Campagne à Chypre contre les épandages aériens de produits chimiques

Les Verts de Chypre et le Comité d’Action contre les Épandages Aériens de produits Chimiques ont organisé avec succès deux conférences, une à Limassol et une à Paphos, avec comme intervenant principal le Dr Nikos Katsaros, chimiste, du Demokritos National Center of Scientific Research. 
Lire l’article – en anglais

 

Le film "Bye bye blue sky" suites

Récapitulatif historique de la « modification du climat »

Après sa diffusion sur la chaîne de TV suisse RSI2, le film de Patrick Pasin a suscité quelques réactions hostiles, niant le phénomène.

Voilà ce qu’écrit le réalisateur Patrick Pasin aux dirigeants de cette chaîne:

Messieurs,

Les messages que vous avez reçus après la diffusion de « Bye Bye Blue Sky » ne sont pas une surprise pour moi. Quels que soient les éléments objectifs que l’on peut apporter, par exemple les analyses du sol telles celles que j’ai fait réaliser à Paris ou le fait que l’armée française ait acheté 10 tonnes de sulfate de baryum, vous recevrez toujours ce type de messages de gens qui s’auto-proclament « debunkers ».

J’enquête sur les questions climatiques et les chemtrails depuis plus de 7 ans. J’ai lu des dizaines de livres, d’études et de rapports sur la question. En janvier, j’ai terminé la rédaction d’un livre dont le titre est « La Manipulation du climat par les militaires ».

La « modification du climat » (c’est le terme officiel) possède déjà une longue histoire. Le premier essai officiel remonte aussi loin que 1891, avec l’expérience dans les Staked Plains au Texas conduite par le Général Dyrenforth. Le Congrès américain alloua alors la somme de 10 000 $, mais arrêta au bout de deux ans compte tenu des faibles résultats (j’ai acheté des journaux de l’époque pour connaître les détails de ces opérations).

La pulvérisation de produits chimiques dans le ciel par les militaires présente aussi une longue histoire. La première tentative de modification du climat à bord d’avions est certainement celle qui se produisit aux Etats-Unis en 1924, lorsque le Army Air Service équipa 2 avions selon les instructions du Dr Emory Leon Chaffee, un physicien de Harvard. Les militaires américains ne sont pas les seuls à avoir tenté ces expériences : les Russes, les Chinois et certainement d’autres ont aussi essayé. J’ai lu, par exemple, que l’armée chinoise avait répandu du deolin en 1930 au-dessus de Hong-Kong afin de combattre la sécheresse.

Ce n’était que le début, mais tout commença vraiment après 1946 et la découverte par le Dr V. Schaeffer de General Electric qu’en déversant de l’iodure d’argent dans les nuages, cela déclenchait des précipitations. Des milliers d’expériences ont été réalisées à travers le monde, dont bien sûr par les militaires. Pour les Etats-Unis, les recherches initiales furent principalement confiées à la Naval Aionr Weapons Stati à la base de China Lake, en Californie du Nord.

Pulvériser des produits chimiques dans le ciel devint une affaire courante pour les militaires américains (et les autres), par exemple dans la lutte contre les ouragans, avec notamment les projets de longue durée Cirrus (1947-1952) et Stormfury (1961-1983). 

Officiellement, la première utilisation de produits chimiques pour modifier le climat comme arme de guerre se produisit pendant le Vietnam, sous le nom de code « Operation Popeye ». De 1967 à 1972, près de 2 700 vols furent effectués pour répandre ces produits au-dessus du Vietnam et du Laos. Presque jusqu’à la fin de l’opération, les militaires réussirent à la garder secrète. Elle ne fut révélée qu’en 1971, ce qui aboutit à une audition devant le Congrès des Etats-Unis le 20 mars 1974 (cette audition ainsi que les détails de l’opération Popeye sont présentés dans un petit livre officiel intitulé  »Prohibition of weather modification as a weapon of war: Hearing before the Subcommittee on International Organizations of the Committee on International … first session, H. Res. 28 … July 29, 1975 » – j’ai ce livre, évidemment).

J’ai indiqué que le Pentagone n’est pas le seul à avoir pratiqué ces épandages chimiques : les Anglais l’ont fait aussi. La BBC, par exemple, a révélé en 2001 que l’inondation soudaine qui dévasta en 1952 la petite ville de Lynmouth, faisant 34 morts, était due à des expériences menées par la RAF sous le nom de code « Operation Cumulus

 (http: //www. uagrdian.co.uk/uk/2001/aug/30/sillyseason.physicalsciences). Malgré les preuves apportées par la BBC, le gouvernement nia sa responsabilité et refusa l’ouverture d’une enquête officielle.

Modifier le climat est une chose, empoisonner les populations en est une autre. En 1997, à la demande du Congrès, le National Research Council (NRC) publie un rapport stupéfiant, dont le titre est « Toxicological assessment of the U.S. Army’s zinc cadmium sulphide dispersion tests ». Il est expliqué que 40 ans plus tôt, dans les années 50 et 60, l’armée américaine déversa à partir d’avions, du toits des immeubles et de véhicules mobiles, un composé de sulfure de cadmium-zinc et de micro-organismes au-dessus de trente-trois zones urbaines et rurales des Etats-Unis et du Canada, dans le cadre de tests de guerre bactériologique. Des villes aussi importantes que Minneapolis et St. Louis furent visées. Bien évidemment, le NRC et ses experts concluent dans leur rapport que ces expériences ne présentaient aucun danger pour la population. La lecture complète du rapport démontre plutôt le contraire. Signalons que les militaires déclarèrent ne plus savoir exactement où furent conduites ces opérations et que la plupart des dossiers a disparu…

Nous apprenons aussi dans ce rapport que les mêmes expériences contre la population et l’environnement furent menées à la même période en Scandinavie et au Royaume-Uni, pendant près de 40 ans ! Le journal The Observer enquêta sur le sujet (à lire sur le site de The Guardian http://www.guardian.co.uk/politics/2002/apr/21/uk.medicalscience). « Beaucoup de ces tests consistaient à disperser des produits chimiques et des micro-organismes potentiellement dangereux au-dessus de vastes zones habitées, sans en avoir informé préalablement les populations. »

Les conséquences furent terribles, mais de nouveau, comme aux Etats-Unis, des experts distingués conclurent quatre décennies plus tard que ces expériences étaient sans danger pour la population et l’environnement. Et tout fut classé définitivement.

Tandis qu’ils aspergeaient les gens aux USA, en Angleterre et ailleurs, bien évidemment des « experts » et des « savants » expliquaient que ces traces dans le ciel étaient absolument normales. Par exemple, le journal américain The Free-Lance Star du 6 Mai 1972, explique que « les contrails familières souvent laissées par les avions volant à haute altitude peuvent persister pendant une longue période sous certaines conditions. » 

De même, dans le livre Clouds of the World: A Complete Color Encyclopedia publié en 1972, il est expliqué dans le chapitre 11 – Condensation trails, que ces traînées persistantes sont tout à fait normales. Dans les films et les séries TV américains de l’époque, on en voit parfois. Un exemple flagrant : l’épisode n°25 de la première saison de ZORRO, diffusée en 1957-58 (il n’y a eu que deux saisons). Vous verrez ces traînées, tout particulièrement pendant la course. Elles sont manifestement persistantes, car elles apparaissent, mais (heureusement) pas les avions qui les ont produites…

Dans son livre « Planet Earth, The Latest Weapon Of War », le Dr Rosalie Bertell écrit que « les Etats-Unis et le Canada collaborent à des expériences de modification du temps depuis 1958. […] Le Programme Churchill CRM (Chemical Release Modules) comprenait différents composés du baryum, dont de l’azoture de baryum, du chlorate de baryum, du nitrate de baryum, du perchlorate de baryum et du peroxyde de baryum. Tous sont combustibles et la plupart sont destructeurs de la couche d’ozone. Dans un programme de 1980, environ 2 000 kg de produits chimiques furent déversés dans l’atmosphère, incluant 1 000 kg de lithium. Le lithium est un produit chimique hautement réactif qui est ionisé très facilement par les rayons du soleil. Ceci augmente la densité des électrons dans les couches basse de l’ionosphère et crée des radicaux libres qui sont hautement réactifs et capables de produire d’autres changements chimiques.

