ATTENUER LE SOLEIL, un article sur David Keith

Titre original:
Buffering the sun sur Harvard magazine

David Keith est un des principaux porteurs de projets de géoingéniérie. Nous l’avions rencontré au meeting de la Royal Society (Londres) les  8 et 9 novembre 2010. Lire ou relire son entretien avec Saskia Messager
http://acseipica.blogspot.fr/2010/11/compte-rendu-royal-society-discussion_20.html

Grand merci à Odette pour la traduction de cet article qui nous fait découvrir ce personnage inconnu des français, ses projets et son audience.

Quelques commentaires s’imposent: l’importance donnée aux gaz à effets de serre et à la problématique du règlement de leurs émissions telle qu’exposée dans cet article ne reflète pas du tout notre point de vue. Cela est l’arbre qui cache la forêt HAARP et justifie l’ option de la géoingéniérie.

Si HAARP cesse, il n’y a plus de réchauffement climatique !
HAARP ET LES CHEMTRAILS SONT LA CAUSE DES PROBLEMES CLIMATIQUES !
Voir ou revoir notre diaporama présenté au Klimaforum de Copenhague en 2009  » Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? »

Lire aussi l’article bien documenté dans la revue NEXUS, numéro de juillet 2013: « HAARP, arme secrète d’une guerre invisible ».

