« Nous allons stopper ce crime. » Robert F. Kennedy Jr sur X, 26 août 2024

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https://t.me/trottasilvano/36747

Répondant à un post dénonçant les injections aériennes sur X, Robert F. Kennedy Jr

« Nous allons stopper ce crime. »

Robert F. Kennedy Jr sur X, 26 août 2024
https://x.com/BGatesIsaPyscho/status/1828165880296993240

Un bon aperçu du « crime » que constituent les injections aériennes dans ces 2 vidéos:

Merci La Tête En L’air pour ce travail !

QUE SE PASSE-T-IL DANS NOTRE CIEL ? (Partie 1) 🎬 1:17mn

https://www.youtube.com/watch?v=biPhSRG64Ss

Chemtrails, filaments et MORGELLONS (Partie 2) 🎬 0:21mn

https://www.youtube.com/watch?v=e043hFGbHsc

HAARP : CHANGEMENT DU MONDE ET DESTRUCTION

HAARP : CHANGEMENT DU MONDE ET DESTRUCTION

Article publié sur le site de Anonymous Afrique Francophone en 2016 https://anonymousafriquefrancophone.wordpress.com/2016/10/14/haarp-et-modification-du-climat/


HAARP : CHANGEMENT DU MONDE ET DESTRUCTION

Les militaires américains sont passés maîtres dans l’art de camoufler leurs opérations secrètes sous le couvert de recherches pacifiques. Ainsi, HAARP signifie « High Atmosphere Auroral Rechearch Program » (« programme de recherche sur les aurores boréales en haute atmosphère »), un nom calculé pour ne faire peur à personne, avec un budget apparemment pas trop élevé  (30 millions de dollars par an officiellement). En réalité, depuis plus de quinze ans, se déroule sous ce couvert un projet gigantesque de construction d’une nouvelle arme terrifiante. La première réalisation est une station située à Gakona en en Alaska, station dont la puissance double régulièrement au fur et à mesure que de nouvelles installations voient le jour (960 kW en 2003, 3,6 mégawatts en 2006, 20 mégawatts en 2008). D’autres stations sont en construction. Mais cela ne constitue que la partie émergée de l’iceberg. L’île américaine de Diego Garcia, au sud ouest de l’inde, serait un autre maillon de HAARP. Il y en aurait un autre à Pine Gap, en Australie.

L’objectif  réel de HAARP est simple : pouvoir atteindre et bombarder à volonté n’importe quel point de la terre et de l’espace proche avec un faisceau d’énergie directif ultra-puissant… sans utiliser de satellite ! Mais en fait Haarp marche si bien qu’un grand nombre de nouveaux objectifs sont apparut possibles et sont en cours de développement / tests :

  • Détruire en vol les missiles, fusées, avions et satellites,
  • Mettre HS des installation electriques civiles et militaires
  • Communiquer avec les sous-marin même à grande profondeur
  • Provoquer des incendies dans des installations industrielles
  • Interdire les communications radio sur une zone donnée, à volonté
  • Scanner le sol et les océans à grande profondeur
  • Manipuler à distance l’esprit des gens et le comportement des foules (si, si !)
  • Réaliser un bouclier antimissile pour les USA
  • Attaquer des cibles au sol
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Et même contrôler le climat et créer une arme climatique

Ces objectifs ne sont pas bien sûr avoués par les américains, car ils sont contraire à la convention ENMOD de 1977 qui interdit les modifications de la biosphère à des fins hostiles. Notons cependant que les nations-unis ont récemment, sur l’instigation des américains, exclu de leur ordre du jour les changements climatiques résultant des programmes militaires. Cependant, les USA n’ont pu empêcher quelques informations de filtrer, et cela a commencé à alarmer les autorités de certains pays. En février 1998, le Comité des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du parlement européen a tenu une audience publique à Bruxelles au sujet de HAARP. Ce comité à présenté au parlement européen en 1999 une motion stipulant que « HAARP… en vertu de son impact étendu sur l’environnement , constitue une préoccupation mondiale… [le comité] demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évalués par un organisme international indépendant… [le comité] regrette le refus réitéré des États-Unis d’apporter des preuves à l’audience publique concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP ». Cette requête fut rejetée sous le prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans les liens entre l’environnement et la défense. La vérité, c’est que Bruxelles ne souhaitait pas entrer en conflit ouvert avec Washington… Retenons une chose : Haarp, c’est du sérieux.

La Douma, le parlement Russe, s’est également inquiétée de HAARP : en 2002 ses membres ont exprimé leur vive inquiétude en évoquant « un saut qualitatif considérable en matière d’armement ». Le rapporteur a indiqué trois sites prévus pour HAARP : Alaska, Groënland et Norvège. Un appel contresigné par 90 députés de la Douma a été transmis à l’ONU ainsi qu’au parlement et leaders des pays adhérents à l’ONU.

HAARP utilise les propriétés de l’ionosphère, une couche atmosphérique située à 270 Km d’altitude environ, qui possède la propriété de réfléchir les ondes radio. Les radio-amateurs connaissent bien l’ionosphère, c’est elle qui leur permet d’établir par exemple des liaisons radio transatlantiques, sans satellite. L’ionosphère est ainsi une sorte de miroir radio naturel, qui  renvoie vers le sol les ondes radio (de certaines fréquences précises) émises depuis la terre. L’ionosphère est ainsi appelée parce que ce sont des ions (des atomes électrisés) qui réfléchissent les  ondes.

Seulement l’ionosphère est capricieuse. Les conditions radio et les fréquences changent d’heure en heure, voire de minute en minute, et sont sujettes aux variations de l’activité solaire. C’est d’ailleurs dans l’ionosphère que se produisent les aurores boréales, ou aurores polaires.

D’où l’idée : et si on pouvait, avec un  émetteur HF de forte puissance, contrôler l’ionosphère, au moins sur une petite portion (quelques centaines de kilomètres carrés),  et la transformer en un miroir parfait, et même en un miroir parabolique parfait, est-ce qu’on ne pourrait pas en profiter pour envoyer un second faisceau d’ondes, bien plus puissant, qui se réfléchirait sur ce miroir pour frapper toute cible désignée avec une précision de quelques mètres ?

