la « grande nouvelle » du 21ème siècle

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique

La vie terrestre est en péril

En voici la preuve et les raisons clarifiées

Claudia von Werlhof (1)

PBME

PLANETARE BEWEGUNG FÜR MUTTER ERDE

PMME – PLANETARY MOVEMENT FOR MOTHER EARTH

MPPM – MOVIMIENTO PLANETARIO POR LA PACHAMAMA

  1. Info-Brief, April 2018

L’heure de vérité est venue:

La couche d’ozone affaiblie laisse entrer le rayonnement cosmique – La vie terrestre est en péril. En voici la preuve et les raisons clarifiées.

Et maintenant ?

 

Du rayonnement cosmique létal atteint la surface de la Terre

Depuis le 4.4.2018, il n’y a plus de doute. Par-delà toutes les déclarations officielles et les spéculations sur l’augmentation du CO2 considéré comme menace pour la vie sur terre, il y a maintenant la preuve du contraire. Le rayonnement cosmique ultraviolet constitue la véritable menace pour la vie, il a déjà atteint la surface de la Terre parce que la couche d’ozone ne l’empêche plus d’entrer.

Cela signifie qu’une partie de l‘atmosphère, ce fameux et unique bleu de la planète Terre pour lequel tous les cosmonautes s’emballent, est en train de se dissoudre. L’atmosphère ne nous offre plus la protection qu’elle a élaborée au cours de la vie de la Terre. C’est en particulier la couche d’ozone, qui assure cette protection, qui est en train de disparaître. Déjà, à la fin du Permien, il y a  250 millions d’années, presque toute la vie sur Terre a disparu parce que plus rien ne poussait. L’extinction dite «la grande extinction » est probablement due à la même cause (Gabattis 2018).

Aujourd’hui, le problème consiste non seulement dans l’existence des fameux trous de la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique et de l’Arctique aussi, lesquels  malgré les attentes ne se referment pas (Titze 2018) mais aussi dans le fait qu’en même temps la couche d’ozone dans son ensemble est devenue tellement faible qu’elle laisse passer le rayonnement cosmique partout. Jusqu’à présent, on avait toujours nié que cela soit possible.

L’auteur de ce terrible message est le Dr. Marvin Herndon, avec Raymond Hoisington et Mark Whiteside ; ils viennent de publier leurs résultats respectifs de recherche scientifique dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, 14 (2): 1-11, 2018, Article no. JGEESI.40245, sous le titre suivant: „Deadly Ultraviolet UV-C and UV-B Penetration to Earth´s Surface: Human and Environmental Health Implications”, en français:

Pénétration mortelle des rayons ultraviolets UV-C et UV-B à la surface de la Terre: implications pour la santé humaine et l’environnement

Dans l’article, les auteurs expliquent que le rayonnement UV-B est “un facteur de stress“ ayant d’importants effets négatifs sur la survie et la croissance des organismes marins et d’eau douce, comme par exemple le plancton dans sa forme végétale ainsi qu’animale. Cela réduit et menace la source d’approvisionnement de la vie marine. D’ailleurs, le rayonnement UV-B peut nuire à la photosynthèse, empêcher la croissance et endommager les taux métaboliques du monde sous-marin ; il peut perturber les communautés de récifs coralliens et les détruire en les blanchissant et causer l’instabilité du génome chez les plantes. Cependant, le rayonnement UV est nocif aussi pour les sols,  pour les arbres dont il modifie l’environnement biologique et chimique. Les conifères peuvent développer des pollens appauvris, leur reproduction peut être perturbée et ils peuvent même devenir stériles. La toxicité des UV-B est bien connue. Elle s’applique également à d’autres êtres vivants.

Le rayonnement UV-C, à son tour, a des effets létaux sur les insectes et les micro-organismes. Il mène les plantes à une mort cellulaire programmée. Il suscite des dommages cellulaires chez les rats et pour le moins des lésions de la peau chez l’homme selon la durée de l’exposition au rayonnement UV-C.

Dans l’annonce de la publication il y a un résumé – (début de citation) :

Dernière nouvelle

La Trans dyne Corporation révèle

Des rayons ultraviolets mortels atteignent maintenant la surface de la Terre

San Diego, 2 avril 2018

“On croit généralement que l’ozone atmosphérique bloque la partie mortelle du rayonnement solaire, les UV-C et la plupart des UV-B, et l’empêche d’atteindre la surface de la Terre. Une publication scientifique récente remet cette hypothèse en question.

mnb

Publié cette semaine dans le Journal of Geography Environment and Earth Science International, l’article de J. Marvin Herndon, PhD, de la Transdyne Corporation, Raymond D. Hoisington de iRay SpectraMetrics, et Mark Whiteside, MD, MPH, médecin du Ministère de la Santé de Floride, confirme la preuve publiée par la NASA en 2007 mais dont elle n’a  pas assuré le suivi. »

La NASA était informée depuis des années

Il y a onze ans, des scientifiques de la NASA ont publié la première preuve que le rayonnement UV-C et UV-B pénétrait la couche d’ozone et atteignait la surface de la Terre. Cette preuve est maintenant confirmée par Herndon et al. Après l’article de D’Antoni et al. en 2007 qui montrait que les UV-C et UV-B atteignaient la surface de la Terre, la NASA n’a mené, contrairement aux protocoles éthiques,  aucun suivi dans la recherche, malgré les graves implications de ses propres résultats.

Il est dit dans cet article : « En science lorsqu’on fait une découverte qui contredit la compréhension actuelle, les scientifiques ont la responsabilité de tenter de réfuter cette découverte au-delà de tout doute raisonnable. S’il est impossible de le faire, les implications de cette nouvelle découverte devraient être discutées dans la littérature scientifique. L’article de 2007 D’Antoni et al démontrant que le rayonnement UV-C atteignait la surface de la Terre aurait dû faire l’objet d’intenses recherches de la part de la NASA pour deux raisons, l’une scientifique et l’autre éthique. »

En dépit de l’implication des découvertes de la NASA en 2007 pour la science atmosphérique et malgré leurs profondes implications pour la santé humaine et l’environnement, la NASA s’est abstenue de mener plus loin la recherche. Cette non-action soulève la question : la NASA est-elle complice d’une activité mondiale secrète telle que de la « défense nationale » militaire sous forme de pulvérisation aérienne de cendres volantes de charbon toxiques, ce qui pose de sérieux risques pour la vie sur Terre?

Depuis au moins 20 ans, avec une augmentation continue en quantité et en durée, les militaires ont commencé à pulvériser des particules dans la zone où les nuages se forment pour manipuler et transformer l’atmosphère et les conditions météorologiques en armes de guerre. Les résultats d’analyses d’échantillons de pluie et de neige correspondent à la composition des cendres volantes de charbon toxiques, celles-ci constituant la principale substance utilisée dans les aérosols. Depuis environ 2010, ces pulvérisations aériennes sont devenues des opérations quasi quotidiennes et planétairement généralisées.

Comme le révèle cet article, les pulvérisations aériennes déposent d’énormes quantités de chlore, de brome, de fluor et d’iode dans l’atmosphère ; tous ces éléments ont le pouvoir de détruire la couche d’ozone… D’autres substances contenues dans les aérosols de cendres de charbon volantes, y compris les nanoparticules, pourraient nuire à l’ozone atmosphérique.’

L’affaiblissement de la couche d’ozone est maintenant mondial et permet à des rayons ultraviolets mortels d’atteindre le sol. L’article note aussi : ‘Le rayonnement ultraviolet est le composant le plus nocif et génotoxique du spectre solaire. Les effets mutagènes et létaux du rayonnement solaire présentent deux maximums, et les deux se trouvent dans la zone UV du spectre.’

En introduction, les auteurs « fournissent des informations sur les effets dévastateurs des UV-B et UVC sur les humains, le phytoplancton, le corail, les insectes et les plantes. »

Les militaires pourraient considérer tout cela comme des ‘dommages collatéraux’, mais cela est beaucoup plus grave car cela menace virtuellement toute la vie sur Terre”.

(Fin de la citation)

Informations et pdf: http://www.nuclearplanet.com/uv.html

Source: J. Marvin Herndon, Ph.D. Transdyne Corporation Email: mherndon@san.rr.com

Site Web: http://NuclearPlanet.com

Figure 1, Traînées de particules de cendres volantes toxiques pulvérisées par avion au-dessus de Soddy-Daisy, TN (USA) avec la permission de David Tulis.

Figure 2, Mesures spectrométriques solaires. Notez la mesure de 2002 qui illustre la fausse idée communément admise, de l’absence de rayonnement UV-C à la surface de la Terre.

D’autres raisons pour la mort de l’ozone: La géo-ingénierie militaire dans son ensemble

Voilà pour ce qui concerne Herndon et al. Si nous revenons à l’étude de Rosalie Bertell “Planète Terre, la dernière arme de la guerre“, il devient clair que la pulvérisation de nanoparticules dans l’atmosphère (que l’on appelle « gestion du rayonnement solaire – « solar radiation management » ou SRM), que visent aujourd’hui également les géo-ingénieurs civils, a contribué à la destruction de la couche d’ozone, et continue d’y contribuer, de plus en plus:

  1. La radioactivité:

Il y eu 2.200 essais nucléaires, y compris ceux des bombes à hydrogènes, en particulier dans l’atmosphère entre 1958 et 1998 dont les deux tiers furent menés par les États-Unis et l’autre tiers par l’Union soviétique ; à cela s’ajoutent les dommages causés par des accidents des centrales nucléaires, de Harrisburg et Tchernobyl à Fukushima laquelle, depuis 2011,  doit être considérée comme une catastrophe nucléaire majeure qu’on ne peut stopper, et qui est responsable de l’apparition du trou de la couche d’ozone au-dessus de l’Arctique ; en outre, il y a la nano poussière d’innombrables tonnes de munitions à uranium (UA – l’Uranium appauvri) qui proviennent pour la plupart des déchets de l’industrie nucléaire) et dont on a fait usage dans toutes les guerres depuis la première Guerre du Golfe, dans les Balkans et au Moyen-Orient ainsi qu’en Afghanistan (récemment Hänsel 2017) ; de plus, il y a certainement de la contamination radioactive dont on ne sait rien (secret militaire),  et de la contamination non comptée comme celle de l’activité normale des centrales nucléaires. Wilhelm Reich a déjà prouvé dans les années 50 que la radioactivité détruit l’énergie vitale qu’il appelait «l’Orgone » principalement celle de l’air (voir Senf 2003).

