Comment dévaster l’environnement

unless peace comes
Traduction de l’article

« Comment dévaster l’environnement »

couvrant les pages 181 à 205 du livre « Unless Peace Comes – A scientific forecast of new weapons » (À moins que la paix ne vienne – Une Prévision scientifique de nouvelles armes)
 Copyright © Nigel Calder, 1968

Tous droits réservés

Publié en 1968 en édition cartonnée et une édition Viking Compass de Viking Press, Inc., 625 Madison Avenue, New York, N. Y. 10022

Numéro de carte du catalogue de la Librairie du Congrès : 68-28023

Imprimé aux U.S.A. par The Colonial Press Inc.

Deuxième impression : décembre 1968

COMMENT DÉVASTER L’ENVIRONNEMENT

PAR

GORDON J.F. MacDONALD

États-Unis

 

Le professeur MacDonald est co-directeur de l’Institut de Géophysique et de Physique planétaire de l’Université de Californie à Los Angeles. Ses recherches englobent une diversité considérable de phénomènes naturels et ses intérêts professionnels s’étendent encore avec sa participation à l’élaboration des politiques scientifiques nationales. Il est membre du Comité Consultatif Scientifique « Président Johnson ».

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PARMI LES FUTURS MOYENS d’atteindre des objectifs nationaux par la force, il existe une possibilité reposant sur la capacité de l’homme à contrôler et manipuler l’environnement de sa planète. Une fois atteint, ce pouvoir sur son milieu ambiant lui fournira une nouvelle force apte à causer d’énormes dégâts, sans discrimination. Notre compréhension actuelle primaire de la modification intentionnelle de l’environnement fait qu’on a du mal à imaginer un monde où l’on pratique la guerre géophysique. Ce pourrait être un monde où les armes nucléaires seraient effectivement prohibées et où les armes de destruction massive seraient celles de la dévastation écologique. Alternativement, je puis envisager qu’un monde de stabilité nucléaire résultant de la parité de tels armements soit rendu instable par le développement par une nation particulière d’une technologie avancée à même de modifier l’écosystème terrestre. Ou bien, des armes géophysiques peuvent intégrer l’armement de chaque nation. Comme je le développerai, ces armes sont particulièrement adaptées aux guerres clandestines ou secrètes.

La littérature de science-fiction contient moult suggestions sur les façons dont les guerres seraient menées si l’homme avait la capacité effective de modifier la météo, le climat ou les courants océaniques. Nombre de ces suggestions fictives, et autres débats plus sérieux, oublient de prendre en compte les limites de la nature. Jules Verne a donné une description détaillée du déplacement des calottes glaciaires, rendant ainsi plus équitables les zones climatiques du monde (Les Voyages extraordinaires ; Sans Dessus Dessous, Metzel, 1889). Verne proposait d’annuler l’inclinaison de 23 degrés de l’axe de la Terre, la mettant à angle droit du plan soleil-terre. Toutefois, comme Verne l’a ensuite correctement souligné dans un exposé, le gonflement terrestre à l’équateur stabilise notre planète et, même si on lançait un projectile de 180 000 tonnes, le déplacement produit ne serait que d’un dixième de micron. Le sénateur Estes Kefauver, candidat à la vice-présidence lors de l’élection américaine de 1956, redécouvrit la proposition d’origine de Verne et fut fortement préoccupé par le basculement de l’axe terrestre. Il rapporta que l’axe de la Terre pouvait, par suite de l’explosion d’une … lire la suite

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GUERRE CLIMATIQUE ou MANIPULATION DU CLIMAT

guerre climatique ou manipulation du climat - M.Filterman

Conférence de Marc FILTERMAN aux 17e Universités de l’Environnement et de la Santé

à Saintes (Charente Maritime) le dimanche 28 juin 2015.

  • Inventaire historique des actions de manipulation climatique et épandages aériens aujourd’hui reconnus: Amérique, Europe, Chine, Russie …
  • Propos contradictoires dans les rapports du GIEC: aveux sur la réalité de la gestion du rayonnement solaire en cours  
  • Inventaire des techniques de la géo-ingéniérie
  • Liste détaillée des carburants de l’aviation

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guerre climatique-M.Filterman

 

Marc Filterman est l’auteur du livre « Les armes de l’ombre », paru en 1999, aujourd’hui épuisé (possible à trouver d’occasion)

Son site

Des perturbateurs endocriniens dans les cheveux d’enfants

Article paru dans le numéro 2660 de l’OBS (29 oct 2015). Cette étude exclusive, commandée cet été au Laboratoire Luxembourgeois Human Biomonitoring Research Unit – porte sur l’analyses de mèches de cheveux de 63 enfants, de la ville et de la campagne. Les résultats sont édifiants, bien difficiles à comprendre pour les auteurs de l’article qui ne semblent pas soupçonner ce qui tombe du ciel.

