🎬 l’alarme climatique: une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique (Documentaire 1h20)

CLIMATE the MOVIE: The Cold Truth

Climat: The Movie (The Cold Truth) Francais (Climat : Le Film)

« Le climat change sans arret. Mais si le CO2 ne provoque pas le changement climatique, qu’est-ce qui le provoque ?  » … LES NUAGES [minute 31]

Durée: 1h20. En Anglais avec sous-titres en francais.

Lien URL: https://www.youtube.com/watch?v=zmfRG8-RHEI
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Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants.

Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises) a jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé. Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ?

Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social. Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi.

Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de libre marché. La solution était des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important. C’est une division politique tacite qui se cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat séduit particulièrement tous les membres de l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela inclut l’intelligentsia occidentale largement financée par l’État, pour qui le climat est devenu une cause morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en question l’alarme climatique est devenu une violation d’étiquette sociale.

Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres.

Le film a été écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The Great Global Warming Swindle. » Tom Nelson, un podcasteur qui examine en profondeur les questions du débat climatique, depuis près de deux décennies, a produit le film. #ClimateTheMovie sera disponible gratuitement sur de nombreux sites en ligne à partir du 21 mars 2024. Des sous-titres dans de nombreuses langues sont actuellement créés par la Fondation Clintel. Suivez @ClimateTheMovie et @ClintelOrg pour les mises à jour.


Parution du livre de Rosalie Bertell en français : La Planète Terre, ultime arme de guerre – Volume 1

https://www.amazon.fr/Planète-Terre-Ultime-Arme-Guerre/dp/B07FSSRF9S

À partir des guerres du Golfe et en ex-Yougoslavie, le Dr Rosalie Bertell montre que les militaires ont aujourd’hui un tel pouvoir sur la société civile qu’ils peuvent utiliser la Terre comme arme de guerre.

Tout aussi grave pour l’Humanité, ils ont déstabilisé le fragile équilibre de l’écosystème terrestre, en pratiquant des expériences particulièrement dangereuses dans l’atmosphère et les autres couches du ciel, dont la détonation de bombes nucléaires dans les ceintures de Van Allen, l’envoi en orbite de centaines de millions d’aiguilles de cuivre, l’utilisation de plutonium au-dessus de zones densément peuplées, l’épandage de produits toxiques pour endommager la couche d’ozone protectrice, etc.

À lire d’urgence pour comprendre que le changement climatique n’est sans doute pas lié qu’au CO2 d’origine anthropique et, surtout, quelles peuvent être les conséquences sur notre planète de ce pouvoir militaire et scientifique exorbitant, désormais sans contrôle.

À propos de l’auteur

Le Dr Rosalie Bertell a travaillé dans le domaine de la santé environnementale de 1969 à 2012 et a participé à la création de plusieurs organismes, dont l’Institut international pour les problèmes de santé publique (Canada), qu’elle présida. Elle a dirigé les commissions médicales de Bhopal et de Tchernobyl, et entreprit des travaux de recherche en collaboration avec de nombreuses organisations, ce qui l’a amenée, entre autres, à se rendre à la station HAARP en Alaska et à travailler dans une commission du projet de  guerre des étoiles, auquel elle s’est opposée. Elle fut lauréate de plusieurs distinctions scientifiques et prix internationaux pour ses efforts inlassables en faveur de la paix.

« La Planète Terre, ultime arme de guerre » est son dernier livre. La traduction en français est de Monique Fontana, de l’ACSEIPICA.

Lien vers le livre sur Amazon.fr

Compte rendu ACSEIPICA de la conférence « Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat »

organisée par Amy Dahan et Hélène Guillemot, du CNRS et Centre Alexandre Koyré les 20 et 21 novembre 2014 au Musée des Arts et Métiers à Paris 3e.

http://climaconf.hypotheses.org/

Nous nous sommes retrouvées à 6 jeudi matin à l’entrée du Musée avant l’heure d’ouverture de la conférence et avons pu distribuer comme prévu aux participants , notre lettre dont j’avais envoyé par mail, la veille au soir, une copie aux ministères de l’Ecologie et de la Défense ; impossible d’envoyer un message par internet au ministère de la Santé et le ministère de la Défense nous demande un courrier postal. Nous allons donc renvoyer cette lettre par courrier postal à ces 3 ministères, ce qui est fait depuis le 24 novembre

argumentation CNAM_lettre ministres

 

Saskia Messager a eu un entretien serré avec Amy Dahan, qui était sur la défensive …

Trois d’entre nous sont restées pour assister à la conférence et avons pu faire quelques interventions. Nous avons d’autre part rencontré quelques sympathisants et soutiens, alertés par nos annonces sur internet

A midi, nous avons discuté, chacun(e) en particulier avec quelques uns des orateurs. Nous avons pu nous rendre compte, si nous en doutions encore, que ces scientifiques auxquels font référence les politiques, étaient dans l’ignorance totale des armes climatiques et électromagnétiques.

Ceci et leur déni systématique de la réalité des épandages en a pris un coup, même si bien sûr ils ne se rangent pas du jour au lendemain à notre point de vue. Malgré nos délicatesses, c’est pour eux un choc frontal, on attaque un mur.

Amy Dahan, quoique résolument hostile à nos propos a eu la politesse de nous accorder la parole quand nous l’avons demandé, le dialogue reste ouvert.

Vendredi après midi, nous nous sommes retrouvés à 3 pour la session de clôture, avec également Marc Cendrier de Robin des Toits.

Ce qui ressort de tous les exposés présentés : l’incertitude des modèles ; leur travail consiste à gérer les probabilités d’incertitudes -:) ; la perspective du COP 15 à Paris ne provoque à ces scientifiques aucun espoir particulier d’issue sur les problèmes climatiques.

J’ai pu prendre la parole à ce moment et exprimer à nouveau qu’il était bien difficile de leur accorder confiance puisqu’ils ne tenaient compte dans leurs études que de la partie émergée de l’iceberg, à savoir l’impact des activités civiles sur les dérèglements du climat. Et qu’en conséquence leurs modèles et prospectives ne pouvaient être véritablement valides puisqu’ils ne tenaient pas compte des activités militaires et secrètes qui représentent les 8/9 immergés . Que nous étions des lanceurs d’alerte et que nous leur demandions de se pencher de manière scientifique sur l’observation de la circulation aérienne, que c’était une affaire de sécurité et de santé nationale, et qu’il en était de même dans tous les pays.

Malgré quelques réprobations , j’ai pu être entendue. Personnellement je suis heureuse d’avoir pu être là à ce moment là et poser ces quelques jalons. La mer monte, et les châteaux de sable sont fragilisés. Merci à toutes et tous qui ont pu être là, à ceux qui ont envoyé la lettre ou qui ont aidé à la préparation ainsi qu’à Nina K. qui m’a offert une merveilleuse hospitalité. Force et courage.

Claire Henrion

 

Ci-dessous la lettre

 

aux ministres de la Santé, de l’Ecologie, de l’Agriculture et de la Défense

le 24 novembre 2014

Au sujet de la conférence « Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat », qui s’est tenue les 20 et 21 novembre, au Musée des Arts et Métiers à Paris 3e, organisée par Mme Amy Dahan et Mme Hélène Guillemot du Centre Alexandre Koyré- CNRS et soutenue par l’Agence Nationale de la Recherche http://climaconf.hypotheses.org/ .

Madame/Monsieur le Ministre,

Veuillez trouver ci-dessous la lettre que nous avons distribuée à l’entrée de la conférence et que nous souhaitions porter à votre connaissance.

Merci de votre attention; nous restons à votre disposition pour plus d’information et nous vous prions d’agréer, Madame le Ministre l’expression de nos meilleures salutations citoyennes.

Pour l’ACSEIPICA

Claire HENRION

« Nous sommes venus participer à cette conférence mais nous restons dehors, voici pourquoi1 :

Bien que nous nous soyons inscrits, car concernés par le titre du colloque, nous nous abstenons de rentrer étant donné qu’aucune place n’est prévue dans le programme pour l’expression de la société civile et la remise en question des postulats sur lesquels reposent les prospectives annoncées dans le programme à savoir :

  • la nécessité de modéliser le climat pour sauver – qui ? – d’un catastrophique réchauffement climatique qu’on attribue unanimement et sans conteste possible au CO2 émis par nos coupables activités civiles. Lequel CO2 (qui ne représente pourtant que moins de 0,05% des gaz de l’atmosphère terrestre) est devenu l’obsession des scientifiques autorisés et des sphères politiques: pour le contenir il faudrait empêcher les rayons du Soleil de passer … Pourtant tout le monde sait que les végétaux transforment le CO2 en oxygène sous l’effet de la lumière du Soleil. Faut -il se priver des rayons du Soleil ? Cherchez l’erreur …

Nous voulons signifier que la société civile n’accordera confiance, crédibilité et autorité aux représentants des institutions de sciences et politiques du climat, pourtant à priori honorables, qu’à partir du moment où ceux-ci:

  • prendront en compte les effets de la géo-ingéniérie dans leurs modélisations climatiques, géo-ingéniérie à l’œuvre depuis plus de 50 ans dans le domaine militaire et maintenant dans le civil. S’ils l’évoquent d’un point de vue historique, comme Amy Dahan dans son exposé du mois de janvier au colloque du COMETS, ils occultent totalement ce facteur au présent …
  • Se pencheront sur l’évidence des épandages aériens généralisés de produits toxiques par des avions évoluant en grand nombre, bien en-dessous des couloirs civils; ceux-ci produisent des traînées anormalement persistantes à des altitudes auxquelles les lois de la physique ne permettent à la vapeur d’eau éjectée par l’avion de produire de la condensation qu’en présence de particules supplémentaires
  • Et se mettront, en raison d’une question de sécurité nationale et mondiale, au service de la surveillance de la circulation aérienne – civile, militaire et clandestine – ainsi que de l’analyse de la composition chimique de ces traînées anormalement persistantes, et de leurs conséquences sur la santé et sur tout l’environnement. Un fait qu’ils s’obstinent, jusqu’à présent, à nier ou ignorer.

