Information pour les personnes qui souhaitent effectuer une analyse de sang pour les métaux lourds

Après contact avec les laboratoires BIOMNIS et CERBA, voici des informations.

Chez BIOMNIS :

BIOMNIS

Pour une analyse compter 42€.

Analyse des métaux lourds possibles : Baryum, Aluminium, Titane, Strontium.

Seul l’Aluminium est remboursé sur ordonnance.

Les résultats sont disponibles sous un délai de 15 jours.

Chez CERBA :

logo_cerba

Analyse des métaux lourds possibles :

Titane compter 46€.

Strontium compter 37€.

Seul l’Aluminium est remboursé sur ordonnance.

Baryum compter 44€.

Les résultats sont disponibles sous un délai de 3 semaines.

Votre prélèvement de sang se fait dans votre laboratoire habituel, il s’agit d’une analyse plasmatique.

Prendre contact avec les laboratoires :

BIOMNIS : 01 49 59 16 16

CERBA : 01 34 40 20 20

Nouvelle analyse de sang Aluminium, Strontium et Baryum

Je viens de recevoir ce jour mes résultats sanguins du 17 juin 2015.
Je vis en proche banlieue parisienne (92 – Hauts-de-Seine) et ce que je craignais s’est avéré juste. Voici les résultats :

Aluminium : <0,10 µg/litre (normal : <0,37 µg/litre)
Strontium : 23,59 µg/litre (normal : entre 10 et 30 µg/litre)
Baryum : 109,8 µg/litre (normal : <5 µg/litre)

Cela m’a coûté 37 et 44 euros pour le baryum et le strontium (non remboursés par la sécurité sociale).

Lois de la physique et traînées de condensation

  • Contrail.pdf   Les lois de la physique

    CONTRAILS = traînées de condensation laissées par les avions

    CHEMTRAIL = idem, mais provoqué artificiellement

     

    Avertissement :

     

    L’objectif de cet article est de proposer une modélisation simplifiée des traînées de condensation laissées par les avions. C’est bien de la condensation, tout comme les panaches des centrales nucléaires, mais la modélisation de ces phénomènes fait l’objet de polémiques pour plusieurs raisons :

    • Les modèles macroscopiques invoqués (sursaturation, pression de vapeur saturante, noyaux de condensation, etc.) sont de la « cuisine » pour tenter d’expliquer la réalité observée. La réponse est dans la thermodynamique statistique (physique atomique, domaine dans lequel on ne sait pas résoudre les équations).
    • Les phénomènes observés ne sont pas dans l’univers contrôlé du laboratoire, mais en plein air à 10km d’altitude, les grandeurs physiques sont inconnues à commencer par P et T, ainsi que la composition chimique. Suivre un avion à 900km/h avec une pipette n’est pas facile.
    • Les dimensions et les vitesses observées sont importantes (103m) à l’opposé de l’infiniment petit (10-10m) où réside l’explication physique du comportement de l’atmosphère. Le niveau scientifique de la physique statistique est très supérieur à celui de l’ENM qui forme davantage au changement climatique et aux énergies renouvelables … les religions à la mode.

     

    Résumé :

     

    Les lois de la physique nous montrent que les traînées de condensation laissées par les avions ne devraient pas persistantes. Si elles restent visibles et finissent pas opacifier le ciel, c’est la preuve qu’elles contiennent autre chose que de l’eau. Pour s’en convaincre il suffit d’observer le ciel : certains avions laissent des traces, d’autres pas, dans le même ciel calme et uniforme, et à la même altitude d’après flightradar24.com. Exemple : http://www.acseipica.fr/forum/viewtopic.php?f=41&t=32 .

     

    Explication :

     

    L’eau existe sous 3 états bien connus, solide, liquide, gaz.

    Voici l’abaque de changement d’état que les scientifiques reconnaîtront :

abaque changement etat eau

A notre pression atmosphérique (P=1bar) elle change d’état à 0 degré Celsius et 100°C.

Sur le diagramme de changement d’état ci-dessus on se déplace sur la droite horizontale P=1, et on retrouve :

  • la glace solide en dessous de 273,15 degrés Kelvin (0°C)
  • l’eau liquide depuis ce point jusqu’à 373°K (100°C)
  • l’eau vapeur au-delà de 373,15°K

 

En altitude, la pression est inférieure, mais le fonctionnement reste le même. A 10km par exemple, hauteur standard des avions de ligne, on a une pression de 264 hecto Pascal (soit 26400 Pascal, c’est-à-dire beaucoup plus que les 611 Pascal du point triple de l’eau visible ci-dessus à 0,006 atmosphère ou bar).

