Géo-ingénierie : Huit États américains utilisent l’ensemencement des nuages

Géo­-ingénierie : Huit États américains utilisent désormais une technique appelée « ensemencement des nuages » pour encourager la formation de nuages et fournir aux régions frappées par la sécheresse, l’eau dont elles ont tant besoin.

Les mots sont des armes

Maria Heibel 

Article paru dans NoGeoingegneria en décembre 2014

traduction Monique Fontana

https://www.nogeoingegneria.com/motivazioni/sociale/la-parola-come-arma-le-scie-chimiche/

«Concentrez-vous sur leur sens, et les mots trouveront d’eux-mêmes leur place»

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Les mots peuvent ouvrir des fenêtres, ou dresser des murs. Pour communiquer de façon efficace, il faut transmettre un contenu, des idées, des concepts, faire part d’événements, en utilisant les termes appropriés. Selon le langage utilisé, on peut attirer l’attention et faciliter la compréhension. Chaque mot a sa signification, est une « unité logique d’information » et met en valeur une question ou un problème.

Cette brève introduction est indispensable si nous voulons examiner un terme qui s’est répandu jusqu’à prendre une dimension stratégique ; un stratège démontre qu’il en est conscient en faisant une description délibérément vague d’un certain phénomène : « Je ne sais pas de quoi il s’agit, je ne sais pas si ça peut aider. Je me pose la question suivante : comment se fait-il que ces types soient là et qu’ils le refassent avec une fréquence quasi bestiale … cette chose est là tous les jours … » a déclaré le Général Fabio MINI, parlant des traînées que des avions épandent dans le ciel: des traînées de condensation longues ou courtes, fines ou massives, qui prennent les formes et les couleurs les plus variées, et que nous n’avons jamais vues par le passé. Que faire d’autre que de nous poser des questions au sujet de « cette chose » dans le ciel. Alors, que sont donc ces « contrails », ces traînées de condensation dans le ciel ?

« C’est simplement de la vapeur d’eau, ce sont des traînées de condensation  tout à fait normales », nous assurent ceux qui sont censés savoir. Mais ceux qui ne leur font pas confiance parlent de « chemtrails », de traînées chimiques, un terme qui est devenu endémique dans le monde entier, qui a pris la dimension d’un mot clé. Oui, mais ces mots clés ont une double fonction : on peut les utiliser pour libérer ou pour emprisonner. Et quelle est la fonction dans ce cas précis ? De qui ou de quoi s’agit-il ? Quelle intention l’inventeur de ce terme avait-il en tête ? La composition du mot est-elle tout à fait fortuite ? Car il s’est propagé immédiatement comme un virus. Joue-t-il vraiment le rôle efficace et adéquat d’un messager ?

Mais partons de là : Que veut dire l’expression « chemical trail » ?

 

A « wake », un sillage, est ce que vous laissez derrière vous. Le terme : « composé chimique » (chemical composition) peut décrire un état naturel ou artificiel. Depuis des années le débat tourne autour de cette question essentielle : les traînées que nous voyons dans le ciel sont-elles des « contrails » ou des « chemtrails » ? des traînées de condensation ou des traînées chimiques ? La communauté scientifique définit les « contrails » comme des traînées ou nuages de cristaux de glace. Cependant certains des scientifiques qui alimentent le débat, affirment que, du point de vue linguistique, cette distinction n’a pas de sens. En fait …

Toutes les traînées d’avions sont des « chemtrails » !

La combustion du carburant dans les moteurs d’avions est une réaction chimique. C’est à dire le passage d’une substance d’un état liquide à un état gazeux, qui se transforme en vapeur sous certaines conditions et forme une traînée visible. Les traînées de condensation  sont donc véritablement des « traînées chimiques » ! Alors quoi ? Sont-elles bonnes ou mauvaises ?

Tous ceux qui utilisent le terme « chemtrails » pour dénoncer ces sillages anormaux, lui donne une valeur négative, utilisant le mot « chimique » comme un synonyme de toxique, empoisonné, nocif. Mais il est évident que les réactions chimiques ne sont pas toutes toxiques. Alors dans quel but mettre les deux termes en opposition, opposition qui est créée et voulue, et basée sur une expression géniale ? Qui donc a intérêt à ce que le débat concernant la manipulation climatique (manipulation en cours depuis des décennies), soit réduit à une chamaille stérile pour ou contre l’innocuité ou la malignité des traînées de condensation (contrails).

Au regard des résultats obtenus après des années de discussions, ne voir dans les contrails/chemtrails que d’« insignifiantes traînées dans le sillage » des avions, pourrait être jugé comme une opération de marketing particulièrement réussie. Tout le monde aujourd’hui, ou presque, voit dans le ciel des traînées de condensation (contrails) on ne peut plus normales, qui l’embellissent et que beaucoup qualifient de « magnifiques ». Voyez les innombrables photos et vidéos sur internet.

« Magnifique coucher de soleil »

Depuis fort longtemps, on a laissé s’engager dans le débat des factions opposées (créées ou non à dessein?). Les tenants des « théories de la conspiration » disent que les traînées ne sont PAS naturelles, ne sont PAS  inoffensives et sont précisément des « chemtrails », ce terme impliquant le fait que ce sont des traînées de condensation « maléfiques ». Une grande majorité des scientifiques reconnus, certains hommes politiques et les détracteurs répliquent : les traînées de condensation sont normales, elles sont sans danger, ce sont des « contrails », en bref elles sont « bonnes ».

Si on analyse ces affirmations, on en arrive à penser que le débat est aussi fallacieux que la définition, fallacieux et tout simplement erroné.

