Paris le 14 juillet 2015, rendez-vous avec Claire Henrion fondatrice de l’association ACSEIPICA. Interview sur les chemtrails, les dessous d’une vérité bien cachée…
Conférence SRM Science 2015 – Engineering the Climate – Cambridge
un diaporama compréhensible dans toutes les langues
représentés par Josefina Fraile
SRM Cambridge 2015 Skyguards’ Report – à traduire – merci aux bonnes volontés !
http://www.srms-cambridge.eng.cam.ac.uk/
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Geoengineers are no longer the unchallenged prima donnas of their climate engineering operas
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Les géo-ingénieurs ne sont plus les prima donnas sans concurrence de leur opéras de changement climatique
article des Skyguards, à traduire 🙂
Géo-ingénierie (Manipulations climatiques), Chemtrails
Merci à Salim S. pour sa contribution dans ce combat.
GÉO-INGÉNIERIE ?
La GEO-INGÉNIERIE désigne un ensemble de techniques de manipulation délibérée du climat.
La GESTION DU RAYONNEMENT SOLAIRE OU SOLAR RADIATION MANAGEMENT (SRM) comprend diverses méthodes visant à refléter ou détourner le rayonnement du soleil dans l’espace par le confectionnement d’un écran réfléchissant pour, selon ses promoteurs, lutter contre le réchauffement climatique imputé au CO2 alors que tout le monde sait que les végétaux transforment le CO2 en oxygène sous l’effet de la lumière du Soleil. Faut-il se priver des rayons du Soleil ? Cherchez l’erreur …
Pour lire la suite, cliquez ci-dessous !
MARCHE MONDIALE CONTRE LA GEOINGENIERIE – SAMEDI 25 JANVIER 2014
PARIS et d’autres RÉGIONS DE FRANCE
se mobilisent le
SAMEDI 25 JANVIER 2014 – à 14H
pour la MARCHE MONDIALE CONTRE LA GEOINGENIERIE
et la Gestion du Rayonnement Solaire / Solar Radiation Management
PENSEZ A RÉSERVER VOTRE APRES-MIDI !!!
Merci de confirmer votre participation !
Tous les détails ci-après :
https://www.facebook.com/events/1384734998446512/
PARIS
Fontaine Saint-Michel
11 Place St Michel, 75006 Paris
Le cadrage préliminaire pour assurer un bon déroulement de cette manifestation se fera à 13h30.
Les organisateurs sur Paris seront sur place dès 10h30.
https://www.facebook.com/events/1384734998446512/
BRETAGNE
Ploërmel
Place du Tribunal
https://www.facebook.com/events/170696556471297/?ref_newsfeed_story_type=regular
MONTELIMAR
Rendez vous à la gare routière qui se trouve juste à côté de la gare SNCF
https://www.facebook.com/events/648059308577569/?source=1
PERPIGNAN
Place de la République.
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METZ (57)
Colonne Merten (début rue Serpenoise)
de 14 à 16 h 30 Information sur les épandages aériens clandestins. distribution de tracts, signature de pétitions.
https://www.facebook.com/events/1391592137766779/
MARSEILLE (13)
A 14h sur le vieux Port. + de renseignements 06 38 91 20 18
https://www.facebook.com/
FIGEAC (46)
RV à 14h devant le centre Leclerc de Capdenac le haut. + de renseignements 06 99 29 36 31
https://www.facebook.com/events/1386091731613359/
Au niveau Mondial :
http://globalmarchagainstchemtrailsandgeoengineering.com/events.html
https://www.facebook.com/GlobalMarchAgainstChemtrailsAndGeoengineering
Présentation vidéo par The Nowaytogo
http://www.youtube.com/watch?v=iUnqI_cP_sw&feature=em-subs_digest
ON COMPTE SUR VOUS !!!
REJOIGNEZ-NOUS !!!
ou
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Rappelons qu’en 1977, la convention ENMOD, a limité les manipulations délibérées de l’atmosphère en cas de guerre ou de conflit et les a autorisées dans un but «pacifique».
Le terme « »techniques de modification de l’environnement » désigne toute technique ayant pour objet de modifier – grâce à une manipulation délibérée de processus naturels – la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris sa biosphère, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou l’espace extra-atmosphérique»
Géo-ingéniérie – Gestion du Rayonnement Solaire :
de quoi s’agit-il ?
Certains scientifiques pensent que la redirection vers l’espace du rayonnement solaire pourrait être une solution afin de limiter les effets du réchauffement climatique.
