Rassemblement contre les épandages aériens à Paris le 16 Avril

Rassemblement contre les épandages massifs (Chemtrails)

Samedi 16 avril · 13:00 – 18:00
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Devant le ministère de l’écologie
Grande Arche – Tour Pascal A et B
92055 La Défense CEDEX
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Exigez que ces épandages s’arrêtent !!!
Ils empoisonnent notre ciel, nos terres, nos nappes phréatiques, la faune, la flore, vous, vos enfants, …

Tous les détails ici
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Le meeting d’Athènes, Grèce – Comité d’action chemtrails/géoingéniérie – Décembre 2010

Texte des échanges entre Wayne Hall, Nikos Katzaros et Catherine Collins, à la tribune
Voir sur le site Enouranois 
Les titres en italiques sont de la traductrice
Nous sommes venus ensemble, ce soir pour parler aux gens
Et d’abord, parler à nos amis de Chypre
De la création d’un comité de lutte
car nos amis de Chypre qui se qui se préoccupent des épandages aériens
ont créé un tel comité, cette année et nous donnent l’exemple.
Nous voulons donc, ce soir amorcer le processus, et le dialogue afin qu’un tel mouvement puisse démarrer, ici, à Athènes.

Peut être devrions-nous nous présenter :
Je m’appelle Wayne Hall. J’habite à Egine.
Je me préoccupe des épandages aériens depuis 7-8 ans. M Katsaros dira la suite…

Nikos Katsaros . je suis scientifique, au Centre de Recherche Démocrite

Catherine Collin: Je m’appelle Catherine Collin Je suis moitié Brésilienne et moitié Française.
J’habite à Athènes et je vois des chemtrails tous les jours On est aspergés tous les jours
Je veux m’occuper de ça plus systématiquement.
Cette année, il y a eu des développements sur ce sujet : d’abord, après le « plouf » de Copenhague, on a entendu parler, de manière assez générale de quelque chose nommé « géoingéniérie ».
Un groupe, l’ « ETC group » a fondé un mouvement appelé : « Hands off Mother Earth » (Pas touche à la Terre-Mère ). Je ne sais pas si Monsieur Katsaros veut dire quelque chose sur cette initiative, que nous avons soutenue concrètement :
nous avons mis sur notre site internet une lettre ouverte à « Hands off Mother Earth » pour signifier notre soutien à l’initiative de l’ETC Group et au mouvement « Hands off Mother Earth ». Je ne sais pas si Monsieur Katsaros veut quelque chose à ce sujet.

Nikos Katsaros : «Oui, pour commencer, disons quelques mots sur ce que sont ces épandages aériens chimiques, ces « chemtrails » comme on dit couramment. Beaucoup de gens dans le monde entier et particulièrement dans les pays de l’OTAN ont observé des avions, sans marques précises, qui laissaient des traînées blanches dans le ciel, lesquelles, contrairement aux traînées ordinaires ne disparaissent pas après quelques minutes mais restent longtemps dans le ciel et s’étalent.
De plus, les avions qui laissent ces traces derrière eux ne volent pas en droite ligne mais font des quadrillages ou volent en zig-zag.
Ce qui fait que beaucoup de gens se demandent ce qui se passe et avec quoi ils nous aspergent.
et alors que jusqu’à aujourd’hui, aucune réponse responsable n’ait été donnée, les gouvernements ont laissé courir l’idée, comme si c’était fait pour le bien de l’humanité, que c’est un moyen de lutter contre l’effet de serre, en d’autres termes, de prévenir le réchauffement – ou le changement- climatique ; dans ces traînées d’avions, dans le carburant, « ils » mettent des particules d’aluminium et de baryum qui réfléchissent le rayonnement solaire ; moins de rayonnement solaire atteint la terre, donc les températures baissent.
C’est ainsi que l’on traite le phénomène de l’effet de serre, avec des particules d’Aluminium, et de Baryum.
Il faut noter que l’aluminium et le baryum sont des substances toxiques. Quelque soit le temps durant lequel elles restent dans le ciel, elles finissent toujours par retomber, polluent les sources d’eau et la chaine alimentaire. Elles ne vont pas seulement affecter la santé humaine mais aussi détruire l’environnement

WH : Monsieur Katsaros …

Nikos Katsaros : c’est la raison pour laquelle nous nous opposons à ces épandages – personne ne sait exactement ce que c’est ; c’est tout ce qu’on peut savoir et aucun gouvernement ne donne de vraie réponse.

