Réponse du Parlement Européen à la pétition des Skyguards – APPEL

Le 9 avril 2013, une conférence intitulée « Au-delà des théories de modification climatique, la société civile contre la géoingéniérie » s’est tenue au Parlement Européen. Une pétition a été soumise au Comité des Pétitions du Parlement Européen.

 

Les Skyguards font appel contre la clôture de leur pétition jusqu’à réception d’une explication satisfaisante quant à ces réponses contradictoires du Comité

FAITES CIRCULER CETTE INFORMATION LE PLUS LARGEMENT POSSIBLE    

avec les documents joints

Ne comptez pas sur le Parlement ni sur les médias pour la diffuser !

Soyons le Parlement, soyons les médias !

 

Message de Josefina Fraile du 2 septembre 2016 suite à la réception de cette nouvelle

Je suis au regret de devoir vous informer que le 18 août nous avons reçu une réponse négative du comité des pétitions du Parlement européen. Je vous présente toutes mes excuses pour ne pas avoir été capable de vous en faire part avant.

La Commission européenne a été coincée : elle ne peut pas nous dire que les chemtrails n’existent pas comme elle l’avait fait par le passé en réponse aux questions au Parlement européen parce que notre pétition ne mentionne pas ce mot pernicieux. Et elle a décidé d’ignorer le mot « géo-ingénierie », pour se concentrer sur la sortie facile pour elle, les militaires. – Assez drôle, l’Union européenne n’a pas la compétence sur les questions militaires pour les pays membres, mais elle a la compétence pour les questions militaires des pays tiers ! ! ! – Cependant il y a une chose intéressante: la Commission fait un lapsus en disant que nous clamons «que l’Europe est sujette à des épandages massifs d’aérosols» alors qu’ en fait nous ne mentionnons pas du tout le terme « aérosol » … ainsi ils savent ! Mais nous ne pouvions pas nous attendre à autre chose de la part de cette institution. Notre problème ici est que le Parlement européen a décidé de se cacher derrière une opinion, celle de la Commission européenne (qu’il pourrait aussi  bien ignorer), pour ne pas étudier les faits qui lui sont présentés à l’encontre de son propre avis.

Dépôt d’une pétition publique enregistré au Parlement du Grand Duché du Luxembourg

Texte définitif envoyé le 19 avril 2016


Chambre des Députés de Luxembourg
PETITION PUBLIQUE 626
Dépôt : 23.03.2016 à 17:54
Pétitionnaire: Agnès d’ABOVILLE
LUXEMBOURG


Intitulé :
Demander au Parlement Luxembourgeois de rejoindre la plateforme internationale des Skyguards, (Plaza de la Paz, 16 – 34886 Velilla del Río Carrión – Palencia- SPAIN), dont la pétition contre les épandages aériens et HAARP a été acceptée par le Parlement Européen de Bruxelles, le 25 mars 2014.


But :
Les objectifs de cette pétition sont :
Tant qu’il en est encore temps, avant que les dégâts soient irréversibles pour la planète et toutes les générations à venir d’êtres vivants,
– Dénoncer et faire cesser la géo-ingénierie : les armes environnementales, employées en temps de paix, qui altèrent le climat depuis plusieurs décennies, c’est à dire épandages aériens de produits toxiques clandestins généralisés, ondes électro magnétiques (HAARP).
Ces opérations sont effectuées en violation de nos droits fondamentaux reconnus par les constitutions et les conventions internationales, approuvées par nos pays, pour la protection sanitaire élémentaire due aux populations. (Cf. « Planet Earth, the latest weapon of war », de Rosalie Bertell – 2001)
– Faire fonctionner les rouages de notre démocratie en étant des citoyens responsables – et lanceurs d’alerte, en interpellant et informant nos élus, en mobilisant l’opinion publique qui a le rôle de motiver ses décideurs.