Le rejet dans l’atmosphère par des épandages aériens délibérés de nano-particules chimiques sous forme d’aérosols réfléchissant la lumière pourrait contribuer à diminuer l’absorption d’énergie solaire par la planète.
Ainsi, une série d’applications futuristes, étudiées publiquement par la Royal Society de Londres, ou encore par l’American Association for the Advancement of Science ( AAAS ), mais aussi par des scientifiques comme David Keith – programmes soutenus par des institutions telles que le Council on Foreign Relations (CFR), ou encore Bill Gates et suivies de près par l’ETC Group, visant à bloquer un pourcentage du rayonnement solaire par des interventions très risquées, à grande échelle dans la stratosphère sont déjà en vigueur et auraient pour effet de modifier les températures de la planète et la configuration des précipitations sans pour autant s’attaquer aux causes du «réchauffement climatique» tout en augmentant en fait, l’effet de serre, en détruisant un peu plus la couche d’ozone, l’ensemble de l’éco-système, en modifiant le ph des sols mais aussi en impactant notre SANTE et celle de nos ENFANTS ; ces nano-particules ne restent pas en suspension ; nous les inhalons et celles-ci se fixent dans nos Poumons, nos Muscles et notre Cerveau.
Le 29 octobre 2010, à Nagoya au Japon, lors de la Conférence des 193 parties à la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique (CDB), un moratoire a été demandé et adopté sur les projets et les expériences en géo-ingénierie.
Ainsi, «Toute expérimentation, privée ou publique, ou tout aventurisme visant à manipuler le thermostat planétaire constituera une violation de ce consensus soigneusement élaboré dans le contexte des Nations Unies».
Mais qu’en est- il dans les faits ?
Il ne faudrait pas que ce moratoire reste lettre morte et que sous cette belle et sage décision, les épandages déjà et toujours en cours soient occultés.
Des épandages de jour ; des épandages de nuit.
Des épandages – pourquoi faire ???
PERSONNE n’a vraiment le courage de dénoncer ouvertement les manipulations climatiques qui perdurent depuis les années 1950, ni même de dénoncer la Solar Radiation Management / Gestion du Rayonnement Solaire qui est en application sous couvert du Secret Défense depuis au moins 20 ans déjà.
On veut nous faire croire que la géo-ingéniérie est une nouvelle science alors qu’il n’en est rien ; quand on écoute les discours alarmants au sujet du climat, on parle de la présence d’aérosols en grande quantité dans l’atmosphère; on parle de pollution et de micro-particules PM10, PM 2,5 dans l’atmosphère en disant que ceci est dû aux activités humaines et industrielles certes, mais personne n’a le courage en parallèle de dire ouvertement que les manipulations climatiques réalisées silencieusement depuis dans de très nombreux grands pays (USA, Canada, Russie, Chine, Inde, etc…mais aussi en France ) – à la fois par des sociétés civiles mais aussi par des avions militaires sont aussi responsables de cette pollution et responsables des dérèglements climatiques actuels.
Penchez vous sur la liste des brevets à des fins de modifications climatiques et vous constaterez que la liste ne cesse de s’allonger.
Scientifiques et politiques se focalisent essentiellement sur le CO2 comme cause essentielle de la crise climatique actuelle au point d’en oublier cet autre aspect qui est la vapeur d’eau. L’effet de serre, ce n’est pas seulement du CO2 – mais l’effet de serre c’est aussi et surtout la vapeur d’eau qui en est responsable.
Quel est l’impact réel des aérosols et autres adjuvants utilisés depuis près de 60 ans à des fins de modifications climatiques sur l’effet de serre ?
Quel est aussi l’impact de ces aérosols sur la détérioration de la couche d’ozone qui se poursuit?
A quoi va ressembler le ciel une fois que la GRS / Gestion du Rayonnement Solaire – DEJA en cours silencieusement sera officiellement légalisée et normalisée ?
Levez la tête et regardez le ciel dès qu’il y a un espace bleu ; observez le manège de certains avions, notamment ceux qui volent en dessous de 8.000 m, par binôme ou en escadrilles ; apprenez en fonction des conditions météo à distinguer les traînées de condensation normales des traînées de condensation anormalement persistantes, celles qui se diffusent et défigurent complètement le ciel en formant des nuages artificiels et /ou se transforment en un voile nuageux blanchâtre quasi permanent qui masque le Soleil; cette couverture nuageuse artificielle n’est pas seulement due à l’augmentation du trafic aérien mais est également le résultat des pratiques de géoingéniérie /de la GRS déjà en cours. Elle se fait par des épandages aériens clandestins et délibérés d’aérosols contenant des micro-particules chimiques, du soufre, des métaux lourds comme l’iodure d’argent, l’aluminium, le baryum, le strontium et divers polymères .