Ils sont pourtant à mettre en parallèle avec les résultats publiés dans les rapports AnAlytikA d’analyses de filaments tombés du ciel: il s’agit de perturbateurs endocriniens; ceux nommés dans l’article se retrouvent dans les rapports AnAlytikA … entre autres des traces d’acide 2,4 dichlorophénoxyacétique, qui entre dans la composition de l’AGENT ORANGE, ce défoliant que les Etats Unis ont déversé par avion sur les forêts pendant la guerre du Vietnam et qui continue de provoquer des vagues de cancers et de malformations dans ce pays.

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Lois de la physique et traînées de condensation

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A notre pression atmosphérique (P=1bar) elle change d’état à 0 degré Celsius et 100°C.

Sur le diagramme de changement d’état ci-dessus on se déplace sur la droite horizontale P=1, et on retrouve :

  • la glace solide en dessous de 273,15 degrés Kelvin (0°C)
  • l’eau liquide depuis ce point jusqu’à 373°K (100°C)
  • l’eau vapeur au-delà de 373,15°K

En altitude, la pression est inférieure, mais le fonctionnement reste le même. A 10 km par exemple, hauteur standard des avions de ligne, on a une pression de 264 hecto Pascal (soit 26400 Pascal, c’est-à-dire beaucoup plus que les 611 Pascal du point triple de l’eau visible ci-dessus à 0,006 atmosphère ou bar).

Notre atmosphère visible devrait donc être :

  • blanche si la température est négative (cristaux de glace)
  • grise si la température est entre 0 et t
  • bleue si la température est supérieure

En pratique, comme l’ont fait remarquer des spécialistes, c’est plus flou que cela, car les phases coexistent au-delà des limites prévues. Cela vient probablement du fait que l’eau n’est pas un fluide parfait, que la composition chimique est variable, que le rayonnement solaire (beaucoup plus agressifs à 10 km) apporte de l’énergie, et que l’eau n’est pas un fluide parfait comme l’hydrogène mais un dipôle, etc.

Les notions d’état métastable ou d’hystérésis sont proches de cela : si la transformation est faite en douceur, on peut persister dans un état alors même qu’on est passé de l’autre côté de la courbe. A l’inverse, les impuretés ou irrégularités jouent un rôle capital dans la déstabilisation qui permet de basculer d’un coté à l’autre de la courbe (explosion de vapeur d’eau avec le café, prise en glace par agitation). Ce constat est la base de la manipulation du climat par ensemencement des nuages.

Cependant toutes les subtilités décrites ci-dessus ont leurs limites, la chaleur évapore et que le froid condense, c’est la base. Cela vient du paramètre le plus important : la chaleur latente de changement d’état qui est très importante.

Quand on démarre la journée avec un ciel uniformément bleu, on est généralement d’un côté ou de l’autre de la courbe. Et si on front froid arrive, il est orienté, et non réparti uniformément sur toute la voûte céleste … à l’endroit de passage des avions.

La perturbation créée par l’avion déplace la masse d’air dans le diagramme, car la température augmente en sortie de réacteur, et la pression est modifiée. Poussée d’Archimède : la masse d’air déplacée est égale au poids de l’avion, disons 100 tonnes pour un gros avion de ligne. La masse d’atmosphère au dessus de nous est facile à calculer, 1 bar = 1 kg par cm², soit 100 x 100 = 10 000 kg = 10 tonnes par mètre carré. La voûte céleste des objets situés à 10 000 mètres étant d’un rayon d’environ 100km, cela nous fait PI R2 = 3,14 * 100000 * 100000 = 314.000.000.000 tonnes.

On peut donc conclure que les 100 tonnes de chaque avion sont une quantité négligeable (c’est la masse de 3 milliards d’avions visibles au dessus de nos têtes). De plus le réchauffement lié à la combustion et l’agitation devrait évaporer l’eau plutôt que de la condenser, et c’est ce que l’on constate sur les avions « propres ».

En conséquence, la perturbation engendrée, si elle est uniquement thermodynamique, doit revenir à l’état antérieur au passage de l’avion, c’est-à-dire bleu si le ciel était bleu. Des conditions intermédiaires (traînées discontinues) peuvent être obtenues si le ciel est non uniforme, par exemple nuageux ou mouvementé. Cela correspond a un point (P,T) proche des courbes de changement d’état.

Conclusion :

Les « contrails » créées par le changement d’état de la vapeur contenue dans l’atmosphère lors du passage des avions NE sont PAS persistantes si l’avion est « propre ».