David Keith parle vite et monte les escaliers deux marches à la fois, comme poussé par un sentiment d’urgence. Le savant d’Harvard s’intéresse à la fois à la communauté scientifique et aux questions de politique qui portent sur le changement climatique et a en mains une gamme étonnante de projets liés au climat et à l’énergie. Il a co-gèré le Fonds pour l’énergie innovante et recherche sur le climat (FICER), créé par le fondateur de Microsoft Bill Gates pour soutenir la recherche sur le changement climatique, et a fondé Ingénierie de carbone, une société qui semble sur la bonne voie pour construire la première usine à échelle industrielle pour capturer le dioxyde de carbone de l’air pour un usage commercial possible. Mais Keith est surtout connu pour son travail sur la géoingénierie solaire : stratégie pour contrer la hausse des températures mondiales en réduisant la quantité de lumière solaire qui atteint la Terre et de son atmosphère. Ces travaux pourraient un jour sauver la planète.
Comme les sceptiques continuent à se demander si le réchauffement climatique est réel, et que les efforts mondiaux pour réduire les émissions de gaz sont en décrochage, un nombre restreint mais croissant de scientifiques croient que les humains peuvent avoir besoin d’envisager un «plan B» pour prendre le contrôle de l’avenir de notre climat. La géoingénierie solaire englobe de multiples propositions pour régler le thermostat de la planète, y compris dévier la lumière du soleil loin de la terre avec des boucliers spatiaux massifs ou des nuages lumineux de basse altitude au-dessus des océans. Une suggestion, inspirée par le soufre recraché par les volcans, implique la création d’une flotte de jets de pulvérisations de sulfates dans la stratosphère, où ils se combinent avec la vapeur d’eau pour former des aérosols. Dispersée par les vents, ces particules sont capables de couvrir le monde entier avec une brume minimiserait d’environ 1% du rayonnement solaire. (L’éruption du Pinatubo en 1991, qui a relâché environ 10 millions de tonnes de soufre dans l’air, réduit les températures mondiales d’environ 1 degré Farenheit pendant au moins un an).
Les scientifiques ont discuté de ces stratégies pendant des décennies, principalement à huis clos, en partie parce qu’ils craignaient que parler publiquement de la géo-ingénierie saperait les efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Keith, qui est professeur McKay de physique appliquée de l’École d’ingénierie et de sciences appliquées (SEAS) et professeur de politique publique à Harvard Kennedy School, préconise fortement de rendre publiques les discussions sur la géoingénierie. Il dit: «Nous ne prendrons pas de bonnes décisions en cachant des choses radicales sous le tapis. »
Et comme il s’efforce de faire connaître le débat sur la géoingénierie, Keith a également cherché à déplacer la science elle-même au-delà des modèles informatiques vers la possibilité d’essais sur le terrain à petite échelle. « Il n’est pas du tout évident que la géoingénierie est la solution que nous devrions utiliser », dit-il, « mais la prépondérance de la preuve dans les modèles de climat utilisés jusqu’à présent suggèrent que son utlisation réduirait les risques climatiques ».
Par l’intermédiaire de Keith, le sujet de la géoingénierie solaire est passé au cours des cinq dernières années d’une zone obscure, étudié par une poignée seulement de ce qu’il appelle « geonerds, » à un sujet qui attire une attention croissante à la fois des scientifiques et du grand public.
Lui et son collègue FICER administrateur Ken Caldeira (de l’Institution Carnegie pour le département de science de l’écologie mondiale, à Stanford), ont utilisé les fonds pour les projets qui évaluent les risques de réchauffement de la planète et sur les avantages et les risques des technologies avancées pour résoudre le problème. Ils ont également utilisé une petite partie de l’argent pour relancer le développement de nouvelles technologies pour lutter contre le changement climatique. Pour le moment, les bonnes solutions au problème font actuellement défaut.
Pendant ce temps, les nations du monde ont émis environ 38,2 milliards de tonnes de dioxyde de carbone (gaz à effet de serre principal), soit une augmentation de 3% par rapport à l’année précédente. Ce taux devrait s’accélérer à mesure que les pays en développement comme la Chine et l’Inde brûleront plus de charbon et d’élargir leurs flottes de véhicules. En mai, les scientifiques ont constaté que le niveau moyen quotidien de CO2 dans l’atmosphère a dépassé 400 parties par million, un niveau jamais vu. Même si l’homme stoppait miraculeusement toutes les émissions de carbone la semaine prochaine, le problème du changement climatique va persister pendant des siècles. Une étude a révélé que 40% de la concentration maximale de CO2 restera dans l’atmosphère pendant un millier d’années après le pic atteint, et même alors, l’inertie dans les océans réchauffés ne permettra pas un retour rapide à des températures plus fraîches.
Les prévisions les plus optimistes pour le reste du siècle, cités par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat dans son rapport d’évaluation de 2007, prévoit une augmentation de 2,0 à 5,2 degrés d’ici 2100, alors que les plus pessimistes prévoient une hausse de 4.3 à 11.5 degrés. Les effets seront dévastateurs avec l’élévation du niveau de la mer, des tempêtes et des sécheresses de plus en plus graves, et la fonte des glaciers et du permafrost.
Compte tenu de ces conséquences prévues à long terme du réchauffement climatique, certaines stratégies de géoingénierie qui semblent offrir des contre-mesures relativement à action rapide pourrait devenir particulièrement attractives.
En 1992, Keith et son mentor Hadi Dowlatabadi, physicien et mathématicien appliqué, ont rédigé l’un des premiers documents évaluant les stratégies de géoingénierie. Aujourd’hui, le terme est souvent utilisé pour désigner à la fois l’élimination du CO2 de l’air (pour réutilisation ou pour le stockage dans des réservoirs tels que l’océan profond, voir « La capture du carbone» à la page 26), et de limiter la quantité de lumière qui atteint la terre en premier lieu (où elle peut être piégée dans l’atmosphère par les gaz à effet de serre et contribuent au réchauffement).
Ces deux stratégies pourraient être utilisées ensemble pour contrer le réchauffement climatique, mais elles n’ont pas les mêmes coûts et les mêmes risques. «Nous aurons une meilleure chance de concevoir une politique raisonnable si nous les traitons séparément, » at-il dit à un comité du Congrès en 2010. L’ampleur de la problématique du CO2 signifie que l’élimination du carbone « sera toujours relativement lente et coûteuse », a-t-il ajouté. Elle comporte certains risques locaux, mais n’a aucune chance de nuire à la planète entière. La géoingénierie solaire, quant à elle, pourrait avoir des résultats rapides à un coût étonnamment bas. (Selon des estimations récentes, la diffusion du soufre dans l’atmosphère afin de réduire les températures mondiales pourrait coûter quelques milliards de dollars par an. En 2006,le gouvernement britannique estimait que la réduction des émissions de 25% en 2050 coûterait environ 1% du PIB mondial annuel, soit environ 1 billion de dollars en 2050). Keith fait valoir que les coûts de la géoingénierie solaire sont si bas que le «coût ne sera pas une question décisive. » Au lieu de cela, dit-il, les scientifiques et les décideurs politiques devront peser les risques: « le risque de le faire contre le risque de ne pas le faire. »
Keith parle franchement sur les risques et les incertitudes de la géoingénierie solaire, reconnaissant un éventail de résultats possibles. «La prépondérance de la preuve suggère jusqu’ici que la géoingénierie solaire pourrait réduire les risques climatiques, mais la science utilisée trop tôt est peut-être un tort», dit-il. «Nous avons besoin d’expériences, pour évaluer ce qui ne fonctionne pas. » En outre, certaines recherches suggèrent que les aérosols sulfatés peuvent endommager davantage la couche d’ozone, un problème qui doit être étudié.