  1. Les vols supersoniques contribuent à la destruction de la couche d’ozone dans l’atmosphère (c’est pourquoi le projet du Concorde qui visait à introduire le vol supersonique dans le trafic aérien civil a été abandonné).
  2. Le lancement d’une fusée contribue à la destruction de l’atmosphère en raison des propulseurs de la fusée, dont certains comme ceux de la sonde Cassini en 1997, fonctionnent au plutonium.
  3. L’irradiation de la ionosphère avec des milliards d’ondes artificielles pulsées, à grand coups de watts, par les « réchauffeurs ionosphériques », ces installations dispersées dans le monde entier, du type « HAARP » en Alaska réchauffe l’ionosphère et la charge fortement, ce qui la coupe et y fait des trous (voir Begich/Manning 2001). Les ondes traversent toujours la couche d’ozone sous-jacente.
  4. Les activités « Star Wars » des militaires depuis l’espace, l’utilisation de satellites et la formation de quadrillages électroniques qui visent à surveiller, contrôler et influencer énergétiquement l’espace aérien de toute la Terre (Freeland 2018) sous la forme d’un verrouillage planétaire sont à l’image des activités militaires terrestres.
  5. Les micro-ondes, la transmission d’énergie sans fil, les antennes relais et en général la production terrestre d’ondes électromagnétiques comme la radiographie en médecine, dans l’industrie alimentaire et au quotidien.
  6. Même le trafic aérien « normal » est devenu un agent malfaisant de l’affaiblissement de la couche d’ozone (Herndon 2017, Loppow déjà en 1993), sans parler de l’émission de métaux lourds et autres substances toxiques dans la troposphère et dans la stratosphère, ce que Herndon a notamment mentionné.

Tout ce programme est mis en œuvre par la géoingénierie militaire en cours du CMI, le complexe militaro-industriel (voir Werlhof 2018).

Que faire?

Nous expérimentons un processus de destruction en continu. Il a apparemment atteint maintenant un point de changement radical, autrement dit, il a commencé à devenir irréversible. Il n’a pas fallu plus de 50 ans pour cela si l’on compte à partir de la découverte non reconnue des rayonnements UV-B et UV-C sur Terre par la NASA en 2007. Ce n’est pas long si on considère que ce processus a déclenché des effets planétaires qui ne font rien d’autre que menacer notre vie sur Terre et qui vont même y mettre fin si nous,  les êtres humains – ne faisons pas ce qu’il faut maintenant.

Or, la catastrophe a déjà commencé il y a longtemps: le « printemps silencieux » que Rachel Carson a prédit dans les années 60 (Carson 1962) est déjà là. On remarque une baisse de la population d’oiseaux et d’insectes de 40 à 70 %, le blanchissement des coraux dans les mers, des vides dans l’Océan Pacifique depuis Fukushima et l’extinction quotidienne d’ espèces d’animaux et de plantes (WWF 2008).

Il est évident qu’il faudrait mettre fin presque immédiatement au processus de destruction de l’atmosphère par la géoingénierie  militaire afin que la Terre ait une chance de guérir les blessures qui lui ont été infligées, en particulier l’affaiblissement de la couche d’ozone. Combien de temps cela prendrait-il ? Et : Y aurait-il assez de temps pour sauver la vie terrestre et la renouveler ? Ou bien avons-nous déjà laissé passer cette chance ? Cela serait le cas si les effets ressentis aujourd’hui n’étaient que la première étape d’une série dont certains ont besoin de 40 à 60 ans pour être perçus. Ainsi, tout le reste suivrait et nous ne serions qu’au début de ce qui est déjà en marche …

On estime en général qu’il faut 50 ans à la couche d’ozone pour se reconstituer (cf. Ozon). Or, cela ne s’est pas encore réalisé parce que les conditions n’étaient pas du tout réunies. Il y a même eu des tentatives pour attaquer la couche d’ozone directement et y faire des expériences qui s’apparentent à l’ingéniérie climatique, comme par exemple produire un trou dans la couche d’ozone au-dessus d’un territoire ennemi. Néanmoins, le responsable Harry Wexler a expressément lancé un avertissement avant sa mort (Wexler 1962, voir Fleming 2018). Cependant,  aujourd’hui, on est étonné que la couche d’ozone soit aussi mince que jamais et cela juste au-dessus nos têtes (Läubli 2018), donc loin des trous de la couche d’ozone!

Quelle que soit la façon dont on comprend les choses, nous devons agir sur les causes de la disparition de l’ozone dont nous n’avons généralement pas eu connaissance jusqu’à présent et/ou qu’on nous a cachées. Il n’y a aucune autre alternative. Ne faire rien n’est pas une option et signifierait que nous consentons au suicide de l’humanité et à la mort de toute la vie terrestre en général.

Cependant, la thèse précédemment défendue par la communauté scientifique, prétend toujours que ce sont les substances CFC des réfrigérateurs qui seraient la cause des trous dans la couche d’ozone. Ayant interdit les CFC, on a espéré une diminution de ces trous. Or, ce n’est pas arrivé (Titze 2018, voir Ozon). La radioactivité et d’autres substances ou d’autres procédés n’ont jamais, en aucun cas, fait partie du débat parce que le militaire est tabou et peut faire tout ce qu’il veut. C’est ce que finalement nous avons appris récemment par la Commission Européenne lorsque nous, groupe de militants européens, les « Skyguards », avons demandé au Parlement Européen au moyen d’une pétition, de vérifier la géoingénierie et ses effets pour la deuxième fois (1999 puis 2013 -Fraile 2018). La réponse d’en haut fut que les activités militaires ne concernaient pas le Parlement.

Cependant, si ces activités même sans guerre, menacent toute la vie sur Terre et sont en train de la détruire, alors quoi ?

Jusqu’à présent, un tel point de vue n’avait pas du tout sa place dans la discussion publique et en cas de doute, on le considérait comme un fatalisme minable ou une théorie de conspiration. Or, maintenant on a la preuve que c’est vrai et de quelle façon c’est effectivement le cas. Même ceux qui le  savaient déjà ont maintenant la preuve en main. Cela change tout.

Cette preuve est « la grande nouvelle»  du 21ième siècle.

Pour la première fois et pour tous les habitants de la Terre il n’existe pas de message plus important. Maintenant tout le monde peut le savoir et personne ne peut prétendre n’en avoir rien su. Cela n’aiderait en rien. Il ne s’agit plus de justifications éventuelles mais de la question suivante: sommes-nous capables, nous, prétendument « Homo Sapiens » de sauver, dans les faits, la vie terrestre ou pas ? Étant donné qu’éventuellement nous avons permis à quelques-uns d’entre nous de prendre ce risque sciemment ou à notre insu. Toutefois, qui comprend cette nouvelle parmi toutes les effroyables nouvelles qui nous inondent constamment? Qui « l’entend » et entend son « appel »? Qui la laisse pénétrer sa carapace ? Qui s’en effraye ? Qui tombe des nues ? Qui reconnaît la vérité crue, indicible qu’elle nous annonce ?

Or, malgré nos réactions ou notre refus de réaction, cette nouvelle a déjà changé le monde. Il y a un Avant et un Après, quoi que nous en pensions. Objectivement, à partir de maintenant, tout prend une signification différente, quoi que nous fassions ou que nous évitions de faire, et quoi que nous en pensions: pour la première fois dans l’histoire, nous avons la preuve que nous, humains, avons ont déjà mis la planète elle-même en danger, que nous parvenions à la sauver ou pas – avec la vie dans, sur et au-dessus, la nôtre incluse.

Il est clair que le tabou autour du militaire doit tomber. Cependant, les mouvements sociaux et les politiciens qui plaident pour « la justice climatique » et la fin de l’émission civile du CO2 doivent s’occuper immédiatement du fait qu’ils croyaient, sciemment ou pas, à un mythe et que le problème est tout à fait différent. Repenser les choses de manière radicale va être nécessaire …

Un sursaut mondial est nécessaire

En d’autres termes, maintenant que la preuve de ce vrai problème est immanquablement sur la table, il faut un soulèvement mondial, suivi d’un mouvement également mondial qui ne se laisse pas déconcerter ni entraîner dans la confusion. Cependant les militaires n’arrêteront pas d’eux-mêmes de faire ce qu’ils font – il y a au moins onze ans qu’ils savent ce qu’ils font ! Et ceci ne doit pas être la seule chose qu’ils savent sans que nous le sachions. Actuellement ils essaient de transférer leurs programmes à la vie civile dans les universités du monde, au moyen de la soi-disant géoingénierie civile,  une stratégie qu’ils poursuivent depuis toujours, parce qu’il devient de plus en plus difficile pour les militaires de se débarrasser de leurs « réussites ».

Donc, nous devons garantir ce changement. En fait, nous n’avons pas d’autre choix et avant tout, pas le temps. Cela est vrai pour chacun d’entre nous, c’est-à-dire « l’humanité » elle-même. Cela paraît incroyable mais du point de vue d’une appréciation objective, « nous » devons objectivement parvenir à ce que :

  1. Aucune nouvelle radioactivité ne soit produite
  2. Les militaires cessent le vol supersonique
  3. Aucune fusée lancée dans l’espace
  4. Tous les réchauffeurs ionosphériques fermés
  5. Les satellites mis à l‘arrêt et aucun nouveau installé
  6. la transmission d’énergie sans fil et
  7. le trafic aérien largement ralentis

Il ne semble pas qu’il y ait la moindre chance de gagner sur un seul de ces points, où que ce soit. Et pourtant, c’est ce qui est au programme, que cela fonctionne ou pas et que nous le voulions ou pas.

Ou bien est-ce que nous, humains, voulons perdre, ensemble les animaux, les plantes de la Terre et les bases élémentaires de notre propre vie, sans même avoir résisté, sans même comprendre ce qui se passe parce que, parce que nous n’avions pas connaissance de notre propre technologie et donc, ne pouvions pas nous y opposer, sans parler des machinations qui se trament par derrière… ? (voir BUMERANG 3/2018).