L’inconsistance totale des arguments, hormis son titre, et la catastrophe planétaire dans laquelle ils nous précipitent, nous autorise à porter cette alerte à la connaissance de tous.

Nous sommes donc présents, ici à l’entrée, pacifiques et silencieux, représentant la société civile de France et d’Europe pour affirmer cela, avec calme et fermeté.

ACSEIPICA, Skyguards

20 novembre 2014

1Au final, quelques uns d’entre nous ont suivi la conférence ; voir notre compte rendu sur http://www.acseipica.fr/

en .pdf  argumentationCNAM_lettre ministres

Le changement climatique et la guerre environnementale

Un nouveau terrorisme ?

Article de  Luis Enrique Martín Otero, Colonel Veterinaire, coordinateur du Centre de Vigilance Sanitaire Vétérinaire de l’Université Computense de Madrid (Espagne) et du Réseau de Laboratoires d’ Alerte Biologique (RE-LAB)

http://www.ieee.es/Galerias/fichero/docs_opinion/2013/DIEEEO97-2013_CambioClimatico-NuevoTerrorismo_MartinOtero.pdf

armes et stratégies

Diapositive1

Résumé

Le changement climatique a toujours existé. Aujourd’hui, nous assistons à un changement climatique global sans précédent, dans lequel les causes naturelles jouent un rôle secondaire et où la main de l’homme, grâce aux progrès technologiques, peut causer d’énormes catastrophes. Le contrôle du climat pourrait devenir, dans un proche avenir, une arme de destruction massive et être utilisé par les États pour atteindre ses buts de sécurité, de défense ou de pouvoirs. Cela peut provoquer une série d’effets collatéraux qui pourraient affecter la biosécurité des personnes, des animaux et des plantes.

Introduction

La plus grave menace environnementale qu’actuellement affronte l’humanité est constituée par le changement climatique. L’émission constante et disproportionnée de CO2 par les pays industrialisés et l’utilisation massive des ressources naturelles sont à l’origine des changements majeurs dans le climat mondial. Ses conséquences se traduisent par la sécheresse, les inondations, les ouragans et les catastrophes naturelles qui frappent les populations, généralement ceux du tiers-monde, pauvres et sans moyens de subsistance.

Comme nous l’avons déjà mentionné, les variations climatiques ont toujours existé. Cependant, aujourd’hui, nous voyons, rappelez-vous, un changement climatique sans précédent où les causes naturelles semblent jouer un rôle secondaire. La communauté scientifique reconnaît que les fluctuations climatiques sont causées, dans une large mesure, par l’homme. Les nouvelles technologies appliquées au contrôle du climat nous rendent encore plus vulnérables face à ces catastrophes, parfois improprement désignées comme «naturelles».

Des activités telles que la déforestation, l’utilisation massive de l’eau potable, l’utilisation intensive de la terre, mais aussi le terrorisme de l’environnement, se combinent pour alimenter un phénomène qui ne peut pas faire autre chose que d’aggraver notre sort.

Les conséquences du changement climatique, parfois provoqué, d’autres fois d’origine naturelle, sont nombreuses et variées, mais toutes négatives pour l’homme :

a) le changement climatique, en tant que conséquence du réchauffement global, porte avec lui l’augmentation de la population vectorielle – insectes volatiles et terrestres – très dangereux pour les populations, en particulier du point de vue sanitaire. Cette augmentation de température ne produit pas simplement la reproduction de ces insectes, mais également la multiplication de micro-organismes pathogènes transmis par ces derniers animaux aux personnes, aux autres animaux et aux plantes et causent de graves maladies. Nombre de ces maladies sont de caractère zoonotiques, à savoir transmises des animaux aux humains, ce qui peut causer de graves problèmes sanitaires dans les pays d’origine ainsi que dans les pays où, en raison du climat plus froid, ces maladies étaient inexistantes.

b) l’alimentation de la planète est une autre conséquence du changement climatique. La destruction des cultures ou l’absence de production de certaines matières premières agricoles pourraient altérer le développement de la nutrition de la population en créant un problème mondial.

c) la migration des populations, à la suite de catastrophes écologiques, constitue un autre problème grave causé par le changement climatique. Les mouvements migratoires touchent normalement les personnes économiquement et socialement défavorisées qui en général sont aussi porteurs d’une condition sanitaire précaire. Les mouvements de personnes vers d’autres latitudes génèrent le déplacement de problématiques à caractère sanitaire difficile à contrôler, augmentant le risque de propagation de la menace biologique.

d) la même chose arrive avec la migration des animaux qui se déplacent à la recherche de zones moins hostiles. Ces migrations entraînent la propagation de maladies infectieuses contagieuses de caractère zoonotique qui sont endémiques aux lieux où ces animaux vivaient à l’origine et qui sont disséminés dans les nouvelles zones géographiques, augmentant le risque sanitaire pour les personnes.

« Les changements climatiques peuvent entraîner une altération de la biosécurité, à savoir la santé publique et la santé végétale et animale »

Présentation12

Figure 1.- Source : Moment de réflexion

Dans ce document nous allons discuter principalement du terrorisme environnemental basé sur les nouvelles technologies et des conséquences découlant de leur utilisation.

Le terrorisme environnemental basé sur les nouvelles technologies

Possibles conséquences du changement climatique :

Face aux progrès technologiques et scientifiques, le monde ne peut pas rester tranquille, car une telle connaissance peut être utilisée par les États dans un double sens: dans le but de réaliser les objectifs de sécurité et de défense, pour accéder au pouvoir ou, dans certains cas, comme une arme de dissuasion face aux menaces possibles.

La consternation augmenterait considérablement si cette technologie, ou une partie de celle-ci, tombait dans les mains de groupes terroristes ou de pays instables, capables d’utiliser ces moyens pour satisfaire leurs idéaux fanatiques.

L’extraordinaire progrès technologique permet de contrôler le territoire mondial et contribue à concentrer le pouvoir dans les mains d’un petit nombre de pays ; nous parlons de deux ou trois pays, qui pourraient, pour la première fois dans l’histoire, imposer leur juridiction sur la planète entière.

Cette situation inédite en soi, provoque des inégalités moins inédites et de nouveaux déséquilibres. De toute évidence, quelque chose a changé de façon radicale dans le monde. Et ce « quelque chose » a complètement vidé de sens les relations entre les êtres humains, a dégradé le sentiment de la démocratie, et enchevêtré les sentiers du progrès.

Le grand stratège chinois Sun Tzu, dans son livre « L’Art de la guerre », a écrit:

« Qui connaît l’autre et se connaît lui-même, peut livrer cent batailles sans jamais être en péril.

Qui ne connaît pas l’autre mais se connaît lui-même, pour chaque victoire, connaîtra une défaite.

Qui ne connaît ni l’autre ni lui-même, perdra inéluctablement toutes les batailles. »

Les pays qui ne développent pas ces technologies – ou stratégies – sont désormais obligés de prendre connaissance de tels progrès et de reconnaître les conséquences qui peuvent en résulter. Ceci sera la «récompense» des efforts soutenus par ces pays face à la menace d’un monde globalisé.

Mahatma Gandhi :

« C’est dans l’effort que l’on trouve la satisfaction et non dans la réussite.

Un plein effort est une pleine victoire. »

Une partie de cette nouvelle technologie est destinée à être utilisée dans les décennies à venir. Évidemment, si quelqu’un n’est pas déjà en train de l’utiliser silencieusement comme arme de destruction massive.

Des outils de prévention au niveau global sont, à ce stade, nécessaires et indispensables. La coopération internationale est essentielle : on pourrait créer, par exemple, des mécanismes de pré-alerte internationale qui permettraient aussi une réponse rapide contre cette « nouvelle » forme de terrorisme, ce qui atténuerait les effets de ces menaces.

Nous parlons d’une « dégénérescence » du conflit armé, qui utilise les moyens et méthodes de combat plus nocifs pour atteindre leurs objectifs. La plupart du temps, malheureusement, ces objectifs ne sont pas à caractère militaire, mais dirigés systématiquement contre la population civile et des infrastructures critiques, ce qui affecte la santé des êtres humains.

Un autre aspect significatif de telles menaces, concerne en particulier ce mouvement globalisé qui n’aspire pas à conquérir les pays, mais plutôt leurs marchés. Ces pouvoirs modernes, solides, n’ont pas pour but d’annexer des territoires comme ils le faisaient à l’époque des grandes invasions ou dans la période coloniale ; maintenant aspirent à en contrôler les richesses.
A cause de la globalisation, les menaces deviennent complexes, parce que ses effets peuvent atteindre des pays très lointains de l’endroit où ils sont originaires et ceci en quelques heures.

Des outils efficaces pour contrôler la «culture de la mondialisation» sont les technologies de l’information et de la communication, qui jouent un rôle très important – même idéologiques – la plupart du temps en mettant la muselière dans sa bouche à la pensée critique.

Les informations que nous recevons dans ce cas sont très sensibles et doivent être analysées en détail, car il est très facile de tomber dans la « théorie du complot ».

L’exemple le plus emblématique est l’attaque du 11 Septembre, qui nous apprend que toutes les informations concernant le terrorisme, autant sensationnelles qu’elles peuvent paraître, doivent être analysées, parfois valorisées et jamais écartées.

Avec cet article, nous voulons informer et non pas alarmer, parce qu’informer signifie dans un certain sens « prévenir ». Beaucoup de politiciens estiment que débattre de ces questions produise une alarme sociale ; au contraire, vu que les menaces peuvent être affrontées seulement si on les connait, en travaillant sur elles jour après jour, parce que leur évolution va de pair avec les progrès de la technologie et de la biotechnologie. En conséquence, pour les combattre, il est nécessaire d’informer et de disposer d’outils de pré alerte qui puisse les contrer.