Alan Robock, professeur de sciences environnementales à l’université Rutgers, a soulevé d’autres préoccupations, la théorisation que le blocage des rayons solaires pourrait non seulement réduire la quantité d’électricité produite par l’énergie solaire, mais aussi de modifier les conditions météorologiques, qui pourraient déclencher des sécheresses généralisées. Keith ne trouve pas ces possibilités convaincantes. Il croit que l’énergie solaire pourrait n’être affectée que dans des «scénarios extrêmes» avec une utilisation très lourde de la géoingénierie solaire, et il dit qu’il n’a pas vu une analyse sérieuse qui prenne en compte la possibilité de sécheresse. Des études ont montré que les rendements pourraient augmenter dans certaines régions, parce que les plantes poussent plus efficacement sous une lumière diffuse, et l’excès de CO2 dans l’atmosphère pourrait avoir un effet fertilisant. Pourtant, une question essentielle demeure : la géoingénierie solaire n’aborde pas le danger sous-jacent des émissions de CO2, qui continueront à s’accumuler et créer d’autres problèmes, tels que l’acidification des océans, hautement nuisible pour les récifs coralliens et les autres espèces marines.
Surtout, les techniques actuellement proposées devront être appliquées progressivement. Cela présente des défis nécessitant que les diverses nations (et les groupes politiques au sein de ces nations) s’entendent sur des actions communes, choses qu’ils ont été largement incapables de faire lors de la négociation des traités pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. «Avec la géoingénierie solaire, à un certain niveau, vous avez juste à appuyer sur un bouton», dit Keith. « Cela exige une prise de décision collective au niveau mondial. »
Et pourtant, la géoingénierie solaire est d’un coût relativement faible et évoque la possibilité qu’une seule nation, ou peut-être un groupe de pays insulaires menacés par la montée des eaux, puissent agir unilatéralement pour en déclencher le processus. «Un petit groupe de personnes peut avoir une grande influence sur toute la planète», dit Keith. Mais il ne considère pas cela comme une menace inexorable.
Compte tenu de ces réserves, Keith déplore que certains journalistes et universitaires le dépeignent comme un meneur « techno-optimiste» pour ces technologies. La réalité, dit-il, c’est que je suis plein d’espoir au sujet de l’innovation technique », mais profondément pessimiste sur le comportement humain quand il s’agit de protéger le monde naturel. C’est pratique pour les critiques de me classer comme un booster dit-il, mais lui et ses collègues chercheurs dans le domaine » ont généralement été le premier à exprimer leurs préoccupations au sujet des risques encourus».
En 2007, Keith et Daniel Schrag, professeur de sciences de l’environnement et de l’ingénierie, et directeur du Centre Harvard pour l’environnement, a invité un groupe de spécialistes de l’environnement et de décideurs politiques à Cambridge pour un atelier d’une journée sur la géo-ingénierie. La réunion a eu lieu hors campus et fermée au public.
Keith et Schrag ont également invité trois journalistes scientifiques, qui ont été autorisés à écrire sur la discussion, mais ne pouvaient pas citer les participants sans leur consentement. Keith estime qu’il s’agit d’un moyen utile pour faire les premières réunions sur des sujets nouveaux et controversés. «Les gens ont besoin de temps pour comprendre», explique-t-il.
Ce n’était pas la première grande réunion sur la géo-ingénierie, mais elle a été la première à inclure des personnalités des sciences sociales et des décideurs. «Il y avait une excitation de se confronter à toutes ces questions hallucinantes », se souvient le professeur d’économie Martin Weitzman, un participant qui estime que la réunion a changé certains esprits. Il se souvient d’un éventail d’opinions : les participants qui pensaient que les technologies de géo-ingénierie devraient être utilisées comme une première ligne de défense contre le réchauffement climatique, d’autres qui se pensaient fortement que les scientifiques ne devraient même pas discuter de ces stratégies, et la plupart des gens rangés entre ces deux extrêmes. ». Les membres de la réunion ont estimé qu’il faudra se préparer à des situations d’urgence, telles que l’action unilatérale d’un État voyou. Ils appellent la géoingénierie « une proposition effrayante», mais ajoutent : «Il vaut mieux être informé que d’être pris au dépourvu …».
Keith lui-même a été particulièrement frappé par une remarque faite lors de cette conférence par Eliot, professeur à l’Université Lawrence Summers, qui a mis en garde contre la rétention d’informations sur les solutions au réchauffement planétaire, ni préjuger de la réaction du public à ces idées. «Ce n’est pas parce que nous sommes une classe scientifique que nous devons décider ce que le reste de la société est capable de gérer. Cette idée est vraiment obscène, et je pense que Larry a été très clair à ce sujet. »
Keith estime que la participation du public est indispensable à une conversation sur la géo-ingénierie, il reconnaît la nécessité d’éduquer le public à l’avance. Cela amène la question des essais sur le terrain à petite échelle. L’expérimentation est nécessaire pour déterminer si une solution aérosol est encore viable. Il travaille actuellement avec le professeur Weld (spécialiste de la chimie de l’atmosphère) pour développer un test qui enverrait un ballon d’hélium portant de petites quantités de soufre et de l’eau dans la stratosphère afin de surveiller la façon dont il affecte la couche d’ozone, des recherches antérieures ayant montré que le soufre et la vapeur d’eau réagissent avec les concentrations atmosphériques de chlore. L’expérience utiliserait seulement quelques kilogrammes de particules de sulfate et n’aurait aucun effet sur le climat. Son impact « serait probablement beaucoup moins nuisible qu’un seul vol commercial. »
Mais l’étude va être longue, en partie parce que ce type de recherche est très controversé. Certains critiques disent que les essais sur le terrain devraient être interdits car ils sont la première étape sur la pente glissant vers la géoingénierie solaire à grande échelle. Keithsouligne que lui et Anderson ne feront pas cette étude] sans une certaine approbation gouvernementale formelle et un financement public. »
En effet, il espère que l’étude, au-delà de ses objectifs scientifiques, permettra également de mettre en place une structure pour gouverner la recherche à petite échelle. Ce printemps, lui et Edward Parson de l’UCLA School of Law ont appelé à une surveillance gouvernementale sur la recherche en géoingénierie, ils pensent que l’autorégulation n’est pas suffisante pour gérer les risques. Mais au lieu d’un traité, ils suggèrent un ensemble non contraignant de normes émises conjointement par des organismes scientifiques aux États-Unis, en Europe et en Chine: « les principes raisonnables sur la façon de gérer les risques et sur la transparence et l’ouverture», explique Keith (voir  » Conseil d’géoingénierie Research, « page 26). Il aimerait aussi voir un moratoire international sur le déploiement à grande échelle. Sans une gouvernance largement acceptée, la recherche de terrain restera dans l’impasse. Les bailleurs de fonds ne soutiendront pas les expériences qui n’ont pas de système de surveillance.
En tant que leader dans son domaine, les conclusions de Keith vont parfois à l’encontre de la sagesse. Il souligne que de nombreux responsables politiques et des universitaires considèrent les solutions au changement climatique en termes de risques et de coûts, en comparant, par exemple, le coût des dommages climatiques au coût de réduction des émissions. « L’argent que nous dépensons en réduction des émissions permettra d’économiser de l’argent en dommages climatiques».
Certains chercheurs disent qu’ils espèrent que les technologies de géoingénierie solaire ne sont jamais déployées, mais Keith s’y oppose. Il espère susciter un débat plus nuancé. «Je pense qu’il y a beaucoup de choses qui font peur à propos de cette perspective, mais je ne vois tout simplement pas comment trouver une technologie potentiellement salvatrice qui aide à réduire le risque climatique qui est beaucoup plus terrible», dit-il. 