[…] J’ai interrogé un jour le conservateur de la bibliothèque du Parlement du Canada pour savoir s’il existait des comptes-rendus officiels sur les conséquences de ces expériences. Il me fut répondu qu’il n’y avait aucun problème d’ordre environnemental étant donné que les scientifiques menant ces expérimentations n’en avait mentionné aucun et qu’il n’y avait pas de tollé de la part du public. Evidemment, puisque le public ne savait pas que les couleurs magnifiques qu’il observait dans le ciel pouvaient avoir été causées par des expériences. »

Pour ceux qui essayeraient de nous faire croire que ces expériences n’existent plus, voici un extrait d’une correspondance récente avec le Dr Rosalie Bertell :

« Le 19 septembre 2010, l’U.S. Navy a effectué un tir de fusée de sa base en Virginie pour créer des nuages artificiels d’oxyde d’aluminium à environ 800 kilomètres au-dessus de la côte Est des Etats-Unis. Les nuages naturels les plus élevés se situent autour de 80 km. L’ombre nuageuse gigantesque a ainsi généré une neige précoce sur la côte Est. […] Le plan original prévoyait aussi un test au-dessus de Singapour. L’U.S. Naval Reserve a retiré de son site les informations sur ce projet lorsque j’ai commencé à en parler. Qui sait ce qu’ils peuvent bien manigancer d’autre ? »

Ainsi que je l’ai indiqué ci-dessus, j’ai écrit un livre sur le sujet, donc évidemment je pourrais en ajouter encore sur ces expériences et opérations militaires devenues monnaie courante depuis plus de 60 ans. Qui peut encore avancer que tout cela n’existe pas ? Qu’il s’agit de « théorie du complot » ? Chacun peut vérifier toutes les informations ci-dessus, car elles proviennent de rapports officiels et de grands médias comme la BBC et The Guardian.

Parlons maintenant du film. J’ai évidemment interviewé des scientifiques (dont un météorologue membre distingué du GIEC), qui m’ont expliqué que les chemtrails n’existent pas et que tout est contrail. Lorsque, durant l’interview, je leur ai demandé s’ils avaient effectué des analyses de quelque sorte que ce soit pour étayer leurs propos, leur réponse fut naturellement négative. En fait, ils n’ont pas du tout étudié le phénomène : ils connaissent la « réponse officielle » et se contentent de la délivrer. Ce n’est plus de la science mais de la politique.

De même, lorsque je leur ai demandé comment expliquer la présence de baryum à la surface des bacs à sable à Paris et dans les endroits où apparaissent régulièrement ces traînées, ils n’avaient pas d’explication…
Et je ne parle pas mêmes des 10 tonnes de baryum achetées par l’armée française : aucun expert ou scientifique n’a été en mesure de me fournir une explication plausible quant à leur utilisation… Et je rappelle, ainsi qu’il est mentionné dans le film, que les militaires ont retiré l’information de leur site immédiatement après ma visite et le fait que je l’aie enregistrée. Pourquoi ?

Donc ces scientifiques que j’ai interviewés ne sont pas dans le documentaire : porter une blouse blanche et être qualifié officiellement de scientifique n’est pas suffisant, encore faut-il avoir travaillé sur le sujet pour être pertinent. C’est un respect minimum dû au public. De plus, la « réponse officielle » est déjà dans le film, puisque je cite cet extrait de la brochure de l’US Air Force affirmant que les chemtrails sont un « hoax », un canular. Je me suis donc clairement centré sur les scientifiques qui ont étudié le phénomène de ces traînées persistantes et depuis plusieurs années.

Certains emails que vous avez reçus tentent de jeter le discrédit sur eux. Est-il vraiment utile d’y répondre ? Le Dr Rosalie Bertell est une grande Dame, avec tant de références, de réalisations, de récompenses ! En juin dernier, elle a de nouveau été invitée à s’exprimer aux Nations Unies sur les questions de désarmement. Elle a dirigé la Commission médicale internationale de Bhopal, qui a enquêté sur les conséquences de cette catastrophe en Inde, elle a organisé la Commission médicale internationale à Tchernobyl, elle a travaillé sur le projet de guerre des étoiles de Reagan, etc., etc. Elle est l’une des rares scientifiques cités dans le Rapport Theorin (1999) du Parlement européen, que chacun devrait avoir lu.

Les références et les réalisations du Dr Nikos Katsaros sont également impressionnantes. De plus, il écrit et s’exprime sans relâche sur le sujet, y compris devant les parlements et les institutions qui l’invitent régulièrement. Quant au Dr Coen Vermeeren, en tant qu’expert en aéronautique, il est totalement engagé dans ce sujet sur lequel il enquête depuis des années avec tous ses efforts et son humilité.

De l’information documentée peut être trouvée partout. La chaîne allemande RTL9 a diffusé un reportage (http://www.youtube.com/watch?v=RWsQ2KnIvH0&feature=more_related) où des météorologues menés par Karsten Brandt ont obligé l’armée allemande à reconnaître qu’elle avait répandu des produits chimiques dans le ciel en  2005 et 2006.

De nombreuses analyses sont disponibles sur Internet (http://www.carnicom.com/flame1.htm). Ce qu’explique le Dr Hildegarde Stanninger est incroyable : elle a fait réaliser des analyses qui montrent au Texas et ailleurs que les substances trouvées dans des chemtrails et sur des patients souffrant de la maladie des Morgellons sont les mêmes (http://morgellons-info.blogspot.com/2010/11/morgellons-intervista-alla-dottoressa.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+MorgellonsDiseasetankerEnemy+%28Morgellons+Disease+%28Tanker+Enemy%29%29

Les contrôleurs aériens commencent aussi à parler (lire l’article de William Thomas, qui enquête depuis longtemps sur le sujet des chemtrails, sur http://www.rense.com/general20/cc.htm).

Vous pouvez aussi lire ce qu’en dit le Dr R. Michael Castle : « Au cours de ce siècle, nous pensons que nous assistons à la fin progressive et délibérée du système naturel de la Terre. Il y a ceux qui « débunquent » / désinforment tout ce qui est écrit au sujet des chemtrails. De quoi s’agit-il ? Les chemtrails ne sont que la vague description, en termes profanes, d’un théâtre bien plus vaste de produits toxiques déversés dans l’atmosphère / la stratosphère, pour une myriade de programmes bruts et toxiques. »

Je pourrais ajouter tellement d’autres informations, mais j’arrête la liste, car ce texte est déjà long. J’espère qu’il vous aidera. Ainsi que je l’ai indiqué au début, vous pouvez l’utiliser comme vous le souhaitez.

Pour finir, je voudrais saluer votre courage et votre sens des responsabilités. Espérons maintenant que le public fera pression sur les hommes politiques pour qu’ils obligent les militaires à arrêter tout ça.

Bien cordialement,

Patrick Pasin

Producteur et réalisateur de « Bye Bye Blue Sky »

LES RESOLUTIONS DE NAGOYA (Conférence des Parties d’octobre 2010)

Le président de la COP, Ryu Matsumoto, adoptant le protocole historique de Nagoya sur l'accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation.