Une autre question importante concerne l’information et la communication qui doivent être gérées par du personnel spécialisé, afin de transmettre l’information concernant les risques et les possibles menaces « crédibles » et de présenter des solutions qui, si elles existent, peuvent neutraliser le problème.

En Espagne, l’organisme qui est chargé de coordonner et de fournir des réponses à la menace du terrorisme à caractère biologique – la santé publique, la santé animale, la sécurité alimentaire, la santé environnementale et végétale – est « Le réseau de laboratoires d’alertes biologiques (RE-LAB) » créé en 2009 par le gouvernement national comme un outil de soutien.

Les armes du Nouvel Ordre Mondial

La guerre environnementale est définie comme la modification volontaire ou la manipulation de l’écologie naturelle, comme le climat – ou ce que nous appelons «le temps» – les systèmes terrestres tels que l’ionosphère, la magnétosphère, les plaques tectoniques, les évènements sismiques, les tremblements de terre qui peuvent entraîner la destruction physique, économique, psychosociale d’un objectif prévu, que ce soit géophysique ou humain, dans le cadre d’une guerre stratégique ou tactique plus vaste.

La manipulation du climat est l’arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée à leur insu contre des pays ennemis ou amis, dans le but de déstabiliser les économies, les écosystèmes et l’agriculture. Elle peut aussi causer de graves perturbations sur les marchés financiers.

Sans aucun doute (ça se discute avec beaucoup de discrétion) tant la modification du climat que l’utilisation de l’ionosphère, bien que moralement déplorables, sont des pratiques alternatives pour les circuits du pouvoir afin de frapper les puissances rivales.

Lors des réunions internationales de la guerre stratégique, il est dit que:

« La modification du climat deviendra une partie intégrante de la sécurité nationale et internationale et pourra être réalisée unilatéralement.»

D’un point de vue tactique, par exemple, nous aurons un éventail d’armes qui permettront de dissimuler, à travers des nuages bas, des aéronefs d’observation du terrain, ou des brouillards qui cacheront les forces terrestres.

Evolution de telles situations

La « guerre environnementale » peut sembler nouvelle pour certains, en dépit d’être largement étudiée dans les milieux militaires. La première description publique des techniques de modification artificielle du temps comme une arme de guerre remonte au 20 Mars 1974.

À l’époque, l’armée américaine a révélé l’existence d’un « nuage artificiel » placé dans le ciel du Vietnam et du Cambodge. L’objectif était d’augmenter les précipitations en zones névralgiques, provoquant des glissements de terrain et rendant les chemins boueux, dans le but de rendre plus difficile les déplacements de fournitures dans le passage « Ho Chi Minh », dans une opération appelée « Projet Popeye ».

Sans aucun doute, cette expérience sous la pluie artificielle n’était pas entièrement nouvelle. La Grande-Bretagne a révélé que, avant l’inondation dévastatrice en Lynmouth Devon en 1952, la Royal Air Force (RAF) avait réalisé, en secret, des projets liés à la pluie artificielle. De nombreux avions avaient « injecté » de l’iodure d’argent dans les nuages, de sorte que les gouttes d’eau formées deviennent plus lourdes et puissent tomber rapidement sous forme de pluie. Dans l’espace d’environ 12 heures, il tomba une quantité de pluie 250 fois supérieure à la moyenne mensuelle. 35 personnes décédèrent.

Mais l’intérêt de l’exploitation de l’environnement à des fins militaires ne s’arrête pas là.

Des documents du gouvernement britannique, publiés dans les Archives nationales, montrent que dans les années 70 se créait un climat de grande méfiance entre les deux superpuissances concernant la guerre environnementale. Les documents révèlent que tant les Etats-Unis, que l’Union soviétique, avaient des programmes militaires secrets dont l’objectif était de contrôler le climat à l’échelle planétaire.

L’Université de l’Air, située à Maxwell Air Force Base, en Alabama, joue un rôle clé dans l’accomplissement des missions de l’United States Air Force. En fait, leur état-major a chargé l’Université de l’Air à regarder vers l’avenir, afin d’identifier les concepts, les capacités et les technologies nécessaires pour continuer à être la puissance dominante du XXIe siècle.

L’étude, terminée en 1996, était intitulée “Air Force 2025”. Une partie de cette étude a été publiée sous le titre « Le climat comme multiplicateur de force ; maîtriser le climat en 2025 « . Il indique qu’en 2025 l’United States Air Force sera en mesure de contrôler le climat grâce à l’utilisation des nouvelles technologies dans le cadre d’applications militaires. Les auteurs décrivent comment la modification du climat peut apporter une aide précieuse dans la bataille. Le document analyse ensuite la recherche sur l’ionosphère (l’ionosphère est une région de l’atmosphère terrestre qui occupe à peu près entre 30 et 1200 km au-dessus de la surface de la Terre) nécessaire pour atteindre l’amélioration des communications des États-Unis et comme un moyen de neutraliser les communications ennemies. En 2025, il pourrait être possible de modifier l’espace de l’ionosphère, créant un grand nombre d’applications possibles, selon la Convention des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), signée à Rio de Janeiro en 1992 :

« Les États ont, conformément à la Charte des Nations Unies et aux principes du droit international, la responsabilité de veiller à ce que, au sein de leur juridiction ou sous leur contrôle, ne soient pas causé de dommages à l’environnement d’autres Etats ou zones situées en dehors des limites de la juridiction nationale.» **1

C’est également important de se rappeler qu’un accord international, ratifié par l’Assemblée Générale de l’ONU en 1997 interdit:

« L’utilisation militaire hostile ou autres types de modification environnementale qui comportent des effets vastes, à long terme ou graves.»

Tous les traités prévoient l’interdiction de la guerre environnementale, capable de provoquer des tremblements de terre causant la détérioration des calottes polaires et l’altération du climat. Bien sûr, de nombreux experts sont convaincus que nous continuons à ce jour à travailler clandestinement dans la définition d’une nouvelle arme de destruction massive.

Bien qu’il existe une vaste connaissance scientifique à cet égard, la question de la manipulation du climat utilisée à des fins militaires n’a jamais été explicitement abordée à l’ordre du jour des Nations Unies sur le changement climatique. Ni les délégations officielles, ni les groupes d’activités environnementaux des groupes qui ont participé à la Conférence de La Haye sur les changements climatiques (CO6 – Novembre 2000) n’ont soulevé la question de la «guerre météorologique» ou «techniques de modification de l’environnement (EMMOD) » comme question pertinente pour comprendre le phénomène du changement climatique.

Le conflit entre les négociateurs officiels, les écologistes et les lobbyistes se concentrait sur le refus absolu de mettre en œuvre les engagements sur des objectifs de réduction des émissions de dioxyde de carbone, en conformité avec le Protocole de Kyoto 1997. **2                                                       L’impact que les technologies militaires ont sur le climat à l’échelle planétaire, ne sont pas l’objet de discussions ni d’inquiétude.

La renommée scientifique Rosalie Bertell, qui a la citoyenneté américaine et canadienne, affirme que :

« Des scientifiques américains travaillent sur des systèmes météorologiques comme arme potentielle.»

Ces méthodes comprennent l’intensification des tempêtes et le détournement des cours d’eau de vapeur dans l’atmosphère de la Terre, afin de produire la sécheresse ou des inondations. **3     Déjà dans les années 70, l’ancien conseiller de sécurité nationale du président Jimmy Carter, Zbigniew Brzezinski, polonais naturalisé américain, avait prévu dans son livre « Entre deux âges » que :

«La technologie rendra disponible, aux dirigeants des grandes nations, les techniques pour déclencher une guerre. Des techniques de modification du climat pourraient être utilisées pour produire des périodes prolongées de sécheresse ou de tempête.»

Marc Filterman, un ancien haut responsable militaire français décrit plusieurs types d ‘ »armes non conventionnelles » utilisant des fréquences radio. Il se réfère à la « guerre contre le temps », affirmant que les États-Unis et l’Union soviétique avaient déjà acquis les connaissances nécessaires pour provoquer de brusques changements climatiques – sécheresses, ouragans, etc. – au début des années 80. **4

Ces technologies ont permis la perturbation de l’atmosphère à travers les champs à fréquence extrêmement basse (ELF).

Il ya beaucoup d’informations qui indiquent l’existence réelle de cette technologie et comment elle peut être utilisée pour induire des modifications climatiques. La spéculation sur les armes climatiques est rarement accompagnée par des faits concrets, puisque, fondamentalement, ce type de progrès technologique a été placé dans le plus grand secret.

Sans aucun doute, l’utilisation d’armes géophysiques est non seulement possible dans des zones limitées, mais même inévitable, nous alertent les experts.

Bien qu’il n’y ait aucune preuve de l’utilisation de cette technologie mortelle, l’Organisation des Nations Unies devrait aborder la question de la guerre environnementale, ainsi que du changement climatique causé par les gaz à effet de serre.

Probablement, les Etats-Unis et la Russie utilisent des armes météorologiques secrètes : les projets HAARP et SURA existent. La Chine développe également ces technologies, cependant, à cet égard, il ya peu d’informations.

Armes géophysiques possibles 

Le programme de modification artificielle du temps est l’une des armes utilisées par les grandes puissances afin de stabiliser leur pouvoir. La mondialisation a entraîné non seulement la mise en œuvre d’un ordre mondial en ligne avec les grandes puissances mondiales, mais elle a aussi déclenché une guerre contre le terrorisme, qui, apparemment, a besoin de nouvelles armes géophysiques, tel que, les explosions nucléaires maritimes à basse altitude, l’utilisation des ondes de basse et haute fréquence contre l’ionosphère.