Au-delà des composés des traînées de condensation en question, ce que nous voyons dans le ciel n’est A  AUCUN  MOMENT un fait sans danger.  Les traînées de condensation des avions ne sont PAS sans danger.  Les résidus de la combustion du carburant que les avions rejettent, souillent l’atmosphère et interviennent sur le climat de multiples façons. La multiplication des transports aériens qui s’est accélérée ces dernières années, suite à la prolifération des compagnies aériennes à bas prix (low cost), affecte la plupart des pays et augmente de façon exponentielle. Les appareils pour autant que je sache, ne consomment pas de l’eau ! Ils consomment  du kérosène, un carburant fossile. Guy Dauncey et Patrick Mazza expliquent : « Les avions commerciaux génèrent 600 millions de tonnes de CO2 par an. Ils libèrent de l’oxyde d’azote directement dans la troposphère (la partie inférieure de l’atmosphère, là où se produisent les phénomènes météorologiques). C’est là qu’ils oxydent l’ozone troposphérique qui, à cette altitude, agit comme un puissant gaz à effet de serre ». (1)

Les traînées de condensation très denses provoquent la formation de cirrus et bloquent la chaleur au niveau de l’atmosphère. En 1999, le GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), exprimait de nouveau son inquiétude au sujet des gaz émis par le trafic aérien. Curieusement, pourtant, ce trafic a été dispensé de tout protocole (Kyoto) et des statistiques gouvernementales. Le ciel demeure un espace libre de toute contrainte, et tout particulièrement pour les militaires.

Le terme de « chemtrails », cependant, n’est pas utilisé pour les émissions habituelles du trafic aérien (qui sont un effet secondaire), mais ce que nous voulons mettre en accusation, ce sont les émissions délibérées de substances dangereuses.

D’où vient le terme « chemtrails» et quand est-il apparu ?

 

C’est dans le langage militaire que le terme « chemtrails » (contraction de « chemical trails », traînées chimiques) a fait sa première apparition. En 1990, il y avait un cours intitulé  « chemtrails », à l’Académie des Forces Aériennes des Etats Unis – Département de Chimie USAFA. Le texte de ce document ne donne pas d’explications pour le choix de ce mot, clairement souligné sur la page de couverture. On dit que le terme « chemtrails » a été utilisé pour la première fois par le journaliste d’investigation William Thomas en 1999. Des traces fréquentes et de plus en plus persistantes ont commencé à alarmer les citoyens américains et canadiens en 1998, et Thomas, spécialiste de la publication de nouvelles non divulguées par la presse officielle, était du nombre. Pendant et après la guerre du Golfe, il était en service à Bahraïn, en Arabie Saoudite et au Koweït comme membre d’une équipe des situations d’urgence environnementale. Il est l’auteur de plusieurs livres, certains au sujet des téléphones mobiles et autres dangers électromagnétiques.

En 1998, le terme de « chemtrails » n’avait pas encore était mentionné publiquement et s’il est vrai que William Thomas a été le premier à utiliser cette définition, il faut noter qu’un article de janvier 1999, dont il est l’auteur, ne comporte aucune mention  du terme. Cet article titrait : « Contrails: les poisons nous tombent du ciel ». Immédiatement après la publication de ce texte, Thomas fut interviewé à plusieurs reprises sur la chaîne radio Art Bell Radio par son fondateur et animateur William Arthur Bell, la première fois en Février, puis de nouveau en mars 1999. L’émission obtint l’écoute de 15 millions d’auditeurs.

William Arthur Bell III mérite une attention toute particulière. Fils de Arthur Bell junior II, Capitaine du Corps de Marine US, et de Jane Bell, instructeur dans la Marine, Bell III, après avoir quitté l’armée, a vécu à Okinawa, une île japonaise connue pour la présence de bases américaines sur 18 % de son territoire. Il a travaillé comme disque-jockey pour KSBK, l’unique station de radio non-militaire en anglais, au Japon. C’est grâce au radiodiffuseur Bell, bien connu pour ses émissions sur les faits paranormaux et les sujets traitant de complot que le terme « chemtrails » s’est répandu comme une traînée de poudre.

Très vite, d’autres pays ont suivi en diffusant des émissions sur les « contrails dans le ciel ». L’augmentation rapide et graduelle des traînées persistantes sur l’ensemble du globe a été accompagnée par la diffusion de programmes identiques à ceux de Art Bell Radio, insérant chaque fois le thème des traînées de condensation dans un contexte de « mystères paranormaux et de complot. » Grâce au soutien particulier des médias de masse, on a pu contrôler la diffusion d’un terme sans histoire, parce qu’il introduisait des éléments faciles à discréditer.

Le terme « chemtrails » : de quoi s’agit-il ?

On utilise ce terme comme mot-clé pour repérer ceux qui sont impliqués dans la question des « traînées de condensation dans le ciel ». Il sert à créer un ghetto. Ce terme n’est pas officiel, il n’a pas d’histoire ou de références, il est en quelque sorte « répulsif » et n’aide pas à créer des liens entre les différents mouvements. Ce qui se passe dans le ciel est significatif dans beaucoup de domaines : la météo, le changement climatique, l’agriculture, les OGM, la gestion de l’eau (ensemencement des nuages et digues), la géologie, la science nucléaire, la protection de la biodiversité, la pollution de l’air (les particules fines et la pollution électromagnétique), les maladies environnementales, la gestion des catastrophes naturelles, la militarisation … en fait, pour tous les groupes ou mouvements qui luttent pour résoudre des questions connectées d’une façon ou d’une autre avec l’atmosphère terrestre.

 

Dans tous ces domaines on utilise, sans exception, des termes dont le sens étymologique est clair et sans équivoque. A l’inverse d’une organisation dont le but est de lever des fonds, une organisation aux prises avec les « chemtrails » qui utilise un terme dont l’origine incertaine est teintée d’une signification très particulière, se voit immédiatement disqualifiée. C’est un mot qui tend à créer des blocages. Le simple fait de le prononcer dresse immédiatement un mur. Il a un arrière-goût de bêtise et d’imbécillité.

Les « chemtrails » : un « phénomène » de persuasion

 

Les médias ont montré son pouvoir de persuasion habituel et ont réussi à développer autour de ceux qui, à différents niveaux, utilisent cette expression, une aura particulière. La réaction est quasi automatique : « c’est une conspiration brandie par des ignorants et des paranoïaques ».

Si les activistes ont tant de mal à trouver des plates-formes appropriées pour présenter des analyses et des documents en termes corrects, cela est dû bien sûr à l’engagement massif de campagnes de dénigrement à tous les niveaux, mais aussi tout particulièrement à un véritable mur de plomb entretenu par ce terme rédhibitoire et à la curieuse obstination des activistes qui utilisent ce terme controversé comme s’il n’en existait aucun de plus exact et de plus crédible.