Bulletin des Négociations de la Terre

Vol. 9 No. 544 Page 23 Lundi 1er novembre 2010

Compte rendu complet

Extrait concernant la géo-ingénierie

«Tuvalu, les Philippines, le Costa Rica, le Groupe africain, la Suisse, le Groupe Alianza Bolivariana para los Pueblos de Nuestra América (ALBA), la Grenade, Greenpeace, Climate Alliance et ETC Group ont demandé qu’aucune géo-ingénierie ne soit entreprise jusqu’à ce qu’une base scientifique suffisante la justifie et que les risques associés soient considérés. 

Les Philippines ont également proposé d’insérer un libellé sur la nécessité urgente d’un cadre réglementaire global et transparent pour la géo-ingénierie. 

Le Brésil a proposé d’autoriser les activités scientifiques à petite échelle et dans les limites de la juridiction nationale. 

Le Japon a noté que certaines activités de géo-ingénierie pourraient être bénéfiques pour la biodiversité et le changement climatique. 

La Fédération de Russie a demandé la suppression d’un libellé sur la géo-ingénierie. 

Les délégués ont ensuite discuté: d’une définition ou d’une compréhension de la géo-ingénierie; la formulation d’un moratoire de factoet une exception pour la recherche scientifique.

Au sujet de la définition, les délégués ont discuté d’une compréhension préliminaire de la géo-ingénierie, faisant référence aux technologies de réduction de l’insolation ou l’augmentation de la séquestration du carbone de l’atmosphère et débattant du point de savoir s’il y a lieu d’exclure explicitement la capture et le stockage du carbone (CSC). Finalement, les délégués ont accepté, dans le groupe des Amis du Président, d’insérer, dans une note de bas de page, une compréhension de la géo-ingénierie, sans préjudice à de futures délibérations sur la définition, à l’exclusion du CSC à partir de combustibles fossiles lorsqu’il capture le dioxyde de carbone avant qu’il ne soit libéré dans l’atmosphère. 

Au cours des discussions du GT

I, la Bolivie a demandé de préciser que l’exclusion du CSC ne peut pas être interprétée comme une acceptation des activités de géo-ingénierie dans le projet de décision, acceptant par la suite de noter simplement cette préoccupation dans le rapport de la réunion.

Concernant le moratoire de facto, les délégués ont débattu du point de savoir s’il devait être levé après la création d’un mécanisme global, transparent et efficace de réglementation et de contrôle. Ils ont finalement décidé de mentionner l’absence de tels mécanismes, mais ont chargé le Secrétariat d’une étude des lacunes dans les mécanismes mondiaux pour examen par l’OSASTT, en tenant compte que ces mécanismes peuvent ne pas être les mieux placés au titre de la CDB. Les délégués ont ensuite discuté de la façon de qualifier le moratoire, acceptant en fin de compte de se référer aux “activités de géo-ingénierie liées au climat qui peuvent affecter la biodiversité,” conformément à l’approche de précaution et l’article 14 de la CDB (Évaluation de l’impact et réduction des effets indésirables).

S’agissant de l’exception faite pour la recherche scientifique, les délégués ont débattu du point de savoir s’il faut demander qu’elle soit effectuée dans un environnement “clos” et “contrôlé”, dans les limites de la juridiction nationale, sous réserve d’une évaluation préalable des impacts potentiels sur l’environnement, et justifiée sur la nécessité de recueillir des données spécifiques. Ils ont finalement convenu de se référer à un “environnement contrôlé” et à l’article 3 de la CDB pour s’assurer que les activités relevant de la compétence ou du contrôle des parties de la CDB ne causent pas de dommages à l’environnement d’autres États ou au-delà de la juridiction nationale. »

Commentaire de Claire:

Nous avons ainsi découvert qu’en fait, les pays avaient jusqu’au 1er février 2012 pour signer le protocole incluant ce moratoire sur la géoingéniérie dont il est bien effectivement question. La France l’a signé fin 2011 puis ratifié le 31.08.2016. Liste des pays signataires

Donc cela contredit ce qui était dit dans le message « compte rendu du meeting d’Athènes« , ci-dessous, comme quoi, on pouvait interpeller nos représentants sur la base de ce protocole qu’ils étaient censés avoir signé: ce n’est pas encore fait. Mais peut être peut-on faire un peu pression sur eux pour qu’ils le signe … 

Et puis après, entre ce qui est signé et ce qui est appliqué, tout le monde connait la différence. Mais quand c’est signé, c’est signé. Quand même ! 

COP10 : Tenth Meeting of the Conference of the Parties to the Convention on Biological Diversity
https://enb.iisd.org/biodiv/cop10/

La dixième réunion de la Conférence des Parties (COP 10) à la Convention sur la diversité biologique (CDB) s’est tenue du 18 au 29 octobre 2010 à Nagoya, au Japon, et a rassemblé plus de 7 000 délégués. Après d’intenses sessions nocturnes marquées par de nombreuses délibérations parallèles et des négociations de dernière minute sur l’APA, le plan stratégique et la stratégie de mobilisation des ressources, un « paquet » impressionnant a été adopté, faisant de la CdP 10 l’une des réunions les plus réussies de l’histoire de la Convention: le protocole de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation ; le plan stratégique de la CDB pour la période 2011-2020 ; et une décision sur les activités et les indicateurs pour la mise en œuvre de la stratégie de mobilisation des ressources. Enfin, la réunion a adopté une décision équivalant à un moratoire de facto sur la géo-ingénierie, pris position sur la question de la biologie synthétique, affirmé le rôle de la CDB dans la REDD+, adopté le code de conduite éthique Tkarihwaié:ri et établi des mesures claires pour accroître la coopération entre les conventions de Rio jusqu’au sommet Rio+20.

Le président Matsumoto a clôturé la COP 10 à 2h59 du matin le samedi 30 octobre 2010.

Photo ci-dessus : Le président de la COP, Ryu Matsumoto, adoptant le protocole historique de Nagoya sur l’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation.

CIELO BLU, ADIO !

Le film BYE BYE BLUE SKY de Patrick Pasin diffusé sur la chaîne de TV suisse « RSI LA2

lundi 28 février à 21 h en italien.

Plusieurs d’entre nous interviennent dans ce film. et aussi d’autres de divers pays d’Europe, engagés dans la lutte pour la vérité, la dénonciation et l’abandon des épandages aériens de produits chimiques.
Il semble difficile de capter cette chaîne TV sur le territoire français.
Essayez quand même zatoo live tv ou wilma (en allemand) pour la regarder sur votre ordi (mais apparemment indisponible hors du territoire suisse).
Sinon, croisons les doigts que l’émission soit disponible en podcast.

Documents soumis à la Royal Society au sujet du Solar Radiation Management Governance Initiative

Suite au meeting organisé par la Royal Society les 8 et 9 Novembre 2010  ( compte rendu ici),  deux de nos membres ont apporté leur contribution critique au SRMGI (Solar Radiation Management Governance Initiative) http://www.srmgi.org/

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  • Claire HENRION,Chercheur indépendant
Membre fondateur de l’ ACSEIPICA[a]
Membre de la Société Astronomique de France
                                                                                              A La Royal Society
                                                                                  For Improvement of Natural Knowledge
                                                                                  Pour le Progrès de la Connaissance Naturelle[b]
Contribution à la « Solar Radiation Management Governance Initiative »[1]
Initiative de Gouvernement du Management des Radiations Solaires
(Nota : Version en français du papier envoyé le 1er décembre 2010. La version en anglais, ainsi que celle ci-dessous sont dans les fichiers du groupe yahoo)