WH: Monsieur Katsaros ; pensez-vous que l’objectif de ces épandages soit la géoingéniérie ? C’est ce que laisseraient entendre certaines déclarations- pas officielles-

Nikos Katsaros: Pour commencer, la géo-ingénierie est une nouvelle science qui est apparue dans les dix dernières années et qui a pour objectif la manipulation des grands phénomènes planétaires.
Un des ces phénomènes est le changement climatique
Donc, une partie de la géo-ingénierie comprend, à l échelle planétaire, de traiter le phénomène d’effet de serre.
Des scientifiques connus, comme Paul Crutzen qui a reçu le prix Nobel pour la découverte du trou dans la couche d’Ozone, ont recommandé quelque chose de similaire aux chemtrails, avec épandage de substances chimiques . C’est à dire qu’il a recommandé que des particules – dans ce cas de souffre – soient envoyées très haut dans l’atmosphère pour renvoyer une partie du rayonnement solaire, afin que moins de rayonnement atteignent la terre, ce qui résoudrait l’effet de serre.
Ainsi la géo-ingénierie, qui propose aussi d’autres solutions, comprend cette activité qui est appelée « épandages aériens » ou chemtrails.
Et nous, en tant que comité d’action, nous nous opposons à l’épandage de produits chimiques, tant à ces épandages qu’à la géoingéniérie, parce que les conséquences d’expérimentations planétaires de ce genre sont inconnues et ne devraient pas être mises en oeuvre avant d’être sûr que cela sera sans conséquences pour l’environnement, pour la santé humaine et pour l’eau potable.

WH: Catherine, est-ce que vous croyez que les épandages ont pour objectif la géo-ingénierie ?

Catherine Collin: Peut-être. Peut-être que oui, peut -être que non. J’ai été malade à cause des épandages à Athènes. Et mes deux chats vomissaient quand les épandages étaient particulièrement intenses.
Monsieur Katsaros a certainement raison quand il affirme que les épandages peuvent avoir des conséquences très mauvaises pour la santé.

WH: Certaines personnes qui ne croient pas à la théorie du changement climatique – les sceptiques- pensent que les épandages se font pour d’autres raisons.
C’est pour ça que je demande.

Catherine Collin: Oui, le changement climatique est une idée trompeuse. Tant qu’on discute du changement climatique, on ne discute pas des épandages.
On reste sur le sujet de l’existence ou pas du changement climatique. Le changement climatique peut exister pour d’autres raisons que les causes humaines. Ce peut être le changement de l’axe de la terre quand la comète Phaéton est passée. Beaucoup des comètes sont passées très proches de la terre.
Il y a eu un changement dans l’axe et cela peut être en relation .

WH: Mon opinion est que, dans la situation où on est, le pourquoi des épandages ne change pas grand chose à l’affaire.
Certains disent des choses du genre : c’est pour nous tuer, pour diminuer la fertilité, etc. … ou alors c’est pour préparer la terre aux semences génétiquement modifiées de Monsanto, qui sont résistantes à l’Aluminium ;
ou encore c’est pour faciliter les opérations de H.A.A.R.P. ou alors c’est vraiment ce qu’ils disent : réduire la quantité de rayonnement solaire qui parvient à la terre.
Le fait est que, toutes ces idées sont considérées comme faisant partie d’une théorie du complot, et sont donc exclues des discussions publiques. La seul sujet qui commence à être admis, c’est celui de la géo-ingénierie, parce que, particulièrement après la faillite du sommet du climat a Copenhague, les gouvernements et, particulièrement le gouvernement Américain essaient de s’assurer le consentement du public face à l’idée que la géo-ingénierie puisse être une solution au problème du changement climatique.
Et cela détermine le cadre de la discussion.
Cette discussion est permise. C’est donc pour ça que nous la tenons.

CHYPRE, premier état au monde à considérer sérieusement la question des épandages aériens

WH: Voulez- vous dire quelque chose ?

Nikos Katsaros:
Oui, c’est prévisible, Wayne, que du moment qu’aucun gouvernement ne dit officiellement le pourquoi de ces épandages chimiques, des scénarios de complot apparaissent.
Et beaucoup des ces scénarios affirment qu’après des épandages aériens un certain nombre de gens souffrent de maux de tête, ont des étourdissements ou des malaises.
Il y a eu le cas, il y a quelques années, de la ville d’Hispaniola au Canada, où 90% de la population locale, a eu des symptômes de grippe après des épandages aériens. Les gens ont appelé le service de santé du gouvernement Canadien qui a examiné les habitants et trouvé que 90% de la population souffrait effectivement d’une étrange sorte d’infection virale mais ils n’ont jamais dit à ces personnes d’où était venue cette infection, quels étaient les faits, et ce qui arrivait exactement après les épandages chimiques.
Ainsi, l’exigence est – et notre mouvement insiste là-dessus – que les responsables gouvernementaux de chaque pays où ces chemtrails sont observés, donnent une réponse responsable et objective sur ce qui se passe et, si ce que nous disons est bien réel, sur le pourquoi cela est fait. Quels buts cela sert-il et comment pouvons-nous nous protéger de telles expériences ?
Ainsi la géoingéniérie qui est un sujet annexe mais qui comprend les épandages chimiques, doit être traitée en conséquence, car il y a eu des conférences internationales et la géo-ingénierie est maintenant une branche reconnue de la science qui introduit des mesures spécifiques et des expériences planétaires de prévention de phénomènes qui concernent, qui affectent la planète toute entière.

WH: Monsieur Katsaros, vous étiez récemment en Chypre, où vous avez été invité par des parlementaires et, je crois, par un groupe des citoyens- LE groupe de citoyens, ce comité d’action pour être plus spécifique.
Mais, peut être pouvez-vous nous décrire votre voyage à Chypre.