L’expression « chemical trail » est-elle vraiment un bon outil, un terme ingénieux qui aide à informer et à éduquer les gens ?

NON, décidément non.

L’introduction du terme « chemtrails » a une saveur de « PSYOPS » (action psychologique), utilisée comme appât et comme piège.

Une chose est sûre, le terme « chemical trail » (traînée chimique) n’ouvre pas les tiroirs de documents, ne facilite pas la recherche des brevets et rapports militaires qui ont une assise légale et scientifique. L’usage de ce terme n’ouvrira pas les yeux et n’éclaircira pas les idées de qui que ce soit, mais construira une cage confortable pour ceux qui se contentent de simplifications.

Mais quels sont les termes corrects qui nous « ouvrent le ciel » ?

L’expression officielle qui recouvre les concepts de : « modification climatique délibérée » ou de « géo-ingénierie stratosphérique » est la géo-ingénierie des aérosols stratosphériques, en abrégé : SAG.

La dispersion d’aérosols dans l’atmosphère par avion, a une longue histoire.

Dans les années 1950 par exemple, il y a eu l’Opération LAC (Large Area Coverage – couverture d’une grande étendue), opération de dispersion aérienne de poudre de sulfure de zinc et de cadmium, à grande échelle, sur les Etats Unis d’Amérique et le Canada.

En plus des largages de substances par avion, on utilise aussi des fusées pour projeter des substances dans l’atmosphère. Un exemple particulièrement impressionnant est celui de 1963, quand l’Armée de l’Air américaine a lancé une fusée, créant autour de la planète un anneau formé de minuscules aiguilles de cuivre (dipôles). Ils voulaient ainsi établir un champ magnétique artificiel pour la transmission des ondes radio.

Les années de rêves délirants de Teller et de Wood, marquées par les expérimentations atomiques (plus de 2200 explosions au sol et des centaines dans l’atmosphère), ont marqué le début de la manipulation délibérée de la planète,  et particulièrement de l’atmosphère terrestre.

Le terme « épandage aérien » ouvre un nouveau chapitre. La plupart du temps ces actions ne sont pas dévoilées au public et restent semi-clandestines, mais les militaires ont leurs raisons pour agir de la sorte. Albert Gore, le père de Al Gore vainqueur du prix Nobel de la paix, a incité le Congrès américain en 1951, à créer une zone tampon avec du plutonium dégradé. Les conseillers américains ont examiné la suggestion du député de pulvériser du plutonium radioactif retraité pour former une « ceinture mortelle » au-dessus de la Corée.

En « ensemençant les nuages » par avion ou avec des fusées, on peut détruire ou créer de nouveaux nuages, on peut faire pleuvoir ou neiger, prévenir ou susciter des tempêtes de grêle, manipuler les courants, les orages, les ouragans, etc. En Italie et dans de nombreux autres pays, ce type d’expérimentations a débuté dans les années 1940.

Les « contrails » et les cirrus font l’objet d’études de la part des agences et des instituts gouvernementaux. Ils disent que les « simples traînées de condensation » sont un gros problème. Et la NASA déclare que les nuages créés par les tuyaux d’échappement des avions peuvent réchauffer le climat des Etats Unis. Comment réagissons-nous devant ces affirmations de nuages inoffensifs ?

Les chercheurs et les scientifiques les plus en vue parlent de nuages artificiels.

Depuis des décennies, la « nucléation de la glace artificielle » est utilisée pour manipuler le climat : manipulations du brouillard, de la neige, de la pluie, qui se sont accompagnées de dommages collatéraux et de dévastations.

Les expressions « CHAFF » (l’ivraie), nuages de plasma, nuages d’ondes, nuages bizarres, dévoilent de nouveaux champs de manipulation climatique.

Le blanchiment de nuages / ou du ciel signale que la géo-ingénierie projette de pulvériser (« tirer ») des particules dans la stratosphère. Les experts nous avertissent que le bleu du ciel n’est plus aussi profond qu’autrefois. (3)

 

Bien sûr, l’anglais est la langue la plus utilisée dans les brevets et les rapports.

 

La puissance des mots

 

Pour découvrir la nature exacte des expérimentations qui se déroulent dans le ciel, il est essentiel d’utiliser des mots précis.   

Les opérations entreprises de façon permanente, utilisent de multiples outils et ont de multiples objectifs, comme le montrent les exemples cités. La première règle à observer est d’EMPLOYER  LES  TERMES  EXACTS  et  ETRE CLAIR. Les mots précis fournissent une information rigoureuse et apportent des outils pour la compréhension et l’action.

On ne peut débattre avec les experts des différents domaines impliqués (et ils sont nombreux), que si on utilise la terminologie adéquate. Les entrées illégales et dangereuses dans notre écosphère sont nombreuses dans beaucoup de domaines. Le fait de construire des ponts et de trouver les connections qui relient ceux qui travaillent sur ces problèmes, permet d’échapper à cette ambiance de folie et pourra éventuellement arrêter un véritable « écocide ». Les mots sont importants. Le choix du vocabulaire utilisé est crucial. Il s’agit d’un choix stratégique qui « détermine le positionnement » du sujet en question. Les spécialistes des mass media le savent et ils savent très bien qui a tout intérêt à ce que le problème soit relégué dans la sphère de la « conspiration ».

Nous sommes enfermés dans la cage de nos mots, de ceux que nous utilisons et de ceux que nous omettons d’utiliser.

Seuls les mots justes nous offrent des clés.    