Dit comme ça, ça parait simple, mais les détails techniques sont très compliqués. Les américains, toutefois, semblent y être parvenus. La station de Gakona (Alaska), malgré sa gigantesque puissance HF émise, ne sert qu’à amorcer dans l’ionosphère les conditions radio pour que d’autres stations, bien plus puissantes (!) (on parle ici de gigawatts émises par radio) et opérant dans d’autres gammes de fréquence (VLF et ELF), puissent utiliser le miroir ainsi créé pour atteindre instantanément une cible au sol, en vol ou dans l’espace, partout dans le monde, et avec une puissance telle que la cible est immédiatement vaporisée. Haarp a ceci de « merveilleux » que le miroir ionosphérique fonctionne dans les deux sens et permet aussi de créer un radar parfait, donc de suivre la cible en même temps qu’on la détruit. Et comme l’ionosphère se désionise très rapidement, aucune preuve ne peut être apportée quant à l’auteur du tir. Ni vu ni connu ! Mais s’il n’y avait que ça…

De nombreux experts en armement et scientifiques ont fait part de leur vive inquiétude face à HAARP, y compris au parlement européen.  Le physicien allemand Zielinsky et le chimiste Richard William affirment que les énormes puissances mises en jeu sont susceptibles d’influencer la météorologie d’un pays et d’y provoquer des effets catastrophiques. Gratan Healy, expert en énergie, a été chargé par des parlementaires de rassembler des preuves sur cette arme terrifiante.

Station de Gakona

Elle s’étend sur plusieurs hectares à Gakona, une petite localité au sud d’Anchorage. Elle est située tout à coté des immenses réserves de gaz et de pétrole de la société (écran) ARCO, qui est … propriétaire des brevets HAARP. L’installation est reliée à l’un des plus puissants ordinateurs de la planète, sur le campus de l’université D’Alaska, dans le Butrovich building. Elle est protégée par un réseau de défense antiaérien comparable à celui de Washington : des batteries de missile sol-air sont disséminés partout en Alaska dans le seul but de protéger la station de Gakona. La photo ci-contre ne montre qu’une partie des installations, elle a été « caviardée », mais hélas je n’en ai pas trouvée de meilleure.

HAARP dispose (actuellement) de 48 énormes antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur de 1 mégawatt. Le projet à terme prévoit 360 antennes de 3 mégawatts chacune, soit 1 gigawatt ! (Et rappelons que c’est uniquement pour créer le « miroir » qui sera utilisé par des installations secrètes dont la puissance est largement supérieure… et reste inconnue).

Les émetteurs HF sont alimentés en énergie par 6 turbines brûlant 95 tonnes de diesel par jour. L’installation rejette 7 tonnes de déchets par jour.

En 2005, la société BAE Systems Advanced Technologies Inc, située à Washington D.C. s’est vue attribuer un contrat ferme de 35 mllions de dollars TTC dans le cadre des des contrats hors limitation d’attribution et de de volume ( N00014-02-D-0479 ) pour construire des transmetteurs haute fréquence dans la cadre du projet de rechercher HAARP, de recherche d’activation aurorale par hautes fréquences, situé à Gakoma, et opérant grâce à un système d’antennes émettrices.  Le travail sera effectué à 72 % à Dallas, Texas, et à 28 % à Washington et il était prévu que tout serait achevé en juin 2007. Le Bureau des Recherches Navales, Washington S.C. est la structure chargée de gérer ce contrat. Bien sûr, ce n’est que l’un des multiples contrats liés à HAARP…

A quoi ça sert ?

Au début, il s’agissait simplement de faibles énergies: on utilisait des ondes HF émises depuis Gakoma pour  ioniser l’ionosphère et créer un miroir sur lequel on envoyait des ondes ELF, utilisées pour communiquer par exemple avec les sous-marins : les ondes de très basses fréquences, ou ELF, ont en effet la propriété de pouvoir pénétrer plusieurs kilomètres sous terre ou sous la mer. Seulement ces ondes sont très peu directives, et il faut des antennes de plusieurs kilomètres de long (les sous-marins nucléaires traînent derrière eux des fil d’antenne de cette longueur). Avec Haarp,  l’ionosphère permet enfin de focaliser les ELF et d’envoyer des puissances gigantesques (on sait faire des émetteurs extraordinairement puissants dans ces gammes d’ondes) directement vers les sous-marins. Les applications sont incroyables puisque on parle même de recharger des batteries à distance…

Très rapidement, les militaires américains se sont aperçus que HAARP marchait super bien et que d’autres applications étaient envisageables : tout d’abord un « radar ELF » capable de scanner le sous-sol de la terre entière à la recherche de bases secrètes, et les mers à la recherche de sous-marins (qui ne donc sont plus du tout invisibles pour les américains, ce qui fout en l’air une bonne partie de la stratégie de dissuasion nucléaire, au moins française).

Enfin HAARP permet de créer une arme EMP, une arme à impulsion éléctromagnétique… sans faire péter de bombe atomique dans l’espace. Les armes EMP anéantissent instantanément toutes les communications et dispositfs électronique chez l’ennemi. Une arme EMP a été utilisée contre l’Irak en 1991 au cours de la guerre du gofe, ce qui explique pourquoi Saddam et sa clique se sont rendus si vite.

Mais le « jeu » ne s’est pas arrêté là : les américains ont très vite compris qu’ils pouvaient utiliser des énergies encore plus intenses pour détruire carrément des cibles terrestres ou aériennes… Et même carrément contrôler la météorologie ?

Contrôler le climat ?

Et si les américains avaient vraiment la capacité de créer / influencer des ouragans et des tornades ?

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Encore plus fort  : manipulation mentale ?

Un certain nombre de personnes se sont engagées dans un véritable jeu de détective afin de déterminer les véritables but de HAARP : Rosalie Bertelle, scientifique et consultante pour le parlement européen, et Nick Begish, écologiste qui avec Jeanne Manning, Journaliste indépendante, est l’auteur du livre « les anges ne jouent pas de cette haarp », qui fit grand bruit.

Selon eux, les armes EMP (et à plus forte raison, HAARP) ont un effet psychologique perturbant sur l’être humain. Il se pourrait que HAARP, arme polyvalente s’il en est, puisse aussi être utilisée dans ce but. Une arme « psychotronique » utilisant une onde ELF (ultra basse fréquence) de forte puissance, capable de manipuler mentalement les populations à leur insu. Les ondes ELF sont en effet, comme l’avait découvert dès 1952 le professeur Jose Delgado de l’uniersité de Yale, capables de d’interférer avec les fréquences cérébrales et de provoquer la synthèse de substances neurochimiques altérant les émotions : peur, dépression, colère… Ceci pourrait (?) expliquer pouquoi lors de la guerre du golfe, des milliers de militaires irakiens se sont rendus sans combattre.

Et c’est un fait que les molécules d’ADN et ARN, à cause de leur longueur, sont particulièrement sensibles aux hautes fréquences modulées en basse fréquence. Il est possible que des maladies affectant le système d’orientation des cétacés, les faisant s’échouer par troupeaux entiers sur les côtes (ce qui ne s’était  jamais vu auparavant) soient causés par les essais HAARP pour communiquer avec les sous-marins.