Chemtrail / Contrail V1 David Landelle – dl@LVideoServices.com

Voir aussi

Un article scientifique officiel dénonce la géo-ingéniérie et l’épandage des cendres volantes de charbon

Aluminium poisoning humanity and earth’s biota,

article du Pr Marvin Herndon paru dans Current Science, revue officielle de l’Académie des Sciences de l’Inde – version originale

dans un article dans Current Science (Science Actuelle, revue officielle de l’Académie des sciences de l’Inde), le spécialiste des Sciences de la Terre de San Diego, J. Marvin Herndon révèle : « En gros, depuis plus d’une décennie, avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance non-naturelle : la dispersion de particules d’aluminium toxique dans l’environnement…. Mais il n’y a eu aucune déclaration publique, aucune explication, aucune investigation académique, aucun consentement en connaissance de cause, et aucune révélation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l’air. » Lire la suite M.Herndon-Com de presse SAN DIEGO, June 23, 2015

Chemtrails et cendre de charbon

Source : Ciel voilé

 

Cette vidéo sous-titrée en français vient de : The Haarp report sur YouTube :

https://www.youtube.com/watch?v=F6r0GqbH9Os

L’industrie du charbon recyclerait ses déchets notamment les cendres du charbon, pour fournir la base des chemtrails.
L’auteur de la vidéo a découvert, après sa mise en ligne, deux erreurs [avoir enlevé le mot « base » et ajouté le mot « slurry » ( boue) ] qu’il rectifie :

* Les cendres volantes du charbon constitueraient la base du mélange pour chemtrails, mais d’autres composants seraient ajoutés.
* Les cendres volantes sont traitées à sec en utilisant des équipements de transport pneumatique en vrac. Par conséquent, l’ensemble des opérations : homogénéisation, broyage, et stockage, se font complètement à sec.
* Les cendres volantes sont envoyées, via les wagons-citernes, aux unités de retraitement sur place, où les composants supplémentaires sont ajoutés, et l’ensemble du mélange est homogénéisé et stocké, pour le chargement sur les avions à réaction, à proximité.
* Le processus de traitement de cendres volantes se compose de: « lixiviation » des métaux à partir des cendres volantes, séparation et lavage du résidu. Le sable de silice est considéré comme un déchet, et n’est pas utilisé dans le mélange de base chemtrail.
* Pour prouver que les chemtrails ne sont pas des trainées de condensation : comparer avec les relevés d’humidité de l’air. Si l’humidité de l’air n’est pas supérieure à 60%, ce n’est pas de la condensation.

Le « charbon » est bien utilisé comme carburant alternatif dans l’aéronautique : le CTL ( coal to liquid) :

http://www.cielvoile.fr/2015/02/carburants-pour-l-aeronautique-le-juteux-marche-europeen-de-l-otan.html

Pour le reste consultez : http://chemtrailsplanet.net/2015/02/07/chemtrails-are-coal-ash-really/

Lois de la physique et valeurs des radiosondes

Un article de Corrado Penna , professeur de physique, universitaire italien

article original
https://latanadizak.blogspot.com/2012/01/laviazione-francese-e-i-meteorologi.html

« Météorologistes de l’aviation française et italienne se contredisent et contredisent les lois de la physique et les valeurs des radiosondes »

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Comme quiconque peut le vérifier sur n’importe quel livre de physique ou sur un site universitaire, la pression de vapeur saturante (souvent aussi appelée la tension de vapeur saturante) correspond à la pression maximale qui peut être exercée par la vapeur d’une substance lorsque le liquide de la substance même coexiste avec sa vapeur; c’est une valeur théorique, car il y a aussi des conditions dans lesquelles peuvent persister des vapeurs sursaturées qui se condensent quand quelque chose casse ce genre d’équilibre instable en fournissant les noyaux de condensation nécessaires (ce qui trouve application dans les détecteurs de particules telle que la chambre de Wilson).

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L’humidité relative est le rapport entre la pression de vapeur d’eau dans un certain environnement et la valeur maximale de cette pression (la pression de vapeur saturante ci-dessus). Ce rapport est généralement exprimé en pourcentage. Si par exemple on a une pression de vapeur d’eau de 0,7 atmosphères à une température de 100 degrés centigrades, en sachant que, à cette température la pression de vapeur saturée est exactement une atmosphère, la relation entre la pression de vapeur et la pression de vapeur saturante est 07 / 1 = 0,7; si cette fraction est exprimée en pourcentage est obtenue une valeur d’humidité relative de 70%.

D’une manière similaire à ce qu’on vient de voir , il est possible de définir la pression de vapeur non pas par rapport au liquide, mais par rapport au solide. Même la neige , c’est reconnu, «s’évapore» (le terme scientifique correct est sublimation) et il est donc utile pour de nombreuses applications de considérer la pression de vapeur par rapport à la glace.