Il en est ainsi, subitement. Tout se révèle complètement différent de ce que nous avons l’habitude de penser. Il n’y a pas d’erreur ; il n’y a plus de doutes. C’est une nouvelle époque. L’heure de vérité a sonné. Maintenant c’est à nous de jouer, que cela nous plaise ou pas, que nous soyons préparés ou pas et que nous en soyons capables ou pas. Que la vie terrestre s’arrête ou non dépend de nous – et ceci très rapidement car les causes persistent et se développent continuellement.

Rosalie Bertell a déjà dit en 2000 que si le trou de la couche d’ozone doublait, il n’y aurait plus d’agriculture sur Terre. Or c’est sur le point de devenir encore pire que cela.

Nous ne pouvons pas attendre que plus rien ne pousse avant de commencer à faire quelque chose. C’est évident, n’est-ce pas ?

Ça va être un sacré réveil !

  • Je remercie Maria Heibel pour ses informations et références

Traduction: Denise et Claire Henrion (à partir de la version anglaise)

Bibliographie:

Begich, Nick und Manning, Jeane: Löcher im Himmel, Michaels Verlag, Peiting 2001

Bertell, Rosalie: Planet Earth. The Latest Weapon of War, London 2000, The Women´s Press

___: Kriegswaffe Planet Erde, Gelnhausen 2013 und 2016, J.K. Fischer

BUMERANG 3, www.fipaz.at/bumerang, 2018

Carson, Rachel: Der Stumme Frühling, Beck, München 1962

Dönges, Jan: Ozonloch wirkt offenbar bis in die Tropen.

Das Ozonloch zieht nicht nur Flora und Fauna in Mitleidenschaft, sondern ändert auch das Klimagefüge der Erde. Der Effekt erstreckt sich bis in den tropischen Pazifik, News 14.6.2017

Fleming, James Roger: http://www.nogeoingegneria.com/news-eng/was-harry-wexler-the-man-who-caused-the-ozone-hole/, 2018

Fraile, Josefina: Geoengineering: The truth hidden in the Paris’ Climate Agreements or the moral incapacity of the United Nations to defend the common good, in Werlhof, C.v. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Freeland, Elana: Under an Ionized Sky, Feral House, Port Townsend WA 2018

Gabbattis, Josh: The Great Dying’: World’s worst-ever extinction event ’caused by UV radiation’, News, 8.2.2018

Hänsel, Rudolf: Der Krieg, der nicht zu Ende geht, in: Neue Rheinische Zeitung, NRhZ, Köln, v. 16.10.2017

Herndon, Marvin: http://www.NuclearPlanet.com/uv.html, 2018

____: http://www.thehindu.com/sci-tech/energy-and-environment/aeroplanes-may-be-affecting-ozone-monsoon/article19498497.ece, 2017

Läubli, Martin: http://www.sueddeutsche.de/wissen/atmosphaere-die-ozonschicht-ist-so-duenn-wie-noch-nie-1.3856013. SZ, 7.2.2018

Loppow, Bernd: Himmelfahrtskommando Luftverkehr? Zeit-online, 5.3.1993, http://www.zeit.de/1993/10/himmelfahrtskommando-luftverkehr

Ozon: http://www.ozonelayer.noaa.gov/science/basics.htm

Senf, Bernd: Die Wiederentdeckung des Lebendigen, Omega, Aachen 2003

Titze, Sven: Die Ozonschicht erholt sich nicht wie erwartet, NZZ, 6.2.2018

Werlhof, Claudia von: Geoengineering: From Geo-Weaponry to Geo-Warfare, in dies. (Ed.): The New Threat. Women against Geoengineering and for Mother Earth, Inanna, Toronto 2018 (forthcoming)

Wexler, Harry: http://www.colby.edu/sts/wexlerozone.pdf, 1962
WWF: Abschied der Arten, Frankfurt 2008

Observation du ciel

StGeorgesdeRex29mars2018

au-dessus de St Georges de Rex (Deux-Sèvres)

40 km à l’est de La Rochelle (Charente Maritime)

du 22 mars au 4 avril 2018 , soit sur une période de 2 semaines

 

un  exemple de rapport d’observation que nous vous invitons tous à reproduire

Merci de votre attention et de votre précision

 

ciel particulièrement couvert et pluies abondantes qui limitent les observations.

Cependant des éclaircies entre les nuages permettent une meilleure visualisation.

 

-22 mars – ciel dégagé + cumulus –

– 23 mars – ciel plombé uniformément – 2 ou 3 très fines traînées en cours –

– 24 mars – restes d’épandages antérieurs – pas de traînées en cours –

– 25 mars – des restes d’épandages antérieurs – pas de nouveaux épandages –

– 26 mars – ciel nuageux + quelques fenêtres bleues – restent de grandes écharpes

                   d’épandages – 18 h – avions en cours d’épandages

-27 mars – pluie / ciel bouché

– 28 mars – pluie / ciel bouché –

                   soirée / fenêtres bleues / nuages en tôle ondulée

                   pas d’avions ou épandages

– 29 mars – pluie / ciel bouché

                   mi-journée – fenêtre bleue – pas d’épandages

– 30 mars – pluie

                   mi-journée – éclaircies – cumulus normaux – pas d’épandages

– 31 mars – pluie – puis éclaircies et cumulus –

                   2 ou 3 traînées récentes en basse altitude – pas observé d’avions

                   fin de soirée – ciel clair – entièrement propre

– 1er avril – ciel nuageux et éclaircies –

                  quelques avions en épandage en haute altitude

2 avril – éclaircies – pas d’épandages

– 3 avril – pluie – ciel bouché

Conclusion

Sur 14 jours, nous avons pu observer 4 jours avec avions en épandage, ce qui est peu comparé aux épandages quasi quotidiens habituels.

D’autre part, ces épandages moins nombreux m’ont également paru moins denses.

StGeorgedeRex25oct17Pour cela consulter cette photo prise au-dessus de chez moi le 25/10/2017 (ci-dessus)

et les photos prises ces derniers jours (ci-dessous).

une société exploitant l’aluminium assignée en Justice au Brésil

Carlos Xerfan, enquêteur privé officiel sur l’affaire AZF http://livreazf.e-monsite.com/, et sympathisant de notre mouvement depuis déjà longtemps, nous a contacté récemment au sujet d’une affaire qui pourrait être un début fort intéressant d’enquête judiciaire.

En effet, bien au courant des nouvelles du Brésil car il est franco-brésilien, Carlos nous a appris que la société gestionnaire d’un site d’extraction d’aluminium – le plus grand du monde – situé à Barcarena, état de Para (nord Brésil), la société norvégienne Hydro, avait été mise en examen judiciaire au niveau fédéral fin février et tenue dès lors de ne produire au maximum que 27% de sa production la plus basse habituellement. Ceci suite aux catastrophes écologiques provoquées par cette exploitation qui ont mobilisé le peuple et ses élus. Un leader de la lutte locale vient d’être assassiné, voir cet article de presse locale:  https://g1.globo.com/pa/para/noticia/lider-comunitario-que-denunciava-crimes-ambientais-em-barcarena-e-morto-a-tiros.ghtml

Les clients principaux de cette société sont/étaient des armées et des sociétés secrètes et l’aluminium part/partait pour être transformé en nanoparticules… Reste à poursuivre l’enquête sur ce sujet.

Nous avons mené un petit sondage duquel il ressort qu’une majorité d’observateurs ont constaté une trêve dans les épandages fin février et une fréquence moyenne un peu moindre depuis …
Faute de matière ?
Certes, il n’y a pas que l’aluminium et de celui-ci il y a d’autres sources de production – autre enquête à mener ; les nanoparticules peuvent être ajoutées au substrat de base des épandages que sont les cendres de charbon volantes ou ajoutées au carburant courant des avions … Ou partir dans des vaccins ou autres …

A suivre …

Devenez plus vigilant dans vos observations ! Nous pouvons apporter une contribution au procès de cette société et remonter la piste de l’aluminium.

Nous avons envoyé cette attestation

MARCHE MONDIALE DU 21 AVRIL 2018

OPÉRATION AFFICHAGE

A l’occasion de la Marche Mondiale pour dénoncer la géoingéniérie du 21 avril 2018, voici une idée d’action:

Nous avons en stock des affiches du modèle ci-dessus que nous nous proposons de vous envoyer GRATUITEMENT pour cette occasion contre votre ENGAGEMENT de respecter les règles de l’affichage public (une notice sera jointe).

Nous avons ce modèle en format A2 pour les bords de routes, en format A3 et A4 pour les lieux publics et en format A7 (petits flyers recto français-verso anglais). CES MODÈLES SONT GRATUITS POUR CETTE OCCASION contre votre ENGAGEMENT à respecter les règles de l’affichage public. Stock limité. Dépêchez-vous ! Voir nos autres supports d’info http://www.acseipica.fr/boutique/ 

Passer votre commande ici acseipica.association@gmail.com avec en titre de message « Marche Mondiale »

téléphone 09 74 62 34 77

Communiquez votre action sur la page mondiale

 

nos autres supports d’info 

http://www.acseipica.fr/boutique/ 

L’arme climatique, la manipulation du climat par les militaires 

l'arme climatique

Nous saluons la parution de

L’arme climatique,

la manipulation du climat par les militaires

un livre de Patrick Pasin (auteur du film Bye bye blue sky)

aux éditions Talma Studios

en librairie ou sur internet (FNAC, Amazon …)

Quatrième de couverture: « Les premières tentatives de modification du climat par les militaires ont commencé il y a plus d’un siècle. Pourtant le public ignore presque tout de ces pratiques censées être interdites.

Alors bienvenue au cœur d’un des secrets militaires les mieux gardés, où l’on suit au cours des décennies l’évolution de ces armes de destruction massive, où l’on apprend qu’elles ont été utilisées en temps de guerre et en temps de paix avec de nombreuses victimes, où l’on étudie une douzaine de catastrophes « naturelles » peut-être pas si naturelles … « 



Signalons également, chez Talma Studios « Vaccins, oui ou non », de Serge Rader, Stefano Montanari et Antonietta Gatti, paru en septembre 2017.
vaccins oui ou non

Les auteurs versent aux débats les résultats de leurs recherches au sein de leur laboratoire de nanodiagnostics. Grâce à une technologie spécifique de microscopie électronique, ils prouvent la présence de nanoparticules de métaux toxiques dans les vaccins, dont on se demande ce qi peut bien la justifier. Quelles en sont les conséquences pour le corps humain ? …

 

Lettre ouverte au Maire de Nice

Monsieur Christian Estrosi

 

Claire Gillespie

24 rue Alphonse Karr

06000 Nice

 

Nice, le 25 janvier 2018

à Monsieur Christian Estrosi,

Maire de Nice

06000 MAIRIE DE NICE

LETTRE OUVERTE

Objet : Épandages inquiétants dans notre notre ciel (géo-ingénierie ?)