REMARQUE:

scientifiques et experts en armement ainsi que des députés du Parlement européen se montrent préoccupés, c’est un euphémisme, par le développement de ce projet. C’est pourquoi un expert en énergie, Gratan Healy, conseiller auprès des parlementaires, rassemble pour l’instant les pièces accusatoires de ce projet de fin du monde.

Magda Haalvoet, une eurodéputée belge, chef de file du groupe des Verts au Parlement européen est en charge du dossier. C’est elle qui doit donner une suite officielle aux demandes d’éclaircissement des membres de son groupe et qui fera en sorte que le Parlement fasse pression, via l’Otan, pour que les Etats-Unis répondent à  toutes questions utiles, Magda Haalvoet est inquiète. Elle affirme même que ce type d’armement (« non lethal weaponery »), outre les conséquences écologiques désastreuses qu’il implique, « peut mettre en danger les libertés individuelles et la démocratie ». Rien de moins. 30 millions de dollars

Les initiales HAARP signifient en anglais « High-frequency Active Auroral Research » (recherches dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales.) De prime abord, derrière ces initiales un peu ésotériques, se cache un projet de 30 millions de dollars de cotitation annuel que l’armée américaine présente comme d’innocente recherches sur l’ionosphère. Les promoteurs du projet n’épargnent ni leur énergie, ni leurs dollars en campagnes de relations publiques et en publicité pour rassurer l’opinion américaine. Néanmoins, il est difficile de croire qu’il ne s’agit pas d’un projet à  des fins militaires lorsque l’on sait que les vrais bailleurs de fond sont la Navy, l’Air Force et le Département de la Défense.

A quoi ressemble Haarp sur le terrain ? Il s’agit d’une vaste installation qui s’étend sur plusieurs hectares, à  Gakona, une petite localité au nord-est d’Anchorage en Alaska. Le coin n’est pas si perdu que cela puisque l’installation jouxte les immenses réserves gazières et pétrolières appartenant à  la société Arco, par ailleurs propriétaire des brevets technologiques composant Haarp et « financier-écran » de ces équipements.

En outre, Haarp est relié à  l’un des ordinateurs les plus puissants de la planète à  l’université d’Alaska dans le Butrovich building. Quant à  son aspect physique, il s’agit somme toute d’un vaste périmètre plat et déboisé, planté de 48 antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à  un émetteur d’un peu moins de 1 million de watts de puissance. A terme, le nombre d’antennes et la puissance des émetteurs sont appelés à  se multiplier pour atteindre la puissance phénoménale de 1 milliard de watts émis par un réseau de 360 antennes. Les émetteurs sont alimentés en énergie par 6 turbines de 3.600 CV brûlant quelque 95 tonnes de diesel par jour.

On notera ici que l’ensemble de l’installation est assez nocive pour l’environnement proche puisqu’elle émet plus de 7 tonnes de matières polluantes par jour.

A quoi ça sert ?

Officiellement, les scientifiques qui travaillent sur cet émetteur radio mégalomaniaque veulent étudier l’ionosphère. Officieusement, Haarp va tirer parti de l’ionosphère pour en faire une arme à  énergie. L’ionosphére est cette couche située au-dessus de la stratosphère, constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie et qui démarre à  une altitude moyenne de 48 km pour se terminer à  600 km de notre surface terrestre. Cette couche à  haute densité énergétique est vitale pour notre planète car elle joue un rôle fondamental de bouclier, au même titre que la couche d’ozone. Elle nous protège des dégagements nocifs du soleil. L’ionosphère « capture » entre autres choses les particules chargées électriquement et nées des « vents et tempêtes » solaires et galactiques. On sait par ailleurs que les recherches menées depuis un siècle par une serie de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce « manteau énergétique » protégeant la terre pouvait, avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique de toute première importance.

Haarp se fonde sur les recherches de Bernard Eastlund, qui s’est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla, un scientifique croate, inventeur de génie du début du siècle, à  qui l’on doit le courant alternatif (combattu par Edison favorable au courant continu) et le courant triphasé… Tesla mit notamment au point un procédé permettant de transférer de hautes quantités d’énergie électrique sans l’apport de c,ble sur une distance de 42 km et il consacra une bonne partie de ses recherches à  « l’énergie ionosphérique » et aux phénomènes électromagnétiques. Ses travaux furent financés, canalisés, puis censurés pour des raisons financières par le banquier JP Morgan et la société Westinghouse. (voir remarquable génie Nikola Tesla et comment mener une guerre biologique et psychologique)

Un peu moins d’un siècle plus tard, Bernard Eastlund n’a fait qu’adapter les premiers travaux de Tesla dans lemdomaine de l’énergie électromagnétique. Et c’est ainsi que ce chercheur déposa douze brevets, entre 1987 et 1994, qui constituent l’ossature du projet « Haarp » et de ses technologies dérivées en matière d’armements. Le vrai propriétaire et exploitant de ces brevets n’est plus Eastlund (qui a fini par être éjecté du projet pour des raisons obscures) mais bien la société Apti-Arco, un consortium pétrolier derrière lequel se profilent la Navy, l’Air Force et le Départment of Défense US. Depuis le dépôt des brevets Eastlund, toute la recherche dans le domaine de l’énergie électromagnétique, par exemple à  des fins médicales, est bloquée. C’est donc un vaste champ hautement prometteur de la science et de la médecine qui a été ainsi monopolisé par des intérêts liés à  l’armée américaine.

Comment cela fonctionne-il?

Toute la technologie contenue dans le projet « Haarp » revient, grosso modo, à  pointer vers l’ionosphère un faisceau d’ondes (comme le ferait un émetteur radio) à  hautes fréquences (HF) afin de voir ce qui s’y passe. Le bombardement d’une zone donnée de l’ionosphère avec ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette « antenne » virtuelle réémettra des fréquences extrêmement basses (ELF : extremely low frequency) vers la terre. pour employer une image, outre l’effet d’antenne virtuelle ainsi déployée dans le ciel, on crée une sorte de four micro-ondes géant dans un territoire donné de l’ionosphère. Malheur aux avions et aux missiles qui passeraient dans le ciel à  ce moment-là . selon la puissance des émetteurs, on pourrait tout aussi bien affoler les systèmes de guidages électroniques, radars et autres appareils radio de ces missiles et aéronefs que de les griller.