Faites donc des prélèvements et des analyses des eaux de pluie !
Prélevez aussi les fibres / les filaments blancs qui tombent du ciel ; faites les analyser !
Vous ne serez pas déçu du résultat de ces perturbateurs endocriniens.
Pour conclure, on parle de la fonte de la banquise et encore et toujours de trous dans la couche d’ozone mais personne n’a le cran de se pencher, ni de dénoncer les effets des différentes stations Haarp, Sura, Eiscat et bien d’autres sur la planète, ces stations, centres de recherche, militaire ou civils, sont toutes des chauffeurs de ionosphère.
Via leurs méga antennes, leurs émissions d’ondes ultra hautes fréquences vers la ionosphère modulées à leur retour en ondes très et ultra basses fréquences ont pour effet de celui d’un four à micro-ondes.
Alors Science ou Désastre ?
Il est de même ahurissant que certains membres du GIEC se soient laissés piéger par les lobbies de la géoingéniérie.
Des scientifiques et des politiques à la solde des lobbies – nous n’en voulons pas !
Plus de pollution dans le Ciel, la GRS, qui ne règlera rien – et qui sera bien pire, nous n’en voulons pas !
Mettez en place un réel Moratoire à ce sujet.
Révisez la Convention ENMOD qui autorise les manipulations du climat à des fins pacifiques.
Ceci est la voie ouverte à tout notamment à la Guerre Climatique déjà en cours insidieusement.
Nous en appelons à l’Intégrité, à la Morale et à la Sagesse de chacun.
RÉVEILLEZ-VOUS !
LES CAUSES DE LA CRISE CLIMATIQUE SONT ELLES VRAIMENT CELLES QUE L’ON CROIT ?
Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information
sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques
Nouveau site en construction :
http://www.acseipica.fr/
Facebook :
https://www.facebook.com/acseipica.associationcitoyenne
Ancien blog :
http://acseipica.blogspot.com/
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Nous devons nous organiser pacifiquement.
Pacifiquement est le maître mot.
Si ces attaques d’aérosols par des avions militaires et civils venant de partout, peuvent répandre sur nous ces horribles toxines, année après année en toute impunité – en dépit de toutes les lois – alors il est absolument impératif de s’organiser pacifiquement. Comme l’a noté Peter Dale Scott au sujet de nouveau DVD de Jason Bermas « Invisible Empire », nous devons utiliser l’internet et nos capacités intellectuelles pacifiques pour gagner ensemble et faire cesser ce cauchemar. Nous pouvons le faire.
Il est temps de reconquérir notre ciel
—
Extrait du rapport du Belfort Group, équipe d’investigation réunie autour du Pr Coen Vermeeren, Faculté d’ingénierie aérospatiale de Delft aux Pays Bas
(biographie du Pr Coen Vermeeren ici : http://www.lr.tudelft.nl/
…. »En combinant les connaissances sur la formation des contrails, les effets des cirrus sur le climat, l’historique des programmes de manipulation du climat, les études scientifiques de géoingénierie par la modification des cirrus, la technologie et les brevets disponibles et les réactions des pilotes sur terrain, on ne peut arriver qu’aux conclusions suivantes :
1. La manipulation du climat à l’aide de cirrus artificiels n’est ni un canular ni une théorie conspirationniste, mais actuellement la meilleure option prise en compte en géoingénierie pour contrer le réchauffement global.
2. L’ambition des Etats-Unis est de contrôler le climat d’ici 2025, à des fins civiles et militaires ( stratégies offensives et défensives). Cette recherche contient une compilation de preuves documentées pouvant étayer cette déclaration.
3. La technologie pour organiser des épandages à grande échelle est largement disponible. L’aviation civile et l’aviation militaire sont employées à ces fins. Le mélange contenant des oxydes métalliques et des composés chimiques peut être, soit pulvérisé au moyen d’un dispositif spécialement conçu, soit incorporé au carburant du réacteur. Cette recherche est bien documentée dans ce domaine.
4. Etant donné que les brevets sont détenus par l’entrepreneur- fournisseur principal des Forces Armées Américaines (Raytheon) ou le Département de la défense et vu l’historique rapportée, il est évident que les programmes actuels de manipulation du climat sont organisés et dirigés par le Gouvernement Américain.
5. Les actions d’épandage en EUROPE ne sont possibles qu’avec un accord préalable et une intense coordination au sommet des Gouvernements et pour son exécution, un accord au niveau industriel. Le public est intentionnellement tenu à l’écart et est ignorant de l’existence de tels projets.
