Le film "Bye bye blue sky" suites

Récapitulatif historique de la « modification du climat »

Après sa diffusion sur la chaîne de TV suisse RSI2, le film de Patrick Pasin a suscité quelques réactions hostiles, niant le phénomène.

Voilà ce qu’écrit le réalisateur Patrick Pasin aux dirigeants de cette chaîne:

Messieurs,

Les messages que vous avez reçus après la diffusion de « Bye Bye Blue Sky » ne sont pas une surprise pour moi. Quels que soient les éléments objectifs que l’on peut apporter, par exemple les analyses du sol telles celles que j’ai fait réaliser à Paris ou le fait que l’armée française ait acheté 10 tonnes de sulfate de baryum, vous recevrez toujours ce type de messages de gens qui s’auto-proclament « debunkers ».

J’enquête sur les questions climatiques et les chemtrails depuis plus de 7 ans. J’ai lu des dizaines de livres, d’études et de rapports sur la question. En janvier, j’ai terminé la rédaction d’un livre dont le titre est « La Manipulation du climat par les militaires ».

La « modification du climat » (c’est le terme officiel) possède déjà une longue histoire. Le premier essai officiel remonte aussi loin que 1891, avec l’expérience dans les Staked Plains au Texas conduite par le Général Dyrenforth. Le Congrès américain alloua alors la somme de 10 000 $, mais arrêta au bout de deux ans compte tenu des faibles résultats (j’ai acheté des journaux de l’époque pour connaître les détails de ces opérations).

La pulvérisation de produits chimiques dans le ciel par les militaires présente aussi une longue histoire. La première tentative de modification du climat à bord d’avions est certainement celle qui se produisit aux Etats-Unis en 1924, lorsque le Army Air Service équipa 2 avions selon les instructions du Dr Emory Leon Chaffee, un physicien de Harvard. Les militaires américains ne sont pas les seuls à avoir tenté ces expériences : les Russes, les Chinois et certainement d’autres ont aussi essayé. J’ai lu, par exemple, que l’armée chinoise avait répandu du deolin en 1930 au-dessus de Hong-Kong afin de combattre la sécheresse.

Ce n’était que le début, mais tout commença vraiment après 1946 et la découverte par le Dr V. Schaeffer de General Electric qu’en déversant de l’iodure d’argent dans les nuages, cela déclenchait des précipitations. Des milliers d’expériences ont été réalisées à travers le monde, dont bien sûr par les militaires. Pour les Etats-Unis, les recherches initiales furent principalement confiées à la Naval Aionr Weapons Stati à la base de China Lake, en Californie du Nord.

Pulvériser des produits chimiques dans le ciel devint une affaire courante pour les militaires américains (et les autres), par exemple dans la lutte contre les ouragans, avec notamment les projets de longue durée Cirrus (1947-1952) et Stormfury (1961-1983). 

Officiellement, la première utilisation de produits chimiques pour modifier le climat comme arme de guerre se produisit pendant le Vietnam, sous le nom de code « Operation Popeye ». De 1967 à 1972, près de 2 700 vols furent effectués pour répandre ces produits au-dessus du Vietnam et du Laos. Presque jusqu’à la fin de l’opération, les militaires réussirent à la garder secrète. Elle ne fut révélée qu’en 1971, ce qui aboutit à une audition devant le Congrès des Etats-Unis le 20 mars 1974 (cette audition ainsi que les détails de l’opération Popeye sont présentés dans un petit livre officiel intitulé  »Prohibition of weather modification as a weapon of war: Hearing before the Subcommittee on International Organizations of the Committee on International … first session, H. Res. 28 … July 29, 1975 » – j’ai ce livre, évidemment).

J’ai indiqué que le Pentagone n’est pas le seul à avoir pratiqué ces épandages chimiques : les Anglais l’ont fait aussi. La BBC, par exemple, a révélé en 2001 que l’inondation soudaine qui dévasta en 1952 la petite ville de Lynmouth, faisant 34 morts, était due à des expériences menées par la RAF sous le nom de code « Operation Cumulus

 (http: //www. uagrdian.co.uk/uk/2001/aug/30/sillyseason.physicalsciences). Malgré les preuves apportées par la BBC, le gouvernement nia sa responsabilité et refusa l’ouverture d’une enquête officielle.

Modifier le climat est une chose, empoisonner les populations en est une autre. En 1997, à la demande du Congrès, le National Research Council (NRC) publie un rapport stupéfiant, dont le titre est « Toxicological assessment of the U.S. Army’s zinc cadmium sulphide dispersion tests ». Il est expliqué que 40 ans plus tôt, dans les années 50 et 60, l’armée américaine déversa à partir d’avions, du toits des immeubles et de véhicules mobiles, un composé de sulfure de cadmium-zinc et de micro-organismes au-dessus de trente-trois zones urbaines et rurales des Etats-Unis et du Canada, dans le cadre de tests de guerre bactériologique. Des villes aussi importantes que Minneapolis et St. Louis furent visées. Bien évidemment, le NRC et ses experts concluent dans leur rapport que ces expériences ne présentaient aucun danger pour la population. La lecture complète du rapport démontre plutôt le contraire. Signalons que les militaires déclarèrent ne plus savoir exactement où furent conduites ces opérations et que la plupart des dossiers a disparu…

Nous apprenons aussi dans ce rapport que les mêmes expériences contre la population et l’environnement furent menées à la même période en Scandinavie et au Royaume-Uni, pendant près de 40 ans ! Le journal The Observer enquêta sur le sujet (à lire sur le site de The Guardian http://www.guardian.co.uk/politics/2002/apr/21/uk.medicalscience). « Beaucoup de ces tests consistaient à disperser des produits chimiques et des micro-organismes potentiellement dangereux au-dessus de vastes zones habitées, sans en avoir informé préalablement les populations. »

Les conséquences furent terribles, mais de nouveau, comme aux Etats-Unis, des experts distingués conclurent quatre décennies plus tard que ces expériences étaient sans danger pour la population et l’environnement. Et tout fut classé définitivement.

