Analyses d’eau de pluie – DEC 2019 et MAI 2020 – ⚠️ Aluminium 156 et 78,6 µg / L

Analyses d'eau de pluie

avant et après confinement

Décembre 2019. En µg / L

  • Aluminium 156
  • Baryum <10
  • Fer 87,7
  • Strontium 11
  • Zinc 5,2

Mai 2020. En µg / L

  • Aluminium 78,6
  • Baryum <20
  • Fer 74,2
  • Strontium 11
  • Zinc 49,4
  • Faites par le laboratoire Qualio de Besançon (agréé COFRAC) depuis 2012; échantillons recueillis par Laurent Bernard: recherche de métaux lourds dans l’eau de pluie par analyse de l’échantillon liquide et des particules de fond de bassine (résidu sec) dans des échantillons relevés toujours au même endroit.
    • Laurent a fait analyser un échantillon prélevé en décembre 2019 ; puis un nouvel échantillon en mai, après 2 mois de confinement, sans circulation aérienne ni épandages ou si peu…
  • Voilà les comparaisons pour l’échatillon liquide (mesures en microgrammes ou miligrammes) :
    • sensiblement égal pour le magnésium, le potassium, cérium, gadolinum, titane, lanthane,
    • 2 fois moins d’aluminium,
    • un peu moins de fer,
    • environ 2 fois plus d’argent, d’arsenic, de barium, de cadmium, de chrome, cobalt, plomb, lithium, manganèse, nickel, strontium, calcium, gallium.
    • 6 fois plus de cuivre,
    • 9 fois plus de zinc

L’augmentation de ces taux nous interpelle … Pourquoi y a t-il davantage de baryum, strontium, etc … dans cet échantillon liquide alors qu’il y a eu moins de circulation aérienne et moins d’épandages ?

  • Mais voilà les comparaisons pour le résidu sec (mesures en miligrammes ou grammes ; il faut toutefois noter que le laboratoire déclare avoir une trop faible masse d’échantillon et donc un fort taux d’incertitude ; mais le poids de résidu sec  n’est pas mentionné) :
    • 150 fois moins de cobalt
    • 130 fois moins de cadmium
    • 60 fois moins d’argent, de bismuth
    • 40 fois moins d’arsenic, de nickel,
    • 30 fois moins de lithium
    • 3 fois moins de calcium
    • environ 2 fois moins de baryum, de manganèse, potassium
    • un peu moins de magnésium
    • 1,5 fois plus de zinc, de fer, de titane
    • environ 4 fois plus de cuivre
  • On constate avec l’analyse du résidu sec qu’il y a beaucoup moins de métaux lourds après ces deux mois de calme …

A comparer avec les taux donnés dans l’article de l’Institut d’astrophysique de Zurich (metionné dans le film Overcast) pour les résidus de combustion des avions de ligne (sachant que le carburant qui les alimente est enrichi en métaux lourds -depuis 2008 afin qu’ils contribuent à « l’effort d’épandage » même s’ils n’en font pas délibérément) http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et ceux de ces analyses d’échantillons prélevés en vol en Italie http://www.acseipica.fr/analyses-dechantillons-de-poussieres-fines-prelevees-en-altitude/

In fine, pour comprendre la chimie qui s’opère dans les épandages, il faudrait se pencher sérieusement sur le manuel de cours pour les pilotes de l’US Air Force datant de 1991, intitulé « chemtrails », origine du nom. Qui aura le courage de mettre ce pain sur sa planche de travail (200 pages en anglais mais surtout des formules) ? http://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2013/11/chemtrails-chemistry-manual-usaf-academy-1999.pdf

Autres analyses

Une analyse de poils de chien dans le Cantal par une association paysanne révèle la présence de baryum mais contact difficile avec cette association qui ne veut pas que cela s’ébruite.

D’autres analyses avaient été menées sur des poils de chèvre en Haute-Loire en 2009-2010 par notre regretté Jean Claude Bourdon, vétérinaire et membre de l’ACSEIPICA, décédé en 2013, qui avaient également révélé la présence de baryum dans le poil de ces chèvres qui vivaient à l’air libre sur des causses déserts.


« La planète Terre, ultime arme de guerre » de Rosalie Bertell, tome 2

16 mai 2020: vient de paraître

1ere de couverture
4e de couverture

Il apparaît sur le site de la Fnac : https://livre.fnac.com/a14745467/Rosalie-Bertell-La-Planete-Terre-ultime-arme-de-guerre-tome-2#ficheResume

Voir aussi l’article suivant sur le site mondialisation.ca

La terre : une arme ; la géo-ingénierie : une guerre

Présentation du livre de Rosalie Bertell «La planète Terre, la dernière arme de la guerre»


https://www.mondialisation.ca/la-terre-une-arme-la-geo-ingenierie-une-guerre/5621597


Analyses d’eau de pluie – 9 juillet 2018 – ⚠️ Aluminium 329 µg / L

Nous poursuivons régulièrement depuis 2012 des analyses d’eau de pluie prélevée à Miserey Salines dans le Doubs, qui sont effectuées par le laboratoire Qualio de l’Université de Franche Comté, agréé COFRAC.