6. Bien que des actions d’épandages pourraient être considérées comme étant légales, elles peuvent potentiellement avoir un effet nuisible sur la santé. Il y a suffisamment de preuves scientifiques dans cette étude pour accréditer cette thèse. »
Case Orange 2010, page 69
Rapport complet du Belfort Group ici (pdf) :
http://rockastres.org/IMG/
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Chemtrails et politique :
France, questions à l’assemblée nationale :
– de M. Gérard Bapt ( Socialiste, républicain et citoyen – Haute-Garonne ) le 16/10/2012: http://
– de M. Joël Giraud ( Radical, républicain, démocrate et progressiste – Hautes-Alpes ) le 12/11/2013 : http://
Parlement européen :
– Mme Josefina Fraile, député espagnole au Parlement européen dénonce les chemtrails et le géoingénierie : http://www.youtube.com/
– Mr Erik Meijer, député socialiste néerlandais, la question des chemtrails au Parlement européen : http://
– Mme Claire Henrion, présidente de l’Association Citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques (Acseipica) https://www.youtube.com/
Parlement canadien :
Un député parle d’une pétition – 21/10/2013 http://
Serbie :
– Mr Nikola Aleksic du mouvement écologique serbe s’oppose aux chemtrails :https://www.youtube.com/
Parlement italien :
Interrogazione al Governo italiano del 2 aprile 2003 (deputato Italo Sandi)http://www.camera.it/
Interrogazione al Governo italiano del 27 ottobre 2003 (deputato Piero Ruzzante)http://www.camera.it/
Interrogazione al Governo italiano del 3 febbraio 2005 (deputato Severino Galante)http://www.camera.it/
Interrogazione al Governo italiano del 13 giugno 2006 (deputato Gianni Nieddu) http://
Interrogazione al Governo italiano del 8 agosto 2007 (senatore Amedeo Ciccanti)http://
Interrogazione al Governo italiano del 20 dicembre 2007 (deputata Katia Bellillo)http://legxv.camera.it/
Interrogazione al Governo italiano del 5 giugno 2008 (deputato Sandro Brandolini)http://
Interrogazione al Governo italiano del 16 giugno 2008 (deputato Amedeo Ciccanti)http://
Interrogazione al Governo italiano 4-01044 del 17 settembre 2008 (deputato Antonio Di Pietro) http://
Interrogazione al Governo italiano 4-01193 del 1 ottobre 2008 (deputato Sandro Brandolini) http://
Interrogazione al Governo italiano 4-01193 del 28 gennaio 2009 (deputato Sandro Brandolini) http://
Interrogazione al Governo italiano 4-02216 del 5 novembre 2009 (senatore Oskar Peterlini) http://www.senato.it/japp/
Interrogazione al Governo Italiano 5-02128 del 18 novembre 2009 (senatore Amedeo Ciccanti)
Interrogazione al Governo italiano 4-10970 del 22 febbraio 2011 (deputato Domenico Scilipoti) http://
Parlement Grec :
Mrs Asimina Xirotiri et Fotis Kouvelis : http://www.enouranois.gr/
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« Filaments tombés du ciel : résultat des analyses »
http://
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Chemtrails et médecine :
– la maladie de Morgellons : analyse d’une population présentant des fibres sous-cutanées microscopiques cliniquement confirmées et d’étiologie inconnue. http://
– Caractéristique et évolution des filaments dermiques de patients atteints de la maladie de Morgellons. http://
– L’intoxication au Baryum perturbe la synthèse des protéoglycanes sulfatés: une hypothèse pour l’origine de la sclérose en plaques :
Extrait …. » Les niveaux élevés de Barium provenant de carrières de minerais et/ou de l’utilisation du Barium dans les industries du papier/fonderie/soudage/
– Les taux élevés d’Argent, de baryum et de strontium retrouvés dans les bois, la végétation et les sols sont-ils responsables des encéphalopathies spongiformes chez l’homme ? :
Extrait… »Les taux élevés d’Argent, de Barium et de Strontium pourraient découler de la pratique courante de pulvérisation aérienne « l’ensemencement des nuages » : l’Argent ou les cristaux de Barium pour faire pleuvoir dans ces zones nord américaines sujettes à la sécheresse. La pulvérisation atmosphérique avec des aérosols à base de Barium pour améliorer/réfracter les communications/radar et le signal radio sont incriminés. » …http://
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D’autres documents disponibles sur le site l’ACSEIPICA (Association Citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’interventions climatiques et atmosphériques)
http://
Qui dessine dans le ciel ?