Tandis qu’ils aspergeaient les gens aux USA, en Angleterre et ailleurs, bien évidemment des « experts » et des « savants » expliquaient que ces traces dans le ciel étaient absolument normales. Par exemple, le journal américain The Free-Lance Star du 6 Mai 1972, explique que « les contrails familières souvent laissées par les avions volant à haute altitude peuvent persister pendant une longue période sous certaines conditions. » 

De même, dans le livre Clouds of the World: A Complete Color Encyclopedia publié en 1972, il est expliqué dans le chapitre 11 – Condensation trails, que ces traînées persistantes sont tout à fait normales. Dans les films et les séries TV américains de l’époque, on en voit parfois. Un exemple flagrant : l’épisode n°25 de la première saison de ZORRO, diffusée en 1957-58 (il n’y a eu que deux saisons). Vous verrez ces traînées, tout particulièrement pendant la course. Elles sont manifestement persistantes, car elles apparaissent, mais (heureusement) pas les avions qui les ont produites…

Dans son livre « Planet Earth, The Latest Weapon Of War », le Dr Rosalie Bertell écrit que « les Etats-Unis et le Canada collaborent à des expériences de modification du temps depuis 1958. […] Le Programme Churchill CRM (Chemical Release Modules) comprenait différents composés du baryum, dont de l’azoture de baryum, du chlorate de baryum, du nitrate de baryum, du perchlorate de baryum et du peroxyde de baryum. Tous sont combustibles et la plupart sont destructeurs de la couche d’ozone. Dans un programme de 1980, environ 2 000 kg de produits chimiques furent déversés dans l’atmosphère, incluant 1 000 kg de lithium. Le lithium est un produit chimique hautement réactif qui est ionisé très facilement par les rayons du soleil. Ceci augmente la densité des électrons dans les couches basse de l’ionosphère et crée des radicaux libres qui sont hautement réactifs et capables de produire d’autres changements chimiques.

[…] J’ai interrogé un jour le conservateur de la bibliothèque du Parlement du Canada pour savoir s’il existait des comptes-rendus officiels sur les conséquences de ces expériences. Il me fut répondu qu’il n’y avait aucun problème d’ordre environnemental étant donné que les scientifiques menant ces expérimentations n’en avait mentionné aucun et qu’il n’y avait pas de tollé de la part du public. Evidemment, puisque le public ne savait pas que les couleurs magnifiques qu’il observait dans le ciel pouvaient avoir été causées par des expériences. »

Pour ceux qui essayeraient de nous faire croire que ces expériences n’existent plus, voici un extrait d’une correspondance récente avec le Dr Rosalie Bertell :

« Le 19 septembre 2010, l’U.S. Navy a effectué un tir de fusée de sa base en Virginie pour créer des nuages artificiels d’oxyde d’aluminium à environ 800 kilomètres au-dessus de la côte Est des Etats-Unis. Les nuages naturels les plus élevés se situent autour de 80 km. L’ombre nuageuse gigantesque a ainsi généré une neige précoce sur la côte Est. […] Le plan original prévoyait aussi un test au-dessus de Singapour. L’U.S. Naval Reserve a retiré de son site les informations sur ce projet lorsque j’ai commencé à en parler. Qui sait ce qu’ils peuvent bien manigancer d’autre ? »

Ainsi que je l’ai indiqué ci-dessus, j’ai écrit un livre sur le sujet, donc évidemment je pourrais en ajouter encore sur ces expériences et opérations militaires devenues monnaie courante depuis plus de 60 ans. Qui peut encore avancer que tout cela n’existe pas ? Qu’il s’agit de « théorie du complot » ? Chacun peut vérifier toutes les informations ci-dessus, car elles proviennent de rapports officiels et de grands médias comme la BBC et The Guardian.

Parlons maintenant du film. J’ai évidemment interviewé des scientifiques (dont un météorologue membre distingué du GIEC), qui m’ont expliqué que les chemtrails n’existent pas et que tout est contrail. Lorsque, durant l’interview, je leur ai demandé s’ils avaient effectué des analyses de quelque sorte que ce soit pour étayer leurs propos, leur réponse fut naturellement négative. En fait, ils n’ont pas du tout étudié le phénomène : ils connaissent la « réponse officielle » et se contentent de la délivrer. Ce n’est plus de la science mais de la politique.

De même, lorsque je leur ai demandé comment expliquer la présence de baryum à la surface des bacs à sable à Paris et dans les endroits où apparaissent régulièrement ces traînées, ils n’avaient pas d’explication…
Et je ne parle pas mêmes des 10 tonnes de baryum achetées par l’armée française : aucun expert ou scientifique n’a été en mesure de me fournir une explication plausible quant à leur utilisation… Et je rappelle, ainsi qu’il est mentionné dans le film, que les militaires ont retiré l’information de leur site immédiatement après ma visite et le fait que je l’aie enregistrée. Pourquoi ?

Donc ces scientifiques que j’ai interviewés ne sont pas dans le documentaire : porter une blouse blanche et être qualifié officiellement de scientifique n’est pas suffisant, encore faut-il avoir travaillé sur le sujet pour être pertinent. C’est un respect minimum dû au public. De plus, la « réponse officielle » est déjà dans le film, puisque je cite cet extrait de la brochure de l’US Air Force affirmant que les chemtrails sont un « hoax », un canular. Je me suis donc clairement centré sur les scientifiques qui ont étudié le phénomène de ces traînées persistantes et depuis plusieurs années.