Présentation13

Figure 2 – Source : L’heure de S’éveiller

Ces deux armes qui peuvent avoir été précédemment utilisées ou, rappelons le, qui pourraient l’être dans un avenir pas trop lointain. Nous reviendrons sur ce sujet.

Il y a d’autres armes, comme les tubes à micro-ondes et le « contrôle mental » qui sont, elles aussi, en plein développement.

Présentation14

Figure 3 – Source : Naver Blog

Les explosions nucléaires qui modifient le climat

La Nouvelle-Zélande a déclassifié des documents dans lesquels se révèlent des expériences faites avec des bombes qui produisent des vagues géantes. La nouvelles, publiée dans ​​le quotidien New Zealand Herald a été accueillie avec choc et stupeur : la Nouvelle-Zélande a créé des expériences secrètes pour provoquer des tsunamis.

Le Professeur Thomas Leech, Université d’Auckland (Nouvelle-Zélande), a collaboré avec l’armée afin de démarrer une série d’explosions sous-marines qui a causé des vagues de force égales au « petit » tremblement de terre Whangaparoa en 1944-1945.

Le travail du Professeur a été jugé si important, que le Haut Commandement de la Défense des États-Unis a déclaré, que si le projet avait été achevé avant la fin de la Seconde Guerre mondiale, il aurait pu jouer un rôle majeur dans le conflit égal à celui de la bombe atomique.

Les Américains, de 1962 à 1983, sous le nom de «Projet Stormfury », ont donné naissance à des expériences de manipulation des ouragans, essayant d’en contrôler l’intensité, en déversant des dizaines de milliers de litres d’huile végétale dans la mer, créant ainsi un film artificiel qui réduit l’intensité de l’ouragan lui-même, qui allaient entrer en collision avec la surface. En théorie, de cette façon, il est possible d’influencer la trajectoire de l’ouragan. Sur la pratique de cette expérience, des doutes persistent encore.

Les scientifiques ont également étudié un moyen d’atténuer les effets des tremblements de terre en créant de petites secousses pour libérer la pression et éviter de grands désastres.
Dans le même temps, cependant, les tremblements de terre pourraient être provoqués en dirigeant des faisceaux énergétiques sur des failles instables, modifiant les plaques tectoniques et provoquant ainsi des tremblements importants. Si ces faisceaux étaient dirigés sur des failles sous marines, il serait possible de provoquer des tsunamis.

Présentation15

Figure 4 – Source: L’avant-garde

Les détails sur la «bombe tsunami », connu sous le nom «Projet Seal», sont contenus dans certains documents vieux de 53 ans et déclassifiés par le ministère des Affaires étrangères et du Commerce de la Nouvelle-Zélande.

Les documents qui portent la dénomination «TOP SECRET, démontrent comment l’armée américaine et britannique étaient enthousiasmés par le développement du «Projet Seal» dans les années d’après-guerre. A également été considérée la possibilité d’inviter le professeur Leech sur l’atoll de Bikini, pour participer aux tests nucléaires des États-Unis et voir s’ils pourraient servir pour ses recherches. Le développement du «Projet Seal» n’est pas clair. Le rapport final a été envoyé, dans les années quarante, au ministère de la défense de la Nouvelle-Zélande. On pense que la bombe n’a pas été testée sur une grande échelle.

Présentation16

Figure 5 – Source: L’obscurité de l’esprit

Les Britanniques et les Américains n’ont pas gelé le projet après la guerre, mais l’ont soutenu.

L’utilisation de l’ionosphère par le biais des armes géostratégiques

Le projet HAARP

Depuis 1992, HAARP fait partie de l’arsenal d’armes sous le contrôle de l’Initiative de défense stratégique des États-Unis (SDI). Cette technologie fut développée dans le cadre du programme l’Aurora haute fréquence active (HAARP), à l’origine partie du système de défense de Ronald Reagan, appelé « Star Wars », fortement controversé.

Situé à Gokoma en Alaska, cette complexe infrastructure dotée d’antennes très puissantes, fonctionne grâce à l’émission d’ondes radio très intenses, capables de créer «des modifications locales contrôlées de l’ionosphère», afin d’altérer les modèles climatiques. Certains experts estiment que le système est opérationnel, tandis que d’autres prédisent que cela n’arrivera pas avant vingt ans.

Il est supposé que dans le Groenland et la Norvège, sont installées, ou sur le point de l’être, de nouvelles antennes du projet HAARP, ainsi que dans d’autres régions du monde. On suppose, en outre, que de nombreuses antennes ont déjà été installées dans diverses îles de l’océan Pacifique.
Le créateur du « réchauffeur ionosphérique, » Bernard Eastlund, assure lui-même que son invention pourrait arriver à contrôler le climat. Une affirmation qui, selon le sénateur américain Mark Begich, conduirait à la conclusion que si «HAARP fonctionnait à cent pour cent de son potentiel, il pourrait être en mesure de créer des anomalies climatiques sur les deux hémisphères terrestres, suivant ainsi la « théorie de la résonance »  longtemps utilisée par le génie Nikola Tesla dans ses inventions.

Un changement climatique dans un hémisphère entraînerait le même changement dans l’autre. Une possibilité qui ne doit pas être écartée, surtout en prenant en considération les opinions des scientifiques de l’Université de Stanford, qui assurent que le climat de la planète pourrait être contrôlé grâce à la transmission des signaux radio relativement bas, adressés vers les ceintures de Van Allen (ces zones de la magnétosphère où se concentrent les particules chargées). Selon la « théorie de la résonance » ci-dessus, des petits signaux d’activation peuvent contrôler des énergies gigantesques.

Présentation17

Figure 6 – Voir géoingenierie

Présentation18

Présentation19

Figures 7 et 8 – Anomalies Sedon

Au-delà de la manipulation du temps, HAARP, a un nombre d’applications connexes. Il pourrait contribuer au changement climatique à travers le bombardement intensif de l’atmosphère avec des rayons à haute fréquence. Le rebond des vagues pourrait frapper le cerveau des personnes et produire des effets tels que les mouvements tectoniques. **5

Plus généralement, HAARP a la capacité de modifier le champ électromagnétique de notre planète. Nous parlons d’un arsenal d’armes électroniques que les chercheurs militaires des États-Unis considèrent comme « une guerre plus gentille et aimable. » ** 6

Des études scientifiques indiquent que HAARP est capable de provoquer des aurores boréales artificielles, d’altérer ou de mettre hors jeu les stations radar de missiles balistiques, d’isoler complètement les sous marins et de détecter l’existence de structures souterraines ennemies.

Présentation20

Figure 9 – Source: Voici

Il existe une corrélation entre l’activité sismique et l’ionosphère, sur le contrôle de la radio fréquence induit par Hippocampe dans le cadre de HAARP.

HAARP, si appliqué, pourrait avoir des effets potentiellement dévastateurs sur le climat du monde. Les intérêts économiques et stratégiques des États-Unis peuvent varier de manière sélective en fonction du climat dans différentes parties du monde, apportant avec eux la déstabilisation des systèmes agricoles et écologiques de la planète.

Dans son rapport final sur les alternatives à la défense du pays, l’US Air Force (L’USAF) souligne que le Pentagone, à la fin des années 40 (avec la guerre froide plus chaude que jamais), travaillait déjà sur la possibilité d’utiliser des « formes de guerres climatiques inimaginables. »

Cela implique une technologie que Washington continue d’améliorer dans le programme HAARP, commencé en 1992.

Les objectifs scientifiques sont apparemment innocents, mais ils semblent plutôt représenter la mise au point d’une arme de destruction massive, capable de déstabiliser le système écologique dans le monde. C’est indiqué sur le rapport HAARP lui-même :

« La modification du climat fera partie du système de sécurité nationale et internationale et pourrait être initié unilatéralement. Ceci offre un large éventail d’options possibles pour arrêter ou vaincre un adversaire. Elle peut être utilisée à des fins dissuasives, défensives ou offensives. La capacité de générer la pluie, le brouillard, les tempêtes au niveau du sol ou de modifier les conditions météorologiques et la production d’un climat artificiel. Ces instruments sont le résultat d’un ensemble intégré de technologies (militaires). »

Il est à noter que le ministère de la Défense américaine a alloué des ressources importantes pour le développement de l’intelligence et de la surveillance du changement climatique. La NASA et la National Imagery and Mapping Agency (NIMA), maintenant National Geospatial Agency (NGA), travaillent à l’étude des inondations, l’érosion, le changement climatique, les dangers de l’élévation des segments de la terre, les tremblements de terre, les zones écologiques, les prévisions météorologiques, avec les données transmises directement à partir de satellites.

En Février 1998, la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du Parlement européen a tenu une série de consultations publiques à Bruxelles, où elle a souligné la facilité avec laquelle les Etats-Unis pourraient donner lieu à une guerre environnementale grâce à leur programme HAARP.

Le Comité, devant le Parlement européen, conclu :

« Considérant que le programme HAARP, en vertu de son impact sur le moyen environnement et en tant que source de préoccupation mondiale en raison de ses implications juridiques, écologiques et éthiques, demande qu’il soit examiné par un organisme international indépendant. [Le Comité] regrette le refus répété des États-Unis de fournir une déclaration publique sur les risques environnementaux et publics du programme HAARP. » **7

La demande formulée par la Commission d’élaborer un «Livre vert» sur les impacts environnementaux des activités militaires a été, sans doute, sous-estimée, faisant valoir que la Commission européenne ne jouit pas de la compétence nécessaire pour enquêter sur «les liens entre la défense et la protection de l’environnement ».

Projet SURA

Le nom de « Projet SURA » est l’acronyme de l’équivalent russe au projet américain HAARP. C’est un projet de réchauffeur ionosphérique et un centre de recherche sur l’ionosphère, situé près de la ville de Vasilsursk, à environ 100 km de Nizhniy Novgorod, en Russie.