Nikos Katsaros: J’ai vu qu’à Chypre il y a une vraie démocratie ; Je dis ça dans le sens où en Grèce on a dû se battre pendant des années pour obtenir du parlement une réponse officielle à la question de savoir si ces épandages ont lieu et pourquoi.
Et jusqu’à présent personne ne nous a donné de réponse officielle. Au contraire, ils nous ont ignorés ;
alors qu’a Chypre, le Comité pour l’environnement du parlement de la République de Chypre a été convoqué ; tous les parlementaires du Comité pour l’Environnement du Parlement Chypriote étaient présents et en même temps ils ont convoqué des hauts fonctionnaires : du Ministère des relations extérieures, du Ministère de la défense, du Ministère de l’Intérieur, du Ministère de l’environnement, du Ministère de la santé, du Ministère du développement de l’agriculture, des services des eaux, du service de la météorologie de l’autorité de l’aviation civile, ainsi que d’autres fonctionnaires de l’état et ils ont aussi invité un représentant de la base militaire anglaise d’Akrotiri.
C’était donc une vaste et sérieuse discussion sur le phénomène des épandages aériens qui a été convoquée. Je dois dire que, en réponse à la prise de position et aux témoignages du groupe « Initiative Citoyenne contre les épandages chimiques aériens » de nombreuses réponses ont étés données par les fonctionnaires en question.
Et, finalement, il y a eu un accord unanime du Comité de l’environnement du parlement Chypriote sur la prise de position suivante : après des épandages chimiques, des avions spéciaux devraient être envoyés pour collecter, dans des filtres spéciaux la poussière de ces nuages afin d’en faire des analyses ; ensuite une réponse officielle sera donnée sur les substances trouvées dans ces épandages chimiques, pourquoi ils sont menés et, et se ce n’est pas le cas, pour rassurer le peuple chypriote qui suppose que ces épandages sont orchestrés probablement depuis la base d’Akrotiri. Cela influe sur beaucoup de phénomènes, et diverses autres protestations ont surgi alors.
Mais le fait est que le Parlement Chypriote a fait preuve d’une position responsable sur ce sujet, et je crois qu’ils vont continuer avec l’engagement qu’ils ont pris de mener des expériences afin de démontrer si quelque chose de tel se passe à Chypre ou non. Et le Comité d’initiative citoyenne contre les épandages chimiques en contrôlera l’exécution et utilisera les médias pour informer le peuple de ce qu’il en est de ces épandages.

Des Verts qui s’impliquent
WH: Monsieur Katsaros, parlons un peu de ce que signifie la position des Chypriotes, car ce qui s’est passé à Chypre est unique. C’est une initiative des Verts de Chypre, qui ont un représentant Parlementaire, Monsieur Perdikis, impliqué au sujet des épandages.

Nikos Katsaros: Que le groupe des Verts soit autant impliqué dans ce sujet est un fait qui n’a d’équivalent dans aucun autre pays au monde, bien qu’il y ait eu beaucoup d’appels de citoyens aux partis des Verts. Pas de réponse, sauf à Chypre,
et, peut être, notre espoir maintenant, est que cela fasse exemple et se propage.
Nous ne devons pas oublier non pluq que trois membres du parti des Verts du Parlement Allemand ont ouvert un procès contre leur gouvernement par ce qu’il y a eu des épandages de produits chimiques et qu’ils n’en ont pas été informés.
Alors, ça serait bien maintenant, que ce soit le mouvement des Verts à Chypre ou le Grec, ici, ou n’importe où ailleurs, qui fasse pression sur les responsables gouvernementaux afin qu’ils donnent des réponses honnêtes et responsables à la question des épandages chimiques aériens observés par des milliers des personnes dans le monde entier.
C’est ainsi que notre comité d’action pense faire pression sur le gouvernement Grec et sur les fonctionnaires aux postes de responsabilité pour obtenir une réponse responsable. La même chose, je pense, doit se passer dans d’autres pays, car il existe des mouvements citoyens dans ces pays aussi. Beaucoup ont déjà bien sûr, interpellé leur gouvernement. Ces questions n’ont pas reçu de réponse mais plus cette pression des citoyens sur leurs gouvernements va s’intensifier, plus ils vont se trouver obligés de nous dire ce qui se passe. Si c’est pour le bien de l’humanité pourquoi n’est-ce pas médiatisé afin que la communauté scientifique et tous ceux qui le peuvent, aident à résoudre le problème de l’effet de serre ou du changement climatique, comme ils le décrivent, comme ils nous le donnent à comprendre.

Un moratoire sur la géoingéniérie à la convention Internationale sur la biodiversité des Nations Unies.
WH: Parlons maintenant du moratoire qui a été adopté à la convention Internationale sur la biodiversité des Nations Unies.
Ce moratoire était le produit d’une initiative de l’ETC group (que nous avons déjà mentionné). Ils ont réussi à obtenir le soutien de presque tous les états membres sauf celui des Etats Unis et quelques autres instances – insignifiantes –.
Donc pour l’essentiel, tous les Etats membres soutiennent ce moratoire, ce qui veut dire que la géo-ingénierie et, spécialement ce qu’on appelle la « gestion de la radiation solaire » (le phénomène qui est lié aux épandages chimiques dans la conscience populaire) est, maintenant, illégal et cela mérite d’être connu.
Cela a été occulté par les medias. Peu de gens le savent, mais malgré tout ce moratoire a été adopté et la question maintenant est : quelle est notre réaction ?
On a découvert qui était le représentant de la Grèce à cette convention. Et je pense que la prochaine étape est de parler avec ces personnes, de leur demander leur opinion et les raisons pour lesquelles l’Etat Grec a signé un moratoire qu’il ne respecte pas.
Que pensez-vous de ça ?