Monsieur le Maire,

Avez-vous pris le temps de regarder notre ciel ? Il s’y passe des phénomènes perturbants….

Où est passé le bleu profond de notre ciel d’azur qui durait pendant des jours ….. et sa luminosité ? … et les couleurs douces des paysages de notre région ? Ou sont passé les orages qui éclataient au printemps et en automne ? Prenez le temps Monsieur le Maire de regarder notre ciel …. et ce qu’il devient ….

 

Depuis plusieurs années, je suis témoin (et je ne suis pas la seule !) d’ épandages d’avions probablement civils et militaires (les couloirs de ces avions étant différents et les pulvérisations proviennent de ces différentes hauteurs), à fréquence quasi quotidienne, de manière importante et avec une conséquence effrayante sur la qualité de notre ciel, de notre air et des rayonnements du soleil.

 

Ces perturbations se sont étonnamment accentuées depuis la COP21 (fin 2016). Les traînées que tracent les avions sont parfois assez basses (pas toujours), très longues, elles quadrillent le ciel et s’étalent, particulièrement devant le soleil, transformant rapidement un ciel bleu d’origine en un ciel laiteux, en le recouvrant d’un voile ou de nuages jamais vus auparavant. Très souvent une couche cotonneuse opaque s’installe dans le ciel au lieu des nuages que nous avions l’habitude d’y voir circuler. D’ailleurs, ce ne sont plus des nuages mais des formations artificielles. Je ne pense pas vous étonner en portant à votre connaissance ma protestation et ma colère qui sont aussi celles de nombreux citoyens.

 

En qualité de maire, vous êtes responsable envers vos administrés, en matière de Santé-Environnement des pollutions de toute nature (alinéa 5 de l’article 1.2212-2 du Code Général des collectivités territoriales), je ne peux donc, que me tourner vers vous, dans un premier temps, pour exprimer mes craintes et mon questionnement quant aux risques d’une dégradation irrémédiable de notre atmosphère et par conséquent de la santé des êtres (humains, animaux, insectes, végétaux) qui en dépendent.

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Que sont ces épandages incessants dans notre ciel ? Quelle en est l’origine ? Quelles sont les particules contenues dans ces traînées qui retombent forcément vers le sol portant un préjudice certain et grave à tout être vivant lorsqu’on sait que certains métaux lourds et autres éléments inquiétants participent de leur composition (des analyses en témoignent).

 

Il faut bien différencier :

  • d’une part le problème de pollution grave causée par la circulation accrue et régulière des avions de ligne, dont les tarifs ridiculement bas encouragent le développement irresponsable (quand on a à l’esprit la dégradation et le réchauffement de notre climat) au dépend de la qualité de notre air. Il suffit d’observer la couche épaisse de pollution jaunâtre-marron sur l’horizon, que l’on distingue parfaitement du sol, ou vue d’avion, à laquelle s’ajoute la perte de transparence de l’air, pour s’inquiéter sérieusement de cette situation !
  • d’autre part, et c’est l’objet de mon courrier, celle d’un autre genre, dont la mission est liée à la géo ingéniérie, avec épandages réels, volontaires et abondants de particules (voire de nano particules) pour des raisons dont vous avez peut-être connaissance et dont nous aimerions être rapidement informés.

 

Pour cette deuxième catégorie, vous, votre famille, vos amis, peuvent aussi constater la présence de trop nombreux avions et de leurs traînées qui s’étalent à des heures irrégulières dans le ciel, de façon quotidienne (sauf exception), à la vue de tous, décrivant des formes jamais vues (des croix, des arcs de cercle, des quadrillages, des triangles ….). Parfois c’est un véritable feu d’artifice d’avions et de leurs longues traînées blanches qui, assez rapidement, s’élargissent, s’étalent, pour former une couverture ouateuse. J’ai pu compter jusqu’à 10 avions en même temps pulvérisant leurs particules dans notre magnifique ciel d’Azur qui bientôt n’aura d’azur plus que le nom ! (Vous trouverez ci-joint quelques photos  qui illustrent mon propos).

 

Du fait de ces particules en suspension dans l’air le soleil n’éclaire plus de la même façon. Il est devenu froid, son éclat est particulièrement aveuglant, il n’a plus la lumière douce et généreuse qu’il diffusait encore jusqu’autour des années 2000, le paysage lui-même n’est plus éclairé de la même façon. L’air est de plus saturé de particules et les montagnes sont souvent à peine visibles.

 

Cet état devrait alerter les pouvoirs publics qui ont en mains tous les outils d’observation et d’analyse dont la population assure le coût au travers de ses impôts. Il est donc impératif qu’elle puisse bénéficier de ces outils.  Les contrôleurs de la navigation aérienne et les pilotes des avions de l’aéroport de Nice peuvent apporter leurs témoignages …. . Cette insanité doit être dénoncée officiellement et doit cesser.

 

Des analyses ont été faites auprès de laboratoires indépendants qui mettent en évidence des taux élevés d’aluminium, baryum, fer, plomb, etc… pouvant provenir du carburant des avions mais aussi des particules composant ces trainées relevant de la géoingéniérie. Plus amples analyses pourraient être menées de l’air, de l’eau de pluie pour confirmer et compléter les résultats dont nous disposons.

 

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Ces éléments extrêmement toxiques expliquent que nos arbres tombent malades et ne peuvent plus lutter contre les parasites qui les envahissent (palmiers, marronniers, figuiers, acacias, buis, cyprès  ……..). Il en est de même des êtres humains où la maladie devient la règle et la bonne santé l’exception ! Y a-t-il une corrélation entre ce que nous respirons et notre état de santé ?

 

Des brevets prouvent l’existence et la dangerosité de ces mélanges épandus (comme par exemple le Brevet Welsbach n° US5003186 Hughes Aircraft Company -1991- contenant des particules d’oxyde de métal comme le dioxyde de thorium, l’oxyde d’aluminium).

 

Monsieur le Maire j’espère que vous aurez pris la mesure de ce qui précède et que vous voudrez bien y apporter une suite de la manière que vous estimerez la plus appropriée possible. Je vous demande de bien vouloir intervenir pour que notre ciel azur nous revienne …

 

Veuillez recevoir, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.

P.J. : quelques photos récentes du ciel de Nice

 

 

 

CC à : Nice Matin, ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques), Ciel Voilé.

Analyses d’échantillons de poussières fines prélevées en altitude – ⚠️ manganèse, cadmium, cobalt, cuivre et mercure

Confirmation de la présence de métaux toxiques

article original

http://www.tankerenemy.com/2017/05/analisi-dei-campioni-di-pulviscolo_88.html#.WnsL7K7ibIU

traduction Dominique Datwyler

Italie – Ont été récemment effectués les premiers prélèvements en altitude au moyen d’un drone semi professionnel.

Les prélèvements ont été faits par un « DJ Drone Phantom 4 » équipé d’une caméra vidéo à haute résolution (12MP/4K) et d’un système de contrôle GPS.

A bord de l’engin radio commandé, est installé un kit (réalisé à cet effet) qui aspire l’air en altitude et le dépose sur un filtre 3M.

Le drone a recueilli, en plusieurs sessions, les résidus des poussières dans un espace non urbanisé, mais traversé constamment par les couloirs aériens de descente empruntés par l’aviation civile de la zone aéroportuaire de Nice.

Un protocole rigoureux a donc été mis en place afin de prélever des échantillons utiles pour relever les composants chimiques présents dans l’atmosphère, en relation avec l’activité de bio ingénierie criminelle.

Comme site a été choisi un lieu dans l’arrière-pays ligure adapté à l’expérience.

Les prélèvements ont été exécutés en plusieurs fois, aussi le filtre a été démonté et les poussières accumulées ont été soumises à la procédure adaptée pour les analyser avec les réactifs d’Osumex comme indiqué par le producteur du kit.

Les résultats sont irrévocables : les échantillons mettent en évidence, une fois encore, la présence de  manganèse, de cadmium, de cobalt, de cuivre et de mercure.

La couleur du révélateur, en fait, va du vert olive à l’orange, ce qui, en rapport au tableau de référence confirme que, dans l’atmosphère étudiée, se révèlent de fortes concentrations de métaux déjà trouvés dans le carburant Jet A1 par la scientifique suisse Ulrike Lohmann[1], professeur de physique de l’atmosphère auprès de l’ETH de Zurich.

Dans les carburants aériens (donc l’air que nous respirons), sont aussi présents les deux métaux tueurs déjà notés que sont l’aluminium et le baryum. (1)

Malheureusement, les réactifs fournis par Osumex ne permettent pas de retracer ces éléments neurotoxiques.

Si c’est possible, d’autres échantillonnages seront effectués, toujours sur la base d’une procédure précise et rationnelle.

Nous profitons de l’occasion pour remercier tous ceux qui, par leur contribution, ont permis la réalisation de ce projet.

Nous nous promettons d’organiser d’autres initiatives corollaires à celle-ci/similaires, en ligne/lien avec toutes les autres faites dans ces années.

Aussi, nous procédons à une collecte de fonds afin de faire face, si possible, aux coûteuses analyses spectrales et à celles, relativement plus économiques telles que le kit Osumex.

Ces analyses seront suivies avec la méthode des réactifs, comme dans cet exemple.

Lien pour contribuer à la campagne par Paypal

En alternative, on peut effectuer un virement bancaire (IBAN : IT4810617522700000001977280 –cause : campagne de prélèvement en altitude) ou par carte bancaire (4023 6009 4336 4051- code fiscal : MRCRSR61C19I469R).

Ci-dessous, le film relatif à quelques vols exécutés avec le DJL Phantom 4.