Le dernier rapport, que voici a été édité le 9 juillet et porte sur un prélèvement effectué le 11 juin 2018.

Rapport d’essai Qualio N° 18/165/1 (PDF, 2 pages) du 09.07.2018

C’est le deuxième pour lequel nous faisons faire une analyse beaucoup plus détaillée: elle porte sur 27 éléments dans l’eau de pluie directe et sur 18 éléments dans les sédiments de fond de bassine.

On peut constater le taux hallucinant de l’aluminium dans l’eau de pluie directe: 329 microgrammes par litre ! (entre 10 et 20  microgrammes par litre en général dans cette série d’analyses ainsi que dans les autres sauf exception).

 

Dans le présent rapport, il n’est pas donné dans le fond de bassine …

Dans le précédent, on relève 4950 milligrammes d’aluminium par kilo en fond de bassine pour 20,9 microgrammes par litre dans l’eau de pluie directe.

Quelle quantité cela peut-il bien faire en fond de bassine dans les présentes analyses ?

Y a t-il un rapport entre ces deux types d’analyse ? ou pas  ?

 

Car pour le baryum, qui a doublé en moyenne en 6 ans et qui se tient autour de 20 microgrammes par litre en janvier comme en juillet, nous avons en fond de bassine, 81,8 milligrammes par kilo dans le rapport de janvier pour 31,2 (seulement) dans celui-ci, de juillet.

Quant au strontium, les valeurs sont les mêmes dans les deux rapports, il est à moins de 10 microgrammes par litre dans l’eau de pluie directe et inférieur à 50 milligrammes par kilo en fond de bassine.

Rapport d’essai Qualio18-07 09

Remonter le fil des analyses précédentes

 

Analyses d’eau de pluie – NOV 2017 – ⚠️ Aluminium 476 µg / L

Analyses d'eau de pluie

Rapport du 18 janvier 2018 du laboratoire QUALIO de Besançon

Recherche de 27 métaux dans l’eau de pluie par analyse d’échantillons récoltés du 27 au 30 novembre 2017 à Miserey Salines (25- Doubs):

1) eaux propres 

En µg / L

  • Aluminium 20,9
  • Baryum <20
  • Fer 20,9
  • Strontium <10
  • Zinc <20

2) sédiments de fond de bassine

Commentaires (Claire Henrion) : En comparant avec les analyses précédentes débutées en 2012, on peut noter que la valeur moyenne de l’aluminium (ici 20,9 µg – microgrammes – par litre) est en constante augmentation. Elle était autour de 10 microgrammes par litre en moyenne dans les premières analyses de Miserey et d’ailleurs.

En comparant les mêmes analyses, la valeur moyenne du baryum est elle aussi passée d’inférieure à 10 microgrammes par litre à 20 microgrammes par litre environ.


Analyses d’échantillons de poussières fines prélevées en altitude – ⚠️ manganèse, cadmium, cobalt, cuivre et mercure

Confirmation de la présence de métaux toxiques

article original

http://www.tankerenemy.com/2017/05/analisi-dei-campioni-di-pulviscolo_88.html#.WnsL7K7ibIU

traduction Dominique Datwyler

Italie – Ont été récemment effectués les premiers prélèvements en altitude au moyen d’un drone semi professionnel.

Les prélèvements ont été faits par un « DJ Drone Phantom 4 » équipé d’une caméra vidéo à haute résolution (12MP/4K) et d’un système de contrôle GPS.

A bord de l’engin radio commandé, est installé un kit (réalisé à cet effet) qui aspire l’air en altitude et le dépose sur un filtre 3M.

Le drone a recueilli, en plusieurs sessions, les résidus des poussières dans un espace non urbanisé, mais traversé constamment par les couloirs aériens de descente empruntés par l’aviation civile de la zone aéroportuaire de Nice.

Un protocole rigoureux a donc été mis en place afin de prélever des échantillons utiles pour relever les composants chimiques présents dans l’atmosphère, en relation avec l’activité de bio ingénierie criminelle.

Comme site a été choisi un lieu dans l’arrière-pays ligure adapté à l’expérience.

Les prélèvements ont été exécutés en plusieurs fois, aussi le filtre a été démonté et les poussières accumulées ont été soumises à la procédure adaptée pour les analyser avec les réactifs d’Osumex comme indiqué par le producteur du kit.