PREMIÈREMENT, CONSIDÉRONS D’ABORD LA GEO-INGENIERIE DÉJÀ EN COURS
ET SES CONSÉQUENCES
–                      Avant de nous demander si le management des radiations solaires peut être une bonne solution, considérons les pratiques de SRM déjà en cours et comment elles affectent déjà les radiations solaires. Cela semble d’un élémentaire bon sens.
NOUS NE POUVONS PAS IGNORER CE QUI SE PASSE DÉJÀ
–                      Parmi les catégories de techniques de management des radiations solaires (SRM) présentées durant le meeting des 8 et 9 Novembre 2010 à la Royal Society, l’épandage aérien de substances chimiques n’a pas été mentionné dans les exposés (mais l’a été durant les discussions).
–                      Est-ce parce que cela a déjà lieu depuis 15 ans en Amérique du Nord et 10 ans en Europe ?
–                      Comment pouvons-nous planifier des opérations de SRM pour résoudre un hypothétique emballement de l’effet de serre, supposé être dû à un augmentation du CO2, sans considérer et étudier les effets de ce qui se fait déjà, et qui, délibérément ou non, affecte les climats locaux et le climat global ?
La géo-ingéniérie militaire déjà en cours
– En menant cette recherche, nous ne pouvons faire l’impasse sur les expériences militaires de modification des conditions météorologiques, en cours depuis plusieurs dizaines d’années.
– C’est la forme de géo-ingénierie la plus ancienne et probablement la plus importante encore, mais tout cela est classé « secret défense » donc l‘enquête est difficile à mener.
– En dépit de cela, nul ne peut ignorer aujourd’hui que les brevets d’épandages aériens en vue de modifier la météorologie existent réellement depuis 1930; il est maintenant reconnu que ces procédés ont été employés durant la seconde guerre mondiale et jusqu’en 1978 dans certaines des guerres qui ont suivi (Vietnam – Project Popeye).
– Le projet “Owning the weather in 2025”[2] se trouve dans la documentation de l’US Army depuis les années 90.
La Convention ENMOD
–         En 1977, la « Convention sur la prohibition des techniques de modification de l’environnement, en temps de guerre ou dans un but hostile,  a été ratifiée par l’Assemblée Générale des Nations Unies (AP, 18 Mai 1977).
Cette convention interdit – ou plus exactement limite – les modifications de l’environnement, en temps de guerre ou dans un but hostile, dans son  Article 1[3] et les autorise dans des buts « pacifiques » dans son Article 3[4].
En 1992, au sommet de la Terre de Rio de Janeiro la substance de la Convention de 1977 a été réaffirmée en termes très généraux  dans la Convention du cadre de travail sur le changement climatique (UNFCCC).
–         Depuis, la question des modifications de l’environnement – dans un but hostile ou “pacifique” n’a jamais été évoquée dans les sommets sur le climat sous l’égide de l’ONU.     
               
Est-ce que les recherches sur le climat qui ont été menées depuis peuvent fournir des réponses plausibles si elles ne tiennent pas compte des modifications délibérées de l’environnement ?
Dans les “Accords  interprétatifs » de cette Convention… il est précisé: « les termes « étendus », « durables » et « graves » seront interprétés comme suit:a) Il faut entendre par « étendus » les effets qui s’étendent à une superficie de plusieurs centaines de kilomètres carrés;

b) « Durables » s’entend d’une période de plusieurs mois, ou environ une saison;

c) « Graves » signifie qui provoque une perturbation ou un dommage sérieux ou marqué pour la vie humaine, les ressources naturelles et économiques ou d’autres richesses.