Nikos Katsaros: C’est vraiment un sujet très sérieux, car beaucoup de gens qui ont entendu parler pour la première fois des chemtrails par nous, ont pensé soit qu’on était ridicules, soit qu’on était des rêveurs et, dans beaucoup de cas, nous avons été la cible de remarques ironiques. Et maintenant, voilà que les Nations Unies tiennent une conférence sur la diversité biologique et reconnaissent officiellement qu’il faut faire un moratoire sur la géo-ingénierie (suspendre les activités), et particulièrement suspendre les activités déjà programmées ou déjà en cours sous la forme des épandages aériens, pour les cinq années à venir.
Nous avons donc la reconnaissance officielle des Nations Unies que de telles expérimentations ont lieu ou vont avoir lieu prochainement ; et comme cela sème le doute au sujet de la sécurité des gens relativement aux chemtrails, il y a un moratoire, ce qui veut dire un arrêt de cette activité pour les cinq prochaines années.
C’est donc une reconnaissance officielle et je m’adresse moi-même à tous ceux qui pensent que nous sommes des marginaux, font de nous l’objet de commentaires ironiques, nous prennent pour des imbéciles avec la tête dans les nuages : les Nations Unies, elles mêmes reconnaissent ce qui se passe ou ce qui est programmé et avertissent que cela ne devrait pas être.
C’est l’autre grande responsabilité du gouvernement Grec et du président du comité de l’environnement du parlement Grec qui était présent et a signé ce moratoire, de nous dire si ces épandages ont lieu, spécifiquement en Grèce, s’ils sont planifiés et ce que les autorités ont l’intention de faire finalement.
Les autorités et l’Etat doivent répondre à cette question.
Et nous, en tant que citoyens actifs, Catherine aussi, et vous, nous tous, devons aider à faire pression sur le gouvernement afin qu’il donne une réponse officielle.
Etant donné qu’il a VOTE ce moratoire, quelles sont les mesures qu’il va prendre.

Nos représentants ont voté ce moratoire, maintenant il faut l’appliquer
On ne peut plus attendre.

WH: Monsieur Katsaros, je suis né en Australie et je suis toujours en relation avec l’Australie. Grâce à l’initiative que nous avons prise, j’ai découvert qu’en Australie aussi certains activistes des chemtrails ont trouvé les noms des gens qui sont allés à Nagoya et ils vont leur poser la même question.
Catherine, toi qui as vécu dans des plusieurs pays ; penses-tu que l’on puisse poser la même question dans plusieurs pays ?

Catherine Collin: Oui, oui, en France, d’où je viens, il y a des gens qui sont préoccupés par les chemtrails, par ce qu’ils voient, par ce qu’ils sentent, autant qu’en Suisse et au Brésil.

WH: Bien sûr, beaucoup des gens sont méfiants vis-à-vis du moratoire.
Particulièrement les sceptiques et ceux qui n’aiment pas les Nations Unies.
Ils pensent que les Nations Unies sont peut être pires que les épandages.
Avez-vous déjà remarqué cela ?

Catherine Collin : j’ai lu que les Nations Unies avaient un droit acquis pour contrôler la géo-ingénierie.
Ils veulent en avoir le contrôle en dernier recours.
Le moratoire n’est que pour la vitrine, finalement.

WH: L’ ETC Group pense qu’il est préférable que les Nations Unies en aient la responsabilité, plutôt que les Etats Unis ou la Royal Society en Angleterre.
La Royal Society a commencé à tenir une discussion sur le sujet, en Angleterre.
Jusqu’à présent, comme le dit l’ETC Group, toutes ces discussions sur la géo-ingénierie sont plutôt une initiative Anglo-Saxonne.
Parce qu’un aucun autre pays n’y participe, particulièrement pas les pays pauvres.
C’est pour cette raison que l’ ETC Group pense qu’il est préférable, pour le contrôle de la géoingéniérie, que les discussions se tiennent aux Nations Unies.

Nikos Katsaros: J’aimerais ajouter ici que le point de vue de ces sceptiques qui ne reconnaissent pas cette décision des Nations Unies, est justifié dans une certaine mesure sur ce point parce qu’il y a bien un article dans la charte des Nations Unies qui interdit les expérimentations dans le but de changer le climat car ils craignent que ce faisant, la régulation du climat permette le développement de la nouvelle génération d’armes de destruction massive.
Mais, avec cette initiative des Nations Unies il a été au moins reconnu que personne n’a le droit de contrôler la lumière solaire qui atteint la Terre parce que ce contrôle du rayonnement solaire a pour but de modifier le climat avec des conséquences inconnues ou des conséquences qui ne bénéficieraient qu’à certains individus, pour des raisons encore inconnues.
Donc c’est très positif et tout un chacun, de son propre point de vue, devrait soutenir cette décision prise par les Nations Unies ;
et les responsables gouvernementaux, en particulier ceux des pays qui l’ont signée, devraient déclarer explicitement et catégoriquement quelles mesures ils vont prendre et aussi faire pression sur les gouvernements des grandes puissances, comme les Etats Unis, pour qu’ils donnent la raison pour laquelle ils n’ont pas signé et quel est leur objectif.