 
Titre original « Buffering the sun » Harvard magazine

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Une réponse à l’Age de Faire

Objet : Réponse à l’article : « Quand les avions provoquent les nuages« , parue dans le N°73 de juin 2013
Chers amis, ( je me permets ce qualificatif puisque nous avons en commun beaucoup de valeurs)

Enfer et stupéfaction ! je découvre dans le numéro de juin d’une publication que je respecte et qui m’a toujours semblé digne de confiance, un article signé Fabien Ginisty, qui réfute avec deux témoignages en tout et pour tout, les théories considérant que les expériences en géo-ingénierie ont bel et bien commencé dans l’espace Otan, et repousse d’un revers de main presque méprisant, les questions que se posent sérieusement des milliers de gens, sans compter certains responsables politiques, qui ont rassemblé d’innombrables preuves sur ce qu’ils voient se développer sous leurs yeux presque quotidiennement, et que l’on ne peut attribuer « à l’évolution naturelle du trafic aérien », ni « à la condensation normale des réacteurs qui se fait sous certaines conditions atmosphériques « .
Chers amis il n’est pas digne d’une enquête d’être ainsi bâclée, il n’est pas digne de vous de traiter ce sujet par dessus la jambe. Cela jette un discrédit sur la qualité journalistique de vos autres articles.
Faites une vraie enquête, croisez les témoignages, interrogez toutes les associations européennes qui se mobilisent depuis un temps certain et ont dernièrement tenu une assemblée spéciale à Bruxelles. Intéressez vous aux travaux de Mr David Keith du Calgary’s department of chemical and petroleum engineering de la Standford University, ou de Mr Ken Caldeira (et à leurs programmes soutenus par des institutions telles que le Council of Foreign Relations), ou encore à l’un de leurs contradicteurs Mr Allan Robock. Interrogez le Dr.Nikos Katsaros directeur de recherche au Centre National des sciences physiques Demokritos d’Athène et membre du Comité scientifique de l’Otan, intéressez vous au rapport de l’US Air Force « Owning the Weather in 2025 », au Space Preservation Act of 2001 – H.R. 2977 – Library of Congress USA, à la conférence AAAS de San Diego du 20/02/2010 etc…etc…etc…. La littérature sur le sujet ne manque pas.
Essayez de comprendre pourquoi nos dirigeants politiques fuient, bottent en touche ou jouent les demeurés dès qu’une question à ce sujet leur est posée, si ce n’est parce que la Convention ENMOD, par exemple, rend difficile l’officialisation de telles pratiques. Croyez moi le sujet mérite d’être traité en profondeur.
Vous trouverez, comme j’ai trouvé, des dizaines de témoignages (Skyguards, Tanker Enemy Italie, Acseipica, Chemtrail France, Belfort Group; chemtrail planet, Planète Bleue, evolution quebec etc…), qui vous diront et vous prouveront exactement le contraire de ce qu’affirment Messieurs Boucher et Masson. Alors ? C’est là où intervient la conviction du journaliste. Une fois que vous aurez fait cette enquête et rendu compte de tout ce que vous aurez vu et entendu, vous même et vos lecteurs serez à même de vous faire votre opinion. Pas avant, sinon c’est de la désinformation, une information parcellaire et partiale.
Cordialement.
Hélène Gherman
Didier Pioger
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ACSEIPICA – MANIFESTATION CONTRE LA GEOINGENIERIE – ACTION TRACTAGE – PARIS – MERCREDI 1er MAI 2013

ACSEIPICA – MANIFESTATION CONTRE LA GEOINGENIERIE
ACTION TRACTAGE – PARIS – MERCREDI 1er MAI 2013


SOYONS NOMBREUX ! ON COMPTE SUR VOUS !

ACSEIPICA dans la manifestation du 1er mai 2012 à Paris
 
Or donc, si vous voulez vous joindre à nous cette année, merci de prendre connaissance de ce qui est inscrit ci-dessous:
 
LIEUX DE RENDEZ-VOUS :

 

A 9H – PLACE DE LA BASTILLE, A L’ANGLE DE LA RUE DE LYON –

SUR LE TROTTOIR OPPOSE A L’OPERA BASTILLE.


 

A 13H CHANGEMENT DE PLACE !!!

Repositionnement de notre groupe –

RUE DU FAUBOURG SAINT ANTOINE –

sur le COTE GAUCHE de la Rue du Faubourg Saint Antoine en quittant la Place de la Bastille en direction de la Place de la Nation.

Lieu à définir sur place.