C’est donc une autorisation à pratiquer la géoingéniérie dans des buts hostiles si les effets sont jugés temporaires et sans restriction aucune s’ils sont considérés comme “pacifiques”. [Claire HE1]
Mais en fait, juger des effets des interventions et de leur durée est particulièrement difficile, car ce qui serait advenu s’il n’y avait pas eu d’intervention n’est pas certain.
La géoingéniérie .est bien une réalité d’aujourd’hui.
NOUVEAU GENRE DE TRAINEES D’AVIONS – UN NO-MAN’S LAND LEGAL
Or, chacun peut constater (s’il ne se voile pas la face) ces nouvelles sortes de traînées d’avions qui sont apparues dans le ciel depuis 1995 en Amérique du Nord et depuis 2000 en Europe. Ce trafic aérien est particulièrement foisonnant et illogique comparé au trafic civil[5]. Certains de ces avions, noirs, gris ou kaki, sont manifestement militaires avec parfois « OTAN » écrit dessus. D’autres ressemblent plus à des avions civils mais n’ont aucune marque de compagnie…
–                      Leurs traînées sont vraiment plus larges, longues et persistantes, à des altitudes où, normalement il ne se forme pas de traînée de condensation. Elles finissent souvent par se rejoindre et former un voile.
–                       Le rapport “Case Orange”, émanant d’un collectif d’ingénieurs aéronautiques et présenté par le Pr Coen VERMOREEN, Peter Vereecke et le Belfort Group[6], [Claire HE2] est le rapport le plus complet  aujourd’hui sur les traînées d’avions..
Sérieux doutes quant à la santé
–           Des citoyens et des organisations indépendantes dans plusieurs pays ont fait faire des analyses d’eau de pluie et / ou de neige après des épandages particulièrement remarquables au-dessus de régions relativement vierges de toute pollution[7].
–          Dans notre association aussi, des analyses ont été faites et ont révélé des taux d’aluminium et de baryum supérieurs aux seuils officiellement admissibles[8]. Pas autant, toutefois, qu’au Mont Shasta, en Californie, où des échantillons de neige révèlent des taux d’aluminium de plusieurs dizaines de fois supérieurs au seuil de sécurité officiellement admis : 1.000 ppm[9]. Selon un grand nombre de citoyens californiens, ce pays est particulièrement abondamment aspergé, et ce, depuis 15 ans.
–          Les dangers de ces éléments chimiques (aluminium et baryum) et de leurs composés sur la santé sont bien connus et s’apparentent aux symptômes des maladies en forte augmentation depuis ces dix dernières années  – maladies ankylosantes/paralysantes, cardiovasculaires,  cancers…?[10]
Est-ce que le voile artificiel déjà existant affecte le rayonnement solaire reçu
et par conséquent le climat ? Et comment ?
Même par les plus belles journées, avec un ciel bleu et sans trop d’avions (cela arrive parfois!) le bleu du ciel n’est plus aussi profond qu’autrefois.
– Faut-il seulement incriminer la condensation due à la carburation des avions, en tenant compte du fait que les carburants militaires contiennent plus de particules que les civils, ainsi que l’affirment les réponses officielles aux très nombreux citoyens qui s’en inquiètent ?
– Si l’on veut bien se rendre à l’évidence que des épandages aériens d’aluminium et de sels de baryum, pour le moins, se pratiquent fréquemment au-dessus de régions du monde de plus en plus nombreuses, la compréhension se précise :
–                      L’aluminium augmente l’albédo des nuages, donc moins de radiations solaires parviennent au sol: il peut faire plus frais que s’il n’y avait pas d’épandage. Mais les nuages sont plus gris et persistants et deviennent violets au lever et au coucher du soleil.
–           Personne ne parle des effets météorologiques du baryum, bien que ce soit l’une des substances chimiques les plus épandues.  On pourrait supposer que c’est pour neutraliser l’acidité du dioxyde de souffre (SO2) [11].
. En observant ce qui se passe après un épandage aérien par une journée de beau temps, on peut constater la création d’un voile typique et une élévation de la température d’environ 2 à 4 degrés par rapport à ce à quoi on pourrait s’attendre normalement.
–                      Ne seraient-ce les particules de chlorure de baryum qui attirent l’humidité, de l’air et du sol et la maintiennent dans l’atmosphère sous forme de vapeur d’eau ?[12]
–                      Cela n’est-il pas, localement, une cause sérieuse d’effet de serre, beaucoup plus logique que l’hypothèse du CO2 si l’on considère la proportion de vapeur d’eau de notre atmosphère (60 ou 80%)[13], cet agent n°1 de l’effet de serre sur Terre, qui n’est pas souvent mentionné.
–                      Depuis que l’on peut remarquer ces épandages, les cultivateurs constatent que les sols se dessèchent plus vite qu’auparavant.
Les épandages aériens civils
De nos jours, il semble que certaines compagnies d’aviation civile contribuent aussi à épandre des substances chimiques.
Notre association mène une enquête sur ce sujet.
Autres pratiques actuelles que l’on peut sérieusement supposer affecter le climat
–                      Les recherches sur la ionosphère: les bases militaires américaines HAARP[14],  russe SURA[15] et la civile européenne EISCAT[16] sont des bases de recherche appliquée pour l’étude des réactions de la ionosphère, situées dans les régions polaires, où se produisent les aurores (boréales ou australes).
–                      La ionosphère nous protège des rayons gamma (VHF) et des rayons X (UHF) en provenance de l’espace.
–                      La ionosphère réagit à 300% aux variations de rayonnement venant de l’extérieur. Cela influence la composition biochimique de la stratosphère et sa dynamique.
–          Or, que font ces programmes ?
–          Ils envoient des ondes VHF et UHF depuis le sol.[Claire HE5]
–          Ces rayons sont stoppés par la ionosphère
–          Comment réagit-elle à ces UHF et VHF qui viennent du sol ?
–          Elle re-émet des ULF et des VLF (ondes radio et micro ondes) vers le sol.
–          L’effet est celui d’un four à micro ondes.
–          Cela a lieu autour du cercle polaire
–          Ne serait-ce une raison plausible de la fonte drastique de la calotte polaire nord ?
–                      En dépit de cela, en réalité, depuis 2007, la calotte Arctique regèle plus tôt et plus largement chaque année[17]. Même si la glace n’est pas très épaisse, l’albedo augmente. Plus l’albedo est important, plus la Terre se refroidit.
–  Des études sérieuses sur astronomie et climat[18], d’observation de l’activité solaire dans toutes les longueurs d’ondes, le suivi de ses différents cycles et de ceux des courants océaniques et atmosphériques principaux, convergent pour conclure que nous sommes dans une période de refroidissement naturel global depuis les années 2000-2001..
Les programmes ci-dessus mentionnés ne contreraient-ils pas cette tendance naturelle, créant des réactions climatiques assez chaotiques ?
Le CO2 peut-il être une cause sérieuse d’un emballement de l’effet de serre sur notre planète, alors qu’il ne représente que moins de 0,05% de ses composants secs ?
–                      L’idée que le CO2 puisse être une cause sérieuse de l’effet de serre sur Terre est scientifiquement controversée,  par des chercheurs réputés[19]. C’est plutôt un point de vue à la mode que le résultat de recherches désintéressées en climatologie.
.
Aussi, est-il sage de fonder une recherche hasardeuse sur le SRM
sur une base aussi incertaine ?
–                      Des études sérieuses de géoingéniérie civile devraient plutôt se pencher sur les conséquences de toutes les pratiques de géoingéniérie avant d’en planifier encore davantage.
–                      Cependant, même si une augmentation du CO2 représentait un réel danger pouvant occasionner un emballement de l’effet de serre, le management des radiations solaires pourrait-il être une bonne solution ?
–                      Les plantes sont gourmandes de CO2 et le transforment en oxygène à la lumière du soleil et seulement dans cette condition. Si le rayonnement solaire est atténué pourront-elles le faire aussi bien ? Nous savons que non. Cela ferait plus de CO2, et selon cette logique, plus d’effet de serre, donc des températures plus élevées…
–                      Donc, essayer de modifier le rayonnement solaire par des moyens artificiels pour ré-équilibrer les déséquilibres que nous créons dans l’ignorance des lois naturelles semble idéaliste, totalement irréaliste et réellement dangereux.
–                      IDENTIFIONS et METTONS UN TERME aux pratiques de géoingéniérie déjà en cours : les épandages aériens de substances chimiques militaires et civils et les émissions d’ondes UHF et VHF qui chauffent la ionosphère. Les deux affectent le climat. Faisons cela avant de planifier d’autres programmes.
–                      Cela inclut le secret militaire qui menace, de nos jours, la planète entière et a représenté jusqu’ici la partie sous-marine de « l’iceberg de la geoingéniérie ».
–                      Exigeons la tenue d’une nouvelle Conférence des Nations Unies au sujet de l’Article 3 de la Convention ENMOD car, même dans des buts « pacifiques » les techniques de modification de l’environnement sont une guerre contre la vie dans son intégralité, dans l’ignorance des lois de la Nature, des causes et conséquences.
–          Est-ce vraiment de la science ?
–          Ou des manipulations pour une illusion de pouvoir ?
La Royal Society peut-elle vraiment soutenir une telle démarche ?
Il est assez clair que les recherches en géoingéniérie en cours et particulièrement celles en SRM ont pour but de gérer un système global en poursuivant des buts particuliers, sans chercher à comprendre dans leur intégralité les processus du vivant dans notre système Terre-Lune-Soleil et sans considérer les conséquences de chaque modification intentionnelle.
Dès que celles-ci cesseront, les “problèmes climatiques” disparaîtront car la Terre a un grand pouvoir de rééquilibrage. CELA EST A OBSERVER .
Si la géoingéniérie continue, le rééquilibrage se fait aussi, comme cela se fait naturellement depuis toujours mais cela risque d’être franchement dangereux pour tous les êtres vivants sur cette planète, même pour les promoteurs de la géoingéniérie !
–                      Ces derniers devraient plutôt observer afin de découvrir les processus naturels qui restaurent l’équilibre. Bien sûr cela demande une petite réorientation des objectifs et ce, pour des recherches beaucoup plus excitantes.
[Claire HE6]  De nos jours, une profonde et globale observation de la Nature débouche déjà sur la connaissance et les applications de l’énergie scalaire, qui semble promettre un avenir beaucoup plus réjouissant pour l’être humain et toutes les formes de vie sur notre planète et la fin des problèmes avec le CO2[20] !
Claire HENRION
30 Novembre 2010
Merci à: Jean Paul Ampoulié, Michel Bec, Bertrand Duchastel, Andrew Johnson, Danielle Lavoignat, Saskia Messager, Dominique Pélissier, Antonius Van Meesche
Notes

[a] Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatiques et Atmosphériques – France
[b] C’est dans le titre originel de cette Société, fondée en 1660, la plus ancienne des Sociétés Scientifiques contemporaines.