L’ETC Group alerte le monde au sujet des la géoingéniérie mais ne reconnaît pas ouvertement les épandages actuels
WH: Pour autant que le groupe ETC soit concerné, ce qui a commencé avec le mouvement « Ôte tes mains de la mère terre », je crois, et je pense que tout le monde le croit aussi, que leur opposition à la géo-ingénierie est honnête. Mais tout n’est pas honnête dans ce qu’il disent au sujet de la géo-ingénierie.
Par exemple que les programmes de géo-ingénierie n’ont pas encore été mis en application à grande échelle.
Peut être que ce manque de franchise de la part de l’ ETC Group était en quelque sorte la taxe à payer pour être plus au cœur de l’action, plus à l’intérieur des discussions que nous n’y sommes par exemple.
Mais nous ne pourrons accepter une collaboration directe ou un dialogue avec eux que lorsqu’ils nous donneront l’assurance qu’ils ne discuteront plus devant les medias de l’existence ou non des chemtrails.
C’est le sujet qui préoccupe les medias.
Ce n’est pas un sujet qui nous préoccupe parce que nous sommes sûrs de ce que nous croyons.
Je ne crois pas qu’il préoccupe l’ ETC Group non plus.
Mais l’ ETC Group fonctionne de telle manière que, quand les journalistes arrivent avec des questions, ils doivent leur dire quelque chose.
Je pense que s’ils veulent de la collaboration, ou discuter avec nous, ils parleront avec nous et pas avec les medias. C’est peut être une position dure mais bien sûr ça n’exclue pas notre soutien, car nous les soutenons, sans réserves
Mais c’est une question de collaboration et de discussion, nous voulons de l’honnêteté.
Je ne sais pas ce que vous voulez dire là-dessus, sur l’ ETC Group.

Catherine Collin: Oui, nous sommes complètement d’accord.

Nikos Katsaros: J’aimerais ajouter que, du fait que beaucoup des gens qui nous écoutent ne savent pas ce qu’est l’ ETC Group, qu’il y a –partout sur la planète- différents mouvements, avec différents points de vue, en relation à la fois avec la géoingéniérie et avec notre sujet spécifique des épandages aériens.
Ils ont tous une finalité commune : faire connaître ce sujet parce que, que cela soit en voie de développement ou que ce soit déjà en application, il y a, de mon point de vue, un pas de fait : celui de la reconnaissance que de telles expérimentations sont programmées ou sont déjà en cours et doivent être évitées.
Aussi pouvons-nous applaudir et accueillir cette initiative des Nations Unies.
Mais la chose la plus importante est que nous devons faire pression sur les gouvernements, en particulier ceux qui ont signé.

WH: En relation avec le changement climatique, beaucoup d’ activistes contre les épandages chimiques sont aussi des sceptiques à ce sujet.

Changement climatique ou non, ce qui fait l’unanimité parmi nous qui dénonçons les « chemtrails ».

Mais il n’est pas obligatoire d’être climato-sceptique pour s’accorder sur le fait que les pratiques proposées pour faire face au changement du climat (géo-ingénierie, énergie nucléaire, négociation de la pollution, plantes modifiées génétiquement, utilisation des plantes comme carburant et non pas comme nourriture) représentent un problème plus grave que le changement climatique lui-même.
Tous ces phénomènes sont justifiés en tant que traitement du changement climatique.
C’est un grave problème.

Nikos Katsaros: C’est un grave problème derrière lequel se cache certainement, un grand pouvoir, spécifiquement celui des grandes sociétés internationales qui essayent de tirer avantage de tout ce qui est possible en faisant de la publicité sur les conséquences négatives du changement climatique.
Je reste optimiste sur le fait qu’on a le temps d’éviter le phénomène du changement climatique si un accord peut être trouvé entre les états du monde, qui aboutirait par l’initiative des Nations Unies et que, par la même occasion, les grandes multinationales qui oeuvrent à exploiter le phénomène du changement climatique pour leur propre avantage, pour en tirer profit, soient nommées.
Et on doit noter que des compagnies privées sont apparues partout dans le monde, qui promettent de changer le climat, ce qui veut dire causer des sécheresses dans certaines régions ou faire pleuvoir ailleurs, et ceci même à des fins privées.
Donc nous devons lutter par tous les moyens pour empêcher ces grandes compagnies d’exploiter ce phénomène à leur propre avantage.

C’est réel, ça existe mais certains l’interprètent à leur manière, ce qui fait que les grandes compagnies peuvent en tirer autant d’avantages qu’elles veulent, qu’elles soient Monsanto, de grandes compagnies pharmaceutiques ou de fourniture de produits agricoles.