ATTENUER LE SOLEIL, un article sur David Keith
Titre original:
Buffering the sun sur Harvard magazine
David Keith est un des principaux porteurs de projets de géoingéniérie. Nous l’avions rencontré au meeting de la Royal Society (Londres) les 8 et 9 novembre 2010. Lire ou relire son entretien avec Saskia Messager
http://acseipica.blogspot.fr/2010/11/compte-rendu-royal-society-discussion_20.html
Grand merci à Odette pour la traduction de cet article qui nous fait découvrir ce personnage inconnu des français, ses projets et son audience.
Quelques commentaires s’imposent: l’importance donnée aux gaz à effets de serre et à la problématique du règlement de leurs émissions telle qu’exposée dans cet article ne reflète pas du tout notre point de vue. Cela est l’arbre qui cache la forêt HAARP et justifie l’ option de la géoingéniérie.
Si HAARP cesse, il n’y a plus de réchauffement climatique !
HAARP ET LES CHEMTRAILS SONT LA CAUSE DES PROBLEMES CLIMATIQUES !
Voir ou revoir notre diaporama présenté au Klimaforum de Copenhague en 2009 » Les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? »
Lire aussi l’article bien documenté dans la revue NEXUS, numéro de juillet 2013: « HAARP, arme secrète d’une guerre invisible ».
David Keith parle vite et monte les escaliers deux marches à la fois, comme poussé par un sentiment d’urgence. Le savant d’Harvard s’intéresse à la fois à la communauté scientifique et aux questions de politique qui portent sur le changement climatique et a en mains une gamme étonnante de projets liés au climat et à l’énergie. Il a co-gèré le Fonds pour l’énergie innovante et recherche sur le climat (FICER), créé par le fondateur de Microsoft Bill Gates pour soutenir la recherche sur le changement climatique, et a fondé Ingénierie de carbone, une société qui semble sur la bonne voie pour construire la première usine à échelle industrielle pour capturer le dioxyde de carbone de l’air pour un usage commercial possible. Mais Keith est surtout connu pour son travail sur la géoingénierie solaire : stratégie pour contrer la hausse des températures mondiales en réduisant la quantité de lumière solaire qui atteint la Terre et de son atmosphère. Ces travaux pourraient un jour sauver la planète.
Comme les sceptiques continuent à se demander si le réchauffement climatique est réel, et que les efforts mondiaux pour réduire les émissions de gaz sont en décrochage, un nombre restreint mais croissant de scientifiques croient que les humains peuvent avoir besoin d’envisager un «plan B» pour prendre le contrôle de l’avenir de notre climat. La géoingénierie solaire englobe de multiples propositions pour régler le thermostat de la planète, y compris dévier la lumière du soleil loin de la terre avec des boucliers spatiaux massifs ou des nuages lumineux de basse altitude au-dessus des océans. Une suggestion, inspirée par le soufre recraché par les volcans, implique la création d’une flotte de jets de pulvérisations de sulfates dans la stratosphère, où ils se combinent avec la vapeur d’eau pour former des aérosols. Dispersée par les vents, ces particules sont capables de couvrir le monde entier avec une brume minimiserait d’environ 1% du rayonnement solaire. (L’éruption du Pinatubo en 1991, qui a relâché environ 10 millions de tonnes de soufre dans l’air, réduit les températures mondiales d’environ 1 degré Farenheit pendant au moins un an).
Les scientifiques ont discuté de ces stratégies pendant des décennies, principalement à huis clos, en partie parce qu’ils craignaient que parler publiquement de la géo-ingénierie saperait les efforts pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Keith, qui est professeur McKay de physique appliquée de l’École d’ingénierie et de sciences appliquées (SEAS) et professeur de politique publique à Harvard Kennedy School, préconise fortement de rendre publiques les discussions sur la géoingénierie. Il dit: «Nous ne prendrons pas de bonnes décisions en cachant des choses radicales sous le tapis. »
Et comme il s’efforce de faire connaître le débat sur la géoingénierie, Keith a également cherché à déplacer la science elle-même au-delà des modèles informatiques vers la possibilité d’essais sur le terrain à petite échelle. « Il n’est pas du tout évident que la géoingénierie est la solution que nous devrions utiliser », dit-il, « mais la prépondérance de la preuve dans les modèles de climat utilisés jusqu’à présent suggèrent que son utlisation réduirait les risques climatiques ».
Par l’intermédiaire de Keith, le sujet de la géoingénierie solaire est passé au cours des cinq dernières années d’une zone obscure, étudié par une poignée seulement de ce qu’il appelle « geonerds, » à un sujet qui attire une attention croissante à la fois des scientifiques et du grand public.