[1]              Voir aussi  “Ph1losoph1cal 1nvest1gat1on on Solar Rad1at1on Management. Ton Van Meesche En annexe
[2]              Être les maîtres du temps en 2025. «Weather as a Force Mult1pl1er: Own1ng the Weather 1n 2025.  »  rapport pour l’ US A1r Force http://csat.au.af.m1l/2025/volume3/vol3ch15.pdf
[3]          ENMOD Convent1on     http://www.1crc.org/1hl.nsf/FULL/460?OpenDocument  (anglais) ; en français : http://www.icrc.org/dih.nsf/FULL/460?OpenDocument
            ART1CLE 1-   1 -Chaque Etat partie à la présente Convention s’engage à ne pas utiliser à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles des techniques de modification de l’environnement ayant des effets étendus, durables ou graves, en tant que moyens de causer des destructions, des dommages ou des préjudices à tout autre Etat partie..
[4]              ART1CLE 111-  1 Les dispositions de la présente Convention n’empêchent pas l’utilisation des techniques de modification de l’environnement à des fins pacifiques et sont sans préjudice des principes généralement reconnus et des règles applicables du droit international concernant une telle utilisation..
[5]              En France, pour le moins, depuis l’an 2000, les avions civils doivent voler au-dessus de 8000 mètres, alors que ce n’était que 4000m auparavant. On peut donc en déduire que tous les avions que nous voyons voler à l’horizontale au-dessous de 8000m sont des avions militaires (excepté autour des aéroports pour atterrissage ou décollage)
[6]              “Case Orange” Pr Coen Vermoreen, Netherland, aeronaut1c eng1neer; Peter Verrecke, Belg1um, ancien maire, fondateur d’une association citoyenne:le Belfort Group
Clic sur le lien .pdf en bas de la page
[7]              Un de plus anciens est Carnicom      http://www.carn1com.com/
                Voir aussi  www.geoengineeringwatch.org
[8]              Cf. fichiers “Analyses” sur  http://fr.groups.yahoo.com/group/acse1p1ca/ (il est nécessaire de s’inscrire) et les spécificités du baryum ici http://www.inchem.org/documents/ehc/ehc/ehc234.pdf et ici http://en.wikipedia.org/wiki/Barium  En français : http://acseipica.blogspot.com/2010/10/le-baryum.html
[10]            appendix 3 – Alliance pour la Santé
[11]             Dans l’air, le dioxyde de souffre (SO2) se transforme aisément en SO3 (trioxyde de souffre) en présence de la lumière, de O2(oxygène) et de O3 (ozone) ; il s’associe rapidement à une molécule d’eau pour former H2S04 (acide sulfurique) et peut retourner à la terre par des pluies acides!
 – Donc l’objectif du SRM est d’ajouter d’énormes quantités d’atomes de souffre, de préférence sous forme de SO2 dans l’atmosphère.
– Maintenant, si vous injectez dans l’atmosphère des sels de baryum solubles dans l’eau, ces sels vont former du sulfate de baryum, un produit totalement inerte et insoluble dans l’eau. Donc, en effet, on pourra dire que ces sels de baryum solubles dans l’eau vont éliminer l’acide sulfurique de l’atmosphère.
BaCl2 + H2SO4 ________  BaSO4(insoluble salt) + 2HCl
– Ainsi nous avons toujours de l’acide chlorydrique, un acide puissant, mais en ajoutant avec le chlorure de baryum des produits alcalins, on peut neutraliser l’acidié et éviter les pluies acides ! Antonius Van Meesche Note 1
[12]             – Premièrement, je ne crois pas que du baryum soit épandu, mais ce n’est que mon interprétation.
– Deuxièmement, et seulement si des sels de baryum comme le chlorure (de baryum) est épandu, alors ce n’est pas dans le but de neutraliser l’acidité du SO2 :  cela pourrait éliminer le groupe sulfate SO4 mais cela libère alors de l’acide chlorhydrique (HCl) qui a la même acidité que l’acide sulfurique. Voir l’équation ci-dessus
 – Pour vraiment neutraliser l’acidité dans l’atmosphère il faut des sels alcalins ou même de l’ammoniaque- NH3
 – C’est pourquoi je ne crois pas que les sels de baryum soient parmi les substances épandues car faire cela n’a aucun sens. Antonius Van Meesche Note 2
[13]             80% si l’on tient compte de l’absorption du rayonnement infrarouge par les nuages, 60 si l’on n’en tient pas compte.
[14]             http://www.haarp.alaska.edu/
[16]             http://e7.eiscat.se/about
[17]            http://arctic.atmos.u1uc.edu/cryosphere/ A noter que depuis février 2008, le pack inférieur ou égal à 30% n’est plus pris en compte
 http://nsidc.org/data/seaice_1ndex/  A noter que Les glaces inférieures à 10% ne sont pas prises en compte ;  les % de concentrations sont plus faciles à lire que sur le site précédent
[18]             Voir diaporama Powerpoint « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? » et ses références. A télécharger ici http://dl.free.fr/getfile.pl?file=/Z1uXqzu6
[20]            Appelée aussi “énergie libre” Voir http://www.pks.or.at/menu_en.html , http://www.1et-community.org/ et http://www.keppemotor.com/kmusa.php
Annexe
Alliance pour la Santé – Dossier de presse Congrès _p4
– – – – – – – – –
  • Antonius Van Meesche, chimiste retraité de chez Monsanto, membre de l’ACSEIPICA