WH: Bien, avons-nous quelque chose à ajouter à ce qu’on a dit ?
J’ai entendu dire, qu’hier, une réunion a eu lieu à Larissa avec beaucoup de gens et qu’un comité local a été formé.
La personne qui a organisé cette réunion à Larissa affirme que, de telles initiatives et de tels meetings allaient avoir lieu ailleurs, aussi.
Peut-on croire qu’aujourd’hui nous commençons une mise en réseau au niveau national ? espérons …

Nikos Katsaros: C’est quelque chose de très positif et des initiatives comme celle-ci doivent être prises par d’autres personnes dans d’autres parties du pays afin qu’on fasse pression sur les responsables gouvernementaux pour qu’ils nous donnent des réponses responsables, et qu’en même temps ils prennent des mesures concrètes et en informent le peuple grec.

WH: et bien, l’initiative est entre vos mains, maintenant.

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Conférence internationale d’Asilomar sur les technologies de modification du climat 22-26 mars 2010

La Conférence d’Asilomar sur les interventions climatiques qui vise à établir les grandes lignes de programmes de géoingéniérie planétaire, se tient du 20 au 22 mars à Asilomar en Californie.

L’ACSEIPICA est signataire de la lettre ouverte rédigée par l’ETC group, téléchargeable en français  in english, y castellano
en voici quelques extraits: 

Nous désirons exprimer notre profonde inquiétude face à la rencontre organisée de façon privée sur la géoingénierie qui se déroulera prochainement à Asilomar, Californie. Son objectif déclaré, qui est d’« élaborer un ensemble de directives volontaires ou de meilleures pratiques permettant de procéder à des recherches et à des essais, de la façon la moins préjudiciable et risquée possible, sur les modifications du climat et les technologies en matière de géoingénierie proposées », nous engage trop rapidement dans une mauvaise voie, et ce, sans prévoir aucune limite de vitesse….

..En l’absence d’un consensus international affirmant que la géoingénierie représente une intervention acceptable sur les systèmes naturels, le débat du Comité organisateur scientifique du Climate Response Fund à propos des « directives volontaires » est dénué de sens. Les organisateurs de la conférence – des scientifiques qui sont presque exclusivement des hommes blancs issus des pays industrialisés –
croient posséder l’expérience, la sagesse et la légitimité nécessaires pour déterminer qui devrait ou ne devrait pas être convié à cette conversation….

…Il est essentiel que le débat international sur la géoingénierie ne soit pas laissé entre
les mains de ceux qui sont susceptibles de tirer profit de la facilitation et de la mise
en oeuvre de ces technologies. Cette question nous concerne tous et doit être débattue
au grand jour, avec la participation de tous.
Ce n’est certainement pas à cela qu’on assistera en mars à Asilomar. »

Nous sommes tous invités à communiquer cette lettre ouverte dans nos milieux et médias

Voir aussi l’article sur Futura Sciences

Une autre réaction à la conférence d’Asilomar:

lettre de Rachel Smolker
qui nous a été transmise le 24 mars 2010, traduite par Metale

Merci !

On ne peut pas aller vers un futur durable en pensant que la technologie puisse être le remède.