 
ORGANISATION
Noyau dur – Arrivée à 09h00

Récupération du matériel qui sera déposé en voiture Place de la Bastille, à l’angle de la Rue de Lyon, sur le trottoir opposé à l’Opéra Bastille.

09h15-09h30 – Montage / Fixation de la Banderole de 4 m sur la Place de la Bastille en hauteur si possible – Endroit à préciser.

09h30-09h45 – Distribution des quelques t-shirts bleu disponibles, des affiches plastifiées à fixer autour du cou et des paquets de tracts. Disposons de 16.000 tracts.

09h45– Début du tractage de façon organisée tout autour de la Place de la Bastille et à la sortie des gares du Métro (Lignes 1-5-8).

Attention !

Pas de tractage à l’intérieur des gares.

On ne laisse pas de liasses de tracts dans les magasins, ni sur des reposoirs.

Les tracts sont distribués en main propre, tout en regardant notre interlocuteur dans les yeux.

On explique notre ALERTE succinctement ; on se s’étend pas ni en bavardage, ni en argumentation sans fin ; on ne dérive pas vers d’autres sujets.

Pour les gens très curieux et tenaces, merci de les orienter vers l’organisateur (Dominique).

On renvoie les gens vers le blog de l’Acseipica pour en savoir plus.

Deux membres du groupe se relayeront pour rester à l’angle de la Rue de Lyon, sur le trottoir opposé à l’Opéra Bastille afin de maintenir un point de ralliement et surveiller le matériel tout en tractant.

12h -13h – Pause déjeuner.

Prévoir votre repas et boisson.

Attention : longue attente au niveau des toilettes publiques…

La place de la Bastille sera bondée!

13h – Changement de place –
Repositionnement de notre groupe –

RUE DU FAUBOURG SAINT ANTOINE –

sur le COTE GAUCHE de la Rue du Faubourg Saint Antoine en quittant la Place de la Bastille en direction de la Place de la Nation.

Lieu à définir sur place.

 

Repositionnement de la banderole face au cortège.

Reprise du tractage librement de 13h à 14h30 à partir de notre nouvel emplacement.

14h30 – 14h45

On se regroupe tous pour se positionner à contre courant par rapport au sens du cortège syndical sachant que leur départ est prévu à 15h.

Tractage intensif en mode fixe, chacun étant espacé de 3 à 4 m. et ce, de chaque coté de l’avenue jusqu’ à ce que tout le cortège soit complètement passé.

On ALERTE et on renvoie tout le monde vers le blog de l’association.

Une fois que tout le cortège syndical sera passé, l’avenue sera vide ; on se regroupe ;

on compte les paquets de tracts qu’il nous reste.

On récupère la banderole et on se replie en groupe, en direction de Place de la Nation, par les transports en commun, pour terminer la distribution des tracts jusqu’à épuisement du stock.

PREVOYEZ UN SAC A DOS – léger, résistant, de bonnes chaussures et éventuellement un  K-Way.

Prévoir un bout de doigt en caoutchouc antidérapant pour distribuer les tracts plus facilement !
Porter un T Shirt bleu profond du ciel, ainsi qu’une tenue correcte. Ne pas trop se couvrir.
Prévoir Masques à particules !!!

 

Merci de votre attention et de votre soutien.

Dominique



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Conférence au Parlement européen Bruxelles

« Au delà des théories de modification climatique

– la société civile contre la géoingéniérie »

au Parlement européen de Bruxelles le 9 avril 2013

présidée par Mme Tatiana Zdanoka (membre du Parlement, Estonie)

organisée par Mme Josefina Fraile (Espagne) et la plate-forme Skyguards

 

– Communiqué de presse précédant la conférence

Cette conférence s’inscrit dans la suite du travail commencé en 1998 par la Commission des Affaires étrangères de Sécurité et Défense du Parlement européen. Cette commission a abouti le 14 janvier 1999 à l’adoption d’une proposition de résolution sur la politique de l’environnement, de la sécurité et des affaires étrangères dont Mme Maj. Britt Theorin a été le rapporteur.

Cette résolution a été ignorée en dépit du fait que (1) elle exigeait une étude détaillée de ses conclusions quant aux expériences militaires menées dans l’atmosphère ; (2) qu’elle ait mis en avant la nécessité d’une protection de la population, de la santé publique et de l’environnement ; (3) et enfin, qu’elle ait souligné la nécessite de mettre à disposition des citoyens les moyens pour découvrir le but, la portée et la signification des activités menées au-dessus de leur tête.

Depuis lors, aucune mesure de transparence n’a été adoptée, bien que : (1) à l’évidence, l’atmosphère de la Terre est devenue le lieu d’expériences qui menacent la santé publique par des épandages clandestins d’aérosols dispersant des substances de composition non-révélée et en tout cas inconnue ; (2) par ailleurs, de plus en plus de recherches militaires sophistiquées se déroulent dans le non-respect du principe le plus élémentaire de précaution ; (3) de nouvelles armes se concentrent sur l’utilisation de l’ionosphère et des parties supérieures de l’atmosphère à des fins militaires (voir la technologie HAARP). Lire la suite

– Article de Giuletto Chiesa, ancien MEP (membre du Parlement)

Épandages aériens clandestins en Europe

– Andrew Johnson (en anglais): – Communiqué de presse officiel

– Rapport complet de la conférence

– Exposé

– Message de Peter Vereecke (fondateur du Belfort Group) aux politiciens, à la presse, aux météorologues, présentateurs météo, fonctionnaires d’état, en Belgique (en anglais)

– les effets des épandages aériens toxiques et clandestins sur la santé humaine, la flore et la faune  Diaporama de Désirée Röver (Pays Bas) – en anglais

*Toute la conférence en vidéo 

(sous-titres en allemand; intervenants en français parties 7 et 8)

 

Des documents du gouvernement américain relient le réchauffement climatique global aux techniques militaires de pointe de modification du climat.