Le député des Hautes Alpes, Joël Giraud, interpelle le ministère de l’Ecologie à propos des « chemtrails  » et de la géoingéniérie

Question écrite du député des Hautes Alpes, Joël Giraud

En date du 12 novembre 2013, adressée au Ministère de l’Écologie, du développement durable et de l’énergie

Sur le site de l’Assemblée Nationale

http://recherche.assemblee-nationale.fr/questions/out/S46/BEMFDKHROYVOKUR1Y84.pdf

Texte de la question

M. Joël Giraud attire l’attention de M. le ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie sur les phénomènes de « chemtrails » et la géo-ingéniérie. Un certain nombre d’articles sont parus dans des revues scientifiques spécialisées ayant trait aux « mystérieuses traînées dans le ciel » plus connues sous le nom de « chemtrails ». Plus récemment, la Conférence du collectif « skyguards » qui s’est tenu à Bruxelles le 9 avril 2013 a rendu ses conclusions et a présenté au Parlement européen une pétition afin de faire cesser les épandages aériens clandestins dans le ciel. La géo-ingénierie qui comprend les interventions délibérées à large échelle visant à modifier le climat pour limiter le réchauffement climatique a des effets dévastateurs. Des milliers de témoins peuvent dénoncer des traînées d’avions dans le ciel qui se développent d’un horizon à l’autre, s’élargissent et fusionnent jusqu’à couvrir le ciel d’un nuage artificiel. En effet officiellement ces traînées sont considérées comme des traces de condensation laissées par les avions mais les scientifiques qui ont étudié la question mettent en avant le fait que les traces de condensation sont identifiables à des altitudes élevées de l’ordre de 10 000 mètres et que celles-ci se résorbent rapidement alors que les chemtrails apparaissent à des altitudes plus basses entre 2 000 et 5 000 mètres et s’estompent très lentement. Certains émettent l’hypothèse qu’il s’agirait là d’épandage de produits chimiques provoquant d’ailleurs des maladies respiratoires chez les populations survolées et que les appareils concernés sont des avions militaires sans aucune identification
possible, écartant ainsi la piste des appareils civils qui ne seraient donc pas concernés par ces traces. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire savoir si des études ont été diligentées par le Gouvernement afin d’apporter des réponses précises aux questions légitimement posées.

  • C’est la deuxième fois qu’un de nos députés pose une question écrite sur ce sujet.  

Voici la réponse, publiée le 29 avril 2014

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-42050QE.htm

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-7016QE.htm

A la suite de quoi, M Joël Giraud a été interviewé sur Street Press par Robin d’Angelo

https://www.streetpress.com/sujet/116812-le-depute-qui-voulait-savoir-pourquoi-il-y-a-des-nuages-dans-le-ciel

  • S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information.
  • Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.

Article de Naomi Klein dans le New York Times à propos de géoingéniérie

Naomi Klein, connue pour son livre « la Stratégie du Choc », a écrit un article dans le New York Times du 27.10.2012 à propos de la géo-ingéniérie

http://www.naomiklein.org/articles/2012/10/geoengineering-testing-waters

 
Naomi est une personnalité médiatique mondiale , très écoutée,  qui dénonce la géo-ingéniérie qui se fait déjà et prend clairement position contre l’utilisation de géo-ingéniérie. 
 
Elle prépare un livre sur la géo-ingéniérie et la manipulation du climat qui doit sortir début 2013.
Bonne nouvelle car ses publications trouvent un bon écho dans les médias grand public.
 

 « Mais si nous commençons à bricoler le thermostat de la terre – à délibérément obscurcir le vert de nos océans  pour absorber le carbone, et blanchir les nuages pour rejeter davantage de rayons lumineux  – nous élevons notre influence à un nouveau niveau. Une sécheresse en Inde sera vue – que ce soit vrai ou non  – comme la conséquence d’une décision délibérée d’ingénieurs de l’autre côté de la planète. Ce qui était autrefois de la malchance pourrait devenir, un complot malveillant ou une attaque impérialiste. » 

 

« Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel » 22/04/2011 | LADEPECHE.FR – Ariège

"Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel" PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR

PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR

L’article n’est plus sur Ladepeche, mais encore ICI.

Intrigué par des traînées blanches anormalement persistantes laissées dans le ciel ariégeois par des avions, Thierry Baudouy, de tempérament curieux, décide de faire des recherches sur Internet et les informations qu’il va trouver vont l’amener à se poser de nombreuses questions. Il s’aperçoit que ce phénomène n’est pas tout récent – il serait apparu en 1996 – et découvre que ce sont des chemtrails (de l’anglais « chemical trails », traînées chimiques) provenant des avions civils et militaires équipés de cuves contenant des produits toxiques, aluminium, baryum, fibres de polymères… Ces épandages sont effectués entre 9 000 et 10 000 m d’altitude, quand le taux d’humidité atteint moins de 30 %.

Thierry continue ses recherches, il veut savoir à quoi servent ces pulvérisations ; les réponses sont troubles : à des fins climatiques, pour lutter contre le réchauffement planétaire, à l’usage militaire… Bon nombre d’informations sont données mais toujours sans aucune certitude. Il contacte alors des associations, dont la principale en France, l’association citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’intervention climatique et atmosphérique (ACSEIPICA), dont le but est de trouver des réponses ainsi que d’informer le public. Il apprend alors que ces épandages sont réalisés dans le monde entier, sans que personne ne connaisse réellement la raison. A l’heure actuelle, Thierry cherche toujours une réponse. « Nous sommes très inquiets des conséquences du nucléaire, précise-t-il, mais peut-être pourrions-nous nous poser la question sur les conséquences de ces épandages ». Site http://acseipica.blogspot.com/

Comment reconnaître des chemtrails : ce sont des traînées blanches sous forme d’alignements parallèles ou de quadrillage qui par la suite s’étalent pour couvrir le ciel d’un large voile blanc ; on peut même apercevoir plusieurs avions qui se suivent pendant l’épandage.

Les méthodes de géo-ingéniérie pour réduire le réchauffement mondial

Notez bien que l’argument du réchauffement climatique global 

prétendument dû au CO2 et autres gaz à effet de serre 

sans mention de la vapeur d’eau 

qui est pourtant, sur Terre, le premier agent et de loin, de l’effet de serre,

est en lui-même un énorme HOAX 

qui masque les effets de chauffage de l’atmosphère

par les installations HAARP et consorts.

Voir le diaporama « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ». 