Par ailleurs, grâce à  l’antenne virtuelle constituée d’ondes ELF, on peut véritablement scanner la croùte terrestre à  des profondeurs extrêmes pour en faire une sorte de radiographie. De la sorte, les militaires américains sont fiers d’affirmer que grâce à  « Haarp », plus aucun pays ne pourra leur cacher l’implantation de bases secrètes souterraines abritant des armes nucléaires… Selon des études de spécialistes américains en armement, on pourra également communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés dans des coins reculés des océans, détecter puis détruire tout missile ou avion, même furtif, s’engageant dans l’espace aérien américain.

Le but ultime étant de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles ennemies, nucléaires ou conventionnelles, et de les « traiter » de la façon adéquate. Enfin « Haarp » a surtout pour but d’empêcher toutes les communications radio et satellites ennemies dans une zone précise. En plus, avec l’aboutissement de ce projet, les Américains pourront rendre leur propre système de communication quasiment inviolable. Voilà  pour la version officielle.

Les buts occultes

Sur la base des travaux et brevets d’Eastlund, d’autres scientifiques, chercheurs, journalistes et militants écologistes se sont engagés dans un véritable jeu de détective avec l’armée américaine afin de déterminer d’autres aspects non avoués par l’Air Force et la Navy du projet « Haarp ». Parmi ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui, naguère, avait été désignée comme expert par l’administration Reagan pour étudier les effets du projet d’armement « Star Wars ». Elle est aujourd’hui consultante pour le Parlement européen sur « Haarp ». Ou encore le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste indépendante qui s’est spécialisée dans les recherches sur les énergies dites « non conventionnelles » qui sont coauteurs d’un livre « anti-Haarp » au titre évocateur : « Angel dont’ play this Haarp », qui a fait grand bruit outre-Atlantique et qui révêle, sur la base de données sérieuses, les applications occultes du projet. Le fruit de leur enquête a été corroborée par d’autres scientifiques comme le Pr Zielinski, un physicien allemand spécialisé dans l’électrodynamique quantique ou le chimiste américain Richard Williams. La liste des détracteurs scientifiques de Haarp est innombrable.

Pensées contrôlées

Selon ces scientifiques, les militaires n’en sont qu’à  la phase expérimentale de leurs travaux mais les résultats déjà  enregistrés sont très prometteurs. Ainsi, grâce à  l’injection de fortes quantités d’énergie dans l’ionosphère, on pourra influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques dans une région donnée… ou cauchemardesque dans une autre.

Comment? Tout simplement en modifiant la circulation des vents en haute atmosphère là  o ils entrent en interaction avec l’ionosphère. On pourra également provoquer la libération soudaine d’une énorme quantité d’énergie en imitant par exemple le flash provoqué par une explosion nucléaire à  haute altitude. Un type d’action militaire qui ne relève en rien de la science-fiction puisqu’elle a déjà  été utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l’opération « Desert Storm ». Selon le périodique militaire officiel Defence News (n19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le champ de bataille une arme à  impulsion électromagnétique (EMP Weapon). Le but de cette arme est double: il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d’empêcher toute forme de communication radio chez l’ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre. Autre application de la technologie « Haarp » : transmettre sans l’apport d’un cable électrique de fortes quantités d’énergie d’un point à  l’autre. Utile, par exemple, pour ravitailler à  distance les batteries électriques d’un sous-marin.

Mais il reste un domaine d’application, encore plus effrayant dont les militaires américains pourraient tirer parti grâce au projet « Haarp ». Vu le passif de l’Air Force et surtout de la CIA en matière d’expérimentations chimiques et bactériologiques, il est concevable que les militaires n’aient pu résister à  la tentation de faire de Haarp une arme polyvalente. On se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur de pauvres soldats conscrits qui consistaient à  leur injecter d’énormes quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences pour influencer les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952, le Dr Jose Delgado, professeur à  Yale, avait découvert que l’on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et certaines ondes.

Le Dr Nick Begich, coauteur de l’ouvrage Angels dont’ play this Haarp, maintenant traduit en français titré « Les anges ne jouent pas de cette HAARP » chez Louise Courteau Éditrice, n’hésite pas à  affirmer qu’un des buts du projet Haarp est de mettre sur pied une telle arme « il est douteux que les organisateurs du projet Haarp n’aient jamais discuté de ce type de recherches. Selon mes sources, tous ceux qui sont impliqués dans le projet sont en fait aux première étapes de développement de ce genre d’application ». des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert Becker ont réussi à  démontrer que des ondes de types ELF identiques à  celles utilisées par Haarp, couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’éxtérieur avec des résultats très tangibles ». Certaines ondes peuvent en effet provoquer l’apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent, nous explique le Dr Begich, « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour, etc. »

Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s’en faut. Pour preuve, on peut lire dans une revue à  circulation interne (The revolution in military affairs – Stategic Studies Institute-US Army War College) qui n’est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: « Nos valeurs changent et la technologie s’ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l’armement psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l’ère de l’électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie) pouvant manipuler l’esprit de nos ennemis tant à  l’intérieur du pays qu’à  un niveau international… Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à  développer une technologie appropriée… Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d’armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques avancées… »

Bouclier global

L’utilisation des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme terriblement efficace. Le Dr Rosalye Bertell affirme que les Américains expérimentent à  l’insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales ce genre d’armement depuis plus de quarante ans. Se sont succédé ainsi une série de projets : « Argus » (1958), « Starfish » (1962), « Solar Power Satellite » (1968 et 1978), « Space Shuttle Experiments » (1985), « Mighty Oaks » (1986) ou « Desert Storm » (1991), qui avaient tous pour but de jouer avec l’ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes raisons : rupture des communications de l’ennemi, armes à  plasma, etc.

« Haarp » est donc le dernier chapitre en date de ces projets. Les Américains auraient même l’intention de développer un véritable réseau de stations similaires à  travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier modulable total. Ainsi, il existe d’autres complexes de recherches sur l’ionosphère comme à  Puerto Rico, en Norvège à  Tromsoe, au Pérou à  Jicamarca, en Russie (près de Moscou) ou encore à  Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan.