 

Notre atmosphère visible devrait donc être :

  • blanche si la température est négative (cristaux de glace)
  • grise si la température est entre 0 et t
  • bleue si la température est supérieure

 

En pratique, comme l’ont fait remarquer des spécialistes, c’est plus flou que cela, car les phases coexistent au-delà des limites prévues. Cela vient probablement du fait que l’eau n’est pas un fluide parfait, que la composition chimique est variable, que le rayonnement solaire (beaucoup plus agressifs à 10km) apporte de l’énergie, et que l’eau n’est pas un fluide parfait comme l’hydrogène mais un dipôle, etc.

 

Les notions d’état métastable ou d’hystérésis sont proches de cela : si la transformation est faite en douceur, on peut persister dans un état alors même qu’on est passé de l’autre côté de la courbe. A l’inverse, les impuretés ou irrégularités jouent un rôle capital dans la déstabilisation qui permet de basculer d’un coté à l’autre de la courbe (explosion de vapeur d’eau avec le café, prise en glace par agitation). Ce constat est la base de la manipulation du climat par ensemencement des nuages.

 

Cependant toutes les subtilités décrites ci-dessus ont leurs limites, la chaleur évapore et que le froid condense, c’est la base. Cela vient du paramètre le plus important : la chaleur latente de changement d’état qui est très importante.

Quand on démarre la journée avec un ciel uniformément bleu, on est généralement d’un côté ou de l’autre de la courbe. Et si on front froid arrive, il est orienté, et non réparti uniformément sur toute la voûte céleste … à l’endroit de passage des avions.

 

La perturbation créée par l’avion déplace la masse d’air dans le diagramme, car la température augmente en sortie de réacteur, et la pression est modifiée. Poussée d’Archimède : la masse d’air déplacée est égale au poids de l’avion, disons 100 tonnes pour un gros avion de ligne. La masse d’atmosphère au dessus de nous est facile à calculer, 1 bar = 1 kg par cm2, soit 100 x 100 = 10 000 kg = 10 tonnes par mètre carré. La voûte céleste des objets situés à 10 000 mètres étant d’un rayon d’environ 100km, cela nous fait PI R2 = 3,14 * 100000 * 100000 = 314.000.000.000 tonnes.

 

On peut donc conclure que les 100 tonnes de chaque avion sont une quantité négligeable (c’est la masse de 3 milliards d’avions visibles au dessus de nos têtes). De plus le réchauffement lié à la combustion et l’agitation devrait évaporer l’eau plutôt que de la condenser, et c’est ce que l’on constate sur les avions « propres ».

 

En conséquence, la perturbation engendrée, si elle est uniquement thermodynamique, doit revenir à l’état antérieur au passage de l’avion, c’est-à-dire bleu si le ciel était bleu. Des conditions intermédiaires (traînées discontinues) peuvent être obtenues si le ciel est non uniforme, par exemple nuageux ou mouvementé. Cela correspond a un point (P,T) proche des courbes de changement d’état.

 

Conclusion :

 

Les « contrails » créées par le changement d’état de la vapeur contenue dans l’atmosphère lors du passage des avions NE sont PAS persistantes si l’avion est « propre ».

Chemtrail / Contrail V1 David Landelle – dl@LVideoServices.com

Un article scientifique officiel dénonce la géo-ingéniérie et l’épandage des cendres volantes de charbon

Aluminium poisoning humanity and earth’s biota,

article du Pr Marvin Herndon paru dans Current Science, revue officielle de l’Académie des Sciences de l’Inde – version originale

dans un article dans Current Science (Science Actuelle, revue officielle de l’Académie des sciences de l’Inde), le spécialiste des Sciences de la Terre de San Diego, J. Marvin Herndon révèle : « En gros, depuis plus d’une décennie, avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance non-naturelle : la dispersion de particules d’aluminium toxique dans l’environnement…. Mais il n’y a eu aucune déclaration publique, aucune explication, aucune investigation académique, aucun consentement en connaissance de cause, et aucune révélation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l’air. » Lire la suite M.Herndon-Com de presse SAN DIEGO, June 23, 2015

Géo-ingénierie (Manipulations climatiques), Chemtrails

Merci à Salim S. pour sa contribution dans ce combat.

GÉO-INGÉNIERIE ?

La GEO-INGÉNIERIE désigne un ensemble de techniques de manipulation délibérée du climat.

La GESTION DU RAYONNEMENT SOLAIRE OU SOLAR RADIATION MANAGEMENT (SRM) comprend diverses méthodes visant à refléter ou détourner le rayonnement du soleil dans l’espace par le confectionnement d’un écran réfléchissant pour, selon ses promoteurs, lutter contre le réchauffement climatique imputé au CO2 alors que tout le monde sait que les végétaux transforment le CO2 en oxygène sous l’effet de la lumière du Soleil. Faut-il se priver des rayons du Soleil ? Cherchez l’erreur …

Pour lire la suite, cliquez ci-dessous !

Géo-ingénierie (Manipulations climatiques), Chemtrails

Baryum et strontium dans le sang: des taux hallucinants

Deux personnes de l’association ont fait faire, à leur frais, des analyses de sang, à la recherche des taux de baryum et de strontium. Ce qui est intéressant dans ce genre d’analyse, c’est qu’il y a des taux de référence. Et bien accrochez-vous !