Dans une réponse de l’aviation civile française à une lettre d’une association de citoyens  préoccupés par le phénomène des traînées dans le ciel (cf reponse DGAC 23sept11), nous voyons comment une telle institution assure que ce que nous voyons dans le ciel serait totalement du à la condensation.

Les paramètres fournis dans cette réponse officielle sont cependant légèrement différents de ceux qui sont réaffirmés par les météorologues italiens. Comme vous pouvez le voir, ce document (reponse DGAC 23sept11) se réfère aux conditions suivantes pour la formation de traînées de condensation: -30 Degrés de température et une humidité allant de 100% à 130% de sursaturation.

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Notre colonel Costante De Simone, lui, dans son article «Les traînées de vapeur produites par les jet », (publié le 02.05.2007 sur le Journal de Météorologie Aéronautique) affirme:
« Pour qu’une traînée soit visible depuis le sol et dure dans le temps de manière à apparaître comme un nuage de forme allongée, l’avion qui la génère doit voler dans une bande de l’atmosphère dans laquelle la température de l’air est inférieure à 36 degrés centigrades au-dessous de zéro et avec une quantité appropriée d’humidité dans l’air. »

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Alors que sur le site meteoromagna.com ,dans le document « la vieille question des traînées de condensation » signés par Pierluigi Randi, nous lisons au sujet de la formation des traînées … « La température de l’air est généralement plus favorable si comprise entre -25 ° C et -40 ° C et dans ces conditions environnementales, elles ont tendance à être plus persistantes. »

Ici, chaque météorologiste invente du nouveau! Traînées persistantes entre -25 et -40 degrés centigrades est une affirmation pour le moins audacieuse comme nous le verrons grâce aux calculs suivants, pour ne pas mentionner le fait que le texte de météorologie de Jérôme Sansosti et Alfio Giuffrida affirme que des températures inférieures à -40 degrés sont nécessaires pour la formation d’une traînée ! Notez que ce livre a été publié en 2006, presque contemporain aux affirmations des autres météorologistes.

Mais revenons au document de l’aviation française, où il est dit que au dessus de 130 % de saturation on a la formation de nuages. Eh bien, l’observation constante et continue du ciel (si possible toutes les dix minutes pour voir comment parfois, les traînées persistent, s’élargissent, et comment leurs croisements se transforment en une sorte d’ apparente «masse nuageuse » ) montre que cette transformation en nuages a lieu trop souvent (presque tous les jours pendant certaines périodes de l’année), tandis que les données d’observation des radiosondes montrent que les valeurs d’humidité indiquées par l’organisme Français ne sont pas dans la réalité.

Pour être plus précis, je suppose que cet organisme français veut se référer à une quantité égale à 100% ou 130% de la pression de vapeur saturante par rapport à la glace (130% d’humidité relative à haute altitude est pure science-fiction, ce sont des valeurs qui n’existent pas dans les régions de l’atmosphère considérée). La pression de vapeur saturante par rapport à la glace correspond à peu près à une valeur de 60/70 pour cent d’humidité relative, en fonction de la température.

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En utilisant l’équation de Clausius-Clapeyron pour le calcul des deux pressions de vapeur (tableau ci-dessus) et ensuite en calculant le rapport entre pression de vapeur saturée par rapport à la glace et pression de vapeur saturée par rapport à l’eau, on obtient la valeur d’humidité relative à laquelle correspond la saturation par rapport à la glace. Les calculs rapportés dans le tableau ci-dessus sur ont été effectués avec une feuille de calcul dont n’importe qui peut vérifier l’exactitude.

En réalité, on peut lire à la page 143 d’un magazine US Air Force 1975 (Aviation Weather)scienzamarcia.altervista.org/Faa_Aviation_Weather_1975.pdf (❌ ce lien n’est plus valide) que la traînée peut ne pas se former même dans des conditions de saturation favorables, et ne peut encore moins persister (voir l’article de l’annexe).
Toutefois, après avoir calculé le taux d’humidité relative qui correspond à la saturation (100%) on augmente les données obtenues par 130 % pour l’obtention de la dernière colonne, qui indique l’humidité relative de 90/70% à une altitude de 8/13 km là où vous rencontrez de telles
températures. L’observation systématique des données de radiosondage montre que ces valeurs ne sont tout simplement pas observées dans l’atmosphère de nos latitudes.

A notez que la persistance des traînées invoquée par Pierluigi Randi pour des températures de -25 à -40 degrés Celsius ne pourrait être obtenue que lorsque l’humidité relative varie entre 68,5% et 78,6%, des valeurs que l’on retrouve dans les données de radiosondage à une cote de croisière des avions, mais si rarement que cela n’ explique pas la profusion de traînées persistantes que nous voyons, au minimum, la moitié des jours de l’année.