Certains emails que vous avez reçus tentent de jeter le discrédit sur eux. Est-il vraiment utile d’y répondre ? Le Dr Rosalie Bertell est une grande Dame, avec tant de références, de réalisations, de récompenses ! En juin dernier, elle a de nouveau été invitée à s’exprimer aux Nations Unies sur les questions de désarmement. Elle a dirigé la Commission médicale internationale de Bhopal, qui a enquêté sur les conséquences de cette catastrophe en Inde, elle a organisé la Commission médicale internationale à Tchernobyl, elle a travaillé sur le projet de guerre des étoiles de Reagan, etc., etc. Elle est l’une des rares scientifiques cités dans le Rapport Theorin (1999) du Parlement européen, que chacun devrait avoir lu.

Les références et les réalisations du Dr Nikos Katsaros sont également impressionnantes. De plus, il écrit et s’exprime sans relâche sur le sujet, y compris devant les parlements et les institutions qui l’invitent régulièrement. Quant au Dr Coen Vermeeren, en tant qu’expert en aéronautique, il est totalement engagé dans ce sujet sur lequel il enquête depuis des années avec tous ses efforts et son humilité.

De l’information documentée peut être trouvée partout. La chaîne allemande RTL9 a diffusé un reportage (http://www.youtube.com/watch?v=RWsQ2KnIvH0&feature=more_related) où des météorologues menés par Karsten Brandt ont obligé l’armée allemande à reconnaître qu’elle avait répandu des produits chimiques dans le ciel en  2005 et 2006.

De nombreuses analyses sont disponibles sur Internet (http://www.carnicom.com/flame1.htm). Ce qu’explique le Dr Hildegarde Stanninger est incroyable : elle a fait réaliser des analyses qui montrent au Texas et ailleurs que les substances trouvées dans des chemtrails et sur des patients souffrant de la maladie des Morgellons sont les mêmes (http://morgellons-info.blogspot.com/2010/11/morgellons-intervista-alla-dottoressa.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+MorgellonsDiseasetankerEnemy+%28Morgellons+Disease+%28Tanker+Enemy%29%29

Les contrôleurs aériens commencent aussi à parler (lire l’article de William Thomas, qui enquête depuis longtemps sur le sujet des chemtrails, sur http://www.rense.com/general20/cc.htm).

Vous pouvez aussi lire ce qu’en dit le Dr R. Michael Castle : « Au cours de ce siècle, nous pensons que nous assistons à la fin progressive et délibérée du système naturel de la Terre. Il y a ceux qui « débunquent » / désinforment tout ce qui est écrit au sujet des chemtrails. De quoi s’agit-il ? Les chemtrails ne sont que la vague description, en termes profanes, d’un théâtre bien plus vaste de produits toxiques déversés dans l’atmosphère / la stratosphère, pour une myriade de programmes bruts et toxiques. »

Je pourrais ajouter tellement d’autres informations, mais j’arrête la liste, car ce texte est déjà long. J’espère qu’il vous aidera. Ainsi que je l’ai indiqué au début, vous pouvez l’utiliser comme vous le souhaitez.

Pour finir, je voudrais saluer votre courage et votre sens des responsabilités. Espérons maintenant que le public fera pression sur les hommes politiques pour qu’ils obligent les militaires à arrêter tout ça.

Bien cordialement,

Patrick Pasin

Producteur et réalisateur de « Bye Bye Blue Sky »

LES RESOLUTIONS DE NAGOYA (Conférence des Parties d’octobre 2010)

Le président de la COP, Ryu Matsumoto, adoptant le protocole historique de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation.

Bulletin des Négociations de la Terre

Vol. 9 No. 544 Page 23 Lundi 1er novembre 2010

Compte rendu complet

Extrait concernant la géo-ingénierie

«Tuvalu, les Philippines, le Costa Rica, le Groupe africain, la Suisse, le Groupe Alianza Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América (ALBA), la Grenade, Greenpeace, Climate Alliance et ETC Group ont demandé qu’aucune géo-ingénierie ne soit entreprise jusqu’à ce qu’une base scientifique suffisante la justifie et que les risques associés soient considérés. 

Les Philippines ont également proposé d’insérer un libellé sur la nécessité urgente d’un cadre réglementaire global et transparent pour la géo-ingénierie. 

Le Brésil a proposé d’autoriser les activités scientifiques à petite échelle et dans les limites de la juridiction nationale. 

Le Japon a noté que certaines activités de géo-ingénierie pourraient être bénéfiques pour la biodiversité et le changement climatique. 

La Fédération de Russie a demandé la suppression d’un libellé sur la géo-ingénierie. 

Les délégués ont ensuite discuté: d’une définition ou d’une compréhension de la géo-ingénierie; la formulation d’un moratoire de factoet une exception pour la recherche scientifique.

Au sujet de la définition, les délégués ont discuté d’une compréhension préliminaire de la géo-ingénierie, faisant référence aux technologies de réduction de l’insolation ou l’augmentation de la séquestration du carbone de l’atmosphère et débattant du point de savoir s’il y a lieu d’exclure explicitement la capture et le stockage du carbone (CSC). Finalement, les délégués ont accepté, dans le groupe des Amis du Président, d’insérer, dans une note de bas de page, une compréhension de la géo-ingénierie, sans préjudice à de futures délibérations sur la définition, à l’exclusion du CSC à partir de combustibles fossiles lorsqu’il capture le dioxyde de carbone avant qu’il ne soit libéré dans l’atmosphère. 

Au cours des discussions du GT

I, la Bolivie a demandé de préciser que l’exclusion du CSC ne peut pas être interprétée comme une acceptation des activités de géo-ingénierie dans le projet de décision, acceptant par la suite de noter simplement cette préoccupation dans le rapport de la réunion.