A télécharger ICI

Article  en anglais sur ACSEIPICA yahoo groupe.
Source: http://www.alterinfo.net/La-geo-ingenierie-atmospherique_a50099.html

Institute of Science in Society, Julian Rose, 20 septembre 2010

Un rapport anonyme confirme que des expériences de manipulation météorologique et climatique ont été effectuées par la Zunie (Etats Unis) et ses alliés durant les dernières décennies.

Les traînées chimiques (chemtrails) dévoilées

 Beaucoup de soupçons ont été suscités au cours des dix dernières années par les formations nuageuses inhabituelles et les sillages anormaux de jet dans la haute atmosphère [*]. J’ai personnellement été témoin de centaines de jours d’ingénierie de traînées et de nuages par des jets, à la fois au Royaume-Uni et en Pologne. Cependant, il s’est avéré être extrêmement difficile d’avoir des informations de source officielle sur le phénomène. Sur interrogation, la réponse normale est : « il ne se passe rien d’anormal. »
[* Ndt : La nature anormale de ce phénomène ressort du fait que c’est en gros seulement depuis la fin des années 90 que l’on peut voir le ciel défiguré par des chemtrails persistants, sans que la densité d’avion n’ait changé notablement.]

  Il s’avère que c’est très loin de la réalité. Bien que la plus grande partie de cet article se focalise sur une seule affaire récente de recherche professionnelle sur ce sujet, des centaines de documents à la fois officiels et officieux explorent et exposent les agissements loufdingues de l’aviation civile et militaire, chargées quotidiennement depuis quasiment dix ans de pulvériser couche après couche des substances toxiques sous forme de traînées d’aérosols chimiques dans le ciel au-dessus de nos têtes.

   Les épisodes d’épandage ne sont pas signalés par les médias et les gouvernements gardent le silence. Cette collusion, qu’elle soit intentionnelle ou non, nous maintient dans l’obscurité au sujet d’une grande expérience de géo-ingénierie qui a pour effet de desservir notre santé et de perturber gravement l’environnement naturel. Et, sans Internet, nous n’aurions rien su.

 Le Groupe Belge basé à Belfort a rassemblé plus de sept ans de recherche et d’enquête sur les faits et les activités qui sont devenues largement connus sous le nom « chemtrails. » Le 29 mai 2010, lors d’un symposium international à l’université de technologie Delft à Gand, le Groupe de Belfort a demandé au Dr Coen Vermeeren, ingénieur principal en aéronautique, de prendre la parole sur la question. Vermeeren a établi sa présentation sur un rapport scientifique de 300 pages intitulé [1] « Case Orange: Contrail Science, Its Impact on Climate and Weather Manipulation Programs Conducted by the United States and Its Allies » (Affaire Orange : Sciences des traînées de condensation, impact sur le climat et la météo des programmes de manipulation conduits par la Zunie et ses alliés). Selon Vermeeren, les auteurs du rapport sont « un groupe de scientifiques ou d’initiés qui ont choisi de rester anonymes. »

      Dans son exposé, le Dr Vemeeren reconnaît franchement l’existence des traînées persistantes. » Il dit :

     « Nous savons aussi que les chemtrails existent parce que nous faisons des pulvérisations, pour les cultures, par exemple, et nous savons qu’ils sont faits à des fins militaires. Les chemtrails ne sont donc pas nouveaux. Nous le savons. »

De la manipulation météo à la géo-ingénierie

      Le rapport Case Orange révèle l’existence de documents disponibles au public, indiquant que diverses formes de géo-ingénierie sont en cours depuis « au moins 60 ans. » Les premiers exemples incluent « les opérations du Royaume-Uni d’ensemencement des nuages au-dessus de l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale et les tentatives de la Zunie pour débusquer les Vietnamiens du Nord pendant la guerre du Vietnam. C’est toutefois pâle comparé à l’ampleur des activités actuelles.

      La controverse sur les effets potentiellement nuisibles sur l’environnement et la santé humaine de ce genre d’agissement a conduit à l’interdiction des armes de modification environnementale (En Mod), sous les auspices de « La Convention des Nations Unies sur l’interdiction des techniques de modification de l’environnement à des buts militaires ou à toute autre fin hostile » en 1987. Il n’est pas clair si cette interdiction a été encore pleinement appliquée. Pourtant, l’intérêt envers l’En Mod a rapidement pris de l’importance lorsque l’alarme du réchauffement mondial et des questions environnementales associées insistantes ont attiré l’intérêt scientifique mondial [2].

      Le rapport Case Orange cite un certain nombre de brevets zuniens concernant l’invention d’un « dispositif spécifique de génération de traînée, destiné à produire une traînée de poudre dotée d’une capacité de diffusion de rayonnement maximale pour un poids donné de matière. Afin de produire une traînée stable ayant une période de latence pouvant atteindre une à deux semaines, » la substance dispersée se compose de 85 pour cent de particules métalliques et 15 pour cent de silice colloïdale et de gel de silice.

      Puis, en 2009, la publication d’un rapport intitulé « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement mondial, » a complété l’affaire de stratégies de géo-ingénierie [3]. Tout cela a été déclaré dans l’intention de créer une couche de nuages réfléchissants, capables de renvoyer les rayons du Soleil pour empêcher le réchauffement indésirable du climat terrestre. Le rapport indique que les conclusions du GIEC appuient la proposition décrite dans le brevet Hughes Aircraft 1991 relatif à l’ensemencement stratosphérique pour réduire le réchauffement mondial. Ce brevet a ensuite été acheté par Raytheon, l’entrepreneur privé de la défense du gouvernement zunien. C’est la même compagnie qui a obtenu le contrat de construction de HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) à Gakona, en Alaska.

Le complexe militaro-industriel pour le contrôle complet de la météo contre le réchauffement climatique

      HAARP est un grand réseau de 180 antennes qui projette de puissantes impulsions électromagnétiques dans le but de réchauffer un point particulier de l’ionosphère terrestre. Cela a pour effet de créer des fréquences électromagnétiques qui peuvent être réfléchies en des endroits désirés de la Terre, en provoquant de graves perturbations de la météo et des milieux géophysiques, même profondément sous terre [4, 5]. HAARP peut fournir jusqu’à 3,6 milliards de watts, élever la température de l’ionosphère à plus de 50.000 degrés et « soulever une zone de 30 kilomètres carrés de l’ionosphère, et altérer de cette façon les systèmes de pression localisés ou même modifier le trajet du jet-stream. »
[Ndt : Cela pourrait-il expliquer le blocage du jet-stream à l’origine des étranges conditions météo en Russie et au Pakistan cet été ?]