Des documents de 1966 révèlent que la mission de modifier le climat est confiée aux militaires et aux agences fédérales.

Article original: chemtrailsplanet.net

Ci-dessous traduction des titres de l’article.
Une relecture de cette traduction et une traduction intégrale seraient fort bienvenues. Merci de votre contribution.

«La science du réchauffement climatique est établie », citation d’Al Gore .

– Plans présents et futurs des agences fédérales en matière de modification du climat.
– L’évolution d’un programme R&D (?) de modification du climat en système d’armement militaire. Une critique de 1986 sur les initiatives de 1966.

Réchauffer l’Arctique avec des projets de géoingéniérie à grande échelle est la vision des industriels depuis 100 ans et l’est toujours.

Vous souvenez-vous de l’époque où l’on pensait que réchauffer l’Arctique était une bonne idée ?
Vous souvenez-vous de l’époque où les scientifiques pensaient que réchauffer l’Arctique était une bonne idée ?

Si réchauffer l’Arctique est considéré comme bon pour le commerce depuis 100 ans, pourquoi la découverte que le dioxyde de carbone fait déjà le travail gratuitement a été soudain considérée comme une catastrophe à prévenir ?

Pourquoi un optimisme de plusieurs décades dans le réchauffement de l’Arctique a t-il soudainement fait place à une campagne de crainte et de menaces pour l’avenir à cause des conséquences du réchauffement de l’Arctique sous l’appellation « réchauffement global », est une question qui reste largement inexpliquée.

Depuis 1958 le Congrès et les militaires travaillent sur des systèmes de guerre climatique exotique qui comprennent la manipulation électromagnétique de la ionosphère.


Il est inacceptable que l’ONU et le GIEC (IPCC) continuent à promouvoir le CO2 comme cause du changement climatique mais refusent d’admettre que les militaires sont activement engagés dans les technologies d’armes de réchauffement climatique.

– Des documents de 1966 révèlent comment les militaires et les agences fédérales modifient le climat global.

En 1962, les efforts de la géoingéniérie pour réchauffer l’Arctique étaient encore un amusement mais en 1966 l’empêcher de se réchauffer d’un seul degré est devenu la première des priorités.

De cette inversion de conduite soudaine -entre promouvoir l’intervention sur le climat de l’Arctique et prévenir le réchauffement global- a résulté l’idée que les deux (le CO2 et les armes de réchauffement climatique) polluaient l’atmosphère ET devenaient une source de réchauffement global.

Les aérosols de la géoingéniérie réchauffent l’atmosphère et sont une source de réchauffement climatique.

Les propositions de géoingéniérie pour réchauffer l’Arctique sont remplacées par la peur du réchauffement climatique.

Au delà de « Être maîtres du temps en 2025 »

Le monde est en train de s’éveiller aux crimes d’état de réchauffement et catastrophes climatiques par la combinaison des armes électromagnétiques et des épandages d’aérosols.

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Lettre ouverte à ceux dont le métier est d’informer

Le 31 janvier 2013
Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’information
Sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques
 
 
 
 
            Vous êtes journalistes.
Aujourd’hui, plus personne ne s’étonne de constater que la presse soit en profond déclin tandis qu’une information alternative circule de manière exponentielle sur Internet.
Nous sommes des « citoyens militants de l’information » ; des indépendants déterminés qui n’attendons aucune rétribution en retour de nos efforts. Nous avançons dans notre lutte contre la désinformation. Nous sommes motivés essentiellement  par l’inquiétude au sujet de notre environnement et de ce qu’il en adviendra pour nous et nos enfants.
 
            Il y a des sujets qui ne sont quasiment jamais abordés dans les médias de ce début de XXIe siècle, et les lecteurs potentiels ne s’y trompent pas. L’un de ces sujets nous concerne tous : il s’agit de la MANIPULATION DU CLIMAT.
 
            Sur ce sujet pourtant « brûlant », souvent systématiquement taxé du terme inapproprié de  « théorie du complot », les articles et émissions de radio sont vraiment trop rares et s’en tiennent la plupart du temps à la version officielle : «on nous dit qu’il faut agir contre le réchauffement climatique, qu’il faut empêcher la hausse des températures»…L’incapacité des gouvernements à respecter le protocole de Kyoto, les prévisions de réchauffement climatique et le lobbysme des industriels qui ralentissent l’expansion des énergies propres amènent à passer par une autre solution, non avouable, la géo-ingénierie.
 
            Pourtant, derrière ces accusations de « théories », il y a matière à sensation :
certains faits ont déjà été rapportés : les très officielles PLUIES ARTIFICIELLES des gouvernements chinois et russes, ou le ciel bleu spécialement réservé aux jeux olympiques Coréens de 2008. 
            En 2012, la Banque Mondiale a fait l’injonction, largement sous médiatisée, d’intervenir rapidement et à l’échelle mondiale afin d’éviter jusqu’à 4°C de réchauffement d’ici 2030.
            Etrangement, les moyens ne sont pas présentés dans le rapport. Quels sont  donc ces moyens ?
 