Concernant le moratoire de facto, les délégués ont débattu du point de savoir s’il devait être levé après la création d’un mécanisme global, transparent et efficace de réglementation et de contrôle. Ils ont finalement décidé de mentionner l’absence de tels mécanismes, mais ont chargé le Secrétariat d’une étude des lacunes dans les mécanismes mondiaux pour examen par l’OSASTT, en tenant compte que ces mécanismes peuvent ne pas être les mieux placés au titre de la CDB. Les délégués ont ensuite discuté de la façon de qualifier le moratoire, acceptant en fin de compte de se référer aux “activités de géo-ingénierie liées au climat qui peuvent affecter la biodiversité,” conformément à l’approche de précaution et l’article 14 de la CDB (Évaluation de l’impact et réduction des effets indésirables).

S’agissant de l’exception faite pour la recherche scientifique, les délégués ont débattu du point de savoir s’il faut demander qu’elle soit effectuée dans un environnement “clos” et “contrôlé”, dans les limites de la juridiction nationale, sous réserve d’une évaluation préalable des impacts potentiels sur l’environnement, et justifiée sur la nécessité de recueillir des données spécifiques. Ils ont finalement convenu de se référer à un “environnement contrôlé” et à l’article 3 de la CDB pour s’assurer que les activités relevant de la compétence ou du contrôle des parties de la CDB ne causent pas de dommages à l’environnement d’autres États ou au-delà de la juridiction nationale. »

Commentaire de Claire:

Nous avons ainsi découvert qu’en fait, les pays avaient jusqu’au 1er février 2012 pour signer le protocole incluant ce moratoire sur la géoingéniérie dont il est bien effectivement question. La France l’a signé fin 2011 puis ratifié le 31.08.2016. Liste des pays signataires

Donc cela contredit ce qui était dit dans le message « compte rendu du meeting d’Athènes« , ci-dessous, comme quoi, on pouvait interpeller nos représentants sur la base de ce protocole qu’ils étaient censés avoir signé: ce n’est pas encore fait. Mais peut être peut-on faire un peu pression sur eux pour qu’ils le signe … 

Et puis après, entre ce qui est signé et ce qui est appliqué, tout le monde connait la différence. Mais quand c’est signé, c’est signé. Quand même ! 

COP10 : Tenth Meeting of the Conference of the Parties to the Convention on Biological Diversity
https://enb.iisd.org/biodiv/cop10/

La dixième réunion de la Conférence des Parties (COP 10) à la Convention sur la diversité biologique (CDB) s’est tenue du 18 au 29 octobre 2010 à Nagoya, au Japon, et a rassemblé plus de 7 000 délégués. Après d’intenses sessions nocturnes marquées par de nombreuses délibérations parallèles et des négociations de dernière minute sur l’APA, le plan stratégique et la stratégie de mobilisation des ressources, un « paquet » impressionnant a été adopté, faisant de la CdP 10 l’une des réunions les plus réussies de l’histoire de la Convention: le protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation ; le plan stratégique de la CDB pour la période 2011-2020 ; et une décision sur les activités et les indicateurs pour la mise en œuvre de la stratégie de mobilisation des ressources. Enfin, la réunion a adopté une décision équivalant à un moratoire de facto sur la géo-ingénierie, pris position sur la question de la biologie synthétique, affirmé le rôle de la CDB dans la REDD+, adopté le code de conduite éthique Tkarihwaié:ri et établi des mesures claires pour accroître la coopération entre les conventions de Rio jusqu’au sommet Rio+20.

Le président Matsumoto a clôturé la COP 10 à 2h59 du matin le samedi 30 octobre 2010.

Photo ci-dessus : Le président de la COP, Ryu Matsumoto, adoptant le protocole historique de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation.

Rapport Case Orange traduction intégrale en français

Case Orange, la première étude scientifique menée de manière indépendante par des experts de l’aéronautique qui fait le point sur les épandages aériens.
Un document de référence pour tout dossier que nous pouvons envoyer à nos élus ou autres.

– Version originale en anglais  
Version intégrale en français (traduction de Monique Degueldre)
Le document, de 38 Mo avec toutes les annexes est téléchargeable ICI (s’il n’est plus en ligne -cela peut arriver si personne ne le télécharge pendant un mois – nous en faire part, nous le remettrons).
Vous pouvez aussi le télécharger sur cette page

Il a été présenté pour la première fois au symposium de Gand pour la vérité sur les épandages aériens, le 29 mai 2010, organisé par le


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Où est passé le réchauffement climatique ?

Jean Paul Jody, auteur de la BD « La route de Gakona » – une fiction très bien documentée à propos de Haarp vient de publier sur son blog la partie 1 d’une rétrospective assez exhaustive sur les différents points de vue sur le climat et leur évolution.
Où est passé le réchauffement climatique ?

Parlement de CHYPRE: un rapport du Dr. Nikos Katsaros

Transmis par Wayne Hall (Grèce) Enouranois
 
« Le 7 Octobre 2010, au Parlement de Chypre, j’ai rencontré la Commission Parlementaire sur l’Environnement.
Le sujet était « Les chemtrails et HAARP ». Il y avait 9 membres du Parlement qui représentaient tous les  partis et 11 hauts fonctionnaires de l’Etat:  
– des Ministères: – Affaires Etrangères -Défense -Agriculture -Santé Publique
– de la Direction:  -de la Météorologie Nationale -de l’Aviation Civile -des Eaux 
– et un représentant de la base militaire britannique d’Akrotiri. 
Participait également un comité de citoyens contre les chemtrails. 
 
J’ai parlé au Parlement des chemtrails et de leurs possibles effets sur la santé humaine et sur l’environnement  . et surtout des techniques expérimentales qui permettent de détecter  les ingrédients chimiques présents dans  les chemtrails.  
 
Ces propositions ont été unanimement approuvées et il y a eu accord pour passer à la mise en œuvre. « 
 
Merci NIKOS !
 
Comme quoi  il n’y a pas de honte ni de crainte à avoir à soulever ce sujet et que des instances d’état commencent à prendre sérieusement l’affaire en considération.
 