      Le rapport Case Orange cite la preuve que Raytheon pourrait développer une capacité à « exercer une forme de contrôle complet de la météo, » une situation ayant une ressemblance marquée avec les ambitions déclarées de Monsanto à « contrôler la chaîne alimentaire. » Il convient de noter qu’il existe actuellement plus de 500 brevets de plantes génétiquement modifiés « climate ready » (adaptées au climat) en attente d’approbation de licence à Washington et à Bruxelles. Selon leurs créateurs, les semences et les plantes génétiquement modifiées « climate ready » promettent d’être capables de produire une récolte à la fois dans des conditions d’inondation et de sécheresse.

      Le « Groupe ETC », des droits de l’homme et de la surveillance de l’environnement, décrit ainsi l’évolution de la géo-ingénierie atmosphérique : « Le déploiement du « Plan B » (une référence au recours à la géo-ingénierie, si les autres mesures visant à réduire les émissions devaient être jugées inefficaces) est habilement exécuté : des comités éminents parrainés par des groupes de prestige, une avalanche d’articles évalués par les pairs dans les revues scientifiques et, dans les pays nordiques, des hommes politiques alignés pris de panique, hochant nerveusement la tête pour acquiescer tandis que les scientifiques attestent du « besoin de rechercher le Plan B. »

      Rady Ananda déclare à la fin de son document [6] : « Avec des détails tels que les pulvérisations horaires du gouvernement, les commandes de produits chimiques, la nomenclature exacte utilisée dans les manuels d’exploitation des services aériens et les appels des économistes en faveur de la géo-ingénierie, Case Orange concorde au rapport publié en 1996 par le personnel militaire supérieur de Zunie, intitulé « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » [7] à l’appui de sa notion de « forte implication des gouvernements au plus haut niveau dans des projets de contrôle du climat. » Ananda continue [6] : « Maîtriser la météo en 2025 fournit un calendrier précis du recours aux techniques En Mod en coopération avec l’Association de Modification Météorologique, un groupe en affaire avec le gouvernement qui promeut les effets bénéfiques du recours aux modifications de l’environnement [8] 

  • 2000-2025, usage de produits chimiques dans l’ensemencement atmosphérique fait par l’aviation civile (et militaire) 
  • 2004, grâce à la nanotechnologie, création de nuages intelligents ayant un accroissement exponentiel, à partir de 2010
  • 2005, introduction de poussière noire de carbone. »

L’ONU engagé dans le combat de géo-ingénierie contre le climat

      En 2007, l’Organisation météorologique mondiale (de l’ONU) a publié une déclaration incluant des « Directives de planification des activités de modification de la météo. » Ce document implique clairement les Nations Unies dans le projet de conduite des activités de pulvérisation d’aérosols à grande échelle.

      Dans une partie du rapport Case Orange portant sur « le strict nécessaire de la géo-ingénierie grâce à la création de nuages pour la survie de la planète, » les auteurs déclarent : « Notre équipe d’enquête arrive à la conclusion que les programmes de maîtrise du climat, contrôlés par les militaires, mais approuvés par les gouvernements, sont discrètement mis en œuvre afin d’éviter le pire cas de figure qu’ils veulent éviter. Les deux instruments de base sont la maîtrise de la température, grâce à la création de nuages artificiels, et la manipulation de l’ionosphère, grâce à des dispositifs de chauffage.

      « Tous deux restent essentiellement des systèmes militaires de combat avec l’option de lancer l’offensive si nécessaire. Toutefois, étant donné que plusieurs systèmes de chauffage ionosphérique sont installés en divers endroits du globe, on peut supposer qu’il existe une large coopération entre gouvernements afin d’atteindre l’objectif climatique d’ici à 2025 : le contrôle de la météo et de la planète. »

      Les systèmes de pulvérisation semblent organisés en combinaison logique pour que l’ensemble de l’Europe soit couverte en une période de trois jours. Des cartes colorées de l’Europe indiquent à quel moment doit s’effectuer chaque opération.

      Dans la section intitulée « Recommandations » du rapport, les auteurs déclarent : « Les chemtrails persistants ont un impact dévastateur sur les écosystèmes de la planète et la qualité de vie en général. » Les auteurs appellent à la divulgation complète au public des activités actuelles du En Mod, ainsi qu’au respect de tout règlement de l’aviation civile.

Moratoire sur les activités de géo-ingénierie

      Donnée encourageante, en réponse à l’intérêt politique envers la géo-ingénierie comme moyen de contrôle du climat, le sous-comité de la Convention des Nations Unies sur la biodiversité a proposé en mai 2010 un moratoire sur les activités de géo-ingénierie [9]. Cette proposition sera entendue à la dixième Conférence des Parties en faveur de la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique à Nagoya, au Japon, en octobre de cette année (2010).

      Le rapport Case Orange indique en outre que la Zunie permet de tester en plein air des armes chimiques et biologiques. Cela annule le droit civil mentionné plus haut dans cet article. Les auteurs paraphrasent ainsi la loi permissive : « Le ministre de la Défense peut effectuer des essais et des expériences impliquant l’utilisation d’agents chimiques et biologiques sur les populations civiles. » Il semble que des soucis de « sécurité nationale » peuvent servir au président pour rejeter les considérations environnementales et de santé publique. Est-ce la même chose en Europe ?