Lui et son collègue FICER administrateur Ken Caldeira (de l’Institution Carnegie pour le département de science de l’écologie mondiale, à Stanford), ont utilisé les fonds pour les projets qui évaluent les risques de réchauffement de la planète et sur les avantages et les risques des technologies avancées pour résoudre le problème. Ils ont également utilisé une petite partie de l’argent pour relancer le développement de nouvelles technologies pour lutter contre le changement climatique. Pour le moment, les bonnes solutions au problème font actuellement défaut.
Pendant ce temps, les nations du monde ont émis environ 38,2 milliards de tonnes de dioxyde de carbone (gaz à effet de serre principal), soit une augmentation de 3% par rapport à l’année précédente. Ce taux devrait s’accélérer à mesure que les pays en développement comme la Chine et l’Inde brûleront plus de charbon et d’élargir leurs flottes de véhicules. En mai, les scientifiques ont constaté que le niveau moyen quotidien de CO2 dans l’atmosphère a dépassé 400 parties par million, un niveau jamais vu. Même si l’homme stoppait miraculeusement toutes les émissions de carbone la semaine prochaine, le problème du changement climatique va persister pendant des siècles. Une étude a révélé que 40% de la concentration maximale de CO2 restera dans l’atmosphère pendant un millier d’années après le pic atteint, et même alors, l’inertie dans les océans réchauffés ne permettra pas un retour rapide à des températures plus fraîches.
Les prévisions les plus optimistes pour le reste du siècle, cités par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat dans son rapport d’évaluation de 2007, prévoit une augmentation de 2,0 à 5,2 degrés d’ici 2100, alors que les plus pessimistes prévoient une hausse de 4.3 à 11.5 degrés. Les effets seront dévastateurs avec l’élévation du niveau de la mer, des tempêtes et des sécheresses de plus en plus graves, et la fonte des glaciers et du permafrost.
Compte tenu de ces conséquences prévues à long terme du réchauffement climatique, certaines stratégies de géoingénierie qui semblent offrir des contre-mesures relativement à action rapide pourrait devenir particulièrement attractives.
En 1992, Keith et son mentor Hadi Dowlatabadi, physicien et mathématicien appliqué, ont rédigé l’un des premiers documents évaluant les stratégies de géoingénierie. Aujourd’hui, le terme est souvent utilisé pour désigner à la fois l’élimination du CO2 de l’air (pour réutilisation ou pour le stockage dans des réservoirs tels que l’océan profond, voir « La capture du carbone» à la page 26), et de limiter la quantité de lumière qui atteint la terre en premier lieu (où elle peut être piégée dans l’atmosphère par les gaz à effet de serre et contribuent au réchauffement).
Ces deux stratégies pourraient être utilisées ensemble pour contrer le réchauffement climatique, mais elles n’ont pas les mêmes coûts et les mêmes risques. «Nous aurons une meilleure chance de concevoir une politique raisonnable si nous les traitons séparément, » at-il dit à un comité du Congrès en 2010. L’ampleur de la problématique du CO2 signifie que l’élimination du carbone « sera toujours relativement lente et coûteuse », a-t-il ajouté. Elle comporte certains risques locaux, mais n’a aucune chance de nuire à la planète entière. La géoingénierie solaire, quant à elle, pourrait avoir des résultats rapides à un coût étonnamment bas. (Selon des estimations récentes, la diffusion du soufre dans l’atmosphère afin de réduire les températures mondiales pourrait coûter quelques milliards de dollars par an. En 2006,le gouvernement britannique estimait que la réduction des émissions de 25% en 2050 coûterait environ 1% du PIB mondial annuel, soit environ 1 billion de dollars en 2050). Keith fait valoir que les coûts de la géoingénierie solaire sont si bas que le «coût ne sera pas une question décisive. » Au lieu de cela, dit-il, les scientifiques et les décideurs politiques devront peser les risques: « le risque de le faire contre le risque de ne pas le faire. »
Keith parle franchement sur les risques et les incertitudes de la géoingénierie solaire, reconnaissant un éventail de résultats possibles. «La prépondérance de la preuve suggère jusqu’ici que la géoingénierie solaire pourrait réduire les risques climatiques, mais la science utilisée trop tôt est peut-être un tort», dit-il. «Nous avons besoin d’expériences, pour évaluer ce qui ne fonctionne pas. » En outre, certaines recherches suggèrent que les aérosols sulfatés peuvent endommager davantage la couche d’ozone, un problème qui doit être étudié.
