que nous respirons presque quotidiennement à l’échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l’opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l’intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d’aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d’autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l’économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu’a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n’est rien moins qu’une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu’ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?

 

Pour le bien de l’humanité, du biote et de l’environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.

REFERENCES

 

1. http://www.ipcc.ch/report/ar5/. Accessed March 21, 2017.

2. Vaughan, N.E.; Lenton, T.M. A review of climate geoengineering proposals.Climate Change 2011, 109, 748-790.

3. Goldblatt, C.; Watson, A.W. The runaway greenhouse: Implications for future climate change, geoengineering and planetary atmospheres. Phil. Trans. R. Soc. Lond. A 2012, 370, 4197-4216.

4. Box, G.E.P. Empirical model-building and response surfaces. Wiley: 1987.

5. Abdussamatov, H.I. The sun defines the climate. Russian journal « Nauka i Zhizn » (« Science and Life ») 2008, 1, 34-42.

6. Abdussamatov, H.I. Grand minimum of the total solar irradiance leads to the little ice age. Geol. Geosci. 2013, 2, 1-10.

7. Le Grand, H.E. Drifting continents and shifting theories. Cambridge University Press: Cambridge, UK, 1988.

8. Herndon, J.M. Corruption of Science in America. The Dot Connector 2011.http://www.nuclearplanet.com/corruption.pdf. Accessed March 21, 2017.

9. Oldham, R.D. The constitution of the interior of the earth as revealed by earthquakes. Q. T. Geol. Soc. Lond. 1906, 62, 456-476.

10. Lehmann, I. P’. Publ. Int. Geod. Geophys. Union, Assoc. Seismol., Ser. A, Trav. Sci. 1936, 14, 87-115.

11. Birch, F. The transformation of iron at high pressures, and the problem of the earth’s magnetism. Am. J. Sci. 1940, 238, 192-211.

12. Herndon, J.M. The nickel silicide inner core of the earth. Proc. R. Soc. Lond1979, A368, 495-500.

13. Hirose, K.; Morard, G.; Sinmyo, R.; Umemoto, K.; Hernlund, J.; Helffrich, G.; Labrosse, S. Crystallization of silicon dioxide and compositional evolution of the earth’s core. Nature 2017, 543, 99-102.

14. Herndon, J.M. The chemical composition of the interior shells of the earth. Proc. R. Soc. Lond 1980, A372, 149-154.

15. Herndon, J.M. The object at the centre of the earth. Naturwissenschaften 1982,69, 34-37.

16. Herndon, J.M. Composition of the deep interior of the earth: Divergent geophysical development with fundamentally different geophysical implications.Phys. Earth Plan. Inter 1998, 105, 1-4.

17. Herndon, J.M. Feasibility of a nuclear fission reactor at the center of the earth as the energy source for the geomagnetic field. J. Geomag. Geoelectr. 1993, 45, 423-437.

18. Herndon, J.M. Planetary and protostellar nuclear fission: Implications for planetary change, stellar ignition and dark matter. Proc. R. Soc. Lond 1994, A455, 453-461.

19. Herndon, J.M. Sub-structure of the inner core of the earth. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 1996, 93, 646-648.

20. Herndon, J.M. Terracentric nuclear fission georeactor: Background, basis, feasibility, structure, evidence and geophysical implications. Curr. Sci. 2014, 106, 528-541.

21. Hollenbach, D.F.; Herndon, J.M. Deep-earth reactor: Nuclear fission, helium, and the geomagnetic field. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2001, 98, 11085-11090.

22. Herndon, J.M. Nuclear georeactor origin of oceanic basalt 3He/4He, evidence, and implications. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2003, 100, 3047-3050.

23. Herndon, J.M. Nuclear georeactor generation of the earth’s geomagnetic field.Curr. Sci. 2007, 93, 1485-1487.

24. Herndon, J.M. Nature of planetary matter and magnetic field generation in the solar system. Curr. Sci. 2009, 96, 1033-1039.

25. Herndon, J.M. Geodynamic basis of heat transport in the earth. Curr. Sci. 2011,101, 1440-1450.

26. Herndon, J.M. Solar system processes underlying planetary formation, geodynamics, and the georeactor. Earth, Moon, and Planets 2006, 99, 53-99.

27. Herndon, J.M.; Suess, H.E. Can enstatite meteorites form from a nebula of solar composition? Geochim. Cosmochim. Acta 1976, 40, 395-399.

28. Herndon, J.M. New indivisible planetary science paradigm. Curr. Sci. 2013, 105, 450-460.

29. Herndon, J.M. Whole-earth decompression dynamics. Curr. Sci. 2005, 89, 1937-1941.

30. Herndon, J.M. Energy for geodynamics: Mantle decompression thermal tsunami.Curr. Sci. 2006, 90, 1605-1606.

31. Herndon, J.M. A new basis of geoscience: Whole-earth decompression dynamics.New Concepts in Global Tectonics 2013, 1, 81-95.