      J’ai fourni une vue d’ensemble du témoignage principal découlant du rapport Case Orange. Elle apporte une contribution importante pour ouvrir les ordres du jour secrets qui n’ont sans cela pas leur place dans une démocratie auto-déclarée. Parmi d’autres rapports conséquents, il y a un document important du Dr Ilya Perlingieri, intitulé « Conséquences des aérosols de métaux et produits chimiques sur la santé humaine » [10]. Mme Perlingieri déclare : « Ces dix dernières années, des tests indépendants sur des chemtrails dans tout le pays ont montré un dangereux brouet très toxiques contenant du baryum, des particules nanométriques d’aluminium recouvertes de fibre de verre (connues sous le nom de CHAFF), du thorium radioactif, du cadmium, du chrome, du nickel, du sang desséché, des spores de moisissure, des mycotoxines de champignons jaunes, du dibromure d’éthylène et des fibres de polymère. Par sa toxicité le baryum peut être comparé à l’arsenic [11], et il est connu pour affecter le cœur. L’aluminium a la réputation d’endommager la fonction cérébrale. » Je n’ai pas besoin d’ajouter que le dibromure d’éthylène est un pesticide agricole hautement toxique.

      Maintenant que nous partageons cette information, nous devons agir en conséquence. Il est vital de soutenir le moratoire qui sera présenté en octobre au Japon. Écrivez à votre député pour lui dire que ces activités mondiales ne sont pas des balivernes de « théories du complot, » et qu’elles se déroulent sans consultation du public et sans aucun effort de mise en garde de leurs répercussions éventuelles.

Références

1. Discours du Dr Coen Vermeeren au symposium de l’université de technologie Delft, le 29 mai 2010,
www.ustream.tv/recorded/7299427

2. « L’organisme scientifique supérieur demande le ‘’plan B’’ de géo-ingénierie, » Catherine Brahic : New Scientist, 1/9/2009,
www.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-bodywww.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-body

3. Mitchell DL et Finnegan W. « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement climatique. » Lettres de la Recherche Environnementale, 30 octobre 2009,
iopscience.iop.org/1748-9326/4/4/045102

4. « À propos de HAARP dans un article de Belitsos, » Radical Wisdom, 14 juillet 2010,
radwisdom.com/2010/07/14/chemtrails-aerosol-madness-above-the-earth/

5. Pour en savoir plus sur HAARP, voir : « Maîtriser la météo mondiale, » du professeur Michel Chossudovsky, Global Research,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=319

6. « La géo-ingénierie atmosphérique : manipulation météo, traînées de condensation et chemtrails, » de Rady Ananda, 30 juillet 2010,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=20369

7. Colonel Tamzy J.House, et autres, « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » ministère de la Défense, Air Force zunienne, 17/06/1996. Publié publiquement en août 1996. Reproduit à la Fédération des scientifiques zuniens :
www.fas.org/spp/military/docops/usaf/2025/v3c15/v3c15-1.htm

8. Site Internet de Weather Modification :
www.weathermodification.org/

9. Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, « Examen approfondi des travaux sur la biodiversité et les changements climatiques, » projet de recommandations, Convention sur la diversité biologique, Programme environnemental des Nations Unies, UNEP/CBD/SBTTA/l.9, 15/05/2010.
www.cbd.int/doc/meetings/sbstta/sbstta-14/in-session/sbstta-14-L-09-en.pdf

10. « Conséquences des métaux et des aérosols de produits chimiques toxiques sur la santé humaine, » Ilya Perlingieri, 12 mai 2010,
https://911nwo.com/2015/01/21/chemtrails-the-consequences-of-toxic-metals-and-chemical-aerosols-on-human-health-part-i-perlingieri-2015/

11. Voir Pesticide Action Network North America (PANNA)
www.pesticideinfo.org/Detail_Chemical.jsp?Rec_Id=PC41174

Original: www.i-sis.org.uk/atmosphericGeoengineering.php
Traduction copyleft de Pétrus Lombard


Envoyé par supahumandignity dans SupaHumanDignity le 9/24/2010 12:59:00 PM

Le réchauffement climatique remis en question

Titre d’un article publié sur www.spreadthetruth.fr
Bel exposé, mais comme trop souvent dans le domaine scientifique, le B.A.BA est ignoré ou occulté: la vapeur d’eau est le premier responsable de l’effet de serre alors que les gaz dits « à effet de serre » y sont pour peu, voire très peu. Et notre planète est bien minuscule comparée au soleil …
Claire

 

Obama envisage la géoingénierie

Voici un article de l’Associated Press paru aujourd’hui 8 avril 2009, intitulé :

« Obama envisage la géoingénierie ».

Article du 8 avril 2009 :
http://www.google.com/hostednews/ap/article/ALeqM5hm1kMpA2nQALOfQL8Y8PxxTHNVtgD97ECHLG1

Mise à jour du 9 avril 2009 :
http://hosted.ap.org/dynamic/stories/S/SCI_OBAMA_SCIENCE_ADVISER?SITE=MOSPL&SECTION=HOME&TEMPLATE=DEFAULT
L’article a été modifié par son auteur et s’intitule maintenant « Obama looking at cooling air to fight warming » (Obama envisage de refroidir l’air pour combattre le réchauffement).
Plusieurs ajouts important figurent dans cette nouvelle version (voir les remarques après la traduction).

Traduction :

***

« Obama envisage la géoingénierie »

8 Avril 2009,

Par SETH BORENSTEIN,
Journaliste scientifique pour Associated Press.

WASHINGTON (AP) — John Holdren, nouveau conseillé scientifique du président Obama, a déclaré mercredi que, le réchauffement climatique étant critique, l’administration d’Obama discute d’employer des technologies radicales pour refroidir l’air de la Terre.

Il avait confirmé le mois dernier lors de sa première interview après sa nomination que l’idée de la géoingénierie du climat était actuellement considérée. Parmi les options extrêmes envisagées figure l’injection de particules dans la partie haute de l’atmosphère pour renvoyer les rayons du soleil. Selon Holdren une mesure aussi expérimentale ne serait employée qu’en dernier ressort.

« Cela doit être considéré » a-t-il dit. « Nous n’avons pas le luxe d’ignorer quelque approche que ce soit. »

Holdren a souligné plusieurs « éléments déclencheurs » du réchauffement climatique qui pourraient arriver rapidement. Si un évènement tel que la perte complète des glaces d’été de l’Arctique venait à arriver, la probabilité de « conséquences réellement intolérables » augmenterait, a-t-il dit.

(…)

Holdren a précisé que l’injection de particules dans l’air pourrait avoir de graves effets secondaires et ne résoudrait pas entièrement les problèmes liés aux émissions de gaz à effet de serre. De telles décisions ne peuvent être prises à la légère, a-t-il dit.