What in the world are they spraying ? DVD

Désolée c’est en anglais…

Couverture du DVD du film  « What in the World are They Spraying »
A commander sur https://realityzone.com/product/what-in-the-world-are-they-spraying/

LE FILM: https://www.acseipica.fr/le-film-what-in-the-world-are-they-spraying/

Voir aussi

Les méthodes de géo-ingéniérie pour réduire le réchauffement mondial

Notez bien que l’argument du réchauffement climatique global 

prétendument dû au CO2 et autres gaz à effet de serre 

sans mention de la vapeur d’eau 

qui est pourtant, sur Terre, le premier agent et de loin, de l’effet de serre,

est en lui-même un énorme HOAX 

qui masque les effets de chauffage de l’atmosphère

par les installations HAARP et consorts.

Voir le diaporama « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ». 

A télécharger ICI

Article  en anglais sur ACSEIPICA yahoo groupe.
Source: http://www.alterinfo.net/La-geo-ingenierie-atmospherique_a50099.html

Institute of Science in Society, Julian Rose, 20 septembre 2010

Un rapport anonyme confirme que des expériences de manipulation météorologique et climatique ont été effectuées par la Zunie (Etats Unis) et ses alliés durant les dernières décennies.

Les traînées chimiques (chemtrails) dévoilées

 Beaucoup de soupçons ont été suscités au cours des dix dernières années par les formations nuageuses inhabituelles et les sillages anormaux de jet dans la haute atmosphère [*]. J’ai personnellement été témoin de centaines de jours d’ingénierie de traînées et de nuages par des jets, à la fois au Royaume-Uni et en Pologne. Cependant, il s’est avéré être extrêmement difficile d’avoir des informations de source officielle sur le phénomène. Sur interrogation, la réponse normale est : « il ne se passe rien d’anormal. »
[* Ndt : La nature anormale de ce phénomène ressort du fait que c’est en gros seulement depuis la fin des années 90 que l’on peut voir le ciel défiguré par des chemtrails persistants, sans que la densité d’avion n’ait changé notablement.]

  Il s’avère que c’est très loin de la réalité. Bien que la plus grande partie de cet article se focalise sur une seule affaire récente de recherche professionnelle sur ce sujet, des centaines de documents à la fois officiels et officieux explorent et exposent les agissements loufdingues de l’aviation civile et militaire, chargées quotidiennement depuis quasiment dix ans de pulvériser couche après couche des substances toxiques sous forme de traînées d’aérosols chimiques dans le ciel au-dessus de nos têtes.

   Les épisodes d’épandage ne sont pas signalés par les médias et les gouvernements gardent le silence. Cette collusion, qu’elle soit intentionnelle ou non, nous maintient dans l’obscurité au sujet d’une grande expérience de géo-ingénierie qui a pour effet de desservir notre santé et de perturber gravement l’environnement naturel. Et, sans Internet, nous n’aurions rien su.

 Le Groupe Belge basé à Belfort a rassemblé plus de sept ans de recherche et d’enquête sur les faits et les activités qui sont devenues largement connus sous le nom « chemtrails. » Le 29 mai 2010, lors d’un symposium international à l’université de technologie Delft à Gand, le Groupe de Belfort a demandé au Dr Coen Vermeeren, ingénieur principal en aéronautique, de prendre la parole sur la question. Vermeeren a établi sa présentation sur un rapport scientifique de 300 pages intitulé [1] « Case Orange: Contrail Science, Its Impact on Climate and Weather Manipulation Programs Conducted by the United States and Its Allies » (Affaire Orange : Sciences des traînées de condensation, impact sur le climat et la météo des programmes de manipulation conduits par la Zunie et ses alliés). Selon Vermeeren, les auteurs du rapport sont « un groupe de scientifiques ou d’initiés qui ont choisi de rester anonymes. »

      Dans son exposé, le Dr Vemeeren reconnaît franchement l’existence des traînées persistantes. » Il dit :

     « Nous savons aussi que les chemtrails existent parce que nous faisons des pulvérisations, pour les cultures, par exemple, et nous savons qu’ils sont faits à des fins militaires. Les chemtrails ne sont donc pas nouveaux. Nous le savons. »

De la manipulation météo à la géo-ingénierie

      Le rapport Case Orange révèle l’existence de documents disponibles au public, indiquant que diverses formes de géo-ingénierie sont en cours depuis « au moins 60 ans. » Les premiers exemples incluent « les opérations du Royaume-Uni d’ensemencement des nuages au-dessus de l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale et les tentatives de la Zunie pour débusquer les Vietnamiens du Nord pendant la guerre du Vietnam. C’est toutefois pâle comparé à l’ampleur des activités actuelles.

      La controverse sur les effets potentiellement nuisibles sur l’environnement et la santé humaine de ce genre d’agissement a conduit à l’interdiction des armes de modification environnementale (En Mod), sous les auspices de « La Convention des Nations Unies sur l’interdiction des techniques de modification de l’environnement à des buts militaires ou à toute autre fin hostile » en 1987. Il n’est pas clair si cette interdiction a été encore pleinement appliquée. Pourtant, l’intérêt envers l’En Mod a rapidement pris de l’importance lorsque l’alarme du réchauffement mondial et des questions environnementales associées insistantes ont attiré l’intérêt scientifique mondial [2].

      Le rapport Case Orange cite un certain nombre de brevets zuniens concernant l’invention d’un « dispositif spécifique de génération de traînée, destiné à produire une traînée de poudre dotée d’une capacité de diffusion de rayonnement maximale pour un poids donné de matière. Afin de produire une traînée stable ayant une période de latence pouvant atteindre une à deux semaines, » la substance dispersée se compose de 85 pour cent de particules métalliques et 15 pour cent de silice colloïdale et de gel de silice.