My philosophical Investigation
on Solar Radiation Management
 
Introduction
Feel that it is time to put some of my thoughts and findings on paper concerning Solar Radiation Management (SRM) in Europe  after having contacted some experts on this exciting, but weird and frightening topic.
In general it will not show any breaktrough, however it could lead to a new way of thinking for the near futur.
When people fear  government, there is tyranny
When government fear  people, there is liberty
David Keith,  Climatologist
Had made some contacts with Dr. David Keith, climatologist from the Calgary University for asking him: what are they spraying? He kindly answered me: that spraying of chemicals in the air is officially not done as of high and uncontrollable environmental risks and lack of global legislation. He /his university has received $$ from the Bill Gates Foundation subsiding on climate research and he stated that this item is fully open to the public.
He is also the person who said during a presentation at the AAAS conference in San Diego that 10 million tons of aluminium per annum would be effective for temperature control of our climate, however that statement was never written down.
From the internet took a copy of a very well-written presentation or testimony that David Keith gave to the Energy Environment Subcommittee of the US House of Representatives Committee on Science and Technology on February 4, 2010;
Topic : Research needs for Solar Radiation Management
Some highlights or statements from that presentation:
– SRM is cheap and can act quickly to cool the planet, but it introduces novel environmental    
   and security risks and can -at best- only partially mask the environmental impacts of                 
   elevated carbon dioxide.
– because of the serious and legitimate concerns raised by the  enormous leverage SRM
   technologies grant us over the global climate, I think it is crucial that development of these technologies be managed in a way that is as transparent as possible. I therefore do no
   commercial or proprietary work on SRM.
– SRM has three essential characteristics: it is cheap, fast and imperfect. Long established
   estimates show that SRM could offset this century’s global-average temperature rise a
   few hundred times more cheaply than achieving the same cooling by emission cuts.
   This because such a tiny mass is required: a few grams of sulfate particles in the
   stratosphere can offset the radiative forcing of a ton of atmospheric carbon dioxide.
   At a few $1000 a ton for aerosol delivery to the stratosphere that adds up to a figure
   in the order of $10 billion dollars per year to provide a cooling that -however crudely-
   counteracts the heating from adoubling of atmospheric carbon dioxide.
– This low price tag is attractive, but raises the risks of single groups acting alone of facile
   cheerleading that promotes exclusive reliance on SRM.
– SRM can alter the global climate within months – as shown by the 1991 eruption of
  Mt.Pinatubo, which cooled the globe about 0,5 C in less than a year. In contrast, because
  of the carbon cycle’s inertia, even a massive program of emission cuts or carbon dioxide
  removal will take many decades to discernibly slow global warming.
– because SRM is cheap, even a small country could act alone, a fact that poses hard and
  novel challenges for international security.
– field tests will be needed , such as experiments generating and tracking stratospheric
  aerosols to block sunlight and dispersing sea-salt aerosols to brighten marine clouds.
  Decades of upper atmosphere research has produced a mass of relevant science. But,
  except for a recent ill-conceived Russian test, there has been no filed tests of SRM.
– there has been no dedicated government research funding available for SRM anywhere
   in the world; though, a few programs for have begun in Europe in the past few months.
– it is widely assumed, for example, that a suitable distribution of stratospheric sulfate
   aerosols can be produced by releasing SO2 in the stratosphere, but new simulations
   of aerosols micro-physics suggest the resultant aerosol size distribution would be skewed
   to large particles that are relatively ineffective. Several aerosol compositons and delivery
   methods may offer a way around this problem, but choosing between them and
   assessing their environmental impacts will require small-scale in-situ testing.
– at one extreme, a state might simply decide that avoiding climate-change impacts
   on its people takes precedence over environmental concerns of SRM and begin
   injecting sulfur into the stratosphere, with no prior risk assessment or international
   consultation. If this were a small state, it could quickly be stopped  by great-power
   intervention. If it were a major state, that might not be possible.
Hope the above statements gave the flavor to read the full testimony of David Keith; his message is very clear:
he likes to run trials, is afraid that some small countries/groups do spraying on their own, he  is strongly in favor of sulfur injections and  advocates for  international collaboration, if spraying has officially to start!
Sulfur or sulfate aerosol injections
A lot of climatologists refer to the eruption of the Mt. Pinatubo whereby a lot of sulfur dioxide (SO2) and ashes were released into the atmosphere.  Building on that item, one could inject pure sulfur dioxide gas into the atmosphere, but a much more elegant way, technically, economically  and psychologically will be the use of sulfur-based liquids like DMS (dimethyl sulfide) or DMSO (dimethyl sulfoxide) or its derivates as those products  are considered as natural products released by phytoplankton from the oceans and so enterering into the atmosphere. However, the yearly quantity is not sufficient to have an impact on SRM, so one could increase the amount of those products by just spraying them into the stratosphere. On top and specially DMSO is miscible with organic solvents (kerosene?)
DMS is the most natural product which oxidizes rapidly  to DMSO, when released into the air thru the presence of oxygen and later on it gets to SO2 and SO3 with water in the  stratosphere  to acids. However the quantities, as David Keith indicated, have to be very small, so the acid will not immediately dissolve the aluminium built spraying airplanes.
Kerosene or jetfuel contain some sulfur in a quantity  lower then 0,3%, which by its combustion  will emit   SO2,  apparently not enough to generate an impact on SRM.
DMS,  DMSO and its derivates are miscible with organic solvents ( 1 – 3% to kerosene?), so
one could rapidly increase the amount of  necessary SO2 to the stratosphere to become more effective for SRM just by adding to the jet fuel.
So technically, such small addition could be feasible, economically no problems as those products are very cheap. Psychologically it would be a great advantage as one could consider that,  thru SRM, the global temperature would be controlled or decreased by a natural based product  from the oceans, not toxic.The only step that mankind does, by spraying it into the stratosphere, is to increase the amount of final SO2  and as such adding it to what the oceans gives us on a daily base. So no toxic chemicals for SRM!
Have asked a commercial pilot-friend if being a pilot, you control the quality of the kerosene you take on board: NO!  You have to rely on what is delivered , no certificate of quality, but only sign off the quantity.  Have tried feedback from ExxonMobil on kerosene certificate of quality : confidential information, not to be released!
Secondly and still using DMS or DMSO and if not blended into the kerosene, DMS may-be a good candidate to spray simultaniously just after the engines into the hot exhaust gases to become transformed into SO2; DMSO will solidify under +18C, so will not be good for separate spraying!
Now assuming that DMS or DMSO is  and/or can blended into  kerosine of some airplanes, commercial or military, it could explain easily that on a nice day you can see trails which disappear within 5 minutes (no DMS added!) whereas others, at the same time,  will have trails lasting for hours!  Again and according to our pilot-friend: it depends on the height of flying, the wind on that height combined with its humidity, so various conditions may-be possible  to generate long-lasting trails.
According to David Keith statements: SRM is easy and cheap; therefore the use of powder-spraying  generating sulfate aerosols would be of very low priority. It is technically more  challenging and powders may fall too quickly towards the earth.  For example bariumsulfate has a density of 4,5, so won’t be very long lasting in the stratosphere, whereas SO2 and/or SO3 particles in water will continue to remain up high.
However , SO2 and SO3 once getting down into the earth’s atmosphere will be highly responsable for acid rains and by that action attack our plants and trees substantially!
German Think Tanks
Back from the chemistry and assumptions to the political world of Think tanks.
Newsweek, the US magazine, published on  July 12, 2010 a 3-page  article called  » Green Retreat » on environmental issues and was citing a certain Dr. Oliver Geden :
« another emerging area of innovation is climate engineering such as manipulation of cloud cover and artificial means of reflecting heat back into space! »
Geden  (Stiftung Wissenschaft und Politik)was presenting his paper on: « What comes after the 2 degrees Target? »  and by that he meant: if we are not able to meet the agreed                 2 degrees  C  temperature rise (UNFCCC) by  2050, what will Europe start to do?
So contacted him to ask his opinion and to investigate if he might be knowledgeable about SRM in Europe and if SRM trials were already done and by whom?  Geden being a politician on energy- and climate politics in Europe rapidly answered that he was not at all an expert in geo-engineering  and advised to contact the Ecologic Institute, another Think Tank on climate issues in Europe. According our son Marcel, environmental consultant in Europe working closely with th EU, the Ecologic Institute is a highly reliable organisation.
Dr. Ralph Bodle from Ecologic Institute is a Coordinator Ecologic Legal Senior Fellow or in a lay-man’s language: a lawyer!
He answered within 24 hours prior to his holidays at 03.00 am! To the best of my knowledge,
« There are no geoengineering field experiments of the scale you described. Although it has become
a big issue in the science community, there are no » global plans for spraying chemicals in the sky in order to reduce temperature » as yet.
As for experiments, there was an ocean fertilisation expriment last year (LOHAFEX) that sparked reactions and a still on-going debate under two major treaties.  I have heard of a very small scale Russian experiment in solar radiation management, the results of which were published.

Apart from this, to my knowledge there is academic research at a level much below field experiments. The European Commission is funding academic research as part of their FP7 programme, and there are a few articles and projects at academic institutions.
There is no one organisation in charge of the potential geoengineering efforts – in fact, this is an issue I am currently writing about.  »

Being now even more curious, tried to get  Bodle on the phone  and just got him after his one week trip to Canada; asked if he knew David Keith yes, but didnot want to admit having visiting Keith (Calgary university) .
Again Bodle stated that he is not a chemist or a scientist but a political lawer; that to the best of his knowledge no spraying is done , however should spraying  be done in Europe on a highly confidential base, then he is not allowed to divulge any information !
He admitted that he has to make a study on the legality of sulfur injection into the atmosphere for the German government which may suit later for the European Commission. That study to be targetted for finalization by end of 2010 will be open to the public!
Tackled him by saying that chemical spraying has been done in Europe and especially in the UK between 1940 and 1979 by releasing chemicals (cadmium based) and microbes to the population, which criminal process was finally brought to public by the Liberal Democrat Norman Baker  early 2000 and published in the Guardian. Bodle thanked for the information and said he may use that it .
On June 28 2010, there was an interesting meeting  called « Climate Talk » hosted by  the Ecologic Institute  concerning Research on Geo-engineering.
Some highlights or statements from that report:
– or cool the atmosphere (solar radiation management), e.g. through sulphur injection into
   the atmosphere.
– all of these measures are currently being considered or tested and are subject to large
  uncertainties and potential risks that can potentially already occur during the
  experimental stage.
– to date, there is no regulation for geo-engineering in place; instead, a number of relevant
  general principles and rules exist, e.g. environmental liability law or space law.
–  he observed an often underlying assumption in the US debates that the climate
   challenge will be manageable only if geo-engineering is part of the plan.
– the challenge therefore would be with measures that need to be undertaken in « real world »
  conditions, if small-scale experiments are not sufficient.
– most tests which have been conducted thus far have illustrated the dimension of the
   unknown as well as the uncertainties. In order to evaluate  geo-engineering research, she
   supports using criteria relating to impacts on human beings and the environmant.
–  moreover, the lack of critical debates on new and risky technologies was brought up
   including the different perceptions of the USA and Europe on such issues.
– as a first step, national research rules seem to be useful; such rules would then need
  to be part of an international consensus. Germany and the EU face the challenge of
  influencing the activities of other large countries.
 