Pour le strontium, taux normal : 10 à 30 microgrammes par litre de plasma sanguin. Résultat des analyses : 84 pour l’un, 75 pour l’autre

Pour le baryum, taux normal inférieur à 5 microgrammes par litre de plasma sanguin. Résultat des analyses: 109 pour l’un, 143 pour l’autre.

D’autres personnes vont faire faire le même type d’analyse afin d’avoir un échantillon de résultats plus large, mais il semble y avoir d’ores et déjà motif à s’inquiéter.

06.05.2015 – Le Parlement Suisse s’interroge sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie

Questions sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie de VAN SINGER CHRISTIAN:

Lien: Le Parlement Suisse s’interroge sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie

06.05.2015 - Le Parlement Suisse s'interroge sur la mesure de la pollution de l'eau de pluie
06.05.2015 – Le Parlement Suisse s’interroge sur la mesure de la pollution de l’eau de pluie

Texte déposé

Le Conseil fédéral est prié de répondre aux questions suivantes concernant la mesure de la pollution de l’eau de pluie :

1. Des mesures de la pollution des eaux de pluie se font-elles de façon systématique en Suisse ?

2. Ces mesures mettent-elles en évidence toutes les pollutions, y compris les concentrations des différents métaux lourds ?

3. Si non pourquoi ?

4. Si oui où peut-on consulter les résultats de ces mesures ?

5. Vu que l’interprétation des mesures de concentrations d’éléments dans l’eau de pluie suppose un réseau étendu de points de mesure et que les valeurs peuvent varier beaucoup selon le lieu et dans le temps, que peut dire le Conseil fédéral du réseau de mesures existant ou à mettre en place ?

Réponse du conseil fédéral du 01.07.2015

1. Des mesures de la pollution des eaux de pluie sont effectuées systématiquement dans le cadre du Réseau national d’observation des polluants atmosphériques (réseau NABEL). Ces mesures sont aussi intégrées au Programme concerté de surveillance continue et d’évaluation du transport à longue distance des polluants atmosphériques en Europe (programme EMEP) sous l’égide de la Convention CEE-ONU sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance (Convention de Genève CLRTAP, RS 0.814.32).

2. Dans les eaux de pluie, les apports de substances acidifiantes et de composés azotés, responsables de l’acidification ou de l’eutrophisation des écosystèmes sensibles sont particulièrement importants. Pour les métaux lourds, l’ensemble des dépôts atmosphériques humides et secs sont déterminants pour vérifier le respect des valeurs limites d’immission de l’annexe 7 de l’ordonnance sur la protection de l’air (RS 814.318.142.1). Ces paramètres sont mesurés dans le cadre du réseau NABEL sous forme de retombées de poussières.

3. Dans l’atmosphère, les métaux lourds se rencontrent principalement liés à de fines particules de poussière, à l’exception du mercure qui est volatile. Ce sont les concentrations de métaux lourds contenus dans ces poussières et les retombées de ces métaux lourds qui sont mesurées ensemble et permettent de mettre en évidence les dépôts totaux sur les sols et les eaux.

4. Les résultats des mesures effectuées dans le réseau NABEL sont publiés chaque année par l’Office fédéral de l’environnement (OFEV). D’autres informations relatives à la teneur des métaux lourds dans l’atmosphère sont fournies par les mesures de dépôts de ces métaux dans les mousses. Ces mesures sont effectuées tous les cinq ans depuis 1990 et font l’objet d’un programme européen de surveillance des métaux lourds sous l’égide de la Convention de Genève. Ces résultats fournissent une vision à large échelle de la charge polluante en Suisse et son évolution pour une douzaine de métaux lourds. Ils sont publiés par l’OFEV sous le titre : « Deposition von Luftschadstoffen in der Schweiz, Moosanalysen 1990-2010, Umwelt-Zustand 2013 ». L’actualisation des données pour 2015 va débuter prochainement.

5. Les activités de mesures couvertes par le réseau NABEL avec ses stations représentatives des différents types de pollution en Suisse, ainsi que les stations cantonales qui prennent en compte des situations spécifiques, complétées par les mesures dans les mousses, suffisent à illustrer la répartition des concentrations de métaux lourds et leur évolution au cours du temps. Ces activités se poursuivront à l’avenir.

Lettre au Chef d’Etat Major de l’Armée de l’Air

Par un ancien camarade de promo (anonyme).

Nous avons reçu aujourd’hui (samedi 23 mai 2015) la copie d’une lettre écrite au Chef d’Etat Major de l’Armée de l’Air signée simplement « un ancien camarade de promo ». Ce texte mérite de toutes façons d’être connu. Il synthétise et rejoint notre point de vue.lettre au chef Etat Major de l'Armee Air

 

Télécharger en pdf: lettre Etat Major Armee Air_23mai15