Les résultats sont irrévocables : les échantillons mettent en évidence, une fois encore, la présence de  manganèse, de cadmium, de cobalt, de cuivre et de mercure.

La couleur du révélateur, en fait, va du vert olive à l’orange, ce qui, en rapport au tableau de référence confirme que, dans l’atmosphère étudiée, se révèlent de fortes concentrations de métaux déjà trouvés dans le carburant Jet A1 par la scientifique suisse Ulrike Lohmann[1], professeur de physique de l’atmosphère auprès de l’ETH de Zurich.

Dans les carburants aériens (donc l’air que nous respirons), sont aussi présents les deux métaux tueurs déjà notés que sont l’aluminium et le baryum. (1)

Malheureusement, les réactifs fournis par Osumex ne permettent pas de retracer ces éléments neurotoxiques.

Si c’est possible, d’autres échantillonnages seront effectués, toujours sur la base d’une procédure précise et rationnelle.

Nous profitons de l’occasion pour remercier tous ceux qui, par leur contribution, ont permis la réalisation de ce projet.

Nous nous promettons d’organiser d’autres initiatives corollaires à celle-ci/similaires, en ligne/lien avec toutes les autres faites dans ces années.

Aussi, nous procédons à une collecte de fonds afin de faire face, si possible, aux coûteuses analyses spectrales et à celles, relativement plus économiques telles que le kit Osumex.

Ces analyses seront suivies avec la méthode des réactifs, comme dans cet exemple.

Lien pour contribuer à la campagne par Paypal

En alternative, on peut effectuer un virement bancaire (IBAN : IT4810617522700000001977280 –cause : campagne de prélèvement en altitude) ou par carte bancaire (4023 6009 4336 4051- code fiscal : MRCRSR61C19I469R).

Ci-dessous, le film relatif à quelques vols exécutés avec le DJL Phantom 4.

[1] Manuel Abegglen & al. , Institute for Atmospheric and Climate Science, ETH Zurich, télécharger le document

http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et interview du Pr Ulrike Lohmann par le cinéaste Mathias Hancke


Rejets d’échappement des avions, caractérisation chimique

par spectrométrie de masse des rejets d’échappement fraîchement émis par des avions

article en anglais à télécharger PDF
Caractérisation chimique par spectrométrie de masse des rejets d’échappement des avions – 2016

Ce sont les premières mesures sur les rejets d’échappement des avions qui utilisent la spectrométrie de masse pour l’analyse de particules simples.

Elles ont été effectuées sur l’aéroport de Zurich (Suisse) et ont porté sur des avions équipés de trois types de moteurs différents.
Ce qui en ressort :

! La majorité des particules examinées contiennent un ou plusieurs composants métalliques.
! Les métaux et la suie s’avèrent mélangés dans les particules émises.
! Les sources potentielles des métaux détectés (le carburant, les huiles et les protections de moteur) ont été discutées.

 

Interview du Dr Ulrike Lohmann

membre de cette équipe de recherche, par Matthias Hancke,

dans le film Overcast

Nous savons que les rejets des avions dégagent des suies et des particules et donc nous voulons savoir quelle est la composition chimique des rejets.

Ces mesures ont été faites peu de fois.

En 2013, nous avons eu l’occasion de mesurer les émissions des turbines à l’aéroport de Zurich, avec « l’office fédéral de l’aviation » et nous avons pratiquement pu examiner la composition chimique des gaz d’échappement de quelques turbines.

Des suies essentiellement de carbone pur ont été trouvées, donc des particules de suie, comme dans les gaz d’échappement des voitures.

Mais nous trouvons également des métaux dans les gaz d’échappement aéronautique, seize métaux différents et entre autre, de l’aluminium et du baryum comme déjà cité, qui proviennent du kérosène et de l’huile, et de l’aluminium qui pourrait venir des turbines.

Nous avons aussi fait des mesures sur le combustible même : nous y avons relevé la présence d’aluminium et de baryum dans le combustible; leur concentration est mesurée en parties par million (PPM).

Analyses d’eau de pluie – OCT 2017 – ⚠️ Aluminium 49,3 µg / L

Analyses d'eau de pluie

Voici les derniers rapports d’analyse d’eau de pluie du Doubs

Prélevée le 12 octobre 2017

En µg / L

  • Aluminium 49,3
  • Baryum <20
  • Fer non analysé
  • Strontium <10
  • Zinc non analysé

analyse eaudepluieDoubs171012

Prélevée le 26 avril 2017

En µg / L

  • Aluminium 25,5
  • Baryum <10
  • Fer non analysé
  • Strontium <5
  • Zinc non analysé
analyse eaudepluieDoubs170426

Rapports d’analyses précédents

A comparer avec les résultats précédents et suivants (échantillons obtenus au même endroit, dans les mêmes conditions et analysés par le même laboratoire).