Annexe
30 décembre 2008 – Humidité relative très faible a toutes les altitudes

radiosonde Université Wyoming 30dec2008
radiosonde Université Wyoming 30dec2008
aviation 1

traduction
« Les traînées de condensation de la vapeur s’échappant du moteur se forment suite à la mise en atmosphère de vapeur d’eau ajoutée à partir des moteurs de l’aéronef en une quantité suffisante pour provoquer la saturation ou la sursaturation de l’air. Du moment que l’atmosphère est également chauffée par le moteur de l’aéronef, la vapeur d’eau ajoutée doit être d’une quantité apte à saturer ou sursaturer l’atmosphère malgré la chaleur additionnelle. »

meteo

Pour confirmer davantage voyons le « Manuel de la météorologie, Un guide pour la compréhension des conditions météorologiques et climatiques » en collaboration avec l’UAI (Unione Astrofili Italiani) – un livre de Jérôme Sansosti et Alfio Giuffrida (Gremese – 2006), où se lit à la page 86 :
“La libération dans l’atmosphère des gaz d’échappement des avions, riche en noyaux de condensation et de vapeur d’eau, détermine la sursaturation de la vapeur d’eau et, par conséquent, la formation de traînées de condensation. Les traînées sont formées à des hauteurs où la température de l’air est très faible (inférieure à -40 ° C), avec une humidité relative d’au moins 60%.“

Notez comment ce livre fournit une valeur différente (moindre!) de la température requise pour la formation de traînées de condensation.

Analyses de filaments tombés du ciel – 2ème rapport AnAlytikA – NOV 2013

Filaments. Tombés du ciel ?

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Rapport_AnAlytikA 01 04 2014 Télécharger

Analyses de filaments récoltés le 13 novembre 2013 devant huissier à St Martin de Crau (13).

Le dossier imprimé est disponible pour le prix de 8€ port compris. A commander à

acseipica.association@gmail.com

Le rapport d’analyses complet est désormais consultable publiquement.

En accord avec le laboratoire Analytika, nous avons décidé d’alerter les institutions et la communauté scientifique concernant les préoccupantes conclusions du Docteur Tailliez.
Le rapport, accompagné d’une lettre officielle de l’Acseipica
consultable ici  ainsi que d’une déclaration du comité scientifique italien Galileo  a été envoyé en recommandé avec avis de réception aux institutionnels suivants :

– Maires des quatre villes intéressées par les filaments analysés,
– Ministre de l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie
– Ministre des Affaires sociales et de la Santé.

A Monsieur le Député Gérard Bapt, auteur d’une demande écrite à l’Assemblée Nationale sur le phénomène des traînées anormalement persistantes, consultable ici, nous avons adressé ce courrier.

Les envois par mail vers la communauté scientifique sont en cours, accompagnés de ce texte.

Nous avons reçu une première réponse, encourageante, de la part de l’INVS (Institut National de Veille Sanitaire).

Fin Août, les réalisateurs du documentaire OVERCAST sont venus interviewer le Docteur Tailliez dans son laboratoire.


Bande-annonce du film – sortie prévue en fin d’année



Les bactéries glaçogènes

Avec le froid sibérien qui sévit aux États-Unis cet hiver, on voit circuler sur Youtube beaucoup de vidéos étranges où des personnes tentent de faire fondre de la neige et remarquent que celle-ci met du temps à céder et surtout, ne se transforme pas en eau !!

Les bactéries glaçogènes, c’est quoi ? Voici deux articles qui peuvent nous mettre sur la piste: ils concernent les bactéries dites « glaçogènes » et nous rappellent les conditions naturelles de formation de la condensation (de la vapeur d’eau) :

Est-ce que ces bactéries sont présentes dans les trainées d’avions (chemtrails) et sont la cause de cette neige au comportement étrange ? La question mérite en tout cas d’être posée.

Qu’en pensez-vous ?

Sciences à très grande échelle – colloque CNRS

colloque CNRS jan2014 COLLOQUE  INTERDISCIPLINAIRE organisé par

LE COMITÉ d’ÉTHIQUE DU CNRS (COMETS)

les 8 et 9 janvier 2014

Sciences à « très grande échelle »

Tout est-il permis ?

Tout est-il bénéfique ?

La dynamique d’une recherche peut-elle nous échapper ?

colloqueCNRSprogramme    

 

 

Nous avons été invités à ce colloque et une dizaine de membres de l’ACSEIPICA y ont assisté, en particulier à la conférence inaugurale et à l’exposé sur la géoingéniérie planétaire.

Suivi du colloque sur les sciences à « très grande échelle » sur le site du COMETS

 

Voici notre compte-rendu:

Ambiguïté, voilà le maître mot de ce colloque.  