[1] Manuel Abegglen & al. , Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich, télécharger le document

http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke


Rejets d’échappement des avions, caractérisation chimique

par spectrométrie de masse des rejets d’échappement fraîchement émis par des avions

article en anglais à télécharger PDF
Caractérisation chimique par spectrométrie de masse des rejets d’échappement des avions – 2016

Ce sont les premières mesures sur les rejets d’échappement des avions qui utilisent la spectrométrie de masse pour l’analyse de particules simples.

Elles ont été effectuées sur l’aéroport de Zurich (Suisse) et ont porté sur des avions équipés de trois types de moteurs différents.
Ce qui en ressort :

! La majorité des particules examinées contiennent un ou plusieurs composants métalliques.
! Les métaux et la suie s’avèrent mélangés dans les particules émises.
! Les sources potentielles des métaux détectés (le carburant, les huiles et les protections de moteur) ont été discutées.

 

Interview du Dr Ulrike Lohmann

membre de cette équipe de recherche, par Matthias Hancke,

dans le film Overcast

Nous savons que les rejets des avions dégagent des suies et des particules et donc nous voulons savoir quelle est la composition chimique des rejets.

Ces mesures ont été faites peu de fois.

En 2013, nous avons eu l’occasion de mesurer les émissions des turbines à l’aéroport de Zurich, avec « l’office fédéral de l’aviation » et nous avons pratiquement pu examiner la composition chimique des gaz d’échappement de quelques turbines.

Des suies essentiellement de carbone pur ont été trouvées, donc des particules de suie, comme dans les gaz d’échappement des voitures.

Mais nous trouvons également des métaux dans les gaz d’échappement aéronautique, seize métaux différents et entre autre, de l’aluminium et du baryum comme déjà cité, qui proviennent du kérosène et de l’huile, et de l’aluminium qui pourrait venir des turbines.

Nous avons aussi fait des mesures sur le combustible même : nous y avons relevé la présence d’aluminium et de baryum dans le combustible; leur concentration est mesurée en parties par million (PPM).

Pourquoi les gens ne réalisent-ils pas qu’ils se font asperger comme des insectes que l’on veut éliminer?

Pourquoi ne voient-ils pas l’incroyable quantité d’avions et leurs traînées anormales ?

Pourquoi ne comprennent-ils pas la guerre dont ils sont les victimes … et les acteurs  ignorants et zélés ?

La première condition pour que ça cesse, c’est de reconnaître que ça existe …

1.       Notre civilisation nous conditionne à être aveugle

Quand j’ai vu, pour la première fois de ma vie, des traînées persistantes produites par des avions volant manifestement beaucoup plus bas que l’altitude requise pour former une traînée de condensation (c’est-à-dire 8000 mètres comme je l’avais appris auparavant en étudiant la météorologie de montagne), c’était au Québec, le 26 décembre 1999, alors que la France subissait la double tempête la plus mémorable de son histoire (mais à ce moment-là, je n’en savais rien). Un frisson d’horreur m’a parcouru l’échine. «Ils» font ça! Ils vont jusque-là dans la course aveugle de l’homme à la destruction et au non-respect de la vie! J’appris ensuite le même jour d’une habitante locale du petit village où je me trouvais, du nom charmant de Saint Adolphe (!), que le Canada subissait ces traînées depuis 1995. De retour en France, je l’ai oublié jusqu’à ce qu’un manège d’avions quadrillant le ciel en produisant le même type de traînées se déroule sous mes yeux, de ma fenêtre, le 16 mai 2002. Depuis, cela n’a pas cessé et n’a fait que s’intensifier.

L’horreur et la révolte qui m’ont saisie à la vue de ces premiers épandages manifestes de produits toxiques dans le ciel ont pourtant fait place en moi dans un premier temps à un formidable espoir: tout le monde allait vite s’en rendre compte et ce serait la fin de l’emprise de l’esprit de destruction, de la croyance naïve que les dirigeants du monde œuvrent pour le bien des peuples et que les armées nous protègent; la croyance naïve que la technique et la chimie de synthèse pouvaient résoudre les souffrances de l’humanité –alors qu’elles ne font que l’engendrer et l’infligent aux autres créatures. Ce n’était que le mal ou signal nécessaire à l’ouverture des yeux et du cœur des êtres humains, à leur prise en main de leur destin commun, celui de notre planète, pour les générations futures et tout simplement, au respect de la Vie. L’occasion de tourner la page de 5000 ans d’impérialismes, ayant engendré tant de souffrances humaines, de destructions de la Nature et de la Connaissance.

«Il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel»[1]. Pourtant, la plupart de ceux qui promeuvent ces phrases ne voient pas ces grands signes dans le ciel, tracés tous les jours par des escadrilles d’avions incroyablement nombreuses.

Comment est-il possible de perdre à ce point son instinct de survie ?

Mais que se passe-t-il dans notre cerveau?

Nous sommes en 2017. Les chaines de montage de l’aérospatiale dans notre région de Toulouse, tournent à plein rendement et sans relâche pour produire des avions. Mais qui donc en achète autant? … Heureusement, le nombre de ceux qui constatent quelque chose d’anormal dans le nombre d’avions qui circulent, leur altitude, leurs traînées et leurs effets sur l’atmosphère, la météo et la santé, augmente de jour en jour. Un constat de fait est une priorité vitale ; il est  nécessaire que cela cesse au plus vite. C’est le point focal, celui qu’il faut viser pour démonter la clé de voûte de tout l’édifice de mensonge qui empoisonne aujourd’hui complètement notre santé, notre mental et l’environnement: la chimie de synthèse toxique qui a envahi l’agriculture et tous les domaines de notre vie quotidienne, la pharmacopée, les vaccins, les OGM, la cacophonie dans toutes les longueurs d’onde et tout le reste de la panoplie nucléaire, bactériologique, électromagnétique et climatique des apprentis sorciers qui tiennent les manettes des commandes du monde.

L’ombre du rhinocéros s’étend sur les cieux de notre planète, “Overcast”[2].

Cela a commencé parce que …

L’histoire récente est particulièrement bien étudiée par Claire Séverac dans son livre “La guerre secrète contre les peuples[3]”. Dans cette enquête, menée avec brio, elle remonte la trace juridique et évènementielle des tractations internes au complexe politico-militaro-industriel de ces 150 dernières années qui aboutissent aux épandages aériens et aux interventions électromagnétiques d’aujourd’hui. Mais pourquoi font-ils cela? – “parce que nous les laissons faire“ dit Muchael Murphy[4] Comment envisager une issue à cette situation dramatique ?

Comme j‘ai à cœur de réveiller la conscience de notre être primal, originel, « dont l’ignorance fatale couronne l’obscur règne »[5] », je me suis consacrée à approfondir d’une part les concepts qui soutendent les valeurs de nos sociétés actuelles, et d’autre part le fonctionnement  de notre cerveau.

“les êtres humains ne prêtent pratiquement pas attention aux causes fondamentales, premières, de chaque chose. C’est ce dont l’humanité ne veut pas se soucier, nous n’avons pas envie d’y penser.”[6]». Selon Noberto Keppe[7], cette paresse fondamentale résulte de l’inversion commune qui consiste à penser que l’énergie sort de la matière et non pas l’inverse. Certes, nous nous laissons bien souvent abuser à nos dépends mais n’avons-nous pas aussi une paresse fondamentale à réviser nos croyances ? A nous occuper du ménage au fond de l’âtre de notre vie, où les cendres s’accumulent si vite ?

Claudia Von Werlhof[8], elle, l’analyse comme étant la “haine de la vie”, concept fondamental de toutes nos civilisations impérialistes, jamais remis en question: il s’agit de détruire ce qui est, pour reconstruire selon un « idéal ».

Je vais donc commencer par retracer l’histoire évènementielle, puis j’exposerai brièvement quelques chapitres éclairant cette recherche des causes fondamentales :

  • la désescalade de la condition féminine, de ses fonctions et de ses valeurs depuis les origines de l’Histoire.
  • la naissance et l’accouchement aujourd’hui, qui illustrent et conditionnent la perpétuation d’un protocole diamétralement opposé à la physiologie[9]
  • la scission de la “Mère des sciences“: Astronomie et Astrologie
  • le fonctionnement du cerveau humain

Histoire récente des compagnies industrielles, chimiques et pétrolières

Les scientifiques qui s’interrogent sur l’éthique de la science aujourd’hui constatent qu’elle n’est menée que par ceux qui la financent[10]. Or, ceux qui la financent sont depuis plusieurs siècles les détenteurs des richesses du sol et du sous-sol. Ils sont aujourd’hui, plus précisément depuis la fin du 19e siècle, les consortiums du pétrole, des produits chimiques et des médicaments. Ils interviennent soit directement, soit sous couvert d’institutions officielles, celles de l’Europe notamment. Comme en témoigne le Dr Rath[11], les fondateurs de l’Union européenne ne sont autres que les nazis, vite « blanchis » après la deuxième guerre mondiale, c’est à dire les promoteurs de ces sociétés (Bayer, IG Farben …) qui ont précédemment œuvré à leur montée au pouvoir en Allemagne dans les années 30[12].