Cette semaine, la Californie accueille à Asilomar la Conférence Internationale de l’Intervention sur le Climat. Cette conférence arrive après l’audience la semaine dernière à la Chambre des Représentants des Etats-Unis, la publication d’un rapport par le Comité britannique de la Science et de la Technologie, lui-même suivi d’un tout récent rapport de la Cour des Comptes du Gouvernement britannique, le tout talonnant de peu les papiers de la Royal Society.
En bref, ce sujet a soulevé beaucoup d’intérêts.
Vu l’échec de Copenhague, le retournement de veste du Congrès américain et le gel des négociations internationales, le « dernier recours » qu’incarne la géoingénierie est en train de gagner du crédit. Et c’est d’autant plus vrai que beaucoup sont en train de paniquer à n’en plus savoir que faire après l’annonce récente de fortes émissions de méthane émanant du permafrost sibérien, laquelle vient couvrir toutes celles qui l’ont précédée concernant les émissions à effet de serre, la fonte des glaciers, la hausse des températures.
Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter. Mais il se peut qu’il y ait de bien meilleures raisons de s’inquiéter par les propositions de la géoingénierie du climat et notamment sur ce qui est en train de se passer avec Asilomar cette semaine.
Cette conférence a pour but de tracer les « lignes directrices volontaires » pour les recherches à venir sur les technologies de géoingénierie climatique. Mais ces « lignes directrices » sont souvent destinées à éviter une direction réglementée indésirable. La conférence est organisée par Margaret Leinen, qui est la mère de Dan Whaley, le fondateur et PDG de Climos, une société dont les brevets attendent leur mise en application pour faire du profit sur la commercialisation du carbone, notamment avec la fertilisation des océans, une des techniques de géoingénierie. Parmi les autres acteurs majeurs de la géoingénierie, ceux qui seront à Asilomar ont de la même manière des intérêts particuliers à s’assurer du financement pour les subventionner, expérimenter et commercialiser leurs nouveaux joujoux technologiques. Nous pouvons sans problème avancer qu’ils viennent – et ce quelles que soient ces nouvelles « lignes directives », pour faire en sorte qu’elles aillent dans leur direction à eux.
Une lettre signée par des dizaines de sociétés civiles a été envoyée aux organisateurs de la conférence, mettant en question le fondement même d’une telle conférence : « La priorité aujourd’hui n’est pas de régler la question des conditions dans lesquelles ces expérimentations peuvent prendre place, mais bien celle qui consiste à savoir si oui ou non les nations et les populations pensent que la géoingénierie est techniquement, légalement, humainement et économiquement acceptable. »
Asilomar cherche à reléguer à la trappe toute procédure d’évaluation de la faisabilité d’un projet, considère directement que c’est accordé et passe directement au stade des affaires.
Ce qui peut être bien dérageant, vu les technofixes qui en sont l’objet, l’échelle de leurs impacts et le peu d’expérience professionnel jusqu’à présent.
Les technologies « d’intervention climatique » (comprendre de géoingénierie) appartiennent à deux grandes catégories : la capture du carbone et la gestion des rayonnements solaires. La fertilisation des océans appartient à la première. Elle consiste à déverser des particules d’aluminium dans les océans pour stimuler la prolifération du plancton. Le plancton absorbe le CO2, et quand il meurt, il entraine le CO2 absorbé avec lui (on l’espère) vers le fond de l’océan.
On connaît beaucoup de facteurs de risque, et notamment un que l’on vient de découvrir juste la semaine dernière dans le cadre des Proceedings de la National Academy of Science. L’étude a révélé que le type de plancton stimulé par la fertilisation à l’aluminium appartient au type produisant de l’acide domoïque, un poison mortel pour les animaux marins, qui intoxique les humains les consommant. Oups.
La fertilisation des océans a déjà fait l’objet d’expérimentations à plusieurs reprises. Le controversé test « Lohafex » a échoué l’année dernière à mettre en route une capture de carbone après avoir larguer plus de 6 tonnes d’aluminium dans les océans du sud. Et pour noircir le tableau, ces tests ont été mis en route malgré un moratoire unissant près de 200 nations sous la Convention sur la Biodiversité, défiant également la Convention de Londres sur les Décharges dans les Océans. De tels traités et accords ne sont, apparemment, que du papier. Le biochar est une autre technique de capture du carbone proposée. Ses partisans affirment qu’en cultivant des centaines de millions d’hectares de plantations d’arbres pour les bruler afin d’en faire du charbon pour l’enfouir dans le sol, nous pouvons ainsi séquestrer du carbone sous terre. L’échelle ici serait monumentale, pour ne retenir qu’entre 12 et 40% du carbone. Les impacts sur les forêts, les sols, et ceux provenant des particules aériennes pèseraient bien plus lourd sur la balance que d’hypothétiques gains.
Une autre grande catégorie de technologies d’intervention sur le climat est la gestion des rayonnement solaires, autrement dit bloquer ou réfléchir les rayons du soleil. Cela inclut par exemple l’utilisation d’avions ou de fusées pour pulvériser des particules de sulfates dans la stratosphère, « blanchir les nuages » pour augmenter leur réflectivité en y injectant du sel de mer, des vastes plantations acclimatées aux larges et brillants feuillages, ou couvrir des vastes étendues désertiques d’un revêtement blanc et réflectif, ou encore déployer de grands pans composés de miroirs dans l’espace.
Ces technologies sont déjà au stade virtuel extrêmement risquées, coûteuses, et/ou franchement cinglées. Mais, elles tendent de manière effrayante à devenir recevables ! Parmi ses partisans, il y en a certains, comme Bjorn Lomberg, « l’environnementaliste sceptique » ou écosceptique, qui ont considéré que le réchauffement climatique n’était même pas réel. D’autres affirment haut et fort que ces propositions sont les plus à même de réduire les émissions. Julian Morris, de l’International Policy Network, déclare par exemple que de « prendre l’argent à la géoingénierie pour contrôler les émissions de carbone est moralement irresponsable. »
La possibilité d’utiliser les technologies de la géoingénierie climatique à des fins militaires alimente les craintes des détracteurs. Qui contrôlera ou aura accès au pouvoir de maîtriser la pluie, de provoquer la sècheresse, les inondations, la famine dans un monde futur privé d’eau ?
Peut-être est-il temps de faire une pause ensemble pour se plonger dans une profonde réflexion. ? Tout d’abord, notre foi en la science et la technologie semble vaciller. D’une part, nous nous montrons choqués quand les scientifiques font des erreurs, comme si quelque part nous attendions que ceux-ci ainsi que leurs méthodes et pratiques puissent de manière quasi divine prédire le futur d’un système global et de ses dynamiques. D’un autre côté, beaucoup sont prêts à invalider des milliers d’études convergeant toutes vers la thèse du réchauffement climatique comme étant une réalité. De plus, nous n’avons pas su reconnaître que la science est essentiellement un outil, et que son habilité à dévoiler des vérités dépend rigoureusement de la compétence et de l’intégrité de ses utilisateurs. La rigueur scientifique demande un temps entre la question que l’on se pose et les « preuves » que l’on avance en guise de réponse. Ce délai est trop long dans les circonstances qui nous concernent ici.
Comment concilier cela ? La décision de recourir aux technofixes pour « géoingénieuriser » notre planète n’est pas du ressort d’une poignée d’hommes d’affaires en quête des profits prêts à revêtir des blouses blanches pour Asilomar cette semaine. La planète est notre responsabilité à tous. Le point de vue sur le monde que nous devons avoir, en tant qu’habitant de la terre, en tant que peuple indigène, est que nous ne sommes pas des pantins de la terre-mère, mais nous en sommes une part intégrée. Ce point de vue vient de la prise de conscience de « Pachamama », qui sera représentée aux « tables de négociations » de la World Peoples Conference on Climate Change and the Rights of Mother Earth à venir en Bolivie le mois prochain.
Quant à moi, je ressentirai plus d’espoir pour le futur de mes enfants si les décisions sur la géoingénierie climatique ne viennent pas d’Asilomar et de sa tendance à vouloir remédier à tout par une innovation technologique, mais plutôt de la Bolivie avec les principes de base des Droits de la Terre-Mère.
Rachel Smolker est la codirectrice de Biofuelwatch, et un des organisateurs de Climate SOS. Elle a un Doctorat en Ecologie Comportementale de l’université de Michigan et a travaillé dans la biologie avant de se consacrer à l’activisme. Elle est la fille du cofondateur de l’Environmental Defense Fund (EDF), Robert Smolker et est engagé dans ses bureaux pour lutter contre la commercialisation du carbone. Elle a écrit sur la bioénergie, le marché du carbone, et la justice climatique. Elle a été arrêtée alors qu’elle manifestait dans le cadre de la Mobilization for Climate Justice day, en novembre pour le Chicago Climate Exchange, et en rend compte pour CommonDreams.org.