La géo-ingénierie fait l’objet de théories du complot, mais pourrait-elle contribuer à sauver la planète ? 🗞Article de la BBC, juillet 2024

Article-BBC-juillet-2024-la-geoingenieurie-pour-aider-la-planete

https://www.bbc.com/news/articles/c98qp79gj4no
Article publié en anglais sur le site de la BBC, 21 juillet 2024

Traduction

Si nous ne parvenons pas à contrôler la hausse des températures mondiales en réduisant radicalement les émissions de carbone, la géo-ingénierie pourrait-elle être un moyen de refroidir la planète ?
Dans ce qui est déjà une industrie de plusieurs milliards de dollars, des scientifiques du monde entier, y compris du Royaume-Uni, font des recherches sur la géo-ingénierie, c’est-à-dire sur les moyens de manipuler le climat pour lutter contre le réchauffement de la planète.
Certains experts s’inquiètent des trop nombreux risques associés à cette technique, craignant qu’elle ne perturbe les schémas météorologiques mondiaux ou qu’elle ne réchauffe certaines régions au lieu de les refroidir.
Les théories du complot se sont multipliées à mesure que le secteur se développait. Depuis janvier, BBC Weather a constaté une forte augmentation des commentaires sur les réseaux sociaux concernant la géo-ingénierie, nous accusant de couvrir des projets secrets et d’imputer à tort à la géo-ingénierie le temps frais et humide que nous avons connu récemment. Au niveau mondial, il y a eu deux fois plus de mentions de la géo-ingénierie cette année sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, qu’au cours des six derniers mois de l’année 2023.
La géo-ingénierie consiste notamment à renvoyer la lumière du soleil dans l’espace pour refroidir la Terre. Le domaine le plus avancé de la géo-ingénierie est la capture directe du carbone dans l’air, avec des installations à petite échelle en service en Europe, aux États-Unis et au Canada. Ces installations éliminent actuellement environ 10 000 tonnes de dioxyde de carbone par an, ce qui signifie qu’il faudrait les développer massivement pour faire la différence par rapport aux quelque 35 milliards de tonnes que nous émettons dans le monde.
« Nous devons commencer à réfléchir aux autres mesures que nous pouvons prendre pour limiter le réchauffement », déclare le professeur Liz Bentley

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

Les chercheurs étudient deux types de gestion du rayonnement solaire : l’éclaircissement des nuages marins et l’injection d’aérosols stratosphériques.
L’éclaircissement des nuages marins consiste à pulvériser de l’eau salée très fine à partir d’un bateau vers les nuages de basse altitude au-dessus de l’océan afin d’améliorer leur luminosité et leur réflectivité.
La modélisation a montré que si l’on pulvérisait de l’eau salée sur une vaste zone – environ 4 % de l’océan – près de l’équateur et que l’on éclaircissait les nuages, l’augmentation du nombre de nuages et, par conséquent, l’abaissement de la température de la surface de la mer en dessous pourraient avoir des répercussions à l’échelle mondiale.
Notre atmosphère est complexe, ne connaît pas de frontières et se comporte comme un fluide. Vous avez peut-être déjà entendu parler de « l’effet papillon » : si un papillon bat des ailes au Mexique, il peut apporter de la pluie au Royaume-Uni. Bien qu’il s’agisse en réalité d’un grand bond en avant, il met en évidence la façon dont les conditions météorologiques sont liées dans le monde entier.
« L’éclaircissement des nuages au large de la Namibie pourrait provoquer une sécheresse en Amérique du Sud, et plus particulièrement au Brésil. Qu’y a-t-il au Brésil ? Eh bien, les forêts tropicales », a déclaré le professeur Haywood.
Dans ce cas, en raison de la complexité des circulations atmosphériques et océaniques, l’augmentation de la luminosité des nuages aurait pour effet de refroidir la surface de la mer dans l’est de l’Atlantique Sud, ce qui aurait pour conséquence de perturber le régime des précipitations dans l’Atlantique Sud, en direction de l’Amérique du Sud. La sécheresse dans la forêt amazonienne – souvent considérée comme le « poumon de la planète » car elle absorbe le dioxyde de carbone – pourrait causer des dégâts considérables.
Bien que l’accent soit mis sur l’utilisation de l’éclaircissement des nuages marins pour compenser les effets de la pollution atmosphérique mondiale, il n’en reste pas moins que l’on peut s’attendre à ce qu’il y ait une augmentation du nombre de nuages.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

« Bien que nous n’en soyons qu’aux premiers stades de la compréhension de la manière dont l’éclaircissement des nuages marins pourrait être appliqué au-dessus de la Grande Barrière de Corail, nous avons réalisé des avancées scientifiques majeures.
« Nous sommes beaucoup plus convaincus qu’il est possible d’éclaircir les nuages au-dessus de la barrière de corail », a déclaré le professeur Daniel Harrison, responsable du projet à la Southern Cross University.
Développement d’une technologie stratosphérique
La technologie permettant d’éclaircir les nuages marins à petite échelle à l’aide de ventilateurs et de pulvérisateurs existe déjà, mais l’autre méthode de gestion du rayonnement solaire – l’injection d’aérosols stratosphériques – nécessiterait des progrès plus importants pour avoir l’impact souhaité.
Cette méthode de géo-ingénierie consiste à ajouter artificiellement des aérosols tels que des sulfates dans la stratosphère, qui s’étend de 10 à 20 km à 50 km au-dessus de la Terre. Ces aérosols réfléchiraient une partie du rayonnement solaire, réduisant ainsi la quantité qui atteint la surface de notre planète et provoquant théoriquement un refroidissement global.

La manière d’injecter suffisamment d’aérosols dans la stratosphère est incertaine, mais des avions capables de voler à une altitude de 18 km (11 miles), soit environ 1,5 fois plus haut que les avions commerciaux, sont une suggestion.
Des millions de tonnes de dioxyde de soufre devraient être injectées pour avoir un impact. Par exemple, lors de l’éruption du mont Pinatubo, l’injection d’environ 15 millions de tonnes de dioxyde de soufre dans la stratosphère a entraîné un refroidissement de la planète d’un demi-degré.
Étant donné que les aérosols sulfatés ne durent que quelques années dans l’atmosphère, contre plusieurs décennies pour le dioxyde de carbone, l’injection d’aérosols stratosphériques n’est considérée que comme une méthode à court terme.
Cela n’a pas empêché une entreprise américaine de commencer à vendre des « crédits de refroidissement ». Moyennant paiement, elle envoie un ballon rempli de dioxyde de soufre dans la stratosphère, où il éclate et libère le gaz.
Selon eux, un de leurs crédits de refroidissement – deux grammes de dioxyde de soufre – « compensera le réchauffement d’une tonne de dioxyde de carbone pendant un an ». Cela équivaut au vol aller-retour d’un passager entre Paris et New York, ce qui signifie qu’il faudrait lâcher beaucoup de ballons pour que cela ait un quelconque effet de refroidissement.
Comme pour l’éclaircissement des nuages marins, l’injection d’aérosols stratosphériques présente également des risques. Dans une étude réalisée au début de cette année, la modélisation informatique a montré que l’injection d’aérosols stratosphériques pouvait provoquer un fort réchauffement à 15 km au-dessus des tropiques, ce qui modifierait les schémas météorologiques à grande échelle.