Motivation de l’intérêt général :
1. Depuis une dizaine d’années, si l’on regarde le ciel, on assiste de plus en plus fréquemment, en direct, et à l’œil nu, à la fabrication artificielle de nuages par des opérations aériennes particulièrement visibles lorsque le ciel est tout bleu, après le lever du soleil. Elles peuvent parfois prendre toute une journée, comme le samedi 27 février 2016, au-dessus du territoire grand-ducal. Mais elles peuvent durer à peine deux heures, lorsque les avions arrivent en escadrille de 6 à 12 en même temps pour constituer ensemble un quadrillage de traînées, sur des kilomètres de long et s’épaississant sur des kilomètre de large, d’un bout à l’autre de l’horizon, jusqu’à ce que le soleil soit complètement caché et l’atmosphère refroidie, exemple : le lundi 18 janvier 2016 de 8h à 10h.
2. Les analyses de scientifiques, indépendants, français et américains, révèlent que ces traînées-là – larguées par les avions en haute altitude (au- dessous de 8000 m, parfois 2000 m seulement) – sont  chargés de nano particules d’aluminium, de baryum, de souffre, et autres produits toxiques.
Aux jumelles ou au télescope, on se rend à l’évidence : la plupart de ces avions sont des avions militaires, parfois marqués OTAN, ou banalisés.
3. Ces programmes de géo-ingénierie en cours violent impunément les traités suivants :
The Aarhus Convention – UNECE, on Access to Information, Public Participation in Decisionmaking and Access to Justice in Environmental Matters, adopted 25th June 1998.
The Universal Declaration of Human Rights, which was adopted by the UN, 10th December 1948.
Article 3. Everyone has the right to life, liberty and security of person.
Article 6. Everyone has the right to recognition everywhere as a person before the law.
Article 8. Everyone has the right to an effective remedy by the competent national tribunals for acts violating the fundamental rights granted him by the constitution or by law.
Charter of fundamental rights of the European Union adopted 18th December 2000.
Article 3. Right to the integrity of the person :
1. Everyone has the right to respect for his or her physical and mental integrity.
2. In the field of medicine and biology, the following must be respected in particular the free and informed consent of the person concerned, according to the procedures laid down by law.
Article 6. Right to liberty and security :
Everyone has the right to liberty and security of person.
Convention on the prohibition of military or any hostile use of environmental modification techniques, adopted 10th décember 1976.
Nagoya Convention on Biological Diversity, 29th october 2010, establishing a ban on some forms of geoengineering.

06.05.2015 – Le Parlement Suisse s’interroge sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie

Questions sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie de VAN SINGER CHRISTIAN:

Lien: Le Parlement Suisse s’interroge sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie

06.05.2015 - Le Parlement Suisse s'interroge sur la mesure de la pollution de l'eau de pluie
06.05.2015 – Le Parlement Suisse s’interroge sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie

Texte déposé

Le Conseil fédéral est prié de répondre aux questions suivantes concernant la mesure de la pollution de l’eau de pluie :

1. Des mesures de la pollution des eaux de pluie se font-elles de façon systématique en Suisse ?

2. Ces mesures mettent-elles en évidence toutes les pollutions, y compris les concentrations des différents métaux lourds ?

3. Si non pourquoi ?

4. Si oui où peut-on consulter les résultats de ces mesures ?

5. Vu que l’interprétation des mesures de concentrations d’éléments dans l’eau de pluie suppose un réseau étendu de points de mesure et que les valeurs peuvent varier beaucoup selon le lieu et dans le temps, que peut dire le Conseil fédéral du réseau de mesures existant ou à mettre en place ?

Réponse du conseil fédéral du 01.07.2015

1. Des mesures de la pollution des eaux de pluie sont effectuées systématiquement dans le cadre du Réseau national d’observation des polluants atmosphériques (réseau NABEL). Ces mesures sont aussi intégrées au Programme concerté de surveillance continue et d’évaluation du transport à longue distance des polluants atmosphériques en Europe (programme EMEP) sous l’égide de la Convention CEE-ONU sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance (Convention de Genève CLRTAP, RS 0.814.32).