      Puis, en 2009, la publication d’un rapport intitulé « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement mondial, » a complété l’affaire de stratégies de géo-ingénierie [3]. Tout cela a été déclaré dans l’intention de créer une couche de nuages réfléchissants, capables de renvoyer les rayons du Soleil pour empêcher le réchauffement indésirable du climat terrestre. Le rapport indique que les conclusions du GIEC appuient la proposition décrite dans le brevet Hughes Aircraft 1991 relatif à l’ensemencement stratosphérique pour réduire le réchauffement mondial. Ce brevet a ensuite été acheté par Raytheon, l’entrepreneur privé de la défense du gouvernement zunien. C’est la même compagnie qui a obtenu le contrat de construction de HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) à Gakona, en Alaska.

Le complexe militaro-industriel pour le contrôle complet de la météo contre le réchauffement climatique

      HAARP est un grand réseau de 180 antennes qui projette de puissantes impulsions électromagnétiques dans le but de réchauffer un point particulier de l’ionosphère terrestre. Cela a pour effet de créer des fréquences électromagnétiques qui peuvent être réfléchies en des endroits désirés de la Terre, en provoquant de graves perturbations de la météo et des milieux géophysiques, même profondément sous terre [4, 5]. HAARP peut fournir jusqu’à 3,6 milliards de watts, élever la température de l’ionosphère à plus de 50.000 degrés et « soulever une zone de 30 kilomètres carrés de l’ionosphère, et altérer de cette façon les systèmes de pression localisés ou même modifier le trajet du jet-stream. »
[Ndt : Cela pourrait-il expliquer le blocage du jet-stream à l’origine des étranges conditions météo en Russie et au Pakistan cet été ?]

      Le rapport Case Orange cite la preuve que Raytheon pourrait développer une capacité à « exercer une forme de contrôle complet de la météo, » une situation ayant une ressemblance marquée avec les ambitions déclarées de Monsanto à « contrôler la chaîne alimentaire. » Il convient de noter qu’il existe actuellement plus de 500 brevets de plantes génétiquement modifiés « climate ready » (adaptées au climat) en attente d’approbation de licence à Washington et à Bruxelles. Selon leurs créateurs, les semences et les plantes génétiquement modifiées « climate ready » promettent d’être capables de produire une récolte à la fois dans des conditions d’inondation et de sécheresse.

      Le « Groupe ETC », des droits de l’homme et de la surveillance de l’environnement, décrit ainsi l’évolution de la géo-ingénierie atmosphérique : « Le déploiement du « Plan B » (une référence au recours à la géo-ingénierie, si les autres mesures visant à réduire les émissions devaient être jugées inefficaces) est habilement exécuté : des comités éminents parrainés par des groupes de prestige, une avalanche d’articles évalués par les pairs dans les revues scientifiques et, dans les pays nordiques, des hommes politiques alignés pris de panique, hochant nerveusement la tête pour acquiescer tandis que les scientifiques attestent du « besoin de rechercher le Plan B. »

      Rady Ananda déclare à la fin de son document [6] : « Avec des détails tels que les pulvérisations horaires du gouvernement, les commandes de produits chimiques, la nomenclature exacte utilisée dans les manuels d’exploitation des services aériens et les appels des économistes en faveur de la géo-ingénierie, Case Orange concorde au rapport publié en 1996 par le personnel militaire supérieur de Zunie, intitulé « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » [7] à l’appui de sa notion de « forte implication des gouvernements au plus haut niveau dans des projets de contrôle du climat. » Ananda continue [6] : « Maîtriser la météo en 2025 fournit un calendrier précis du recours aux techniques En Mod en coopération avec l’Association de Modification Météorologique, un groupe en affaire avec le gouvernement qui promeut les effets bénéfiques du recours aux modifications de l’environnement [8] 

  • 2000-2025, usage de produits chimiques dans l’ensemencement atmosphérique fait par l’aviation civile (et militaire) 
  • 2004, grâce à la nanotechnologie, création de nuages intelligents ayant un accroissement exponentiel, à partir de 2010
  • 2005, introduction de poussière noire de carbone. »

L’ONU engagé dans le combat de géo-ingénierie contre le climat

      En 2007, l’Organisation météorologique mondiale (de l’ONU) a publié une déclaration incluant des « Directives de planification des activités de modification de la météo. » Ce document implique clairement les Nations Unies dans le projet de conduite des activités de pulvérisation d’aérosols à grande échelle.

      Dans une partie du rapport Case Orange portant sur « le strict nécessaire de la géo-ingénierie grâce à la création de nuages pour la survie de la planète, » les auteurs déclarent : « Notre équipe d’enquête arrive à la conclusion que les programmes de maîtrise du climat, contrôlés par les militaires, mais approuvés par les gouvernements, sont discrètement mis en œuvre afin d’éviter le pire cas de figure qu’ils veulent éviter. Les deux instruments de base sont la maîtrise de la température, grâce à la création de nuages artificiels, et la manipulation de l’ionosphère, grâce à des dispositifs de chauffage.

      « Tous deux restent essentiellement des systèmes militaires de combat avec l’option de lancer l’offensive si nécessaire. Toutefois, étant donné que plusieurs systèmes de chauffage ionosphérique sont installés en divers endroits du globe, on peut supposer qu’il existe une large coopération entre gouvernements afin d’atteindre l’objectif climatique d’ici à 2025 : le contrôle de la météo et de la planète. »

      Les systèmes de pulvérisation semblent organisés en combinaison logique pour que l’ensemble de l’Europe soit couverte en une période de trois jours. Des cartes colorées de l’Europe indiquent à quel moment doit s’effectuer chaque opération.

      Dans la section intitulée « Recommandations » du rapport, les auteurs déclarent : « Les chemtrails persistants ont un impact dévastateur sur les écosystèmes de la planète et la qualité de vie en général. » Les auteurs appellent à la divulgation complète au public des activités actuelles du En Mod, ainsi qu’au respect de tout règlement de l’aviation civile.

Moratoire sur les activités de géo-ingénierie

      Donnée encourageante, en réponse à l’intérêt politique envers la géo-ingénierie comme moyen de contrôle du climat, le sous-comité de la Convention des Nations Unies sur la biodiversité a proposé en mai 2010 un moratoire sur les activités de géo-ingénierie [9]. Cette proposition sera entendue à la dixième Conférence des Parties en faveur de la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique à Nagoya, au Japon, en octobre de cette année (2010).

      Le rapport Case Orange indique en outre que la Zunie permet de tester en plein air des armes chimiques et biologiques. Cela annule le droit civil mentionné plus haut dans cet article. Les auteurs paraphrasent ainsi la loi permissive : « Le ministre de la Défense peut effectuer des essais et des expériences impliquant l’utilisation d’agents chimiques et biologiques sur les populations civiles. » Il semble que des soucis de « sécurité nationale » peuvent servir au président pour rejeter les considérations environnementales et de santé publique. Est-ce la même chose en Europe ?

      J’ai fourni une vue d’ensemble du témoignage principal découlant du rapport Case Orange. Elle apporte une contribution importante pour ouvrir les ordres du jour secrets qui n’ont sans cela pas leur place dans une démocratie auto-déclarée. Parmi d’autres rapports conséquents, il y a un document important du Dr Ilya Perlingieri, intitulé « Conséquences des aérosols de métaux et produits chimiques sur la santé humaine » [10]. Mme Perlingieri déclare : « Ces dix dernières années, des tests indépendants sur des chemtrails dans tout le pays ont montré un dangereux brouet très toxiques contenant du baryum, des particules nanométriques d’aluminium recouvertes de fibre de verre (connues sous le nom de CHAFF), du thorium radioactif, du cadmium, du chrome, du nickel, du sang desséché, des spores de moisissure, des mycotoxines de champignons jaunes, du dibromure d’éthylène et des fibres de polymère. Par sa toxicité le baryum peut être comparé à l’arsenic [11], et il est connu pour affecter le cœur. L’aluminium a la réputation d’endommager la fonction cérébrale. » Je n’ai pas besoin d’ajouter que le dibromure d’éthylène est un pesticide agricole hautement toxique.

      Maintenant que nous partageons cette information, nous devons agir en conséquence. Il est vital de soutenir le moratoire qui sera présenté en octobre au Japon. Écrivez à votre député pour lui dire que ces activités mondiales ne sont pas des balivernes de « théories du complot, » et qu’elles se déroulent sans consultation du public et sans aucun effort de mise en garde de leurs répercussions éventuelles.

Références

1. Discours du Dr Coen Vermeeren au symposium de l’université de technologie Delft, le 29 mai 2010,
www.ustream.tv/recorded/7299427

2. « L’organisme scientifique supérieur demande le ‘’plan B’’ de géo-ingénierie, » Catherine Brahic : New Scientist, 1/9/2009,
www.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-bodywww.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-body

3. Mitchell DL et Finnegan W. « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement climatique. » Lettres de la Recherche Environnementale, 30 octobre 2009,
iopscience.iop.org/1748-9326/4/4/045102

4. « À propos de HAARP dans un article de Belitsos, » Radical Wisdom, 14 juillet 2010,
radwisdom.com/2010/07/14/chemtrails-aerosol-madness-above-the-earth/

5. Pour en savoir plus sur HAARP, voir : « Maîtriser la météo mondiale, » du professeur Michel Chossudovsky, Global Research,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=319

6. « La géo-ingénierie atmosphérique : manipulation météo, traînées de condensation et chemtrails, » de Rady Ananda, 30 juillet 2010,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=20369

7. Colonel Tamzy J.House, et autres, « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » ministère de la Défense, Air Force zunienne, 17/06/1996. Publié publiquement en août 1996. Reproduit à la Fédération des scientifiques zuniens :
www.fas.org/spp/military/docops/usaf/2025/v3c15/v3c15-1.htm

8. Site Internet de Weather Modification :
www.weathermodification.org/

9. Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, « Examen approfondi des travaux sur la biodiversité et les changements climatiques, » projet de recommandations, Convention sur la diversité biologique, Programme environnemental des Nations Unies, UNEP/CBD/SBTTA/l.9, 15/05/2010.
www.cbd.int/doc/meetings/sbstta/sbstta-14/in-session/sbstta-14-L-09-en.pdf

10. « Conséquences des métaux et des aérosols de produits chimiques toxiques sur la santé humaine, » Ilya Perlingieri, 12 mai 2010,
https://911nwo.com/2015/01/21/chemtrails-the-consequences-of-toxic-metals-and-chemical-aerosols-on-human-health-part-i-perlingieri-2015/

11. Voir Pesticide Action Network North America (PANNA)
www.pesticideinfo.org/Detail_Chemical.jsp?Rec_Id=PC41174

Original: www.i-sis.org.uk/atmosphericGeoengineering.php
Traduction copyleft de Pétrus Lombard


Envoyé par supahumandignity dans SupaHumanDignity le 9/24/2010 12:59:00 PM

Le baryum

Barite ou sulfate de barium

Tout savoir sur le baryum, une excellente référence

Et ci-dessous quelques extraits de wikipedia. N’hésitez à cliquer sur les liens.
Le baryum est un métal alcalino-terreux mou argenté qui fond à haute température.

Son nom vient du grec barys: lourd.


On ne trouve pas le baryum sous la forme d’élément natif en raison de sa très grande réactivité avec l’oxygène.

On le trouve et l’extrait de la nature à partir de la barite ou  barytine (BaSO4).
La barite (BaSO4) est une espèce minérale composée de sulfate de baryum .

Dans la nature, on le trouve aussi dans le benstonite (Ba, Sr)6(Ca, Mg, Mn)7(CO3)13, le norséthite BaMg(CO3)2, le sanbornite (BaSi2O5) et le withérite (BaCO3) ou carbonate de baryum.

withérite ou carbonate de barium

C’est une pierre des plus denses: à volume égal, un caillou de withérite (que l’on appelle communément « barite » pèse plus lourd qu’un caillou d’une autre espèce !.

Son oxyde BaO est appelé baryta ou baryte anhydre. On le trouve principalement aussi dans la barite  à égale quantité avec le sulfate de baryum.

Or, comme la barite est pratiquement complètement insoluble, on ne peut pas l’utiliser directement pour la préparation des autres composés du baryum – métal, ces composés que l’on appelle aussi les « sels » de baryum..
Voir la liste de ces composés.
La barite n’est soluble que dans l’ acide ioddydrique HI[1] et dans l’acide sulfurique H2SO4 concentré chaud.

L’abondance du baryum est de 0.0425 % dans la croute terrestre et de 13 µg/L dans l’eau de mer. .

Les composés du baryum sont toxiques.  A faibles doses, le baryum est un stimulant musculaire alors que des doses plus fortes affectent le système nerveux, causant des irrégularités cardiaques, tremblements, faiblesse, anxiété, dyspnée et paralysie. Cela peut être dû a sa faculté de bloquer les chaînes d’ions potassium, agents du système nerveux. Cependant, les réponses individuelles aux sels de baryum sont très variables: le nitrate de baryum, par exemple est pratiquement sans effets sur certains, alors que d’autres tombent malades d’en manipuler de faibles quantités.
– Nocivité du carbonate de baryum, voir 
– Page sur le chlorure de baryum et sa nocivité
– quelques pistes de plus

Le baryum a des propriétés magnétiques. Il est utilisé dans la fabrication des aimants de haute performance.
Voir par exemple :
http://www.cnrs.fr/cnrs-images/physiqueaulycee/iiemagne.html

Comme cela est souvent évoqué, on peut se demander si les épandages de ses sels n’ont pas pour effet, sinon pour objectif  d’étendre les effets de HAARP et consorts. Mais qu’est-ce qu’ils bricolent ?
Ce qui est sûr, c’est que depuis que je vois des épandages, par beau temps, le voile créé, génère un effet de serre local. Je sais que la vapeur d’eau est le premier agent de l’effet de serre, donc je me dis: pomper l’eau du sol – avec des sels – et la maintenir en suspension dans l’atmosphère, crée donc un effet de serre. Cela coupe la circulation énergétique sol-ciel, si bien expliquée dans le livre d’Alick Bartholomew « Le génie de Victor Schauberger »
Les questions que je me pose:
1- est-ce que tous les sels (en termes de chimie, un sel est un composé ionique de cations et d’anions formant un produit neutre et sans charge nette- voir article) absorbent l’eau ?
2- est-ce que l’effet réchauffant produit par les réchauffeurs électromagnétiques que sont HAARP, SURA, EISCAT… et masqué par l’incrimination du CO2 dans le soit-disant « réchauffement climatique », a pour but de limiter la population en l’empoisonnant et en empoisonnant tout l’écosystème (il ne restera que les super-résistants) ou si cela est un effet secondaire d’une volonté de faire fondre la calotte polaire nord afin de libérer les voies maritimes dans un intérêt commercial.
La poule ou l’œuf ?
Ou alors si ce n’est qu’un sac de nœuds produit par l’ignorance la plus crasse de l’essentiel: la vie …
Merci de vos contributions
Claire

Témoignage d’un pilote et chimiste

Merci pour votre combat car il est juste et vrai !
Ciel de Marseille 16 nov 2009 16h35
Depuis plus de 3 ans j’observe régulièrement les épandages des avions de l’OTAN qui déversent des tonnes de methylamine d’aluminium et de sels de baryum dans le ciel de Marseille.
En tant qu’ancien pilote (privé) je sais qu’il ne s’agit pas de trainée de vapeur d’eau des avions de lignes et de plus ces avions « épandage » ne suivent pas du tout les couloirs aériens assignés à l’aviation civile.
En tant que spécialiste des risques chimiques (mon ancien métier) je sais aussi faire parfaitement la différence entre la vapeur d’eau naturelle et des produits fabriqués par l’industrie humaine.
Je prends aussi régulièrement des photos que je compare avec les images de satellites en IR (infrarouge) ce qui permet de mieux voir encore les « trainées ». Je vous signale d’ailleurs que le site de METEOSAT 7 a changé depuis 3 mois le « contraste » de ses images, ce qui atténue énormément la visibilité des « trainées » !!!
Météosat 4 juin 2009
 
Sans jouer les « Amateurs de Complots » ou les « X files » je suis persuadé qu’il y a bien une « conspiration du silence » en haut lieu !
J’ai posé la question à un député de la région qui siège à la commission d’éthique scientifique de l’assemblée nationale. Réponse (en résumé !) : On n’est au courant de rien ! Circulez il n’y a rien à voir ! Tout ceci est le fruit de votre imagination !
J’avais pourtant parlé du danger pour l’organisme des sels d’Al et de baryum, j’avais parlé des problèmes liés à la propagation des ondes électromagnétiques au travers de ces produits chimiques, j’avais parlé d’un « effet de serre » qu’engendre ces nuages la nuit (donc l’inverse de l’effet escompté semble t-il !). Bref personne n’y croit !
Je trouve qu’il est de notre devoir d’avertir la population du risque qu’elle court (à court terme) de par cette idée stupide (énormément coûteuse et dangereuse) de vouloir tenter de modifier le climat de l’hémisphère nord avec ces épandages basés sur les divagations de quelques pseudo scientifiques (en mal de notoriété et de moyens financiers pour exister).
Cordiales salutations
Alfestino
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