– Source: Radio Mondial

SURA, qui initialement dépendait du ministère de la Défense, est capable de rayonner environ 190 mégawatts d’énergie radioactive réelle (PRE) d’ondes courtes. Actuellement, il est sous la direction de l’Institut de recherche sur les radios (NIRFI) de Nizhniy Novgorod.

L’installation SURA remonte à 1981. Avec l’utilisation de cette installation, les scientifiques russes étudient le comportement de l’ionosphère et l’incidence de l’émission des ondes de basse fréquence. Nous n’avons pas beaucoup d’informations sur le projet SURA.

Le ministère de la Défense soviétique a tout misé sur des projets de ce type. Cependant, aucune recherche n’a été faite, du moins pas dans cette installation, après l’effondrement de l’URSS. Actuellement, les scientifiques participent à des projets internationaux de recherche sur l’ionosphère.

Le météorologue américain Scott Stevens a souligné que des experts militaires russes auraient pu produire la « fureur » de l’ouragan Katrina qui a dévasté la Nouvelle-Orléans. La mort et les destructions causées par l’ouragan Katrina a permis aux Américains de « mettre de côté » l’interview de Vladimir Jirinovski, politicien activiste russe, qui a menacé qu’il y aurait :

« D’autres inondations aux États-Unis » étant donné que « nos scientifiques [les Russes] sont capables de changer légèrement le champ gravitationnel de la Terre.»

Des chercheurs de la SURA ont déclaré, cependant, ne pas être en mesure de provoquer des ouragans comme Katrina et Rita. Tout au moins, affirment t-ils ne pas pouvoir le faire. Sans aucun doute, ils ont étudié, dans une moindre mesure que les Américains, l’interconnexion entre les catastrophes naturelles et les perturbations dans l’ionosphère et la magnétosphère.

figure 14

Figure 14 – Source: Drames de Sin

Ont eu lieu en Janvier 2010, plusieurs tremblements de terre avec des épicentres précis à environ 10 km de profondeur, tels à rendre difficile la compréhension des particularités de ces phénomènes.

Ces affirmations sont rejetées par les sceptiques, qui les encadrent dans les « théories du complot », mais il est de plus en plus évident que le fossé entre la science fiction et la réalité se raccourcit.

Les technologies des centres secrets de la recherche sont classées comme très secrètes et semblent être presque inaccessibles à tous les chercheurs non-militaires.

Les arguments ci-dessus manifestent le pouvoir qu’ont ces projets, dramatiquement liés à leur succès qui mettent en danger la vie de milliers d’êtres humains.

Les catastrophes comme l’ouragan Katrina, le tsunami qui a dévasté les côtes de l’Asie en 2004 ou plus récemment le tremblement de terre-tsunami au Japon, alimentent les rumeurs, sans directement accuser HAARP et SURA. Je préfère continuer à croire que c’est la faute de la Terre Mère si des événements de plus en plus fréquents se produisent, comme celui du Japon.

Bien que dans ce monde de fou, rien ne me surprendrait.

Projet SHEBA (Surface Heat Budget of the Artic Ocean) : réchauffement de l’Arctique.

La cause de la fonte du pôle Nord n’est pas le dioxyde de carbone. Rich Garcia, directeur des relations publiques du projet HAARP, dit ces mots :

« Nous avons un dispositif appelé SHEBA »

SHEBA est un énorme condensateur, qui est un énorme réservoir d’électricité qui pourrait « décharger » toute son énergie dans une poignée de secondes, la même quantité d’énergie que consomment les Etats-Unis à la même période de temps. De cette façon, les électrons se libèrent, créant un plasma à température très élevée.

Selon une étude publiée par l’United States Geological Survey (USGS), l’augmentation de la température dans les eaux de l’océan Arctique pourrait provoquer des étés sans glace.

« Les eaux de surface de l’Arctique et des mers environnantes se réchauffent depuis 1965, de manière bien plus évidente depuis 1995, et beaucoup plus rapidement depuis 2005» écrit Marci Robinson, scientifique de l’USGS dans un article du magazine stratigraphy.
Dans l’étude est rapporté que les années 2007 et 2008 ont été les deux premières années consécutives et ont montré un niveau de glace extrêmement bas dans la mer du Nord au cours de l’été.

Les scientifiques ont documenté la preuve que l’océan Arctique et les températures de la mer du Nord se sont élevées, au point de ne pas permettre la formation de la glace en été, comme pendant la période du moyen Pliocène, il y a environ 3 millions d’années.

Cette période a été caractérisée par des températures tempérées semblables à celles qui sont à venir pour la fin de ce siècle, une analogie que les scientifiques utilisent pour faire comprendre les conditions futures.

Les températures de surface pendant le Pliocène étaient situées autour de 3 degrés Celsius, un chiffre plus élevé qu’à l’heure actuelle. A la moitié du Pliocène les températures moyennes estivales de la surface de l’Arctique variaient de 10 à 18 degrés Celsius, alors qu’actuellement elles tournent autour de 0 degrés.

Robinson a dit:

« Quand on regarde il y a 3 millions d’années, dans le passé, nous trouvons un modèle de distribution de la chaleur très différent de ce que nous voyons aujourd’hui, avec des eaux beaucoup plus tempérées que dans les hautes latitudes.»

« L’absence de glace de mer au cours des étés moyen Pliocène, suggère que la fusion sans précédent de la glace dans l’Arctique au cours des dernières années, pourrait être un signal de changement climatique qui approche», a t-il ajouté.

Conséquences de la fonte des neiges

Selon Robinson :

« La poursuite de cette tendance pourrait conduire à un changement radical dans le régime de la glace de l’Arctique, l’océan et l’atmosphère.»

L’absence de glace dans les mers pourrait avoir une conséquence variée et vaste, comme l’accélération de l’érosion côtière dû à l’élévation des vagues, et l’impact sur les animaux, comme les ours polaires ou les phoques, dépend de la présence de la calotte glaciaire polaire.
Aussi, pourrait intensifier les tempêtes aux latitudes moyennes et pourrait augmenter les précipitations de l’hiver à l’ouest et au sud de l’Europe, parallèlement à la diminution des pluies dans l’ouest de l’Amérique du Nord.

Le projet SHEBA est-il une arme climatique dans l’Arctique ? Ou est-ce un phénomène naturel dû au changement naturel climatique ?

Ce qui se passe devant nos yeux au début de ce siècle n’est pas une turbulence courante. Pour un monde globalisé, construit sur les cendres de la guerre froide, c’est peut être une turbulence fondatrice qui va secouer les consciences et les intelligences, afin de nous permettre enfin d’abandonner une préhistoire trop longue ; en même temps cela pourrait être quelque chose de destructeur et de désintégration, être le prélude à une douloureuse régression.

Quand nous mettons de côté les mauvaises habitudes que nous avons acquises au cours de cette préhistoire, nous pourrions facilement nous rendre compte, que les seules batailles qui valent vraiment la peine d’être combattues par l’homme au cours des siècles à venir, sont de caractère scientifique et éthique.

« Les humains ont appris à dominer la nature bien avant d’apprendre à se contrôler »

Albert Schweitzer

NOTE :

Luis Enrique Martín Otero, Colonel Veterinaire (R) est le coordinateur du Centre de Vigilance Sanitaire Vétérinaire de l’Université Computense de Madrid (Espagne) et du Réseau de Laboratoires pour recevoir une Alerte Biologique.

** 1 – Convention sur les changements climatiques, New York, 1992 (En ligne) http://www.unfccc.de/.

Consulté le 20 décembre 2013

** 2 – Antécédent du Protocole de Kyoto (En ligne) http://www.globalwarming.net/gw11.html.

Consulté le 20 décembre 2013

** 3 – The Times, Londres, le 23 Novembre l’an 2000.

** 4 -Intelligence Newsletter le 16 Décembre 1999.

** 5 – Begich et Maning, « HAARP – Vandalisme dans le ciel ». (En ligne). http://www.whale.to/b/haarp1.html. Consulté le 20 décembre 2013

** 6 – « HAARP – De la nature sauvage. » (En ligne) ww/. Fromthewilderness.com/free/…7haarp.html.

Consulté le 20 décembre 2013. Don Herskovitz, “Matándolos Suavemente”, Journal of Electronic Defense, août 1993.

** 7 – Parlement européen, commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la défense, Bruxelles, Document No. A4-0005 / 99 du 14 Janvier 1999.

http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?pubRef=-//EP//TEXT+REPORT+A4-1999-0005+0+DOC+XML+V0//FR

SOURCE :

IEEE, Documento di opinione n° 97/2013

http://www.vigilanciasanitaria.es/es/visavet/personal/luis_enrique_martin_otero.php

Traduction par l’equipe Acseipica Var

Nos remerciement à nogeoingegneria.com/

Les méthodes de géo-ingéniérie pour réduire le réchauffement mondial

Notez bien que l’argument du réchauffement climatique global 

prétendument dû au CO2 et autres gaz à effet de serre 

sans mention de la vapeur d’eau 

qui est pourtant, sur Terre, le premier agent et de loin, de l’effet de serre,

est en lui-même un énorme HOAX 

qui masque les effets de chauffage de l’atmosphère

par les installations HAARP et consorts.

Voir le diaporama « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ». 

A télécharger ICI

Article  en anglais sur ACSEIPICA yahoo groupe.
Source: http://www.alterinfo.net/La-geo-ingenierie-atmospherique_a50099.html

Institute of Science in Society, Julian Rose, 20 septembre 2010

Un rapport anonyme confirme que des expériences de manipulation météorologique et climatique ont été effectuées par la Zunie (Etats Unis) et ses alliés durant les dernières décennies.