✍🏻 Demande au maire de Melun

Lettre
Monsieur le Maire,
Vous êtes soucieux du bien-être des habitants qui vous ont élu pour Maire de notre belle ville de Melun et vous en remercions.
Si, compte tenu de votre emploi du temps chargé, vous ne l’aviez pas noté, les élus ou le personnel municipal vous ont sûrement informé des nombreux avions qui évoluent au dessus de Melun et autour, laissant des traces nombreuses dans le ciel qui, en se dissipant paraissent être des nuages cirrus. Ces nuages fusionnent jusqu’à couvrir le ciel de nuages artificiels qui nous cachent le soleil, en formant une couche nuageuse. Il ne s’agit pas de condensation de vapeur d’eau mais des épandages en quadrillage visant à modifier le climat.

Pourriez vous en tant que maire faire analyser le sol suite à ces épandages toxiques pour connaître la nature des produits pulvérisés ? Il est probable que vous trouviez des méthylamines d’aluminium et de sels de baryum, du strontium, cendres volantes de charbon, les déchets toxiques de la combustion du charbon et autres. Les habitants de Melun s’inquiètent.

Les cendres volantes de charbon provoquent des maladies neurodégénératives, la Broncio pneumopathie Chronique Obstructive et autres maladies respiratoires, le cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires, le COVID-19 et l’immunopathologie . L’aluminium altère le système nerveux et provoque la maladie d’Alzheimer. En plus, d’autres produits pulvérisés produisent des allergies, irritations cutanées, oculaires, voies respiratoires et même des cancers. De plus, la population peut s’attendre à des problèmes liés à la propagation des ondes électromagnétiques au travers de ces produits chimiques.

Il semblerait que cet affaire relève du terrorisme écologique selon l’article 421-2 du code pénal. « c’est le fait d’introduire dans l’atmosphère, sur le sol, dans le sous-sol, dans les aliments, dans les composants alimentaires ou dans les eaux, y compris celle de la mer territoriale, une substance de nature à mettre en péril la santé de l’homme, des animaux ou du milieu naturel »Pourriez-vous s’il vous plaît, Monsieur le Maire, vous renseignez, nous informer et user de votre pouvoir pour nous évitez de recevoir ces nanoparticules toxiques.

Très respectueusement,

H. M.

Un grand merci de nous avoir transmis cette lettre.

KlaTV. La géo-ingénierie démasquée : La lanceuse d’alerte Kristen Meghan révéle tout 🎬4:24

Alerte-geoingenieurie-Kristen-Meghan ALTERTE

Sur KLATV: https://www.kla.tv/29949

La géo-ingénierie démasquée : La lanceuse d’alerte Kristen Meghan révéle tout


www.kla.tv/29949 Date de l’entretien: 1er juin 2024 à Genève ? La date n’est pas mentionnée clairement malheureusement.

Daniel : Nous sommes ici en présence de Kristen Meghan, ancienne militaire, n’est-ce pas ?

Kristen Meghan : Oui, j’ai été dans l’armée de l’air américaine pendant neuf ans.

Daniel : … puis vous en êtes partie et avez dénoncé les activités de géo-ingénierie dont vous avez été témoin. Pouvez-vous nous en donner le résumé ?

Kristen Meghan : Absolument. Au départ, j’avais entendu parler de ce que beaucoup de gens appellent les « chemtrails », et je travaillais dans un métier appelé l’ingénierie bio-environnementale. Je me suis dit que c’était insensé, et pourquoi ferions-nous quelque chose comme ça, pourquoi modifierions-nous la météo en utilisant des matières dangereuses dans notre atmosphère ? Donc, en essayant de démentir cela ou de le réfuter, j’ai réalisé que cela venait directement de mon bureau car j’étais une des personnes qui approuvaient les produits chimiques, et cela a vraiment ébranlé le fond de mon serment. J’ai alors fait beaucoup d’échantillonnages, j’ai fait beaucoup d’enquêtes, j’ai lancé l’alerte, je suis sortie, et j’ai alors utilisé mes informations d’identification, mon serment et mes pouvoirs pour le bien, pour aider les gens à comprendre que c’est bien réel. C’est désormais ouvertement admis. Il existe plusieurs formes de modification de la météo. J’ai spécifiquement trouvé celle qui concerne l’injection d’aérosols stratosphériques ; et collectivement le monde entier doit comprendre que c’est maintenant admis parce qu’ils disent que ça lutte contre le changement climatique. Eh bien, le changement climatique dont nous devons nous inquiéter, c’est l’ingénierie climatique artificielle, également connue sous le nom de géo-ingénierie.

Daniel : Et quand vous dites qu’ils ont injecté des produits chimiques dans l’air, quel genre de produits chimiques retombent ensuite sur les humains, grosso modo ?

Kristen Meghan : Il y avait des nanoparticules de métaux comme par exemple différents sulfates, du baryum et du strontium. Je sais que cela a probablement changé depuis. Je sais qu’ils utilisent de l’iodure d’argent pour certaines choses. Mais ce qui est étrange, c’est les quantités que j’ai vues, le conditionnement dans lequel ils arrivaient, et ce sont les mêmes types de matériaux que j’essayais de fabriquer en dehors du lieu de travail pour les remplacer par des matériaux plus sûrs. Et lorsque vous regardez ce qu’on appelle la fiche de données de sécurité, avec les informations sur un produit chimique ou l’équipement de protection individuelle à porter, et/ou comment éliminer ce produit, comment l’emballer pour l’expédier… quand on voit que ces informations clés… que ces informations sont manquantes, je me suis posé des questions. Et mes questions ont fait que j’ai été diabolisée, et là j’ai su que j’avais trouvé quelque chose que je n’aurais pas dû trouver.

Daniel : C’est dingue ! Donc, ces métaux sont fondamentalement toxiques pour les humains, je présume, ou… ?

Kristen Meghan : Oui, car ils contiennent également de l’aluminium. Et beaucoup de gens vous diront : « Hé bien, ces choses ne sont pas horribles en petites quantités. » Mais ce ne sont pas de petites quantités, car lorsque des choses sont dispersées au-dessus de nous, les taux de dissipation dépendent de la météo et du climat, mais ça pénètre dans la nourriture, ça pénètre dans le sol. Et partout dans le monde, les usines de traitement des eaux usées ne sont pas capables de les filtrer, surtout lorsqu’il s’agit de produits pharmaceutiques ou de substances toxiques, c’est ainsi qu’on les appelle. Alors, si vous cultivez des aliments bio, allez-vous mettre des protections en plexiglas sur vos plantes ? Je trouve que c’est horrible ! C’est pourquoi vous pouvez les interdire n’importe où. Certains États des États-Unis les ont interdits, et c’est bien de continuer à faire avancer les choses, mais les gens doivent vraiment en prendre conscience, quel que soit leur parti politique. Ça ne va pas du tout, et on constate une augmentation considérable des problèmes neurodégénératifs, comme la maladie d’Alzheimer. C’est difficile pour les personnes souffrant de problèmes respiratoires et d’asthme ; les gens se demandent pourquoi ils ont des allergies 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an.