Doit-on se désoler de ce que les scientifiques présents aient considéré nos interventions comme simplement dérangeantes, refusant d’aller plus loin sur la question ?  

Ou se réjouir de voir Olivier Boucher encadré, ici par deux femmes d’ envergure philosophique : Bernadette Bensaude-Vincent et Amy Dahan, principales animatrices du colloque ?   Toutes deux ont affirmé fermement leur refus de toute pratique de géoingéniérie de même que l’ensemble des femmes qui se sont exprimées dans cette assemblée de chercheurs; du côté des hommes, c’est plus mitigé, certains semblent séduits par la géoingéniérie.  Mais la question des conséquences imprévisibles et irréversibles de ces plans « prométhéens »   – le terme a été maintes fois prononcé –, ainsi que l’aspect multi-échelles du problème – de la cellule à la planète, en passant par nous- ont été bien abordées, ce qui a mis bien en lumière la folie qu’est la géoingéniérie dans son principe et interdit toute expérimentation.  

Un exposé très bien documenté et s’accordant avec nos sources sur l’histoire de la géoingéniérie a été présenté par Amy Dahan.  

Le seul ennui, bien sûr, c’est leur refus résolu d’entendre parler de ce qui se passe réellement dans le ciel. Nous avons même eu droit à la formule consacrée sur la condensation des avions de ligne par une personne du staff, au premier rang !  

Dans l’ordre :

Dominique Pestre, du CNRS, historien des sciences, directeur d’étude à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Conférence inaugurale: « Entre hubris[1] technologique, acteurs économiques et société civile. Quels rôle et place pour les scientifiques ? » Analyse de l’évolution du rapport sciences et politique depuis le 19e siècle : la science est devenue l’alter ego de l’état et une institution de référence ; elle en profite dans ses financements. Son autonomie est systématiquement dépendante de ses financeurs. La maîtrise des choses réside dans l’alliance du scientifique et du politique. Aujourd’hui nous sommes dans les effets durables de ce paradigme.    

– L’une d’entre nous a pris la parole en premier dans l’assemblée et est rentrée dans le vif du sujet, assez maladroitement du point de vue des autres, car la tribune et beaucoup du public se sont sentis agressés d’entrée. Manque de breefing au départ ? Mais faut-il lui tenir rigueur d’avoir fait le premier pas dans ce milieu qui ne nous était qu’entr’ouvert ? Maintenant que c’est fait ce n’est pas la peine. Continuons à avancer.  

– J’ai pensé qu’il fallait apporter des précisions et j’ai pris la parole en deuxième, énoncé notre nom complet, et demandé une première fois aux scientifiques d’aborder ce sujet avec une démarche scientifique. Il a fallu que j’insiste pour aller au bout de ma phrase car un brouhaha de protestation se levait.  

– Intervention ensuite de Dominique Legluge, journaliste scientifique pour Sciences et Avenir à propos de la différence entre principe de précaution / d’innovation.  

– Puis de Michel Spiro (directeur de l’IN2P3/CNRS et Délégué scientifique français au Conseil du CERN depuis 2003)   – Puis Irène Hardy (de l’ACSEIPICA mais se présentant sous son étiquette Robin des Toits) ramène le sujet de l’actualité des manipulations atmosphériques.  

– Michèle Leduc, physicienne, présidente du Comité d’Ethique du CNRS (le COMETS) aborde la question de l’intégrité scientifique et introduit :  

– Amy Dahan (histoire des sciences, membre du COMETS) présente un exposé sur les rapports entre éthique, politique, épistémologie[2] ; la question climatique, la planète dans sa globalité. Souligne l’aspect à la fois spatial et temporel des grandes échelles dont il est question, c’est-à-dire les conséquences à très long terme des expériences de géoingéniérie.  

– Norbert …, mathématicien, rêve d’une autorégulation permettant une harmonie entre la recherche scientifique et le bien-être humain. Fait remarquer que des pans entiers de la science échappent à toute régulation. Cite l’économie financière comme autre exemple de science à grande échelle.  

– Dominique Pestre : le concept à la base de notre science est de devenir le maître de notre environnement ; c’est une approche prométhéenne du monde, intrinsèquement contradictoire. Il n’y a pas de synergie entre science et démocratie ; la science se pose au-dessus de la société. Les effets de la science nous mettent devant des ETATS DE FAITS.  

– Pierre Joliot, professeur au collège de France   – Gérard Toulouse, ENS, physicien  

– Yann Canino, petit entrepreneur en chimie moléculaire aborde : principe d’innovation versus principe de précaution ; « le vulgat conspirationniste » ; perturbateurs endocriniens  

Exposé d’Olivier Boucher, climatologue, laboratoire de Métrologie dynamique présente les techniques de géoingéniérie : injection d’aérosols dans l’atmosphère pour la « Gestion du Rayonnement Solaire » (Solar Radiation Management – SRM) et la capture du CO2.  