Les traînées chimiques (chemtrails) dévoilées

 Beaucoup de soupçons ont été suscités au cours des dix dernières années par les formations nuageuses inhabituelles et les sillages anormaux de jet dans la haute atmosphère [*]. J’ai personnellement été témoin de centaines de jours d’ingénierie de traînées et de nuages par des jets, à la fois au Royaume-Uni et en Pologne. Cependant, il s’est avéré être extrêmement difficile d’avoir des informations de source officielle sur le phénomène. Sur interrogation, la réponse normale est : « il ne se passe rien d’anormal. »
[* Ndt : La nature anormale de ce phénomène ressort du fait que c’est en gros seulement depuis la fin des années 90 que l’on peut voir le ciel défiguré par des chemtrails persistants, sans que la densité d’avion n’ait changé notablement.]

  Il s’avère que c’est très loin de la réalité. Bien que la plus grande partie de cet article se focalise sur une seule affaire récente de recherche professionnelle sur ce sujet, des centaines de documents à la fois officiels et officieux explorent et exposent les agissements loufdingues de l’aviation civile et militaire, chargées quotidiennement depuis quasiment dix ans de pulvériser couche après couche des substances toxiques sous forme de traînées d’aérosols chimiques dans le ciel au-dessus de nos têtes.

   Les épisodes d’épandage ne sont pas signalés par les médias et les gouvernements gardent le silence. Cette collusion, qu’elle soit intentionnelle ou non, nous maintient dans l’obscurité au sujet d’une grande expérience de géo-ingénierie qui a pour effet de desservir notre santé et de perturber gravement l’environnement naturel. Et, sans Internet, nous n’aurions rien su.

 Le Groupe Belge basé à Belfort a rassemblé plus de sept ans de recherche et d’enquête sur les faits et les activités qui sont devenues largement connus sous le nom « chemtrails. » Le 29 mai 2010, lors d’un symposium international à l’université de technologie Delft à Gand, le Groupe de Belfort a demandé au Dr Coen Vermeeren, ingénieur principal en aéronautique, de prendre la parole sur la question. Vermeeren a établi sa présentation sur un rapport scientifique de 300 pages intitulé [1] « Case Orange: Contrail Science, Its Impact on Climate and Weather Manipulation Programs Conducted by the United States and Its Allies » (Affaire Orange : Sciences des traînées de condensation, impact sur le climat et la météo des programmes de manipulation conduits par la Zunie et ses alliés). Selon Vermeeren, les auteurs du rapport sont « un groupe de scientifiques ou d’initiés qui ont choisi de rester anonymes. »

      Dans son exposé, le Dr Vemeeren reconnaît franchement l’existence des traînées persistantes. » Il dit :

     « Nous savons aussi que les chemtrails existent parce que nous faisons des pulvérisations, pour les cultures, par exemple, et nous savons qu’ils sont faits à des fins militaires. Les chemtrails ne sont donc pas nouveaux. Nous le savons. »

De la manipulation météo à la géo-ingénierie

      Le rapport Case Orange révèle l’existence de documents disponibles au public, indiquant que diverses formes de géo-ingénierie sont en cours depuis « au moins 60 ans. » Les premiers exemples incluent « les opérations du Royaume-Uni d’ensemencement des nuages au-dessus de l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale et les tentatives de la Zunie pour débusquer les Vietnamiens du Nord pendant la guerre du Vietnam. C’est toutefois pâle comparé à l’ampleur des activités actuelles.

      La controverse sur les effets potentiellement nuisibles sur l’environnement et la santé humaine de ce genre d’agissement a conduit à l’interdiction des armes de modification environnementale (En Mod), sous les auspices de « La Convention des Nations Unies sur l’interdiction des techniques de modification de l’environnement à des buts militaires ou à toute autre fin hostile » en 1987. Il n’est pas clair si cette interdiction a été encore pleinement appliquée. Pourtant, l’intérêt envers l’En Mod a rapidement pris de l’importance lorsque l’alarme du réchauffement mondial et des questions environnementales associées insistantes ont attiré l’intérêt scientifique mondial [2].

      Le rapport Case Orange cite un certain nombre de brevets zuniens concernant l’invention d’un « dispositif spécifique de génération de traînée, destiné à produire une traînée de poudre dotée d’une capacité de diffusion de rayonnement maximale pour un poids donné de matière. Afin de produire une traînée stable ayant une période de latence pouvant atteindre une à deux semaines, » la substance dispersée se compose de 85 pour cent de particules métalliques et 15 pour cent de silice colloïdale et de gel de silice.

      Puis, en 2009, la publication d’un rapport intitulé « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement mondial, » a complété l’affaire de stratégies de géo-ingénierie [3]. Tout cela a été déclaré dans l’intention de créer une couche de nuages réfléchissants, capables de renvoyer les rayons du Soleil pour empêcher le réchauffement indésirable du climat terrestre. Le rapport indique que les conclusions du GIEC appuient la proposition décrite dans le brevet Hughes Aircraft 1991 relatif à l’ensemencement stratosphérique pour réduire le réchauffement mondial. Ce brevet a ensuite été acheté par Raytheon, l’entrepreneur privé de la défense du gouvernement zunien. C’est la même compagnie qui a obtenu le contrat de construction de HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) à Gakona, en Alaska.

Le complexe militaro-industriel pour le contrôle complet de la météo contre le réchauffement climatique

      HAARP est un grand réseau de 180 antennes qui projette de puissantes impulsions électromagnétiques dans le but de réchauffer un point particulier de l’ionosphère terrestre. Cela a pour effet de créer des fréquences électromagnétiques qui peuvent être réfléchies en des endroits désirés de la Terre, en provoquant de graves perturbations de la météo et des milieux géophysiques, même profondément sous terre [4, 5]. HAARP peut fournir jusqu’à 3,6 milliards de watts, élever la température de l’ionosphère à plus de 50.000 degrés et « soulever une zone de 30 kilomètres carrés de l’ionosphère, et altérer de cette façon les systèmes de pression localisés ou même modifier le trajet du jet-stream. »
[Ndt : Cela pourrait-il expliquer le blocage du jet-stream à l’origine des étranges conditions météo en Russie et au Pakistan cet été ?]

      Le rapport Case Orange cite la preuve que Raytheon pourrait développer une capacité à « exercer une forme de contrôle complet de la météo, » une situation ayant une ressemblance marquée avec les ambitions déclarées de Monsanto à « contrôler la chaîne alimentaire. » Il convient de noter qu’il existe actuellement plus de 500 brevets de plantes génétiquement modifiés « climate ready » (adaptées au climat) en attente d’approbation de licence à Washington et à Bruxelles. Selon leurs créateurs, les semences et les plantes génétiquement modifiées « climate ready » promettent d’être capables de produire une récolte à la fois dans des conditions d’inondation et de sécheresse.

      Le « Groupe ETC », des droits de l’homme et de la surveillance de l’environnement, décrit ainsi l’évolution de la géo-ingénierie atmosphérique : « Le déploiement du « Plan B » (une référence au recours à la géo-ingénierie, si les autres mesures visant à réduire les émissions devaient être jugées inefficaces) est habilement exécuté : des comités éminents parrainés par des groupes de prestige, une avalanche d’articles évalués par les pairs dans les revues scientifiques et, dans les pays nordiques, des hommes politiques alignés pris de panique, hochant nerveusement la tête pour acquiescer tandis que les scientifiques attestent du « besoin de rechercher le Plan B. »

      Rady Ananda déclare à la fin de son document [6] : « Avec des détails tels que les pulvérisations horaires du gouvernement, les commandes de produits chimiques, la nomenclature exacte utilisée dans les manuels d’exploitation des services aériens et les appels des économistes en faveur de la géo-ingénierie, Case Orange concorde au rapport publié en 1996 par le personnel militaire supérieur de Zunie, intitulé « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » [7] à l’appui de sa notion de « forte implication des gouvernements au plus haut niveau dans des projets de contrôle du climat. » Ananda continue [6] : « Maîtriser la météo en 2025 fournit un calendrier précis du recours aux techniques En Mod en coopération avec l’Association de Modification Météorologique, un groupe en affaire avec le gouvernement qui promeut les effets bénéfiques du recours aux modifications de l’environnement [8] 

  • 2000-2025, usage de produits chimiques dans l’ensemencement atmosphérique fait par l’aviation civile (et militaire) 
  • 2004, grâce à la nanotechnologie, création de nuages intelligents ayant un accroissement exponentiel, à partir de 2010
  • 2005, introduction de poussière noire de carbone. »

L’ONU engagé dans le combat de géo-ingénierie contre le climat

      En 2007, l’Organisation météorologique mondiale (de l’ONU) a publié une déclaration incluant des « Directives de planification des activités de modification de la météo. » Ce document implique clairement les Nations Unies dans le projet de conduite des activités de pulvérisation d’aérosols à grande échelle.

      Dans une partie du rapport Case Orange portant sur « le strict nécessaire de la géo-ingénierie grâce à la création de nuages pour la survie de la planète, » les auteurs déclarent : « Notre équipe d’enquête arrive à la conclusion que les programmes de maîtrise du climat, contrôlés par les militaires, mais approuvés par les gouvernements, sont discrètement mis en œuvre afin d’éviter le pire cas de figure qu’ils veulent éviter. Les deux instruments de base sont la maîtrise de la température, grâce à la création de nuages artificiels, et la manipulation de l’ionosphère, grâce à des dispositifs de chauffage.

      « Tous deux restent essentiellement des systèmes militaires de combat avec l’option de lancer l’offensive si nécessaire. Toutefois, étant donné que plusieurs systèmes de chauffage ionosphérique sont installés en divers endroits du globe, on peut supposer qu’il existe une large coopération entre gouvernements afin d’atteindre l’objectif climatique d’ici à 2025 : le contrôle de la météo et de la planète. »

      Les systèmes de pulvérisation semblent organisés en combinaison logique pour que l’ensemble de l’Europe soit couverte en une période de trois jours. Des cartes colorées de l’Europe indiquent à quel moment doit s’effectuer chaque opération.