            Vous, journalistes, de par votre profession, vous avez accès aux informations sur ce sujet ainsi qu’à celles ayant trait aux missions du GIEC et au projet américain militaro-climatique HAARP.
            Quand vous commencerez à mener vos enquêtes sur ces sujets encore « tabous », vous découvrirez peut-être l’existence de très nombreux brevets, déposés depuis les années 30, concernant les manipulations de l’environnement, en particulier de l’atmosphère,  et les techniques d’épandages d’aérosolspar avions.
Dans la palette de la géoingéniérie, il y a : le stockage de carbone –jugé coûteux et difficile, l’ensemencement des océans –de même – et la modification de l’atmosphère grâce à l’usage  d’épandages aériens à grande échelle, cette dernière technologie étant déjà expérimentée depuis plusieurs décennies.
            Dans de très nombreux pays, sans que les citoyens n’en soient informés, le ciel est fréquemment quadrillé par des avions aux interminables traînées blanches ou brunes qui s’étalent lentement et sont infailliblement suivies d’un ciel laiteux. Phénomènes filmés, photographiés par des centaines de milliers d’observateurs intrigués et inquiets de par le monde, et dont les effets sont ainsi décrits dans les émissions météo: « trainées d’avions », « nouveaux types de cirrus », « ciel voilé », « chute – ou hausse- brutale des températures ». Ce phénomène se perpétue intensément en France depuis plus de dix ans.
             Ces épandages d’aérosols sont communément appelés « CHEMTRAILS».
 
            Des chemtrails que l’on retrouve jusque dans les décors des publicités, films et documentaires et  qui sont depuis plus de dix ans le sujet enflammé de centaines de groupes Facebook et de sites internet à travers le monde entier.
           
 
            Comment avec tous ces éléments, peut-on encore parler de « théorie » alors que la géo-ingénierie est déjà une techno-science officielle ?
Et qu’elle est déjà largement appliquée dans notre ciel ?
Les médias de nombreux pays étrangers sont plus loquaces que les français sur le sujet.
 
Nous sommes une association forte de plusieurs centaines d’adhérents et nous relayons plus de 200 groupes Facebook et des centaines de sites internet animés par des citoyens inquiets qui se battent pour connaître la vérité, distribuent des tracts et diffusent des vidéos.
            Nous, les militants d’Internet, nous constituons déjà une FORCE populaire
            Vous n’ignorez pas que des artistes pop de renom en parlent : Prince, Beck, et d’autres, nouveaux, exposent sur des clips vidéo alarmants.
 
Les conséquences de tels épandages sont encore bien plus graves que les particules dans les gaz d’échappement des moteurs diesel, l’amiante ou certains médicaments et vaccins. À la pollution atmosphérique « normale » des résidus de combustion des réacteurs s’ajoute celle de ces « aérosols » qui, selon les analyses d’eau de pluie effectuée par nos soins et par nos pairs de divers pays contiennent des quantités notables et croissantes d’aluminium, de baryum, de métaux lourds et polymères divers…
            Les conséquences empiriques que nous avons observées sont : chaleur accrue par beau temps, luminosité plus blanchâtre et éblouissante qu’autrefois, dessèchement des sols, dépérissement des massifs forestiers …  Les épandages d’aérosols ont donc des conséquences ENVIRONNEMENTALES, ESTHETIQUES ET SANITAIRES proprement scandaleuses et dramatiques.
            Que des gouvernements, probablement associés au monde de la haute-finance supranationale (qui est en train de couler nos nations), investissent dans de tels projets est proprement inacceptable et antidémocratique.
 
           
 
Une population croissante est en attente d’une information moins consensuelle. Une véritable information sur le sujet attirerait certainement de nouveaux lecteurs et éviterait la fuite des abonnés de la presse écrite et de ses clones numériques.         
 
            Comme tout un chacun, vous appréciez un ciel bleu avec les jolis nuages de vos meilleurs souvenirs de jeunesse ?
            Vous n’aimeriez pas, vous et vos proches, vous sentir floué par une désinformation qui cacherait une véritable boite de pandore de risques sanitaires inimaginables ?
 
            Nous avançons dans l’enquête et nous apprécierions que vous nous souteniez : que ce sujet ne soit plus tabou, que le débat soit ouvert, et qu’avec vous nous puissions poursuivre l’investigation sur ce brûlant sujet d’urgence sanitaire.
 
Cordialement,
ACSEIPICA /
Des citoyens militants.
 

http://acseipica.blogspot.fr/

 
·        Références et liens
 
PS :
 
– Notre démarche vous évoquera peut être l’opération « Parapluie » au Québec dans les années 50-60. C’est en tous cas une référence intéressante sur deux points : la preuve que l’ensemencement des nuages fait déjà partie de l’Histoire des sciences et qu’un mouvement citoyen a réussi à l’enrayer, temporairement.
– De nos jours, d’innombrables citoyens souhaiteraient témoigner sur le sujet mais ont peur d’être discrédités. Les épandages aériens systématiques à toutes les altitudes sont rapportés en Amérique du Nord depuis 1995  et le début des années 2000 dans tous les pays d’Europe et de l’OTAN.
 