Alan Robock, professeur de sciences environnementales à l’université Rutgers, a soulevé d’autres préoccupations, la théorisation que le blocage des rayons solaires pourrait non seulement réduire la quantité d’électricité produite par l’énergie solaire, mais aussi de modifier les conditions météorologiques, qui pourraient déclencher des sécheresses généralisées. Keith ne trouve pas ces possibilités convaincantes. Il croit que l’énergie solaire pourrait n’être affectée que dans des «scénarios extrêmes» avec une utilisation très lourde de la géoingénierie solaire, et il dit qu’il n’a pas vu une analyse sérieuse qui prenne en compte la possibilité de sécheresse. Des études ont montré que les rendements pourraient augmenter dans certaines régions, parce que les plantes poussent plus efficacement sous une lumière diffuse, et l’excès de CO2 dans l’atmosphère pourrait avoir un effet fertilisant. Pourtant, une question essentielle demeure : la géoingénierie solaire n’aborde pas le danger sous-jacent des émissions de CO2, qui continueront à s’accumuler et créer d’autres problèmes, tels que l’acidification des océans, hautement nuisible pour les récifs coralliens et les autres espèces marines.
Surtout, les techniques actuellement proposées devront être appliquées progressivement. Cela présente des défis nécessitant que les diverses nations (et les groupes politiques au sein de ces nations) s’entendent sur des actions communes, choses qu’ils ont été largement incapables de faire lors de la négociation des traités pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. «Avec la géoingénierie solaire, à un certain niveau, vous avez juste à appuyer sur un bouton», dit Keith. « Cela exige une prise de décision collective au niveau mondial. »
Et pourtant, la géoingénierie solaire est d’un coût relativement faible et évoque la possibilité qu’une seule nation, ou peut-être un groupe de pays insulaires menacés par la montée des eaux, puissent agir unilatéralement pour en déclencher le processus. «Un petit groupe de personnes peut avoir une grande influence sur toute la planète», dit Keith. Mais il ne considère pas cela comme une menace inexorable.
Compte tenu de ces réserves, Keith déplore que certains journalistes et universitaires le dépeignent comme un meneur « techno-optimiste» pour ces technologies. La réalité, dit-il, c’est que je suis plein d’espoir au sujet de l’innovation technique », mais profondément pessimiste sur le comportement humain quand il s’agit de protéger le monde naturel. C’est pratique pour les critiques de me classer comme un booster dit-il, mais lui et ses collègues chercheurs dans le domaine » ont généralement été le premier à exprimer leurs préoccupations au sujet des risques encourus».
En 2007, Keith et Daniel Schrag, professeur de sciences de l’environnement et de l’ingénierie, et directeur du Centre Harvard pour l’environnement, a invité un groupe de spécialistes de l’environnement et de décideurs politiques à Cambridge pour un atelier d’une journée sur la géo-ingénierie. La réunion a eu lieu hors campus et fermée au public.
Keith et Schrag ont également invité trois journalistes scientifiques, qui ont été autorisés à écrire sur la discussion, mais ne pouvaient pas citer les participants sans leur consentement. Keith estime qu’il s’agit d’un moyen utile pour faire les premières réunions sur des sujets nouveaux et controversés. «Les gens ont besoin de temps pour comprendre», explique-t-il.
Ce n’était pas la première grande réunion sur la géo-ingénierie, mais elle a été la première à inclure des personnalités des sciences sociales et des décideurs. «Il y avait une excitation de se confronter à toutes ces questions hallucinantes », se souvient le professeur d’économie Martin Weitzman, un participant qui estime que la réunion a changé certains esprits. Il se souvient d’un éventail d’opinions : les participants qui pensaient que les technologies de géo-ingénierie devraient être utilisées comme une première ligne de défense contre le réchauffement climatique, d’autres qui se pensaient fortement que les scientifiques ne devraient même pas discuter de ces stratégies, et la plupart des gens rangés entre ces deux extrêmes. ». Les membres de la réunion ont estimé qu’il faudra se préparer à des situations d’urgence, telles que l’action unilatérale d’un État voyou. Ils appellent la géoingénierie « une proposition effrayante», mais ajoutent : «Il vaut mieux être informé que d’être pris au dépourvu …».