      Dans la section intitulée « Recommandations » du rapport, les auteurs déclarent : « Les chemtrails persistants ont un impact dévastateur sur les écosystèmes de la planète et la qualité de vie en général. » Les auteurs appellent à la divulgation complète au public des activités actuelles du En Mod, ainsi qu’au respect de tout règlement de l’aviation civile.

Moratoire sur les activités de géo-ingénierie

      Donnée encourageante, en réponse à l’intérêt politique envers la géo-ingénierie comme moyen de contrôle du climat, le sous-comité de la Convention des Nations Unies sur la biodiversité a proposé en mai 2010 un moratoire sur les activités de géo-ingénierie [9]. Cette proposition sera entendue à la dixième Conférence des Parties en faveur de la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique à Nagoya, au Japon, en octobre de cette année (2010).

      Le rapport Case Orange indique en outre que la Zunie permet de tester en plein air des armes chimiques et biologiques. Cela annule le droit civil mentionné plus haut dans cet article. Les auteurs paraphrasent ainsi la loi permissive : « Le ministre de la Défense peut effectuer des essais et des expériences impliquant l’utilisation d’agents chimiques et biologiques sur les populations civiles. » Il semble que des soucis de « sécurité nationale » peuvent servir au président pour rejeter les considérations environnementales et de santé publique. Est-ce la même chose en Europe ?

      J’ai fourni une vue d’ensemble du témoignage principal découlant du rapport Case Orange. Elle apporte une contribution importante pour ouvrir les ordres du jour secrets qui n’ont sans cela pas leur place dans une démocratie auto-déclarée. Parmi d’autres rapports conséquents, il y a un document important du Dr Ilya Perlingieri, intitulé « Conséquences des aérosols de métaux et produits chimiques sur la santé humaine » [10]. Mme Perlingieri déclare : « Ces dix dernières années, des tests indépendants sur des chemtrails dans tout le pays ont montré un dangereux brouet très toxiques contenant du baryum, des particules nanométriques d’aluminium recouvertes de fibre de verre (connues sous le nom de CHAFF), du thorium radioactif, du cadmium, du chrome, du nickel, du sang desséché, des spores de moisissure, des mycotoxines de champignons jaunes, du dibromure d’éthylène et des fibres de polymère. Par sa toxicité le baryum peut être comparé à l’arsenic [11], et il est connu pour affecter le cœur. L’aluminium a la réputation d’endommager la fonction cérébrale. » Je n’ai pas besoin d’ajouter que le dibromure d’éthylène est un pesticide agricole hautement toxique.

      Maintenant que nous partageons cette information, nous devons agir en conséquence. Il est vital de soutenir le moratoire qui sera présenté en octobre au Japon. Écrivez à votre député pour lui dire que ces activités mondiales ne sont pas des balivernes de « théories du complot, » et qu’elles se déroulent sans consultation du public et sans aucun effort de mise en garde de leurs répercussions éventuelles.

Références

1. Discours du Dr Coen Vermeeren au symposium de l’université de technologie Delft, le 29 mai 2010,
www.ustream.tv/recorded/7299427

2. « L’organisme scientifique supérieur demande le ‘’plan B’’ de géo-ingénierie, » Catherine Brahic : New Scientist, 1/9/2009,
www.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-bodywww.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-body

3. Mitchell DL et Finnegan W. « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement climatique. » Lettres de la Recherche Environnementale, 30 octobre 2009,
iopscience.iop.org/1748-9326/4/4/045102

4. « À propos de HAARP dans un article de Belitsos, » Radical Wisdom, 14 juillet 2010,
radwisdom.com/2010/07/14/chemtrails-aerosol-madness-above-the-earth/

5. Pour en savoir plus sur HAARP, voir : « Maîtriser la météo mondiale, » du professeur Michel Chossudovsky, Global Research,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=319

6. « La géo-ingénierie atmosphérique : manipulation météo, traînées de condensation et chemtrails, » de Rady Ananda, 30 juillet 2010,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=20369

7. Colonel Tamzy J.House, et autres, « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » ministère de la Défense, Air Force zunienne, 17/06/1996. Publié publiquement en août 1996. Reproduit à la Fédération des scientifiques zuniens :
www.fas.org/spp/military/docops/usaf/2025/v3c15/v3c15-1.htm

8. Site Internet de Weather Modification :
www.weathermodification.org/

9. Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, « Examen approfondi des travaux sur la biodiversité et les changements climatiques, » projet de recommandations, Convention sur la diversité biologique, Programme environnemental des Nations Unies, UNEP/CBD/SBTTA/l.9, 15/05/2010.
www.cbd.int/doc/meetings/sbstta/sbstta-14/in-session/sbstta-14-L-09-en.pdf

10. « Conséquences des métaux et des aérosols de produits chimiques toxiques sur la santé humaine, » Ilya Perlingieri, 12 mai 2010,
https://911nwo.com/2015/01/21/chemtrails-the-consequences-of-toxic-metals-and-chemical-aerosols-on-human-health-part-i-perlingieri-2015/

11. Voir Pesticide Action Network North America (PANNA)
www.pesticideinfo.org/Detail_Chemical.jsp?Rec_Id=PC41174

Original: www.i-sis.org.uk/atmosphericGeoengineering.php
Traduction copyleft de Pétrus Lombard


Envoyé par supahumandignity dans SupaHumanDignity le 9/24/2010 12:59:00 PM

Conférence Mondiale des Peuples sur le changement climatique et les droits de la Terre Mère

Conferencia Mundial de los Pueblos sobre el Cambio Climático y los Derechos de la Madre Tierra

Cochabamba, Bolivia 19 al 22 de Abril 2010 Cambio Climático Bolivia
Le bandeau du site représente un ciel passablement artificiel. Il importe que les pays du sud analysent les causes de la crise climatique en tenant compte de la réalité de la géoingéniérie
Nous avons posté quelques commentaires sur les forums 1 et 5 à ce sujet.
postez ici votre message

Premiers échos de Copenhague

Notre petite équipe est de retour après un excellent voyage.
Un grand merci à tous ceux qui, par leur contribution nous ont permis d’accomplir cette modeste mission dans de bonnes conditions.
De chaleureuses pensées pour nos hôtes danois que nous ne sommes pas prêts d’oublier.

Nous avons découvert une dynamique à 3 étages : nous avons participé au KLIMAFORUM09, nous savions qu’il se tenait en parallèle du COP15, le sommet des Nations Unies et nous avons découvert sur place qu’il se tenait également un « Climate Bottom Meeting- windows of hope« .

Nous avons été interviewés sur place par Radio Panik, retrouvez l’enregistrement ce soir (mercredi 16) et le 21 décembre à 19H en streaming sur
http://www.radiopan, Panik-sur-Copenhague
http://www.radiopanik.org/spip/Ecoutez-radio-Panik

Vous pouvez visionner le diaporama présenté par Claire Henrion le 12 décembre au KLIMAFORUM: « Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit? » (version française – pour la version anglaise, nous demander)

Nous nous sommes mis en sandwiches là-dedans: recto

verso

Claire

 

LA POSITION DE NOS AMIS GRECS VIS A VIS DE COPENHAGUE

….ET NOTRE REPONSE …… UNE MEME FACON DE VOIR LES CHOSES
ET DEUX STRATEGIES DIFFERENTES

LES AEROSOLS AERIENS NE SONT PAS LA BONNE REPONSE AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES

ENOURANOIS MANIFESTANT A ATHENE A UNE CONFERENCE SUR LE CLIMAT EN DECEMBRE 2007(lien sur le titre)

 

TRADUCTION:
 
aux personnes qui vont à Copenhague
 
Les raisons pour ne pas aller à Copenhague
 
Ceci est une tentative de parler pour les gens qui n’iront pas à
copenhague pour le 2009 UN Conférence sur le changement climatique.
 
Signant cette déclaration comme les gens soutenants le site web de
« Enourainos » vous vous déclarez d’accord avec ceci au moins sur les
grandes lignes.
 
>Les membres de « Enourainos » ne vont pas à Copenhague, car
probablement la même chose va arriver lors de la démonstration du
8/12/2007, ce que vous voyez sur cette photo.
Http://www.enouronais.gr/images/8dece2007.jpg
 
C’était une manifestation internationale sur le changement
climatique, il y a deux ans: décembre 2007.
Cette photo a été prise à Athènes en Grèce, mais elle a pu être prise
n’importe où.
Un petit groupe tient deux pancartes avec un message en anglais et en
grecque qui disait: « les épandage aérienne N’est PAS la réponse au
changement climatique.
Ce message est passé inaperçu. Malgré le fait que nous avons
participé à l’organisation de la manifestation et que nous avons
essayé en vain à influencer la rédaction de la résolution pour la
manifestation générale.
 
Notre position était, et est toujours, qu’un débat significatif ne
peut pas avoir lieu sur le changement climatique sans pouvoir parler
au même temps des épandages aériennes (avec aluminium?, avec barium?,
avec du dioxyde de soufre?) qui sont conduit au niveau mondial et qui
sont présentés
par des sources informelles comme une « réponse » au changement
climatique.
 
Ce voile de silence qui couvre ces épandages, qui évidemment nuisent
à l’environnement et à la santé de l’homme, semble être la
conséquence de son illégalité mais également de son impossibilité
d’être légaliser, vu que les gouvernements ont des difficultés à
convaincre les gens qu’une pollution délibérée peut être une
« solution » à n’importe quel problème.
 
Car les gouvernements ne peuvent pas faire face à leur citoyens avec
honnêté et respect de soi, ils recourent à toutes sortes de
dissimulation et déformation de la réalité.
Derrière les coulisses les « sceptiques », les gens qui au final
déterminent les termes du débat, continuent à rassembler les grandes
têtes (?)
La plupart du temps les mêmes gens qui jouent les sceptiques sur la
réalité et la gravité du changement climatique, disent également que
s’il y avait vraiment un problème de changement climatique le mieux
sera de le combattre à l’aide de geo-engineering ( et donc épandages
aériennes toxiques).
 