32. Herndon, J.M. Origin of mountains and primary initiation of submarine canyons: The consequences of earth’s early formation as a jupiter-like gas giant. Curr. Sci.2012, 102, 1370-1372.

33. Herndon, J.M. New concept for the origin of fjords and submarine canyons: Consequence of whole-earth decompression dynamics. Journal of Geography, Environment and Earth Science International 2016, 7, 1-10.

34. Herndon, J.M. New concept on the origin of petroleum and natural gas deposits. J Petrol Explor Prod Technol 2016, 6, 1-12.

35. Benfield, A.F. Terrestrial heat flow in great britain. Proc. R. Soc. Lond 1939, Ser A 173, 428-450.

36. Bullard, E.C. Heat flow in south africa. Proc. R. Soc. Lond 1939, Ser. A 173, 474-502.

37. Bullard, E. The flow of heat through the floor of the atlantic ocean. Proceedings of the Royal Society of London. Series A. Mathematical and Physical Sciences 1954,222, 408-429.

38. Korenaga, T.; Korenaga, J. Evolution of young oceanic lithosphere and the meaning of seafloor subsidence rate. Journal of Geophysical Research: Solid Earth2016, 121, 6315-6332.

39. Jaupart, C.; Mareschal, J.-C.; Iarotsky, L. Radiogenic heat production in the continental crust. Lithos 2016, 262, 398-427.

40. Kellogg, L.H.; Hager, B.H.; van der Hilst, R.D. Compositional stratification in the deep mantle. Science 1999, 283, 1881-1884.

41. Shearer, P.M.; Stark, P.B. Global risk of big earthquakes has not recently increased. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2012, 109, 717-721.

42. Bijwaard, H.; Spakman, W. Tomographic evidence for a narrow whole mantle plume below iceland. Earth Planet. Sci. Lett. 1999, 166, 121-126.

43. Nataf, H.-C. Seismic imaging of mantle plumes. Ann. Rev. Earth Planet. Sci.2000, 28, 391-417.

44. Mjelde, R.; Faleide, J.I. Variation of icelandic and hawaiian magmatism: Evidence for co-pulsation of mantle plumes? Mar. Geophys. Res. 2009, 30, 61-72.

45. Mjelde, R.; Wessel, P.; Müller, D. Global pulsations of intraplate magmatism through the cenozoic. Lithosphere 2010, 2, 361-376.

46. Darwin, C. On the connexion of certain volcanic phenomena in south america; and on the formation of mountain chains and volcanos, as the effect of the same power by which continents are elevated. Geol. Soc. Lond. Trans. 1840, 2, 601-632.

47. Walter, T.R.; Amelung, F. Volcano-earthquake interaction at mauna loa volcano, hawaii. J. Geophys. Res. 2006, 111.

48. Nostro, C.; Setein, R.S.; Cocco, M.; Belardinelli, M.E.; Marzocchi, W. Two-way coupling between vesuvius eruptions and southern apennine earthquakes, italy, by elastic stress transfer. J. Geophys. Res. 1998, 103, 24487-24504.

49. Lawson, C.; Lazarus, M.E. U.S. Geological survey open file report 98-507-b; U. S. Geological Survey: Menlo Park, CA, USA, 2002.

50. http://earthquake.usgs.gov/earthquakes/search/. Accessed March 21, 2017.

51. Cheng, L.; Trenberth, K.E.; Fasullo, J.; Boyer, T.; Abraham, J.; Zhu, J. Improved estimates of ocean heat content from 1960 to 2015. Science Advances 2017, 3.

52. Wilson, B.M. Igneous petrogenesis a global tectonic approach. Springer: The Netherlands, 2007.

53. Al-Anezi, K.; Hilal, N. Scale formation in desalination plants: Effect of carbon dioxide. Desalination 2007, 204, 385-402.

54. Weiss, R.F. Carbon dioxide in water and seawater: The solubility of a non-ideal gas. Mar. Chem. 1974, 2, 203-215.

55. Weiss, R.F. The solubility of nitrogen, oxygen and argon in water and seawater.Deep-Sea Res. 1970, 17, 735.

56. Resing, J.A.; Sansone, F.J. The chemistry of lava–seawater interactions: The generation of acidity. Geochem. Cosmochem. Acta 1999, 63, 2183-2198.