 
 

 

Clifford Carnicom, des réflexions inédites

Article de James F Tracy, retraçant le parcours de Clifford Carnicom paru sur la Newsletter de Global Research, Canada:

Chemtrails aerosol geoengineering and bioengineering – a massive biological experiment of unknown purpose

Traduction de quelques extraits (si vous avez une meilleure traduction à proposer, merci de poster un commentaire):

because the system of responsible government has failed, the immediate collective efforts of citizens are necessary “to claim their rights upon this planet.”
Comme la responsabilité gouvernementale est en faillite, l’effort collectif immédiat des citoyens est nécessaire « pour clamer leurs droits sur cette planète ».

“There’s a personal journey everyone has to take about the reality of this,”
Admettre cette réalité est pour chacun une démarche intérieure.

Après avoir rappelé les faits officiellement connus d’opérations d’épandages toxiques sur la population américaine par l’US Army ces dernières décennies …
With such instances in mind the question is no longer, “Would the government partake in such human experimentation that may be injurious or fatal to its own population?” It is instead, “What safeguards and systems of accountability exist that would prevent the government from using members of the general population as unwitting lab animals?”
Une fois que l’on a cela en mémoire, la question n’est plus, « le gouvernement participerait à une telle expérimentation humaine qui peut être nuisible ou mortelle à sa propre population ? » Elle est à la place, « quels sauvegardes et systèmes de responsabilité existent qui empêcheraient le gouvernement de se servir des membres de sa population comme animaux de laboratoire inconscients ? »

Drawing a conclusion to his remarks on the GlobalSkywatch call, Mr. Carnicom responded to an attendee articulating frustrations shared by many conscious and concerned citizens. “How do we get this to stop? How do we get the government to respond to us?”
En conclusion, M. Carnicom répond à un argumentaire de frustrations partagées par beaucoup de citoyens conscients et intéressés : « Comment faire pour que ça s’arrête ?
Comment faire pour que le gouvernement nous réponde ? »

“Ask not what your country can do for you. Ask what you can do for your country.”
Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous. Demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.

The second thing is that our world has been transformed now. Normal things don’t work. Frustration does not eliminate the call for duty that exists upon each of us … This is more a level of consciousness and awareness; of planting a seed, but the level that is going to be required is so different in this world than anything that has been imagined in terms of the demand for the right to a healthful and peaceful existence on this planet. It’s going to have to happen at a level that we’re not thinking of right now because the normal processes are not working. The Million Man March doesn’t cut it. I wish that I could answer simply what it is going to be. But it is going to [require] a shift in consciousness and awareness that is so forthright and direct that all of the games and manipulations–and the business of three, four, six companies controlling the media–no longer works and no longer applies. I don’t want for it to be decades in our future.

La deuxième chose est que notre monde est maintenant transformé. Les choses normales ne fonctionnent pas. La frustration n’élimine pas l’appel au devoir qui tire chacun de nous vers le haut … Il s’agit plutôt d’un niveau de conscience et d’attention ; la conscience de semer une graine, mais le niveau qui va être exigé est très différent de tout ce qui a été imaginé en ce monde en termes de demande de droits à une existence saine et paisible sur cette planète. Il va devoir se produire à un niveau auquel nous ne pensons pas en ce moment parce que les processus normaux ne fonctionnent pas. .. J’espère que je pourrais répondre simplement à ce qu’il va être. Mais il va requérir un décalage dans la conscience et l’attention, si (droite et) direct que tous les jeux et manipulations – et les affaires des trois, quatre, six sociétés qui commandent les media – ne fonctionneront plus et ne s’appliqueront plus. Je ne voudrais pas que ce soit dans des décennies.

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SPICE, le projet officiel de géoingéniérie en Grande Bretagne, annulé

D’après les tweets sur la page daccueil de HOME (Hands Off MotherEarth), il est clair que les nouvelles sont déjà connues :  SPICE est à l’eau, ses tuyaux ne cracheront pas.  
Mais au cas où vous l’auriez manqué : le 15 mai, le chercheur responsable de linjection stratosphérique de particules du projet dingénierie du climat a annoncé quun essai pratique prévu lié au projet n’aura pas lieu. Lintention était de tester le matériel qui pourrait être utilisé pour injecter des aérosols dans la stratosphère afin de  bloquer la lumière du soleil de manière à refroidir artificiellement la planète, une forme « de gestion du rayonnement solaire. »

Tous ceux qui ont exprimé leur opposition à l’expérimentation de la géoingéniérie depuis septembre dernier y compris ceux qui ont signé la lettre ouverte de la campagne HOME aux bailleurs de fonds de SPICE demandant son annulation devraient se sentir entendus. (La lettre ouverte, signée par plus de 70 organismes de partout dans le monde, peut être trouvée ici.)

Le responsable de SPICE a invoqué des questions de gouvernement et un conflit d’intérêt potentiel comme raisons principales d’annulation de cet essai pratique pas argument, bien quil y ait bien plus de raisons de sopposer à SPICE. À savoir, la géoingéniérie est globalement dangereuse, c’est une erreur conceptuelle et elle est contreproductive.Ce qui est sûr, cependant, c’est que lannulation de SPICE ne signale pas la fin de la géoingéniérie ni des essais pratiques pour examiner sa faisabilité.Dautres expériences réelles sont déjà en travaux.Il y aura un bon nombre de devoirs (jeu de mots « HOMEwork ») dans un avenir proche !

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