Un amplificateur: La prohibition du chanvre

Petit encart sur un sujet corrélé, rarement, si ce n’est jamais, mentionné comme tel: la prohibition du chanvre/cannabis. C’était la plante la plus commune à la surface de la planète. Au 19e siècle, les citoyens américains étaient tenus de cultiver un arpent de chanvre et payaient leurs impôts en chanvre[13]. En Europe également, toute ferme avait sa chanvrière. Le chanvre a beaucoup de bienfaits pour la santé des gens et des sols et  beaucoup d’utilités communes. Mais il était trop concurrentiel pour les plastiques, les produits chimiques et pharmaceutiques, aussi il fut soudainement interdit. Cela s’est passé dans les années 1930, d’abord en France (1934), puis aux USA (1937), sous la pression des lobbies puritains et des sociétés chimiques. Depuis cette époque, la fleur de chanvre, le fameux “cannabis” ou “marijuana” a été rendu démoniaque et banni comme une drogue dangereuse, alors qu’elle est réellement efficace pour relier les deux hémisphères du cerveau et nettoyer la glande pinéale. Il est difficile de mesurer à quel point, sa consommation, très répandue et pourtant illicite, entretient le moral et la santé du peuple, mais il y fort à parier que sans elle, l’hécatombe serait encore plus prononcée. Aujourd’hui en France, la propagande et la désinformation concernant le cannabis s’amplifient dans les médias et auprès des responsables sociaux; la façon dont elles sont menées s’apparente à toutes les campagnes de dénigrement ciblées sur une catégorie de personnes, dont l’Histoire, regorge …

Les gouvernements perdent leur souveraineté

Ces consortiums pétroliers, chimiques et pharmaceutiques sont devenus très riches grâce aux produits toxiques qu’ils ont fabriqués et vendus pour les tranchées de la première guerre mondiale. Pendant ce temps, le gouvernement des Etats-Unis s’était ruiné en s’engageant dans la guerre. Alors ils l’ont acheté ! Donc, depuis un siècle, le gouvernement des Etats-Unis a perdu sa souveraineté: il est mené par ce cartel des compagnies industrielles et des banques. C’est expressément dit par Al Gore lui-même dans son dernier livre “The Future: Six Drivers of Global Change”: “le gouvernement des Etats-Unis a perdu de sa force et de sa liberté. Il semble sclérosé. Pour employer un terme habituellement utilisé en informatique, je dirais que la démocratie américaine a été piratée. Le Congrès, incarnation des corps législatifs élus démocratiquement, est à présent incapable de voter des lois sans l’accord des lobbies industriels ou d’autres intérêts particuliers qui participent au financement de leurs campagnes électorales”.

Grâce à la prohibition du chanvre, les produits de la chimie de synthèse purent être facilement introduits dans l’agriculture, le textile, les médicaments, la nourriture, et ces produits sont très actifs en toxicité en l’absence du chanvre pour réparer leurs dommages.

Puis il y eut l’horreur de la seconde guerre mondiale et des chambres à gaz pour lesquelles ces sociétés ont produit encore plus de produits toxiques et sont devenus encore plus riches… et où furent menées d’ignobles expériences sur des hommes et des femmes au nom de la “science” …

C’est là qu’a été introduit le fluor dans l’eau de boisson afin de rendre les prisonniers plus dociles. Cela s’est généralisé et se perpétue …  A l’inverse du chanvre, le fluor bloque la communication entre les deux hémisphères du cerveau. Cette pratique se poursuit de nos jours; cela fait partie des entraves à la perception de ce qui se passe dans le ciel.

L’approche médicale dogmatique d’aujourd’hui perpétue aussi cet esprit nazi: de plus en plus d’examens, de moins en moins de diagnostic, de plus en plus de chimie, de moins en moins de santé…

“ Il y a pire que le bruit des bottes, il y a le silence feutré des pantoufles” Max Frisch

Après la seconde guerre mondiale, tous les pays d’Europe de l’Ouest durent se rallier à l’OTAN … pour aider le “grand frère” (big brother) et se placer sous sa “protection. Sans parler de toutes les guerres qui n’ont cessé depuis de par le monde, fomentées pour alimenter le marché …

Au moins deux chefs d’Etat de pays européens opposèrent une résistance sérieuse à l’expansion de l’OTAN: De Gaulle et Tito. Mais en France, le mouvement de 1968 fut utilisé pour déstabiliser De Gaulle. Puis, en 1981, quand Tito, qui était le leader des pays non-alignés, est mort, de nombreux journalistes yougoslaves furent assassinés à l’étranger et la discorde fut activée au sein du peuple…

Durant les années 90, les autorités françaises n’ont probablement pas accepté spontanément de collaborer aux épandages dans notre ciel. Nous avons eu droit à ce qui s’apparente fort à une œuvre de HAARP avec les tempêtes des 26 et 27 décembre 1999. Alors nous fûmes OK et les épandages généralisés purent commencer, en 2001, 2002. Quasiment personne n’a rien vu …

Introduction en Europe de la géoingéniérie civle et d’un nouvel ennemi: le CO2

Depuis 2008, la Royal Society de Londres organise des conférences publiques au sujet de la “géoingéniérie“. Ce nouveau mot a été ensuite introduit dans les autres pays et les autres langues européennes par les séminaires et congrès de différents instituts avec l’induction d‘une forte croyance : le CO2 émis par les activités humaines est la cause du réchauffement climatique. Il n’est toujours question que du CO2 émis par les activités civiles ; les activités militaires, qui en émettent beaucoup plus, ne sont jamais évoquées …

La proportion de CO2 dans l’atmosphère terrestre est pourtant ridiculement faible (inférieure à 0,05%). En 10 ans, ce gaz est devenu le bouc émissaire, le faux problème sur lequel on détourne notre attention pour masquer le réchauffement provoqué par les armes électromagnétiques de type HAARP. En fait il y a bien d’une part énormément de pollution et d’autre part un réchauffement anthropogénique (dû à l’homme) mais ce dernier n’a pratiquement rien à voir avec le CO2 émis par nos activités civiles: il est dû aux armes qui font fondre la calotte polaire, dévient les jet-streams et créent le chaos climatique. Elles représentent la partie immergée de l’iceberg, les huit neuvièmes.

Les plantes sont avides de gaz carbonique et elles ont juste besoin de la lumière du Soleil pour le synthétiser et le restituer en oxygène. Au lieu de cela, les “doctes ignorants” cautionnent le principe d’empêcher  les rayons du Soleil de passer en créant une couverture nuageuse artificielle pour limiter le soi-disant réchauffement soi-disant dû au CO2.

Le CO2 est en train de prendre aujourd’hui la fonction ignoble endossée par la femme depuis des siècles alors que celle-ci semble finir de perdre ses véritables qualités féminines. Le genre féminin demeure la bête noire mais il est transposé à l’échelle globale, celle de la respiration de notre planète. La fonction masculine revient à l’oxygène, la fonction féminine au CO2[14]. Concevoir le monde à l’échelle planétaire nous fait passer d’une civilisation à un système[15]. Sans avoir remis en question le point fondamental : pourquoi un genre noble et l’autre ignoble si ce n’est pour nuire à la vie ?

La règle patriarcale mène à la scission entre les deux hémisphères du cerveau:

 

L’hémisphère droit -féminin et le gauche -masculin, aussi bien à l’échelle individuelle que  sociale, cette dernière s’exprimant par nos sciences et croyances.

La “haine de la vie” a d’abord été posée comme une règle[16]. C‘est clairement défini dans la civilisation grecque: le masculin est noble, le féminin est ignoble ! Selon cette règle se sont développées les civilisations impérialistes, occidentales comme orientales: en ce qui concerne la civilisation occidentale, ses empires, les trois religions monothéistes, nos références gréco-romaines pour l’éthique, les sciences et la politique, relèvent toutes de ce principe. Basées sur la croyance en un Dieu unique, innaccessible et extérieur à nous, dont le monarque est le représentant sur Terre, et sur les forces armées, elles ont étendu leur emprise sur le monde jusqu’à se fondre aujourd’hui en un système, alors même que toute la structure sociale des Etats-nations et des religions s’effondre.  De surcroît, nous pouvons remarquer que: premièrement, le déclin du statut de la femme est similaire et simultané au Japon et en Chine; deuxièmement, que ce déclin advint dans les Empires et troisièmement que les empires sont nés et se sont développés dans les zones de passage les plus peuplées: le long de la Route de la Soie en Eurasie et de part et d’autre de l’Isthme de Panama en Amérique (Mayas et Incas). On observe, particulièrement dans les populations d’insectes, que le même phénomène d’organisation sociale en superstructures se retrouve en cas de confinement d’habitat. C’est semble-t-il, une loi universelle de rapport de proportion dans une population.

Les êtres humains, d’abord assujettis, soumis, convertis, par la force ou par la ruse à la volonté du plus fort, au nom de son idéal, ont été, et sont encore plus aujourd’hui, les acteurs zélés du système qui n’a de cesse de détraquer la planète entière, dont nous sommes, rappelons-le, les  créatures et dont dépend entièrement notre existence.

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Chacun d’entre nous, peu ou prou, est à la fois la victime et l’acteur de la guerre la plus totale qui ait jamais été menée sur Terre, aussi loin que notre mémoire historique en atteste. Il ne faut toutefois pas oublier que cette Histoire a été écrite durant tous ces temps selon les dogmes imposés par les puissants et que de grands pans ont disparu dans les incendies et les bûchers. Aujourd’hui de plus en plus de preuves archéologiques, dont la datation se confirme par l’astronomie amènent à déduire que des civilisations précédentes ont pu  s’autodétruire comme nous le faisons actuellement.

Nous nous accrochons à nos croyances comme au mât de sauvetage d’un navire qui sombre et reproduisons aveuglément les erreurs, fatales à la vie, que nous véhiculons dans notre insconscient collectif: la Nature est mauvaise, la Terre est ingrate, il faut la dominer, en devenir le maître …

Les religions, qui sont ambivalentes, enseignent bien la valeur de la reconnaissance, de l’amour et de la gratitude mais elles véhiculent simultanément ce principe : détruire ce qui vit au nom d’un idéal mythique qui prétend faire mieux.

Le mythe grec

La civilisation grecque est la référence en ce qui concerne l’art, l’éthique, la politique et la science depuis des siècles. On célèbre en elle la naissance d’une explication du monde atomiste et objective. Le pendant social a été la dévaluation des fonctions féminines qui s’est traduit par la préférence sexuelle des hommes pour les hommes et par le fait que les femmes aisées se sont délestées de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves[17].

Plus que toute autre, la mythologie grecque a peuplé le ciel : ses mythes relatent les œuvres de Zeus et de sa cour, qui sont essentiellement des rapts, des viols et des assassinats, dont les victimes sont projetées dans les constellations célestes pour l’absolution de ces actes criminels, toujours motivés par la jalousie. La créature féminine est un objet de possession sur lequel Zeus entend avoir tous les droits.