Propaganda
In the old days propaganda was used as a kind of weapon to influence people on those items, normally bad for the population, as a mean to get them familiar with the « goodness » of it. Joseph Goebbels was an expert on psychological propaganda and apparently  it works well in those days.
So assuming that Solar Radiation Management is already been done or still going-on a daily base, then the so-called authorities, countries, organisations or foundations need to come up with a nice story, that SRM is for our well-being, not at all dangerous and will guaranty a safer planet. 
One interesting story may-be, as written previously, the spraying of sulfur containing aerosols based on natural products from the oceans or even from volcano eruptions (also natural), so not at all harmful to the global population.
Next was an interesting article from Massachusetts Institute of Technology (MIT) staff and others from renowned universities  printed in the Journal of Environmental Science and Technology saying:
« Global Mortality Attributable to Aircraft Cruise Emissions »
there is nothing special about that statement, although there is a big why! During decades it has been said that airplanes were  safe to human life on earth, although there was  air pollution, but not responsable for any death toll.
Now, out of a sudden, MIT comes up with a serious mortality figure of 8000 people per year, in a period that lots of people are concerned about trails.  Gives  the gut feeling that we are  being prepared to learn more about the day to day visible trails, but again not harmful to people, as in the so-called early days we had already 8000 death  year, so nothing to do with non-official solar radiation management programs.
A last example of so-called « dormant » propaganda is the Hughes Aircraft patent nr. 5003186 from 1990,which speaks about the use of Welsbach materials based on aluminium  oxide,  thorium oxide and other metal oxides for spraying into the stratosphere to reflect the sunlight.  A lot of action groups at present use those data as the products being sprayed  and being responsable for damage to nature afterwards.
True or not true, however one has to bear in mind that what is written in a patent as being the materials and/or technologies of choice to get a patent granted, are not always the same materials and technologies used in real life. The inventors are by no-way idiots to tell the real world in a patent what they will be doing or using. 
As David Keith once stated that 10 million tons of aluminium will be needed on a yearly base to fight global warming, spraying such an amount of aluminium-oxide powder within the kerosine  from  airplanes  will be a hell of a job. Again have the gut feeling that the authorities like  the  fact that the action groups believe in the Hughes patent data, sothat they can do something totally different without be tracked down!
Time will tell us!
Futur propaganda?
We will take care of  You, trust us!
We will comfort you in your futur life with a pleasant controlled climate, no more to worry
about sunshine or rain, energy bills or UV radiation.
We will comfort you by telling when to go shopping, taking the children to school, having you nicely seated in front of your TV watching soaps and football.
We will comfort you by constantly monitoring your health, letting you know when you have to take your pills, go to the toilet and to bed.
We will comfort you  even when things might go wrong as we have developped a huge variety of drugs and vaccins to keep you as happy as you wish.
We will take care of You, please trust us!
Frightening or science fiction? No, a lot of people live and  work already like that on a daily base!
So wake up before it is too late! Up to the reader to find her/his own « We » from a large palette of authorities, foundations or organisations.
Geopolitics
At the end it is still the same old song: control of the world or in modern terms: Geopolitics!
The USA need a lot of energy and oil and they are ready to buy the oil at reasonable cost and conditions from their so-called friends , the Saudi’s. Was always told by US colleagues: when we are not allowed to buy  oil, then we just will take it!  Example the Kuwait war and the Iraq invasion.
In the near futur electric cars will be coming with  batteries   built on lithium technologies for long lasting performance. The USA knew a long time ago that Afghanistan had the largest reserve of lithium, easy to explore; however only announced it to the public by this summer 2010.
Everybody knows about the Russians blackmailing their old friends and new customers in West-Europe by opening/closing/opening the natural gas pipeline from Siberia whenever they « like » it!
China « loves » their old neighbour Tibet; one must be crazy to love those rocks, however it is not anymore a big secret that those rocks contain huge amounts of heavy metals, including uranium. You thought may-be that the Chinese built the railway to Lhasa only for  tourists?
International conferences like Kyoto, Copenhagen and Cancun to reduce the amount of carbon dioxide! Never any solid agreement as the multinationals and specially  the oil companies don’t like less carbon dioxide as it means: selling less petrol. So keep on driving, flying and so on, as SRM will be the futur cheap and quick way to balance global warming!
Coming back to Solar Radiation Management: the USA have officially stated that by the year 2025 they want to be able to control our global climate, so why to wait for official legislation and not doing « some limited trail-trials » just for testing the principle of  world reputated climatologists and other scientists  ideas?  The majority of people on this globe do believe that trails are absolutely normal in nowadays sky!
Summary and Conclusion
Every government, university, academy of science, foundation, military organisation and so on  have  written sound plans to recommend Solar Radiation Management once the global temperature rises too much. You can easily find those plans on the internet!
Officially there is no active work done in the stratosphere for spraying chemicals, however between the lines you hear that even the world experts gather that « something » is going on.
In the past of my career that « something » was called: a feasibility study and you could do whatever you wanted to do for a very long time without the need for  giving any explication!
There seems to be a clear trend to opt for sulfur injection into the stratosphere as the cheapest , fastest and cleanest way  of creating trails as mentionned in the text above . People will be told that sulfur injection is natural and not harmful and happening  every 10 years by volcano eruptions.
Attempts will be made in Europe to establish a proposal for legislation of sulfur injection with Germany being selected as taking the lead in the EU. May-be we will learn more about our present daily trails in 2011?
I am finished with my findings and thoughts on Solar Radition Management; hope you  it gave you a different perspective of what is going on  and please continue to dialogue on that topic. Mother Earth is clever enough to care of Her good self  and we,  people on this beautiful globe , should pamper Her and leave Her in perfect shape   as  a natural and futur  playground for  our children and grand children!
Special thanks to my much beloved Ellen for dragging me into this intriguing, interesting, crazy, but also frightening world of Solar Radiation Management!
Antonius
Wikipedia: solar radiation management, DMS, DMSO, Claw hypothesis, acid rain

24 JUIN 2010 : ACTION DE MASSE CONTRE LES CHEMTRAILS

Appel de Sylvain Henry du Québec:

« Nous avons vraiment besoin de votre aide pour obtenir une explication officielle sur les chemtrails dans nos ciels »

Tous à nos plumes le 24 juin
pour un envoi massif de courrier 
aux responsables de la société
auxquels nous avons envie de nous adresser. Chacun fait la lettre (polie) qu’il a envie de faire et l’envoie à qui il veut (son député, sénateur, maire, présidents de Conseils, au président de la République, ministres, responsables de sociétés…).
Et, s’il le veut bien , il recense son action sur le site lightworkersworld.com/
Tous les détails (en anglais) sur le site lightworkersworld.com
Si une personne veut bien traduire les consignes de l’action, un grand merci d’avance 
(les poster en commentaire à cet article)
Vous pouvez bien sûr vous inspirer des modèles de lettres 
que vous trouvez sur notre groupe yahoo (inscrivez vous) 
Mon commentaire: demander une explication « officielle » me semble un terme assez inexact et inefficace.
Ce qu’il faut demander, c’est LA VERITE !
Claire Henrion.
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REPONSES A NOTRE PREMIERE PETITION

  • Réponse de la Présidence de la République du 2 avril 2010
  • Réponse de la DGAC (Direction Générale de l’Aviation Civile) du 20 mai 2010

Même si les réponses résonnent « langue de bois » pour beaucoup d’entre nous, nous nous réjouissons qu’un dialogue s’engage et nous avons bien l’intention de le poursuivre.

  • Pour mémoire, voici également la lettre d’introduction à la pétition que nous avions rédigé à l’intention de Monsieur Nicolas Sarkosy.


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