2. Dans les eaux de pluie, les apports de substances acidifiantes et de composés azotés, responsables de l’acidification ou de l’eutrophisation des écosystèmes sensibles sont particulièrement importants. Pour les métaux lourds, l’ensemble des dépôts atmosphériques humides et secs sont déterminants pour vérifier le respect des valeurs limites d’immission de l’annexe 7 de l’ordonnance sur la protection de l’air (RS 814.318.142.1). Ces paramètres sont mesurés dans le cadre du réseau NABEL sous forme de retombées de poussières.

3. Dans l’atmosphère, les métaux lourds se rencontrent principalement liés à de fines particules de poussière, à l’exception du mercure qui est volatile. Ce sont les concentrations de métaux lourds contenus dans ces poussières et les retombées de ces métaux lourds qui sont mesurées ensemble et permettent de mettre en évidence les dépôts totaux sur les sols et les eaux.

4. Les résultats des mesures effectuées dans le réseau NABEL sont publiés chaque année par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV). D’autres informations relatives à la teneur des métaux lourds dans l’atmosphère sont fournies par les mesures de dépôts de ces métaux dans les mousses. Ces mesures sont effectuées tous les cinq ans depuis 1990 et font l’objet d’un programme européen de surveillance des métaux lourds sous l’égide de la Convention de Genève. Ces résultats fournissent une vision à large échelle de la charge polluante en Suisse et son évolution pour une douzaine de métaux lourds. Ils sont publiés par l’OFEV sous le titre : « Deposition von Luftschadstoffen in der Schweiz, Moosanalysen 1990-2010, Umwelt-Zustand 2013 ». L’actualisation des données pour 2015 va débuter prochainement.

5. Les activités de mesures couvertes par le réseau NABEL avec ses stations représentatives des différents types de pollution en Suisse, ainsi que les stations cantonales qui prennent en compte des situations spécifiques, complétées par les mesures dans les mousses, suffisent à illustrer la répartition des concentrations de métaux lourds et leur évolution au cours du temps. Ces activités se poursuivront à l’avenir.

Conférence au Parlement européen Bruxelles

« Au delà des théories de modification climatique

– la société civile contre la géoingéniérie »

au Parlement européen de Bruxelles le 9 avril 2013

présidée par Mme Tatiana Zdanoka (membre du Parlement, Estonie)

organisée par Mme Josefina Fraile (Espagne) et la plate-forme Skyguards

 

– Communiqué de presse précédant la conférence

Cette conférence s’inscrit dans la suite du travail commencé en 1998 par la Commission des Affaires étrangères de Sécurité et Défense du Parlement européen. Cette commission a abouti le 14 janvier 1999 à l’adoption d’une proposition de résolution sur la politique de l’environnement, de la sécurité et des affaires étrangères dont Mme Maj. Britt Theorin a été le rapporteur.

Cette résolution a été ignorée en dépit du fait que (1) elle exigeait une étude détaillée de ses conclusions quant aux expériences militaires menées dans l’atmosphère ; (2) qu’elle ait mis en avant la nécessité d’une protection de la population, de la santé publique et de l’environnement ; (3) et enfin, qu’elle ait souligné la nécessite de mettre à disposition des citoyens les moyens pour découvrir le but, la portée et la signification des activités menées au-dessus de leur tête.

Depuis lors, aucune mesure de transparence n’a été adoptée, bien que : (1) à l’évidence, l’atmosphère de la Terre est devenue le lieu d’expériences qui menacent la santé publique par des épandages clandestins d’aérosols dispersant des substances de composition non-révélée et en tout cas inconnue ; (2) par ailleurs, de plus en plus de recherches militaires sophistiquées se déroulent dans le non-respect du principe le plus élémentaire de précaution ; (3) de nouvelles armes se concentrent sur l’utilisation de l’ionosphère et des parties supérieures de l’atmosphère à des fins militaires (voir la technologie HAARP). Lire la suite

– Article de Giuletto Chiesa, ancien MEP (membre du Parlement)