57. Santana-Casiano, J.M.; Gonza´lez-Da´vila, M.; Fraile-Nuez, E.; de Armas, D.; Gonza´lez, A.G.; Domı´nguez-Yanes, J.F.; Esca´ne, J. The natural ocean acidification and fertilization event caused by the submarine eruption of el hierro. Sci. Rep. 2013,3, 1140.

58. ftp://ftp.cmdl.noaa.gov/ccg/co2/trends/co2_annmean_mlo.txt. Accessed March 21, 2017.

59. Tolstoy, M. Mid-ocean ridge eruptions as a climate valve. Geophys. Res. Lett.2015, 42, 1346-1351.

60. Jouzel, J., et al. Orbital and millennial antarctic climate variability over the last 800,000 years. Sci. 2007, 317, 793-796.

61. Lüthi, D., et al. High-resolution carbon dioxide concentration record 650,000-800,000 years before present. Nature 2008, 453, 379-382.

62. Bruintjes, R.T. A review of cloud seeding experiments to enhance precipitation and some new prospects. Bull. Am. Meterol. Soc. 1999, 80, 805-820.

63. Herndon, J.M. Adverse agricultural consequences of weather modification.AGRIVITA Journal of agricultural science 2016, 38, 213-221.

64. http://www.nuclearplanet.com/websites.pdf. Accessed March 21, 2017.

65. http://www.nuclearplanet.com/USAF.pdf. Accessed April 17, 2017.

66. Herndon, J.M.; Whiteside, M. Further evidence of coal fly ash utilization in tropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. 2017, 9, 1-8.

67. Herndon, J.M. Aluminum poisoning of humanity and earth’s biota by clandestine geoengineering activity: Implications for india. Curr. Sci. 2015, 108, 2173-2177.

68. Herndon, J.M. Obtaining evidence of coal fly ash content in weather modification (geoengineering) through analyses of post-aerosol spraying rainwater and solid substances. Ind. J. Sci. Res. and Tech. 2016, 4, 30-36.

69. Bertell, R. Planet earth, the latest weapon of war: A critical study into the military and the environment. The Women’s Press: London, 2000.

70. Herndon, J.M. An indication of intentional efforts to cause global warming and glacier melting. J. Geography Environ. Earth Sci. Int. 2017, 9, 1-11.

71. Yan, X.-H.; Boyer, T.; Trenberth, K.; Karl, T.R.; Xie, S.-P.; Nieves, V.; Tung, K.-K.; Roemmich, D. The global warming hiatus: Slowdown or redistribution? Earth’s Future 2016, 4, 472-482.

72.http://www.Telegraph.Co.Uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html. Accessed March 21, 2017.

73. http://www.Washingtontimes.Com/news/2017/feb/5/climate-change-whistleblower-alleges-noaa-manipula/. Accessed March 21, 2017.

74. https://www.Forbes.Com/sites/larrybell/2011/07/19/nasas-inconvenient-ruse-the-goddard-institute-for-space-studies/#2b315d0a6963. Accessed March 21, 2017.

75. https://climateaudit.org/2010/12/26/nasa-giss-adjusting-the-adjustments/. Accessed March 21, 2017.

76. http://www.cnsnews.com/news/article/barbara-hollingsworth/german-scientist-accuses-nasa-massive-alteration-temperature. Accessed March 21, 2017.

77. https://wattsupwiththat.Com/2013/01/18/hansens-nasa-giss-cooling-the-past-warming-the-present/. Accessed March 21, 2017.

78. http://www.dailymail.co.uk/news/article-2915061/nasa-climate-scientists-said-2014-warmest-year-record-38-sure-right.html. Accessed March 21, 2017.

79. https://wattsupwiththat.com/2008/11/10/giss-releases-october-2008-data/. Accessed March 21, 2017.

80. Fleming, J.R. Fixing the sky: The checkered history of weathe and climate control. Columbia University Press: New York, 2010.

 

Compilation de documentation essentielle

Voici un récapitulatif des documents essentiels que nous vous invitons à référencer

actualisé septembre 2023.

DOCUMENTS

RAPPORTS D’ANALYSES

LIVRES

FILMS, VIDÉOS

ÉMISSIONS TV, RADIOS

Nous pouvons les fournir en brochures à prix coûtant (impression + frais de port) ou vous pouvez les imprimer vous-même.