– J’aurai l’opportunité de poser la question : puisque l’on attribue à l’excès de CO2 la cause du réchauffement climatique, pourquoi créer un écran aux rayonnement solaire qui limite la transformation de ce gaz en oxygène par les végétaux ? Ce à quoi Olivier Boucher répondra que ce n’est pas important.  

– Amy Dahan fait un point bien documenté sur l’histoire de la modification du climat faisant ressortir le rôle initiateur et prépondérant des militaires ; note un reflux de la contestation publique dans les années 60 ; dans les années 70, on s’inquiète davantage des effets de la pollution sur le climat ; le GIEC est créé en 1988.

Pour le SRM, elle cite entre autres : le Lawrence Livermore National Laboratory https://www.llnl.gov/, lié aux chercheurs en armement ; ce laboratoire proposait, en 1991, de créer un smog atmosphérique ; en 1992, de créer un bouclier solaire pour la planète.

Cite Ken Caldeira et David Keith (géoingénieurs) ainsi que Clive Hamilton qui dénonce la « mégalomanie technicienne » (mais nie la géoingéniérie en cours) et Paul Crutzen, chimiste, à l’origine du concept « d’anthropocène », qui dénonce avec vigueur depuis 2006 l’augmentation des pollutions, le caractère pseudo naturel  de la météo et la dédramatisation du passage à la géoingéniérie.  

Quel pourrait être le frein à la mise en œuvre de la géoingéniérie ? Rappel de la conférence de la Royal Society 2009, et suivantes, sous l’égide de John Shepherd, où la géoingéniérie est banalisée et présentée comme opportune. Les principes d’Oxford, élaborés à la conférence d’Asilomar en 2010 sous la houlette de Steve Rayner, établissent un premier cadre de gouvernance pour les pratiques de géoingéniérie. Voilà ce qu’Amy Dahan souligne par rapport aux 3 points de ces principes (compte tenu que ni elle, ni les auteurs de ces principes, ne reconnaissent la géoingéniérie en cours ; il s’agit pour eux d’expériences à réaliser ou non) :    

– la géoingéniérie doit demeurer un bien public (mais la part du privé est acceptée)            

– les conséquences sur les générations suivantes posent un dilemme de droit, voilà pourquoi cela ne doit pas être géré que par des privés.            

– nécessité d’obtenir un consentement préalable des parties concernées.            

– C’est un défi lancé aux us et aux croyances            

– comment s’assurer de la transparence des résultats ?            

– comment obtenir des expertises indépendantes sur les impacts ?            

– gouvernance avant déploiement ; entre expérience à grande échelle et déploiement, où est la frontière ?

Pour conclure, les principes d’Oxford sont un effort louable et inédit mais ils écartent la possibilité de prohiber certaines recherches.  

 

Discussion ouverte par Bernadette Bensaude-Vincent : la géoingéniérie, comme la science moderne, n’est pas neutre : elle est mortifère (Michel Serre 1970) ; elle est liée à des enjeux militaires ; sa vision est prométhéenne. Soulève deux questions d’éthique :            

– peut-on envisager des réponses humbles au problème du changement climatique            

– c’est un situation typique d’incertitude : il faut en reconnaître les limites Cite l’appel d’Heibelberg en 1992 http://fr.wikipedia.org/wiki/Appel_d%27Heidelberg  

DOIT-ON CONTINUER A VOULOIR DOMINER LA NATURE ?  

 

– Domy Pélissier (ACSEIPICA) fait état de HAARP et de ses effets sur le climat.  

– Daniel Hofnung (ACSEIPICA mais se présente seulement sous l’étiquette Ciel voilé) présente des analyses d’eau de pluie faisant état d’un fort taux de baryum  

– autres interventions (je n’ai pas tout noté)  

– A la fin de cette première session, j’ai pu remettre en main propre deux exemplaires de Case Orange  à Amy Dahan et une autre personne (désolée je ne sais pas qui c’est) ainsi qu’un exemplaire du cours « chemtrails » de l’US Air Force à une 3e.  

 

TABLE RONDE FINALE le jeudi 9 janvier à 16h

– M. Grange, professeur de biologie pense que si la géoingéniérie est une pratique prométhéenne et dangereuse, en revanche il n’en serait pas autant d’éradiquer un virus à l’échelle de la planète (à très grande échelle). Dis qu’il est important de connaître l’histoire.  

– Modératrice : très grande échelle, c’est quand les mécanismes de régulation ne sont plus gérables.  