L’exaltation du noble masculin et la déchéance de l’ignoble féminin dans la société grecque antique est bien référencée par André Brahic[18], célèbre astrophysicien français, dans son livre “Enfants du Soleil” : « … les esclaves y accomplissaient les tâches matérielles, et les citoyens avaient tout le loisir de s’intéresser aux questions intellectuelles. Une nouvelle façon de penser était née. Chacun pouvait s’interroger sur le sens de la vie, sur l’organisation de la société et se poser ainsi des questions philosophiques sans avoir besoin de recourir à un mythe. Nous sommes passés d’un mode de pensée mythique à un mode de pensée fondé sur l’expérience et la raison. En fait le triomphe de la raison a été beaucoup plus long et beaucoup plus difficile à comprendre que ces rapides phrases le laisseraient croire. »

Chacun signifie pas de femmes, pas d’esclaves, rien que des “citoyens”, c’est à dire un cercle restreint particulier d’hommes qui avaient le temps de penser, complètement détachés des contraintes matérielles de la vie quotidienne, qui mettaient ainsi de côté la moitié de la réalité de la vie ! Ainsi le triomphe de la raison serait d’asservir ses semblables pour se libérer des obligations dues à sa nature !

Cette “merveilleuse science” n’a-t-elle pas un défaut ? On se félicite aujourd’hui de sa raison qui  évacue les mythes, mais cette glorieuse raison masculine peut devenir une grosse mite insatiable qui dévore les tissus vivants!!! N’est-ce pas ainsi que la conscience finit par déserter la science ?

[ ] La «Science » aujourd’hui se glorifie de ne raisonner que sur des faits et de rejeter toute cause immatérielle ou transcendantale.

Au Moyen-Age, jusqu’à Copernic[19] et encore longtemps après, la logique des deux sphères d’Aristote a été l’unique référence cosmologique:

  • La sphère des cieux, fixe, immuable et parfaite, qui porte la noblesse du masculin
  • La sphère de la Terre, changeante et imparfaite, celle des manifestations concrètes, chargée de l’ignominie du féminin.

La Renaissance a beaucoup remis en question les concepts aristotéliciens. Nous avons presque oublié la cosmologie des deux sphères, mais n’avons pas remis en question, à la base,  ce qui est toujours le dogme: ne raisonner que sur les faits, trouver dans les faits eux-mêmes la cause de leur existence. Il manque quelque chose, il y a quelque chose de faux …

“En Physique, on se focalise sur comment extraire de l’énergie de la matière … comment casser un tout en particules pour libérer de l’énergie.  L’approche est la même en biologie. Les biologistes pensent que les gênes sont la structure basique de l’être humain et que si on peut contrôler les gènes alors on peut contrôler tous les aspects de l’être humain. Une des ramifications de ce mode de pensée inversée est que les scientifiques pensent que la matière est la base de toute chose. Les généticiens disent que tout est 100%  génétique et que l’environnement nous affecte à 100%. La vérité est que l’environnement est un environnement énergétique, pas seulement social. Cela signifie que notre pensée et nos sentiments affectent le développement de nos gènes. Nous sommes nés dans une société qui pense que la matière est la base de toute chose et est aussi la source d’énergie. Nous devons voir que c’est le contraire qui est vrai: c’est l’énergie qui affecte la matière.[20]

Tu enfanteras dans la douleur

La santé primale[21], physique et mentale, de chaque être s’ancre dans sa naissance.

La condamnation biblique « tu enfanteras dans la douleur” est la règle qui a mené les femmes d’aujourd’hui à être pour la plupart – et avec leur consentement- totalement dépossédées de leur plénitude, de leur dignité et de leur santé dans l’acte sacré de mettre un enfant au monde. Accoucher en se pliant au protocole hospitalier, qui est point par point à l’opposé du processus physiologique, est cause de privation d’une joie fondamentale, de faiblesses ou de maladies mentales et physiques pour la mère et l’enfant.

Histoire de la perte des droits fondamentaux de la femme qui enfante

Au commencement de la désescalade des fonctions féminines dans nos sociétés patriarcales occidentales il y a simultanément la sentence biblique «tu enfanteras dans la douleur» et la déchéance du féminin dans la société grecque. Un survol de cette  désescalade illustre particulièrement bien comment une règle s’incarne dans une civilisation pour finalement former un système.

Auparavant, d’après les témoignages apportés par les tablettes sumériennes d’il y a environ trois mille ans, la femme jouissait du même statut social que les hommes. Dans la civilisation grecque et les écrits bibliques, c’est à dire dans le courant du premier millénaire avant JC, les valeurs masculines se sont ancrées comme nobles relativement au féminin auquel échut l’ignoble. Pour les femmes elles-mêmes, les fonctions féminines devinrent ignobles: les riches se délestaient de l’allaitement de leurs enfants sur les esclaves. Au 4e siècle après JC, la réunion de l’Empire de Rome avec l’Eglise sonna le glas pour beaucoup de femmes inspirées comme Sainte Foy, martyrisée par Rome pour sa foi en Christ ou savantes comme Hypathie d’Alexandrie, martyrisée 100 ans plus tard parce qu’elle ne portait pas allégeance à l’Eglise… A partir du 14e siècle, les bûchers au nom de l’Eglise qui s’érigeait en seule pourvoyeur de connaissance, emportèrent dans les flammes les hommes et les femmes savants, pour leur “sorcellerie”. Ainsi s’effacèrent de grands pans de la connaissance populaire, celle des plantes contraceptives entre autres[22], ce qui eut pour conséquence enfants non désirés et abandons, famine et épidémies, sur fond de guerre de Cent Ans.

Arriva Louis XIV qui imposa aux femmes d’accoucher allongée, pour satisfaire un caprice que l’on peut qualifier de voyeurisme. Cette “bonne manière” s’est répandue comme une traînée de poudre à la surface du globe … C’est la pire souffrance et c’est la ruine pour les mères et les nouveaux nés car c’est totalement anti-physiologique. De nos jours, beaucoup de sirènes font croire aux femmes qu’elles peuvent éviter d’affronter cette épreuve grâce à la chimie et à la chirurgie autrement dit qu’elles peuvent avoir leur bébé sans vivre sa venue au monde. Cela se paie en fait par la suite, non  seulement par un affaiblissement de la santé globale mais aussi par une immaturité, une irresponsabilité parentale de plus en plus grave. Le protocole hospitalier de naissance détruit des liens essentiels au démarrage de la vie. Pourquoi ?

Physiologie de l’accouchement et fonctionnement du cerveau

Pour mettre facilement un enfant au monde, la mère doit être en mesure de relâcher le contrôle néocortical[23], celui de l’identité, qualité masculine, pour laisser agir l’obscur cerveau reptilien au profit de la perpétuation de l’espèce, qualité féminine. Cela a été particulièrement démontré par, Michel Odent[24], chirurgien et obstétricien français qui s’est particulièrement consacré à l’étude de la physiologie de l’accouchement.

En résumé, dans l’accouchement, mais aussi dans la vie sexuelle en général et finalement dans toute notre vie hormonale, deux hormones antinomiques, l’ocytocine, typiquement féminine et l’adrénaline, typiquement masculine, accompagnées de leurs familles, entrent en jeu :

– l’ocytocine[25], ou « hormone de l’amour » a pour source le cerveau reptilien. Elle est, secrétée par l’hypothalamus, une structure ancienne du cerveau, et stockée dans la glande hypophyse postérieure. Elle est libérée dans le courant sanguin à l’occasion de circonstances particulières[26]. En interagissant avec la force contraire produite par l’adrénaline, qui a pour source le néocortex, elle provoque un phénomène de pulsations : les contractions ; la fonction de l’ocytocine est d’ouvrir la porte à un autre référentiel.

– l’adrénaline : la phase finale de tout évènement de la vie sexuelle est déclenchée par l’adrénaline, « hormone de la peur », qui provoque un réflexe d’éjection, selon le cas: du sperme, du fœtus, du lait. Sa fonction est d’expulser pour protéger l’intégrité individuelle, générant ainsi une dissociation[27].

Séparation entre astronomie et astrologie

Sur le plan social, considérons l’astronomie et l’astrologie qui sont universellement reconnues comme étant, conjointement, la “Mère des Sciences” : elles sont aujourd’hui deux sœurs ennemies.

La scission advint en France  au solstice d’hiver 1666, quand Colbert fonda l’Académie des Sciences sous le règne de Louis XIV … bien que Rabelais ait dit, un peu plus de cent ans plus tôt, que “science sans conscience n’est que ruine de l’âme[28]”… L’abstraction délibérée de toute cosmologie est devenue la norme. En conséquence, une “docte ignorance”[29] s’est développée depuis lors. “La pensée contemporaine a cessé de suivre une séquence logique dans l’analyse des faits, comme si toute chose venait de nulle part et spécifiquement comme si l’énergie provenait de la matière. Si c’était le cas, d’où viendrait la matière, alors?[30]…“les principales influences philosophiques des scientifiques sont cachées. Et de plus, ces influences philosophiques sur les théories ne sont jamais mises en question; en fait, elles sont maintenant retirées maintenant des livres scientifiques [31]”. Nous pouvons effectivement remarquer que depuis des décennies, les études ressemblent de plus en plus à du bachotage: elles sont de plus en plus spécialisées – ce qui est naturel dans une organisation sociale qui se complexifie mais, surtout, il y a un schisme avec les fondations métaphysiques de la Science. Les seuls autorisés à faire référence officiellement sur un sujet de nos jours sont de plus en plus ceux qui n’ont aucune expérience de ce sujet. C’est particulièrement vrai – et parfois carrément drôle- pour ces sujets fondamentaux « hors des clous » que sont l’Astrologie, la naissance, le climat et … le cannabis!

Bien que cette science idéaliste n’ait jamais cessé de pourfendre l’astrologie, les mythes et tout ce qui est « irrationnel », l’astrologie est encore bien vivante dans nos sociétés. Répondrait-elle à un besoin fondamental de l’être humain, à une fonction naturelle de la vie qui revient au galop quand on la chasse ? Depuis 350 ans, la science se bâtit sur le déni de la moitié de notre cerveau.

Comment fonctionne notre cerveau ?

La fonction de l’hémisphère gauche est de distinguer, identifier, dénombrer, développer. Elle consiste en une ouverture et produit du mouvement, de l’excitation. Dans cet hémisphère on part du néo-cortex et on va vers la complexité. C’est le « –nom-ique », il décode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui notre droite.