Épandages aériens clandestins en Europe

– Andrew Johnson (en anglais): – Communiqué de presse officiel

– Rapport complet de la conférence

– Exposé

– Message de Peter Vereecke (fondateur du Belfort Group) aux politiciens, à la presse, aux météorologues, présentateurs météo, fonctionnaires d’état, en Belgique (en anglais)

– les effets des épandages aériens toxiques et clandestins sur la santé humaine, la flore et la faune  Diaporama de Désirée Röver (Pays Bas) – en anglais

*Toute la conférence en vidéo 

(sous-titres en allemand; intervenants en français parties 7 et 8)

 

Question du Parlemement européen à la commission à propos des traces anormales d’avions

La question des traces anormales d’avions nommées chemtrails a été abordée très clairement au parlement européen le 10 mai 2007 :
Question à la Commission.

Questions parlementaires
10 mai 2007
E-2455/07
QUESTION ÉCRITE posée par Erik Meijer (GUE/NGL) à la Commission

Objet : Préoccupation croissante à l’égard des traces laissées par les avions, lesquelles ne contiennent plus uniquement de l’eau, mais engendrent des voiles laiteux de longue durée, conséquence potentielle de la présence de baryum, d’aluminium et de fer
Réponse(s)

1. La Commission sait-elle que depuis 1999, les citoyens américains et canadiens se plaignent de plus en plus fréquemment d’un nouveau type de traces laissées dans l’air par des avions? Ces traces peuvent parfois rester en suspension pendant plusieurs heures et atteindre une extension largement supérieure, entraînant la formation de voiles laiteux baptisés «aerial obscuration» («obscurations aériennes»). La Commission sait-elle que ce nouveau type de traces se distingue nettement des fines et courtes lignes blanches présentes dans l’air, baptisées «traînées de condensation» depuis l’invention du moteur à réaction, lesquelles ne restent pas plus de 20 minutes dans l’air et ne peuvent apparaître que si la vapeur d’eau se condense sur les particules de poussière en raison de la faiblesse des températures et d’un taux d’humidité élevé?

2. La Commission sait-elle que les enquêtes menées par ces plaignants, les observations des pilotes et les annonces des pouvoirs publics aboutissent de plus en plus fréquemment à l’hypothèse qu’en l’espèce, l’avion diffuse dans l’air sec de petites particules composées de baryum, d’aluminium et de fer, une substance immédiatement baptisée «chemtrails» («traînées chimiques») dans le cadre du débat en cours aux États-Unis?

3. Étant donné que ces traînées chimiques, contrairement aux traînées de condensation, ne constituent pas un sous-produit inévitable du trafic aérien actuel, la Commission connaît-elle la finalité de la diffusion planétaire artificielle de ces substances d’origine terrestre? Possède-t-elle des effets favorables sur la production de pluie, les télécommunications ou la lutte contre le réchauffement de la planète?

4. Dans quelle mesure les obscurations aériennes et les traînées chimiques sont-elles actuellement présentes dans l’espace aérien européen, sachant que nombre de citoyens de notre continent sont désormais persuadés de leur présence croissante et s’inquiètent face au manque d’informations concernant ce phénomène et à l’absence d’explications à l’intention du public? Qui prend l’initiative de diffuser cette substance et d’où proviennent les financements?

5. Abstraction faite des conséquences positives recherchées par la diffusion de ces substances dans l’air, la Commission en connaît-elle également les inconvénients potentiels pour l’environnement, la santé publique, le trafic aérien et la réception des signaux télévisuels?

6. Comment empêcher des États européens ou des entreprises de prendre des mesures unilatérales dont les conséquences transfrontalières peuvent être considérées comme néfastes par d’autres États ou par des organisations de citoyens? Une coordination est-elle d’ores et déjà assurée sur ce plan? L’Union joue-t-elle un rôle à ce niveau ou attendez-vous à y jouer un rôle à l’avenir? Quels sont vos objectifs à cet égard?

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Source : chemtrails-france

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