DOCUMENTS

 
  • ARGUMENTAIRE CNAM  Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat, pourquoi non (colloque CNRS 21-22 nov 2014) 1page

 RAPPORTS D’ANALYSES

dossier de références 

LIVRES

  • La planète Terre, ultime arme de guerre – Rosalie Bertell (« Planet Earth, the latest weapon of war -2000 USA) traduction 2018 éditions Talma Studio
  • L’arme climatique, la manipulation du climat par les militaires – Patrick Pasin 2017, éd. Talma Studio
  • La guerre secrète contre les peuples – Claire Séverac 2015 Éditions Elie et Mado
  • HAARP, and the “Full Spectrum Dominance of Planet Earth – Elana Freeland 2015 (USA)
  • Les tracés de la mort – Nenki 2003 éditions Louise Courteau (Canada)
  • Les armes de l’ombre – Marc Filterman 1999 éditions Carnot
  • Les anges ne jouent pas de cette HAARP – Nich Begich et Jeanne Manning 1995 éditions Louise Courteau (Canada)
  • L’arme environnementale, Opérations et programmes secrets des militaires, Patrick Pasin, 224 pages, parution le 24/06/2019

FILMS, VIDÉOS

Documentaires incontournables déjà disponibles :

Vers un climat artificiel -Jacqueline Roche 2017 https://www.filmsdocumentaires.com/films/5229-vers-un-climat-artificiel

OVERCAST  – L’ Éxpérience Climatique (Documentaire Chemtrails et Geoingenierie) 2019 – 1:22mn

Overcast -Matthias Hancke 2016, primé à Deauville, en français, DVD à commander ici http://boutique-albrecht.com/produit/overcast-2/

THE DIMMING (L’Obscurcissement), film de 1h57mn de GeoengineeringWatch.org, doublé en francais

Bye Bye Blue Sky – Documentaire de Patrick Pasin (version française originale de 30′)

LES APPRENTIS SORCIERS DU CLIMAT – ARTE TV 2015

Why in the World are They Spraying ?

Transcription intégrale en français du film de Michael Murphy

Bye Bye Blue Sky !  ( 30′ – Sous titres en Français) – avec la collaboration de l’Acseipica

TODO: mettre version longue

Chemtrails, idées reçues et conspiration

 Chemtrails : la guerre secrète

Chemtrails la peste chimique venant du ciel, un chaos mondial organisé

ÉMISSIONS TV, RADIOS

Le ciel nous tombe sur la tête sur Meta TV

ACSEIPICA sur Meta TV

Chemtrails/Géo-ingénierie sur Fréquence Evasion avec Claire Séverac

Géo-ingénierie Chemtrails Manipulation – Marc Filterman sur Fréquence Evasion 

Signez notre pétition contre les épandages aériens clandestins

Documentaires en projet :

An UNconventional Shade of Grey – Michael MURPHY

A savoir 

Géo-ingénierie dans la Convention ENMOD:
« Le terme « techniques de modifications environnementales » désigne toute technique pour changer par la manipulation délibérée des processus naturels la dynamique, la composition ou la structure de la Terre : biosphère, lithosphère, hydrosphère, atmosphère et environnement spatial. »

Rappelons qu’en 1977, la convention ENMOD, a limité les manipulations délibérées de l’atmosphère en cas de guerre ou de conflit (article 1) et les a autorisées dans un but «pacifique» (article 3).
La géo-ingénierie est une discipline étudiée depuis les années 1950-1960, avec une accentuation vers 1990, et une accélération en France depuis 2007/ 2008.

GEO-INGENIERIE DU CLIMAT – Gestion du Rayonnement Solaire – GRS
Climate Engineering – Solar Radiation Management – SRM

Certains scientifiques pensent que la redirection vers l’espace du rayonnement solaire pourrait être une solution afin de limiter les effets du réchauffement climatique. Le rejet dans l’atmosphère de micro-particules chimiques d’aluminium – soufre – baryum sous forme d’aérosols réfléchissant la lumière pourrait contribuer à diminuer l’absorption d’énergie solaire par la planète.

Une série d’applications futuristes, étudiées publiquement par la Royal Society de Londres, ou encore par l’American Association for the Advancement of Science (AAAS), mais aussi par des scientifiques comme David Keith ou Ken Caldeira – programmes soutenus par des institutions telles que le Council on Foreign Relations (CFR), ou encore Bill Gates et suivies de près par l’ETC Group, visant à bloquer un pourcentage du rayonnement solaire par des interventions très risquées à grande échelle dans l’atmosphère, la stratosphère et l’espace extra-atmosphérique, sont déjà en vigueur et auraient pour effet de modifier les températures de la planète et la configuration des précipitations sans pour autant s’attaquer aux causes du «réchauffement climatique» tout en augmentant en fait, l’effet de serre, en détruisant un peu plus la couche d’ozone, l’ensemble de l’éco-système, en modifiant le ph des sols mais aussi en impactant notre Santé et celle de nos enfants ; ces micro-particules ne restent pas en suspension ; nous les inhalons et celles-ci se fixent dans nos poumons, nos muscles et notre cerveau.

Merci de prendre quelques minutes pour vous renseigner en consultant cette compilation de documents sous ces liens !

ACSEIPICA

Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques