Analyses d’eau de pluie 2019-2020

avant et après confinement

  • Faites par le laboratoire Qualio de Besançon (agréé COFRAC) depuis 2012; échantillons recueillis par Laurent Bernard: recherche de métaux lourds dans l’eau de pluie par analyse de l’échantillon liquide et des particules de fond de bassine (résidu sec) dans des échantillons relevés toujours au même endroit.
    • Laurent a fait analyser un échantillon prélevé en décembre 2019 ; puis un nouvel échantillon en mai, après 2 mois de confinement, sans circulation aérienne ni épandages ou si peu…
  • Voilà les comparaisons pour l’échatillon liquide (mesures en microgrammes ou miligrammes) :
    • sensiblement égal pour le magnésium, le potassium, cérium, gadolinum, titane, lanthane,
    • 2 fois moins d’aluminium,
    • un peu moins de fer,
    • environ 2 fois plus d’argent, d’arsenic, de barium, de cadmium, de chrome, cobalt, plomb, lithium, manganèse, nickel, strontium, calcium, gallium.
    • 6 fois plus de cuivre,
    • 9 fois plus de zinc

L’augmentation de ces taux nous interpelle … Pourquoi y a t-il davantage de baryum, strontium, etc … dans cet échantillon liquide alors qu’il y a eu moins de circulation aérienne et moins d’épandages ?

  • Mais voilà les comparaisons pour le résidu sec (mesures en miligrammes ou grammes ; il faut toutefois noter que le laboratoire déclare avoir une trop faible masse d’échantillon et donc un fort taux d’incertitude ; mais le poids de résidu sec  n’est pas mentionné) :
    • 150 fois moins de cobalt
    • 130 fois moins de cadmium
    • 60 fois moins d’argent, de bismuth
    • 40 fois moins d’arsenic, de nickel,
    • 30 fois moins de lithium
    • 3 fois moins de calcium
    • environ 2 fois moins de baryum, de manganèse, potassium
    • un peu moins de magnésium
    • 1,5 fois plus de zinc, de fer, de titane
    • environ 4 fois plus de cuivre
  • On constate avec l’analyse du résidu sec qu’il y a beaucoup moins de métaux lourds après ces deux mois de calme …

A comparer avec les taux donnés dans l’article de l’Institut d’astrophysique de Zurich (metionné dans le film Overcast) pour les résidus de combustion des avions de ligne (sachant que le carburant qui les alimente est enrichi en métaux lourds -depuis 2008 afin qu’ils contribuent à « l’effort d’épandage » même s’ils n’en font pas délibérément) http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et ceux de ces analyses d’échantillons prélevés en vol en Italie http://www.acseipica.fr/analyses-dechantillons-de-poussieres-fines-prelevees-en-altitude/

In fine, pour comprendre la chimie qui s’opère dans les épandages, il faudrait se pencher sérieusement sur le manuel de cours pour les pilotes de l’US Air Force datant de 1991, intitulé « chemtrails », origine du nom. Qui aura le courage de mettre ce pain sur sa planche de travail (200 pages en anglais mais surtout des formules) ? http://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2013/11/chemtrails-chemistry-manual-usaf-academy-1999.pdf

Autres analyses

Une analyse de poils de chien dans le Cantal par une association paysanne révèle la présence de baryum mais contact difficile avec cette association qui ne veut pas que cela s’ébruite.

D’autres analyses avaient été menées sur des poils de chèvre en Haute-Loire en 2009-2010 par notre regretté Jean Claude Bourdon, vétérinaire et membre de l’ACSEIPICA, décédé en 2013, qui avaient également révélé la présence de baryum dans le poil de ces chèvres qui vivaient à l’air libre sur des causses déserts.

« La planète Terre, ultime arme de guerre » de Rosalie Bertell, tome 2

16 mai 2020: vient de paraître

1ere de couverture
4e de couverture

Il apparaît sur le site de la Fnac : https://livre.fnac.com/a14745467/Rosalie-Bertell-La-Planete-Terre-ultime-arme-de-guerre-tome-2#ficheResume

Nous ne voulons plus payer le tribut aux « seigneurs de la guerre »


Pétition de l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques  – ACSEIPICA    www.acseipica.fr


Pétition déposée dans le Grand Débat ainsi que dans le Vrai Débat

Nous ne voulons plus payer le tribut aux « seigneurs de la guerre », cette coalition internationale d’intérêts des gros consortiums militaires, pétroliers, chimiques et banquiers au profit de laquelle les états de l’OTAN, pour le moins, ont aujourd’hui perdu leur souveraineté.