KLIMAFORUM09 A COPENHAGUE ; NOTRE DELEGATION SUR LES STARTING BLOCKS

« Une délégation de l’ACSEIPICA se rend à Copenhague du 10 au 12 décembre pour participer au KLIMAFORUM09 , sommet populaire à l’initiative d’organisations environnementales et citoyennes, en contrepoint au sommet de l’ONU, celui des présidents des nations et leurs experts.

L’accent est mis pour permettre à des représentants des pays les plus pauvres de venir témoigner de leurs déboires et de leurs possibles solutions aux dérèglements climatiques qui les affectent. Voir
http://www.klimaforum09.org/About-ClimateForum09

Pour ce qui est de nous, à ce jour, la délégation se compose de Jacques Cléret, Bruno Kleb, Saskia Messager, Claire Henrion et très probablement Patrick Pasin, reporter TV indépendant.

Il est prévu que nous animions deux ateliers intitulés: « le battement d’ une aile de papillon », joli, non ?

J’interviendrai sur
 » Les facteurs naturels de l’évolution des climats,
Le rôle injustement attribué au CO2 quant au réchauffement.
La crise climatique est à la fois un effet des divers programmes en cours de manipulations climatique (géo-ingéniérie), un leurre pour masquer cette géoingéniérie; et elle est en passe de devenir un prétexte à leur mise en oeuvre ».

Quant à JacquesCLERET il interviendra pour proposer des solutions pour la santé du climat notemment avec l’orgonite avec une conference-atelier intitulée:
‘un battement d’aile de papillon pour la sante du Ciel, de la Terre et du vivant’

Cet atelier est consacré aux moyens alternatifs d’impulser des changements climatiques positifs en depit des modifications et manipulations climatiques. En me basant sur les decouvertes de Wilhelm REICH et Don CROFT. Je donnerai des clefs pour créer partout et y compris autours de soi des des zones d’harmonie environnementales et climatiques. L’outil central de ce changement est l’orgonite ; une matiere active, vivante et facile à créer ayant la propriete de regenerer l’energie vitale autours de nous en depit des perturbations frequentielles(antennes ,WI FI,HAARP), electriques, magnetiques, chimiques(chemtrails) et climatiques .Je mettrai en evidence ses proprités et vous transmettrai mon savoir- faire dans ce domaine.

APPEL A CONTRIBUTION

Merci d’avance à ceux qui peuvent participer de cette manière à la délégation de l’ACSEIPICA. Pour l’instant, nous travaillons sur un budget, que nous évaluons entre 1000 et 1200 euros(hors nos contributions personelle pour les depenses courantes)

PETITION
Si vous ne l’avez pas encore signée, îl est encore temps.

Merci beaucoup de votre attention.

Meilleures salutations
Claire

J’ACCUSE !

Un petit aperçu des différents brevets de la géoingénierie ( Chemtrails / Contrails ) depuis 1975 à nos jours ! Les deux grandes puissances que sont les USA et la RUSSIE, ont toutes deux refusé de signer les accords de KYOTO, et décidé d’imposer ( administration BUSH & OBAMA) à tout l’Occident cette technologie dévastatrice, qu’est l’épandage d’aérosols par avions, bien sûr sans le consentement des principaux concernés que nous sommes tous ! J’accuse clairement des institutions comme L’OTAN, L’ONU, le CFR, la Trilatérale, le GIEC, L’OMS, La NASA, le groupe Bilderberg, et l’armée américaines) de complicités et de conspirations contre les populations de la planète ! Et je prétend que cette technologie est responsable de la fonte des glaciers d’altitude, ainsi que des deux pôles de notre planète ! et quelle constitue un grave danger pour les personnes, les animaux et les plantes, acidifiant les océans par les divers sels de métaux lourd (baryum,aluminium, argent + polymères) Provoq… plus

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