– Michel Templio, géophysicien de Grenoble, membre du COMETS) ; son rayon c’est l’échlle planétaire, les risques naturels, les conséquences globales d’un séisme par exemple. Dis qu’on s’attend à la juste punition de notre attitude prométhéenne (connaît-il HAARP-note de Claire) ; qu’il faudra bien accepter des programmes désagréables parce que c’est trop tard pour l’attitude humble.  

– Il est contredit par Amy Dahan.  

– Danièle Boursier, juriste, a retenu :            

– pas de synergie entre science et démocratie            

– nous vivons dans un monde toxique            

– « régulation »            

– « le scientisme de l’innovation »

De son point de vue, la grande échelle, c’est le droit international. Elle souligne la différence entre le droit continental, préventif et le droit anglo-saxon, « common law » (on laisse faire et venir puis on gère) La démocratie s’arrête à l’entrée d’une multinationale pharmaceutique Appelle au partage des données scientifiques  

 

BILAN DES TROIS THEMATIQUES du colloque 

1- Géoingéniérie : Bernadette Bensaude-Vincent

Le climat est déréglé, les molécules sont dégénérées. Notre rapport à l’Objet nous a amené dans une crise profondément anthropologique qui concerne notre rapport à la Nature. Devant la complexité croissante des objets, que faire ? Nécessité d’une approche systémique, considérant des individus en relation ; d’un modèle global, holistique, multi-échelles. Considérer les objets non comme outils mais comme partenaires, alliés, à respecter. Cite Primo Levi (chimie). Les plus petits objets : molécules, bactéries et les objets dangereux demandent notre respect.  

 

2- Les substances chimiques : Mathias Girel

Cite « Golden holocaust », livre à sortir d’ici 2 mois.  

 

3- Les bactéries résistantes: Norbert Schappacher, biologiste,

raconte la découverte des antibiotiques et le discours de Flemming : « il est extrêmement dangereux d’interrompre un traitement antibiotique car les bactéries ont l’opportunité de rebondir ». Il se dit choqué par la sérénité d’Olivier Boucher. Pour lui, la géoingéniérie serait une idée folle, mais pas les antibios …  

– un intervenant parle de l’interaction de l’homme et du microbe (on a besoin de nos bons microbes)   – un autre des insectes OGM, ingéniérés. Met en question la vieille logique selon laquelle la technique va régler les problèmes causés par la technique.  

– Amy Dahan, répondant aux propos de Bernadette Bensaude-Vincent à propos du respect de l’objet d’expérience (les molécules …) : le vocabulaire moral est-il adapté ? Le véritable problème est le réchauffement climatique. A cette grande échelle, il y a hubris + prolifération.  

– Une mathématicienne souligne les propos de Bernadette BV et insiste sur « penser multi-échelles ». C’est un problème de phénomènes non-linéaires ; tout dépend de tout avec des interactions inter-échelles.   – Jacques Bordais parle du choix des sujets de recherche ; de la recherche sur les causes ; il faut éviter une fuite en avant.  

– Un jeune parle de la science de la prévention  

– Conclusion par Dominique Pestre : ce colloque fut un grand plaisir, bien que son constat est que : tout est noir, le siècle est toxique ; la salle entière est hostile aux propositions d’Olivier Boucher. « Tout dépend des récits qu’on construit et qu’on donne. »  

Voici donc mon récit, que je vous donne ! Claire  

Je rajouterai qu’une question a été posée à Olivier Boucher sur ce que font des pays comme l’Inde ou la Chine. Il a répondu que pour la Chine on sait puisqu’ils ont fait pleuvoir à 100 kms de Pékin au moment des JO. D’autre part, Bernadette Bensaude-Vincent, outre se demander si on peut envisager des réponses humbles au changement climatique, a fait remarquer l’échec du politique depuis Rio et se demande si les solutions techniques sont plus « secure ». Et enfin, sa question pertinente : Quelle posture voulons-nous adopter face à la nature ?  

Personnellement, je n’ai pas été éblouie par Amy Dahan, elle a juste fait son boulot d’historienne des sciences en compilant tout ce qui a été fait depuis les années 40 et en citant les noms de tous ceux qui sont engagés dans les recherches sur la géoingénierie. Oui bien sûr, elle appelle un chat un chat et précise bien tous les programmes financés par les militaires, mais bon… pas de quoi se relever la nuit à mon sens.

Quant à Olivier Boucher, il a bien insisté sur les modèles, les expériences, rien de tout cela n’est mis en oeuvre. Lorsque Daniel Hofnung a fait remarquer que des quantités extrêmement élevées de baryum avaient été mesurées dans l’eau, il a répondu par l’étonnement, il n’était pas au courant. Sa conclusion : la géoingénierie est une petite partie des sciences du climat, elles se nourrissent l’une l’autre.  

Voilà ce que j’ai noté. Domi R



[1] Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l’homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
[2] Epistémologie : désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général.