Daniel : J’ai aimé ce que vous avez dit à propos du changement climatique ou du changement météorologique que nous vivons. Souvent, nous ne pouvons pas dissocier cela de ces activités de géo-ingénierie. Voulez-vous dire quelque chose de plus à ce sujet, je veux dire, comment le ressentons-nous ? Y a-t-il une preuve absolue que ça vient de là ?

Kristen Meghan : Oui, il y a des endroits où ça a été ouvertement admis. Vous vous souvenez de Dubaï ? Et puis, quand les gens se sont énervés, ils se sont rétractés, mais la boîte était déjà ouverte. Et le problème est – je sais que cela semble idiot – mais lorsque vous regardez des films avec un changement d’horaire, ils disent que si vous faites quelque chose et que quelque chose change, cela aura une répercussion au fil du temps. Si vous modifiez la météo, vous jouez avec Mère Nature. Et la météorologie est une étude très, très approfondie, et j’en connais un rayon là-dessus en raison de ma profession de traceur de risques, mais lorsque vous modifiez la nature là où des choses ne sont pas censées se produire naturellement, ça n’a pas de sens. Nous avons eu des inondations massives en Californie et nous avons un système appelé HAARP aux États-Unis. Et les mêmes personnes qui m’ont diabolisée il y a cinq ou dix ans disent maintenant : « Wow ! » parce qu’ils découvrent que c’est ouvertement admis dans tous nos documents américains. Les États-Unis ne sont pas le seul pays à le faire.

Daniel : Wow, c’est fou. Merci beaucoup d’avoir parlé de cela et d’informer l’humanité sur ce qui se passe. Merci beaucoup, Kristen.

Kristen Meghan : Merci.

✍🏻[Remise et retour DCEP] · Compte rendu des retours des Députés et Sénateurs

Un grand merci à entre autres Joëlle et Jean-Luc qui ont adressé notre Demande d’ouverture d’une Commission d’Enquête Parlementaire aux députés et sénateurs et ont pris soin de nous faire parvenir les réponses reçues.

  1. Le 09 février 2024, Madame Martine Berthet Sénatrice de la Savoie
  2. Le 18 février 2024, Madame Emilie Chandler Députée de l’Oise
  3. Le 19 février 2024, Madame Stéphanie Galzy, Députée de l’Hérault
  4. Le 16 février 2024, Monsieur Bertheloot Pierrick, Député du Nord
  5. Le 21 février 2024, Daniel Labaronne Député de la 2 ème circonscription d’Indre-et-Loire
  6. Le 22 février 2024, Elisa Martin Députée de l’Isère
  7. Le 24 février 2024, Michel Sala, Député du Gard
  8. Le 21 février 2024, Annaïg Le Meur Députée du Finistère
  9. Le 24 février 2024 Violette Spillebout, députée du Nord
  10. Christelle Petex, Députée de la Haute-Savoie
  11. Le 28 février 2024, Christophe Marion, Député de Loir-et-Cher
  12. Le 4 mars 2024, Vincent Thiébaut, Député du Bas-Rhin
  13. Le 29 février 2024 Cécile Rilhac, Députée du Val-d’Oise
  14. Le 28 février 2024 Lise Magnier, Députée de la Marne
  15. Le 28 février 2024, Louise Morel Députée de la 6ème circonscription du Bas-Rhin
  16. Le 22 mars 2024, Nicolas Dupont-Aignan, Député de l’Essonne

Le 09 février 2024, Madame Martine Berthet Sénatrice de la Savoie

Monsieur,
Madame la Sénatrice Martine Berthet accuse bonne réception de votre mail et vous en remercie.
Elle me charge de vous informer qu’elle en prendra connaissance dans les meilleurs délais.
Bien cordialement,
Alexia Vignoud
Collaboratrice parlementaire de Martine BERTHET
Sénatrice de la Savoie
Conseillère départementale du canton d’Albertville 1

Le 18 février 2024, Madame Emilie Chandler Députée de l’Oise

Chère Madame, Je vous remercie pour cette information. Bien sincèrement

Le 19 février 2024, Madame Stéphanie Galzy, Députée de l’Hérault

Bonjour,
Madame Stéphanie Galzy, députée de l’Hérault, vous remercie pour votre courrier
électronique.
Elle va étudier cette problématique avec attention.
Bien cordialement,
Cédric Delapierre, Collaborateur de Stéphanie Galzy, Députée de l’Hérault 5 ème
circonscription.

Le 16 février 2024, Monsieur Bertheloot Pierrick, Député du Nord

Madame Soyer,
Nous avons pris connaissance de votre message avec grand intérêt.
Monsieur le député est tout à fait favorable à l’ouverture d’une Commission d’Enquête
Parlementaire au sujet des épandages aériens et serait ravis de pouvoir échanger avec
vous.
Restant à votre disposition, nous vous prions d’agréer, madame Soyer, l’expression de nos
respectueux hommages,

Visioconférence prévu hier lundi 5 mars mais absent suite aux votes sur l’IVG.

Le 21 février 2024, Daniel Labaronne Député de la 2 ème circonscription d’Indre-et-Loire

Bonjour, J’accuse bonne réception de votre courriel, que je porte à la connaissance de
Monsieur le député Labaronne. Vous remerciant.
Victoria Petrolesi

Collaboratrice de Daniel Labaronne Député de la 2 ème circonscription de
l’Indre-et-Loire.

Le 22 février 2024, Elisa Martin Députée de l’Isère

Madame, Soyer, Nous vous remercions pour votre contribution, que nous porterons à la
connaissance de Madame la députée. 

Bien cordialement.  
Alexandra pour l’équipe
parlementaire d’Elisa Martin.

Le 24 février 2024, Michel Sala, Député du Gard

L’équipe de Michel Sala est en congés du 20 au 25 février inclus, nous prendrons
connaissance de vos messages à notre retour.