Keith lui-même a été particulièrement frappé par une remarque faite lors de cette conférence par Eliot, professeur à l’Université Lawrence Summers, qui a mis en garde contre la rétention d’informations sur les solutions au réchauffement planétaire, ni préjuger de la réaction du public à ces idées. «Ce n’est pas parce que nous sommes une classe scientifique que nous devons décider ce que le reste de la société est capable de gérer. Cette idée est vraiment obscène, et je pense que Larry a été très clair à ce sujet. »
Keith estime que la participation du public est indispensable à une conversation sur la géo-ingénierie, il reconnaît la nécessité d’éduquer le public à l’avance. Cela amène la question des essais sur le terrain à petite échelle. L’expérimentation est nécessaire pour déterminer si une solution aérosol est encore viable. Il travaille actuellement avec le professeur Weld (spécialiste de la chimie de l’atmosphère) pour développer un test qui enverrait un ballon d’hélium portant de petites quantités de soufre et de l’eau dans la stratosphère afin de surveiller la façon dont il affecte la couche d’ozone, des recherches antérieures ayant montré que le soufre et la vapeur d’eau réagissent avec les concentrations atmosphériques de chlore. L’expérience utiliserait seulement quelques kilogrammes de particules de sulfate et n’aurait aucun effet sur le climat. Son impact « serait probablement beaucoup moins nuisible qu’un seul vol commercial. »
Mais l’étude va être longue, en partie parce que ce type de recherche est très controversé. Certains critiques disent que les essais sur le terrain devraient être interdits car ils sont la première étape sur la pente glissant vers la géoingénierie solaire à grande échelle. Keithsouligne que lui et Anderson ne feront pas cette étude] sans une certaine approbation gouvernementale formelle et un financement public. »
En effet, il espère que l’étude, au-delà de ses objectifs scientifiques, permettra également de mettre en place une structure pour gouverner la recherche à petite échelle. Ce printemps, lui et Edward Parson de l’UCLA School of Law ont appelé à une surveillance gouvernementale sur la recherche en géoingénierie, ils pensent que l’autorégulation n’est pas suffisante pour gérer les risques. Mais au lieu d’un traité, ils suggèrent un ensemble non contraignant de normes émises conjointement par des organismes scientifiques aux États-Unis, en Europe et en Chine: « les principes raisonnables sur la façon de gérer les risques et sur la transparence et l’ouverture», explique Keith (voir » Conseil d’géoingénierie Research, « page 26). Il aimerait aussi voir un moratoire international sur le déploiement à grande échelle. Sans une gouvernance largement acceptée, la recherche de terrain restera dans l’impasse. Les bailleurs de fonds ne soutiendront pas les expériences qui n’ont pas de système de surveillance.
En tant que leader dans son domaine, les conclusions de Keith vont parfois à l’encontre de la sagesse. Il souligne que de nombreux responsables politiques et des universitaires considèrent les solutions au changement climatique en termes de risques et de coûts, en comparant, par exemple, le coût des dommages climatiques au coût de réduction des émissions. « L’argent que nous dépensons en réduction des émissions permettra d’économiser de l’argent en dommages climatiques».
Certains chercheurs disent qu’ils espèrent que les technologies de géoingénierie solaire ne sont jamais déployées, mais Keith s’y oppose. Il espère susciter un débat plus nuancé. «Je pense qu’il y a beaucoup de choses qui font peur à propos de cette perspective, mais je ne vois tout simplement pas comment trouver une technologie potentiellement salvatrice qui aide à réduire le risque climatique qui est beaucoup plus terrible», dit-il.
Titre original « Buffering the sun » Harvard magazine
Documents soumis à la Royal Society au sujet du Solar Radiation Management Governance Initiative
Suite au meeting organisé par la Royal Society les 8 et 9 Novembre 2010 ( compte rendu ici), deux de nos membres ont apporté leur contribution critique au SRMGI (Solar Radiation Management Governance Initiative) http://www.srmgi.org/
- Claire HENRION,Chercheur indépendant
b) « Durables » s’entend d’une période de plusieurs mois, ou environ une saison;
c) « Graves » signifie qui provoque une perturbation ou un dommage sérieux ou marqué pour la vie humaine, les ressources naturelles et économiques ou d’autres richesses.
Alliance pour la Santé – Dossier de presse Congrès _p4
- Antonius Van Meesche, chimiste retraité de chez Monsanto, membre de l’ACSEIPICA
a big issue in the science community, there are no » global plans for spraying chemicals in the sky in order to reduce temperature » as yet.As for experiments, there was an ocean fertilisation expriment last year (LOHAFEX) that sparked reactions and a still on-going debate under two major treaties. I have heard of a very small scale Russian experiment in solar radiation management, the results of which were published.
Apart from this, to my knowledge there is academic research at a level much below field experiments. The European Commission is funding academic research as part of their FP7 programme, and there are a few articles and projects at academic institutions.
There is no one organisation in charge of the potential geoengineering efforts – in fact, this is an issue I am currently writing about. »