La fonction de l’hémisphère droit, elle, est d’unifier, imaginer, relier et réduire pour intégrer l’information. Il part de la complexité qui affecte notre cerveau reptilien pour en déduire quelque chose d’intelligible pour le système limbique et le néo-cortex. Ce faisant, il maintient la protection de l’individu face au milieu extérieur, fait masse et entretient l’homéostasie de l’organisme. C’est le «  –log-ique », il encode. Il se projette à l’extérieur dans ce qui est notre gauche.

Dans « logique » il y a « log », dans « nomique », il y a « nom ». En termes mathématiques, l’astronomie a la fonction « exponentielle », elle dénombre; en regard l’astrologie a la fonction « logarithmique », elle structure en une formule assimilable par l’organisme.

En 1666 l’Académie des Sciences fut crée et elle est devenue le nouveau corps officiel de la représentation du savoir. Dans les siècles qui suivirent, elle prit la place dogmatique que l’Eglise avait tenue pendant les mille ans précédents. Et depuis cette époque,  les astrologues et les astronomes qui n’avaient jamais été différenciés jusque-là, se sont trouvés divisés en deux catégories distinctes, l’une recevant les honneurs au nom de la Science érigée en mythe, l’autre la misère humaine dont le prêtre n’a eu cure.  Depuis cette scission, tant les astronomes que les astrologues tournent en rond dans leur hémisphère respectif, comme les deux faces d’une même médaille, en s’écharpant sur la frontière du zodiaque, qui n’est autre que le plan de notre matrice Soleil-Terre.  C’est un dialogue de sourds dans lequel chacun des partenaires se renvoie sa moitié ignorée. Le protagoniste de l’un est l’ombre de l’autre et vice-versa. Une majorité d’astrologues ignorent tout de l’astronomie tandis que certains astronomes font office de grand guru, sans aucune astro-logique et nous habituent à l’effroi du « silence glacé des espaces infinis »[32].

N’avons-nous pas encore intégré la relativité?

Le postulat de l’héliocentrisme, confirmé par Galilée cinquante ans après la scission de 1666, induit la relativité: la Terre n’est pas le centre de l’univers[33]. Tout corps est un centre. En conséquence, un phénomène peut être considéré de différents points de vue[34]. A partir de là, comment statuer qu’un point de vue est supérieur aux autres ou peut remplacer les autres ? Ne sont-ils pas tous vrais et précieux ? Autant vous-même, que la Terre, que le Soleil ? Et pourtant, notre psyché, conditionnée par l’impérialisme du Pater Arche[35], pense toujours qu’il n’en faut retenir qu’un, seul et unique.

La relativité n’est pas encore vraiment intégrée dans nos esprits ; l’Astrologie s’est trouvée coupée de l’Astronomie au moment où les dogmes (religieux) qui légitimaient la suprématie d’un point de vue sur les autres et l’esclavage de certains humains par les autres depuis de nombreux siècles, ont été fondamentalement remis en question par la Révolution copernicienne. Cette intégration est en cours ; c’est l’objet du SORI’Astres[36].

Comme l’Eglise n’est plus la référence ultime et a perdu une grande part de son influence, le pouvoir spirituel est devenu l’objet de la rivalité entre les deux disciplines. Pour asseoir sa dominance, le dogme de l’astronomie contemporaine renie la réalité physique du zodiaque des signes (dû à l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre sur son plan de révolution) pour ne considérer comme réelles que les constellations (qui sont des arrangements visuels et culturels des étoiles). La négation du rythme notre environnement essentiel, notre matrice originelle Soleil-Terre (notre étoile et notre planète), c’est-à-dire l’alternance d’éclairage de ses pôles que marquent équinoxes et solstices, n’est-elle pas une énorme erreur astronomique ? Quelle que soit la constellation devant laquelle il a lieu, le zéro degré du signe du Bélier demeure l’équinoxe de printemps Nord/automne Sud. C’est la base de la mécanique céleste, qui se trouve sapée. Dans cette chasse aux sorcières, le dogme scientiste scie la branche sur laquelle il est assis, et cette branche n’est pas la moindre car c’est celle de la Mère des Sciences.

Dans le cerveau divisé de la Mère des Sciences, la science officielle s’est développée en circuit fermé depuis 350 ans : elle a perdu de plus en plus la relation avec son cerveau droit, lequel renvoie l’observateur / expérimentateur à lui-même. De son côté, l’astrologie coupée de son corps astronomique, est devenue de plus en plus pauvre, ses symboles de plus en plus creux ; il faut dire qu’elle était déjà sévèrement corrompue et soumise depuis des siècles au bon vouloir des puissants qui y ont imposé leurs maîtrises.

Le résultat, c’est que l’éthique scientifique aujourd’hui, c’est de savoir mettre sa conscience au congélateur … Cela ne serait-il pas l’essence même de l’esprit nazi ?

  1. cela peut changer …

Jeter l’astrologie, c’est jeter le bébé avec l’eau du bain, un bain d’impérialisme, vieux de 5000 ans …

Cette fonction naturelle qui revient au galop quand on la chasse est la fonction du cerveau droit, la moitié féminine qui amène la sagesse, l’hémisphère de la con-naissance, absolument nécessaire à la vie pour se perpétuer, aveuglément combattue par la « haine de la vie ».

Elle est certainement beaucoup plus forte qu’on ne le croit car au vu de l’armada dont on dispose[37] et des fous qui sont aux commandes, sans elle, la Terre serait déjà pulvérisée. Entraînons-nous très vite à la re-connaître et ne nous dressons pas les uns contre les autres, mais tous ensemble pour la vérité !

[1] Evangile St Luc 21.11

[2]Film “Overcast“ Matthias Hancke 2015

[3]“La guerre secrète contre les peuples“, Claire Séverac, éditions Kontre Kulture 2015

[4]Film “Why in the world are they spraying ?“ Michael Murphy and Barry Kolski 2012

[5] Gilles Roy, devise de l’association « Rock Astres » 1993

[6] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[7] NEW PHYSICS,  Noberto R.Keppe Publishing House Proton 2005

[8] Claudia Von Werlhof,  http://www.pbme-online.org/ , Skyguards – Autriche

[9]Physiologie: étude du fonctionnement naturel d’un organisme vivant

[10]Colloque Science à très grande échelle – COMETS-CNRS Paris janvier 2014

[11]http://legacy.movement-of-life.org/index.php

[12]„“Les racines nazies de l’Union Européenne de Bruxelles“ Paul Anthony Tailor, Aleksandra Niedzwiecki, Matthias Rath, August Kowalczyk 2011

[13]Gabriel Luneau https://www.youtube.com/watch?v=VTRfViLgKoM

[14] Viktor Schauberger

[15] Claudia Von Werlhof

[16] Claudia Von Werlhof

[17] André Brahic “Enfants du Soleil“ 1999

[18] décédé en 2016

[19]Copernic, mort en 1549

[20]The ABCs of the NEW PHYSICS, a workbook based on the New Physics by Noberto R.Keppe. author : Claudia Bernhardt de Souza Pacheco and collaborators; Proton Editora 2008

[21]Michel Odent “La santé primale“ 1986

[22] Fruit d’une recherche personnelle: les peuples les plus récemment touchés par notre “civilisation“ connaissent et emploient des plantes contraceptives (Tibétains –confirmation écrite de l’Institut de médecine thibétaine de Daramsala-, Indiens d’Amazonie, Aborigènes …); dans l’Antiquité grecque et romaine et jusqu’au 13e siècle, il n’est pas particulièrement fait mention de trop nombreux enfants par femme. De nombreuses variétés de plantes, différentes selon les climats et les sols existent et sont bien simples: pour chez nous: calendula, safran … J’en conclus que les bûchers de l’Inquisition ont fait disparaître cette connaissance. De rares bribes de connaissance de plantes abortives ont perduré.

[23] Le néocortex, la partie la plus complexe du cerveau, particulièrement développée chez l’humain, la plus récente du point de vue de l’évolution.

[24]Michel Odent « L’amour scientifié » éd. Jouvence 2001 et autres ouvrages. Connu depuis sa direction de la maternité de Pithiviers de 1962 à 1985 où il a lancé le concept d’accouchement en salles de naissance « comme à la maison » ou en piscine.

[25]et ses consoeurs, prolactine et endorphine. Prolactine : hormone ancienne sur le plan de l’évolution, impliquée dans les comportements du maternage : construction des nids, comportements protecteurs et agressifs de la femelle qui allaite

[26]Cette libération se fait de manière discontinue,  par pulsations. Elle induit un comportement maternel dans l’heure qui suit la naissance, elle est libérée pendant l’orgasme et joue un rôle direct dans la reproduction. (Michel Odent « L’amour scientifié »).

[27] L’adrénaline et sa famille sont à l’origine les hormones secrétées d’urgence quant il faut soudain se protéger par la fuite ou le combat. A leur source, le néocortex. Elles sont mises en jeu quand la survie de l’individu devient la priorité et passe avant la survie de l’espèce, alors que la famille de l’ocytocine est impliquée dans le cas contraire.

Il en est également de même quant au fonctionnement de notre cœur  : le ventricule  gauche propulse le sang dans  l’organisme et le droit rappelle ce dernier pour être régénéré.

[28] Rabelais, « Pantagruel »

[29]“la docte ignorance” Merleau Ponty, philosophe français (1950)

[30]Noberto Keppe NEW PHYSICS

[31]idem

[32] Blaise Pascal

[33] Thomas S. Kuhn „La révolution copernicienne“

[34] En astronomie, il y a différents systèmes de coordonnées, définis par un centre, un plan et deux axes, qui décrivent: le point de vue topocentrique (vous en êtes le centre), le point de vue géocentrique (la Terre est le centre) et le point de vue héliocentrique (le Soleil est le centre); on peut aussi se projeter sur une autre planète ou en tout point de l‘univers

[35] Claudia Von Werlhof http://www.pbme-online.org/

[36] SORI’Astres, voir www.rockastres.org

[37]Rosalie Bertell “Planet Earth, the latest weapon of war“

un ancien Premier ministre de Colombie-Britannique condamne la géoingéniérie

Bill Vander Zalm, ancien Premier ministre de Colombie-Britannique, condamne la géoingéniérie et agit à son niveau pour faire connaître les faits au peuple. Entretien avec Dane Wigington.
 

sous-titres en anglais seulement en attendant une traduction. Appel aux bonnes volontés compétentes ! Merci d’avance.