Le 21 février 2024, Annaïg Le Meur Députée du Finistère

Bonjour madame Soyer,
Nous avons bien reçu votre mail concernant les « épandages aériens ».
Néanmoins, le texte que vous joignez mélange des sources sérieuses et d’autres qui le sont
beaucoup moins, laissant clairement penser que vous évoquez les « chemtrails », cette
théorie conspirationniste qui laisse entendre que depuis des décennies, des milliers d’avions
déversent tous les jours des produits dans l’atmosphère en vue de modifier le climat ou
inoculer des virus à la population. Cette théorie n’est pas sérieuse et ne repose sur des
fantasmes d’actions secrètes des gouvernements.
Plus sérieusement, il existe bien des projets de modifications météorologiques par des
épandages. Cela consiste généralement à l’ensemencement des nuages, afin de faire
pleuvoir au-dessus de régions arides ou pour prévenir des épisodes de grêle. Cela n’a rien
de secret et à des échelles complètement différentes de celles imaginées que vous
imaginez.
Les principaux pays à travailler sur le sujet sont la Chine, les USA et les Etats du Golfe.
Les questions qui se posent sont environnementales, avec les matières utilisées et le
partage de l’eau, si des Etats s’accaparent cette ressource dans des régions où elle
manque. Au niveau international, des chercheurs travaillent sur ces thématiques.
Si le sujet vous intéresse, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) dispose d’un
groupe d’experts sur la modification météorologique, composé en partie de chercheurs
français. Ils évoquent notamment le besoin d’une législation adaptée avec le développement
récent de ces pratiques.
En conséquences, madame Le Meur ne répondra pas favorablement à votre demande de
commission d’enquête parlementaire. En effet, votre analyse ne parait pas forcément très
scientifique, et je vous invite à vous tourner vers des personnes ayant davantage d’expertise
sur le sujet plutôt que de vous informer en partie sur des sites très douteux comme
« cielvoile.fr » et d’autres, qui sont clairement des sites de fausses informations et reprenant
des théories conspirationnistes.
 
Bien cordialement. William CALVEZ Attaché parlementaire d’Annaïg Le Meur, Députée du
Finistère.

Le 24 février 2024 Violette Spillebout, députée du Nord

Bonjour, 
Nous vous remercions pour votre mail et en accusons bonne réception. Notre
bureau est actuellement fermé pour congés du 16 au 25 février.
Nous prendrons connaissance de votre message à notre retour. En cas d’urgence,
merci de le mentionner dans votre mail. 
L’équipe parlementaire de Violette Spillebout.

 

Christelle Petex, Députée de la Haute-Savoie

Madame Soyer,
J’accuse bonne réception de votre courrier électronique. Pour votre parfaite information,
Madame le Députée Christelle Petex vous remercie de lui avoir fait part de ces éléments.
Meilleures salutations.

Lorane Collas Collaboratrice parlementaire de Christelle Petex
Députée de Haute-Savoie.

Le 28 février 2024, Christophe Marion, Député de Loir-et-Cher

Bonjour madame,
Je vous remercie de votre message : je vais regarder ce sujet avec attention.
Bien cordialement,

 

Le 4 mars 2024, Vincent Thiébaut, Député du Bas-Rhin

Bonjour Madame,
Nous accusons bonne réception de votre mail et nous vous en remercions bien. Nous nous
chargeons de le soumettre à l’attention du Député.
Bien cordialement
Aurélia DRIF

Attachée parlementaire de Vincent THIÉBAUT Député de la 9ème circonscription du Bas-Rhin.

Le 29 février 2024 Cécile Rilhac, Députée du Val-d’Oise

J’ai le plaisir de vous adresser la onzième édition de mon journal, pour ce
deuxième mandat, en tant que députée de la 3ème circonscription du Val-
d’Oise.
 Au sommaire de cette édition :
 – L’édito consacré aux chantiers prioritaires du nouveau Gouvernement,
 – Mes actualités en circonscription : la cérémonie que j’ai organisée pour la
nouvelle année à Taverny, mes interventions dans plusieurs établissements
scolaires de notre circonscription, la remise des récompenses au challenge
André Guillaumie au Plessis-Bouchard, le soutien au projet d’implantation
d’une antenne-relais à Béthemont-la-Forêt, etc.
 – Mes actualités à l’Assemblée nationale : ma réaction à la déclaration de
politique générale du Premier Ministre, mes interventions en séance
publique et en Commission des Affaires culturelles et de l’Éducation, le vote
de la proposition de loi visant à soutenir l’engagement bénévole et simplifier
la vie associative, ma question sur la féminisation du corps des sapeurs-
pompiers, etc ; ce journal est disponible sur mon site internet via le lien
suivant : https://www.cecile-
rihac.fr/_files/ugd/ae1617_cb6145d566054c6886ff76abe3f23829.pdf
Je vous souhaite une bonne lecture de ce nouveau numéro. Bien
cordialement,
Cécile Rilhac  Députée du Val-d’Oise

Le 28 février 2024 Lise Magnier, Députée de la Marne

Chère Madame, 
La députée Lise Magnier a bien pris connaissance de votre mail et vous remercie
des éléments envoyés. 
Bien cordialement
Élodie TREMBLEY
Attachée parlementaire de Lise MAGNIER, Député de la Marne

Le 28 février 2024, Louise Morel Députée de la 6ème circonscription du Bas-Rhin

Madame Soyer,
Nous accusons par la présente bonne réception de votre email en date du 23 février.
Vous avez bien voulu nous transmettre votre argumentaire en faveur d’une demande d’ouverture
d’une Commission d’enquête parlementaire, et nous vous remercions de votre sollicitation. Soyez
assurée que nous en prendrons connaissance avec attention. Nous n’hésiterons pas à revenir
vers vous en cas de besoin.
Vous remerciant à nouveau,
Veuillez recevoir, Madame, nos respectueuses salutations.
Collaboratrice parlementaire de
Louise Morel

Le 22 mars 2024, Nicolas Dupont-Aignan, Député de l’Essonne

Chère Madame,
J’ai bien pris connaissance de votre courriel par lequel vous me faites part de votre rapport concernant les épandages aériens au-dessus de la France, aussi appelés “chemtrails”.

Je comprends votre inquiétude à ce sujet, et prends en considération les observations recensées dans ce rapport, lequel enrichira ma réflexion. 

Vous remerciant d’avoir pris le temps de m’écrire, je vous prie de croire, Chère Madame, à l’assurance de mes respectueux hommages.

Nicolas DUPONT-AIGNAN
Député de l’Essonne
Conseiller municipal d’Yerres

Voir les autres envois (et retours): https://www.acseipica.fr/contactes-a-ce-jour-liste-non-exhaustive/

⭐️Articles scientifiques de Marvin Herndon sur la géo-ingénierie traduits en français par Ciel voilé

Les liens ouvrent un nouvel onglet et dirigent sur le site de Ciel voilé

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