STOP aux épandages aériens de substances toxiques pour lesquels nous payons par notre travail, par nos taxes et par notre santé !!! (voir notre pétition « épandages aériens STOP »)

Nous voulons la clarté sur ces opérations aériennes généralisées, clandestines mais flagrantes, qui lacèrent et polluent le ciel avec des traînées persistantes, émises à toutes les altitudes de notre mince couche d’atmosphère et sur le financement de ces opérations.

Respirer de l’air sain ! De l’eau non empoisonnée, un climat naturel ! Il faut pour cela exposer enfin la vérité sur les opérations militaires, et maintenant civiles sous couvert de « géoingéniérie », qui depuis plus de 60 ans détruisent à nos frais la planète, sols, mers et atmosphère, lever le voile sur les caisses où s’engouffre le fruit de notre travail, où disparaissent nos taxes. L’arrêt des épandages aériens dégagerait des sommes si colossales qu’on aurait de quoi de quoi restaurer largement le pouvoir d’achat pour tous ! On arrive au paroxysme de la logique de guerre: cette revendication portée unanimement, fera tomber toute la corruption du système, car nous sommes tous concernés pour le simple fait d’être en vie … si vous êtes vraiment décidés et disposés à un monde meilleur ! Pour plus d’information, lire:       

La planète Terre, ultime arme de guerre Dr Rosalie Bertell, éditions Talma

A diffuser largement

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Magazine NEXUS n°118 – Changement Climatique : Vérités – Mensonges – Manipulation

Notre association vous recommande vivement le n°118 (septembre /octobre 2018) de l’excellent magazine NEXUS.

Extrait de l’édito :

« Dans ce numéro détonant, nous bousculons quelques idées reçues et dogmes bien ancrés concernant le changement climatique qui ne manqueront pas de vous interroger. La remise en cause du moindre aspect du discours sur le climat est souvent taxée de fake news, apparaît même hérétique, et suscite parfois en retour un tel déchaînement de violence verbale que plus aucun échange ne semble possible. Non, nous ne confondons pas le discours « climatiste » avec l’impérieuse nécessité de préserver notre écosystème et l’environnement. Critiquer le premier ne veut pas dire abandonner le second. C’est en ce sens que nous faisons le pari d’explorer les arguments qui divergent, ceux qui font tache dans un tableau climatique que l’on nous impose telle une vérité religieuse. Nous tentons la confrontation des arguments avec une autre grille de lecture : celle des anomalies scientifiques, du sensationnalisme médiatique, du business du marché CO2 et de la manipulation militaire. Oui, les armées jouent bel et bien un rôle dans cette histoire. Géo-ingénierie et intérêts militaires ont depuis longtemps réalisé une jonction très dangereuse pour la sécurité et la liberté des peuples sur Terre. La manipulation du climat est devenue une arme terriblement efficace et c’est la plus grande omission médiatique et politique ! »…

Vous pouvez vous procurer ce n° en kiosque et sur le site : www.nexus.fr

Eau de pluie, rapport d’analyse du 9 juillet 2018

Rapport d’essai Qualio18-07 09

Nous poursuivons régulièrement depuis 2012 des analyses d’eau de pluie prélevée à Miserey Salines dans le Doubs, qui sont effectuées par le laboratoire Qualio de l’Université de Franche Comté, agréé COFRAC.
Le dernier rapport, que voici a été édité le 9 juillet et porte sur un prélèvement effectué le 11 juin (2018).

Rapport d’essai Qualio18-07 09

C’est le deuxième pour lequel nous faisons faire une analyse beaucoup plus détaillée: elle porte sur 27 éléments dans l’eau de pluie directe et sur 18 éléments dans les sédiments de fond de bassine.
On peut constater le taux hallucinant de l’aluminium dans l’eau de pluie directe: 329 microgrammes par litre ! (entre 10 et 20  microgrammes par litre en général dans cette série d’analyses ainsi que dans les autres sauf exception).
Dans le présent rapport, il n’est pas donné dans le fond de bassine …
Dans le précédent, on relève 4950 milligrammes d’aluminium par kilo en fond de bassine pour 20,9 microgrammes par litre dans l’eau de pluie directe.
Quelle quantité cela peut-il bien faire en fond de bassine dans les présentes analyses ?
Y a t-il un rapport entre ces deux types d’analyse ? ou pas  ?
Car pour le baryum, qui a doublé en moyenne en 6 ans et qui se tient autour de 20 microgrammes par litre en janvier comme en juillet, nous avons en fond de bassine, 81,8 milligrammes par kilo dans le rapport de janvier pour 31,2 (seulement) dans celui-ci, de juillet.
Quant au strontium, les valeurs sont les mêmes dans les deux rapports, il est à moins de 10 microgrammes par litre dans l’eau de pluie directe et inférieur à 50 milligrammes par kilo en fond de bassine.

Rapport d’essai Qualio18-07 09

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