(Regardez « Ecran solaire pour la planète Terre)
 
Le système politique actuel et les gens qui travaillent dans ce
système ne peuvent pas malheureusement nous sortir de ce toile de
contradiction. Même un homme politique et EU commissaire pour
l’environnement comme Stavros Dimas, qui a d’ailleurs une très bonne
réputation sur les sujets environnementaux , est un otage de la
situation.
 
La solution est entre les mains des citoyens. Nous devrons insister
sur la transparence totale au sujet des programmes de geo-
engineering, les épandages aériennes inclus.
 
En plus que les épandages semblent servir des fins militaires, cela
rend inacceptable l’absence de ce sujet sur « l’écran radar  » des
mouvements anti-guerres et pro-paix.
 
Seule exception honorable sur cela c’est le rapport A4-0005/99 au
parlement Européen concernant l’Environnement, la Sécurité et la
politique étrangère, produit avec le courage et la persévérance du
militant pour la paix Maj-Britt Theorin
 
Aigina, Grèce, 20 nov 2009

REPONSE D’ACSEIPICA A ENOURANOIS

Chers amis

Nous adherons pleinement à votre excellente analyse exepté sur un point
Nous ce sont les cinq menbres de notre mouvements qui rejoindont le KLIMAFORUM qui est le forum populaire organisé par les associations sociales, pacifiques et environementalistes à cote du forum officiel organise par la conference sur le changement climatique de l’ONU.
Nous participerons au KLIMAFORUM du 10 au 12 decembre et menerons deux ateliers avec l’intitule suivant: « le battement d’aile du papillon: evolution naturelle du climat, manipulations climatiques et moyens energetiques de restaurer l’equilibre du climat »
Le probleme que nous rencontrons comme vous est qu’en fait même parmi les mouvements alter-mondialistes du climat l’on croit encore majoritairment au rôle dominant du CO2 dans les déreglements climatiques.
En fait nous apportons sensiblement le même message que vous c’est à dire que les dereglements climatiques sont dus principalement aux manipulations atmospheriques (c’est à dire à la geo-enginerie)
Bien sur nous pouvons dans la mesure du possible aider à retablir les equilibres climatiques avec l’utilisation d’outils energetiques tels que les orgonites mais il n’en reste pas moins que il n’y aura pas de guerison complete du climat sans la cessation des manipulations de la geo-enginerie y compris des manipulations frequentielles. CES MANIPULATIONS DOIVENT S’ARRETER CAR CES MANIPULATIONS SONT PORTEUSES DE L’EXTINCTION DE TOUTE VIE SUR TERRE ET POURTANT A CHAQUE FOIS QU’IL Y A UN LANGUAGE DE VERITE DANS CE DOMAINE C’EST UN RECUL POUR LE FUTUR MORTIFERE QU’ON NOUS PREPARE.Regardez avec de lien les declarations des survivants d’AUSCHWITZ!

 

 

 

http://www4.dr-rath-foundation.org/THE_FOUNDATION/relay_of_life/

 

 

Nous n’avons pas la pretention d’influencer le rapport final qui sera rendu au nom de tous les participants mais nous souhaitons simplement nous adresser à ceux qui ont des oreilles pour entendre que les declarations officielles sur le climat reposent sur trois mensonges:

-Le CO2 n’est pas la cause principale du rechauffement climatique

-la vapeur d’eau est la cause principale de l’effet de serre

-Les manipulations frequentielles du systeme HAARP dans l’ionisphere ont un effet non negligebles sur le climat et en particulier sur le climat au pole Nord car les reseaux d’antennes qui sont à la source de cela sont situées autours du pole Nord . Cela entraine la fonte des glaces et donc une evaporation importante qui à son tour genere de l’effet de serre .

 

 

J’esposerai les raisons atmospheriques à l’evolution naturelle du climat en mettant en evidence l’influence du rayonnement solaire et de ces cycles. D’apres ce point de vue la Terre est depuis deux ans en periode de refroidissement .D’autre part je mentionnerai les epandages aeriens et leur impact sur l’effet de serre additionnel.

 

 

Jacques de son côté nous entretiendra de la façon de restaurer l’harmonie de la santé et de l’environnement avec des outils energetiques guidés par notre conscience.

 

 

Nous irons à ce forum et nous verrons car avant d’atteindre le sommet le message doit se former à la base. Nous pensons qu’il n’y a pas d’action vaine et de meme votre manifestation à Athene etait un pas sur le chemin commun. Sentiments sinceres Claire HENRION

 

 

 

 

En ce qui me concerne j’ai un excellent contact avec ENOURANOIS et je pense que tot ou tard nous nous retrouverons pour construire l’unite europeenne de nos mouvements comme nous l’avons envisage ensembles PARTIE REMISE DONC et A BIENTOT Jacques CLERET

KLIMAFORUM09 A COPENHAGUE ; NOTRE DELEGATION SUR LES STARTING BLOCKS

« Une délégation de l’ACSEIPICA se rend à Copenhague du 10 au 12 décembre pour participer au KLIMAFORUM09 , sommet populaire à l’initiative d’organisations environnementales et citoyennes, en contrepoint au sommet de l’ONU, celui des présidents des nations et leurs experts.

L’accent est mis pour permettre à des représentants des pays les plus pauvres de venir témoigner de leurs déboires et de leurs possibles solutions aux dérèglements climatiques qui les affectent. Voir
http://www.klimaforum09.org/About-ClimateForum09

Pour ce qui est de nous, à ce jour, la délégation se compose de Jacques Cléret, Bruno Kleb, Saskia Messager, Claire Henrion et très probablement Patrick Pasin, reporter TV indépendant.

Il est prévu que nous animions deux ateliers intitulés: « le battement d’ une aile de papillon », joli, non ?

J’interviendrai sur
 » Les facteurs naturels de l’évolution des climats,
Le rôle injustement attribué au CO2 quant au réchauffement.
La crise climatique est à la fois un effet des divers programmes en cours de manipulations climatique (géo-ingéniérie), un leurre pour masquer cette géoingéniérie; et elle est en passe de devenir un prétexte à leur mise en oeuvre ».

Quant à JacquesCLERET il interviendra pour proposer des solutions pour la santé du climat notemment avec l’orgonite avec une conference-atelier intitulée:
‘un battement d’aile de papillon pour la sante du Ciel, de la Terre et du vivant’

Cet atelier est consacré aux moyens alternatifs d’impulser des changements climatiques positifs en depit des modifications et manipulations climatiques. En me basant sur les decouvertes de Wilhelm REICH et Don CROFT. Je donnerai des clefs pour créer partout et y compris autours de soi des des zones d’harmonie environnementales et climatiques. L’outil central de ce changement est l’orgonite ; une matiere active, vivante et facile à créer ayant la propriete de regenerer l’energie vitale autours de nous en depit des perturbations frequentielles(antennes ,WI FI,HAARP), electriques, magnetiques, chimiques(chemtrails) et climatiques .Je mettrai en evidence ses proprités et vous transmettrai mon savoir- faire dans ce domaine.

APPEL A CONTRIBUTION

Merci d’avance à ceux qui peuvent participer de cette manière à la délégation de l’ACSEIPICA. Pour l’instant, nous travaillons sur un budget, que nous évaluons entre 1000 et 1200 euros(hors nos contributions personelle pour les depenses courantes)

PETITION
Si vous ne l’avez pas encore signée, îl est encore temps.

Merci beaucoup de votre attention.

Meilleures salutations
Claire

Réchauffement climatique, le grand mensonge mondial

Vidéo : http://changementclimatique.over-blog.com/

sur quoi il repose et comment il a été orchestré, un argumentaire scientifique et historique très bien étayé; témoignages d’illustres contributeurs du rapport du GIEC et du fondateur de Greenpeace, entre autres.
Mérite une petite heure d’attention.

  • Cette vidéo ne mentionne ni HAARP, ni les chemtrails; elle ne parle que du climat et démonte par la science les arguments « bateau » du réchauffement.

J’émettrais quand même, relativement à la fin, quelques remarques :

  • le point de vue sur les énergies renouvelables en Afrique ne tient pas compte de la réalité quotidienne des gens : alors que l’on nous montre une femme en train d’enfumer son bébé en faisant la cuisine sur un petit feu de bois dans une hutte sans cheminée, on nous dit que les énergies renouvelables sont une arnaque pour les pays en voie de développement, visant à les limiter dans leur expansion économique; or (parole de femme) quand il n’y a plus à faire la corvée de bois mais simplement à surveiller un cuiseur solaire et que votre bébé est exempt de fumigation quotidienne, n’est-ce pas un progrès fantastique pour la société tout entière ? On ne fait parler dans ce passage qu’un responsable politique, fut-il africain !
  • Au passage, deux petits liens parmi d’autres sur la cuisson solaire (avant qu’on ne voit plus, notre astre du jour, masqué par une atmosphère trop épaisse !) http://www.ouest-atlantis.com/org/soleil/ et http://www.idcook.com/
  • mais au sujet des ressources énergétiques locales je peux aussi apporter le témoignage d’un pays noir, celui du bassin de Decazeville : la précédente municipalité s’était dotée d’une chaudière collective alimentée mixte charbon local/fuel. En 2002 les Houillères de France ont imposé la fermeture de la mine à ciel ouvert de Decazeville « la Découverte ». Depuis, en attendant de changer de mode d’alimentation pour cette chaudière, on fait venir de charbon de Colombie ! Je vous laisse évaluer le bilan carbone, humain et économique …! Mais ça fait plus propre !

Alors, vaut il mieux tirer parti des ressources locales ou adopter la même écologie pour tous ?

  • Quant au post vidéo (les commentaires de Emmanuel Leroy Ladurie, ils font un peu « plouf » à mon sens !
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