Pourtant, « nous pourrions devenir désespérés au point de vouloir utiliser ces technologies » a-t-il ajouté.

(…)

Ajouts figurant dans la mise à jour de l’article du 9 avril 2009 :

Sur ce sujet l’administration Obama pourrait recevoir le soutient inhabituel de groupes qui avaient pourtant nié les dangers du réchauffement climatique par le passé.

L’American Enterprise Institute, think tank conservateur, possède son propre projet de géoingénierie, et affirme qu’il est « faisable et rentable ».

(…) John Holdren a souligné que d’autres évènements pourraient accélérer dramatiquement le changement climatique tels que la libération du méthane gelé contenu dans le permafrost en Sibérie, ou de grands feux de forêts à l’échelle planétaire.

Le problème est que personne ne sait quand ces évènements pourraient survenir, a-t-il dit.

***

lire l’article complet en anglais

Remarques :

* On retrouve ici exactement la même notion d’évènement déclencheur (catastrophe climatique) qui figurait dans le document du CFR de 2008, ainsi que la solution visant à refroidir l’air grâce à l’injection de particules dans l’atmosphère.

* Mise à jour du 9 avril 2009 :

Dans sa nouvelle version l’article cite le soutient probable de l’American Enterprise Institute (think tank néo-conservateur) pour un projet de geoingénierie.
On peut retrouver sur le site aei.org de nombreux articles et compte-rendus traitant de la nécessité d’utiliser la géoingénierie et notamment d’injecter des particules dans l’atmosphère :

– Auditions du 25 juin 2008 devant la Commission pour l’Indépendence Energétique et le Réchauffement Climatique (http://www.globalwarming.house.gov) présidée par le démocrate Edward Markey.

– Article du 23 juin 2008 : « Modifier le thermostat de la Terre »
par Samuel Thernstrom (paru également dans le Los Angeles Times)

– Conférence du 3 juin 2008 : « Géoingénierie, une approche révolutionnaire du changement climatique »
Transcription complète des échanges

Article du London Telegraph (16/11/2008)


« Le monde n’a jamais connu de chaleur aussi frigorifiante. »


(The world has never seen such freezing heat)
par Christopher Booker

Lien de l’article :
http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml

Cet article d’un journal anglais grand public remet en cause clairement la théorie du réchauffement climatique et la crédibilité du GIEC des Nations Unies (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

Traduction – résumé :

* L’institut NASA GISS (http://www.giss.nasa.gov) a rapporté que le mois dernier fut le mois d’octobre le plus chaud jamais enregistré, alors même que des chutes de neiges exceptionnelles sont signalées dans nombreuses régions du monde.

* Origine de l’erreur : des températures de Russie et d’ailleurs, parfois 10°C au dessus de la normale, ont été en réalité reprises des mois précédents.

* Pour compenser l’erreur, le GISS a ensuite déclaré avoir trouvé en Arctique des températures particulièrement hautes. Mais les images satellite montrent une glaciation de 30% supérieure à celle de l’année précédente. Le Giss a également admis s’être basé pour les relevés russes sur un organisme tiers dont il n’a pu vérifier la fiabilité.

* Le GISS, présidé par le Dr Hansen (principal allié scientifique d’Al Gore) est l’une des 4 autorités sur lesquelles se base le GIEC des Nations Unies (IPCC en anglais) pour justifier sa thèse du réchauffement climatique.
Le Dr Hansen est lui-même depuis 20 ans un des avocats les plus alarmistes de cette thèse et de ses conséquences.

* Pourtant la méthodologie et les statistiques du GISS sont remises en question par de nombreux sceptiques. Il fut en particulier forcé d’admettre que la décennie la plus chaude du 20e siècle était les années 30 et non les années 90 comme il le prétendait.

* Un des représentant du GIEC commençait il y a peu une conférence en Australie en montrant des températures mondiales augmentant « plus vite que jamais » alors qu’on sait maintenant qu’elle n’augmentent plus depuis quelques années et qu’elles ont baissé en 2007.

* Sur la base de telles preuves est-il sage pour les gouvernements du monde d’engager des mesures parmi les plus couteuses jamais proposées, pour remédier à un problème qui pourrait en réalité ne pas exister ?

Sources :
L’article : http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml
Le GISS : http://www.giss.nasa.gov
Le GIEC : http://www.ipcc.ch/languages/french.htm
Analystes sceptiques cités dans l’article :
http://wattsupwiththat.com/
http://www.climateaudit.org/

***

L’article original en anglais :

The world has never seen such freezing heat

By Christopher Booker
16/11/2008

A surreal scientific blunder last week raised a huge question mark about the temperature records that underpin the worldwide alarm over global warming. On Monday, Nasa’s Goddard Institute for Space Studies (GISS), which is run by Al Gore’s chief scientific ally, Dr James Hansen, and is one of four bodies responsible for monitoring global temperatures, announced that last month was the hottest October on record.

This was startling. Across the world there were reports of unseasonal snow and plummeting temperatures last month, from the American Great Plains to China, and from the Alps to New Zealand. China’s official news agency reported that Tibet had suffered its « worst snowstorm ever ». In the US, the National Oceanic and Atmospheric Administration registered 63 local snowfall records and 115 lowest-ever temperatures for the month, and ranked it as only the 70th-warmest October in 114 years.

So what explained the anomaly? GISS’s computerised temperature maps seemed to show readings across a large part of Russia had been up to 10 degrees higher than normal. But when expert readers of the two leading warming-sceptic blogs, Watts Up With That and Climate Audit, began detailed analysis of the GISS data they made an astonishing discovery. The reason for the freak figures was that scores of temperature records from Russia and elsewhere were not based on October readings at all. Figures from the previous month had simply been carried over and repeated two months running.

The error was so glaring that when it was reported on the two blogs – run by the US meteorologist Anthony Watts and Steve McIntyre, the Canadian computer analyst who won fame for his expert debunking of the notorious « hockey stick » graph – GISS began hastily revising its figures. This only made the confusion worse because, to compensate for the lowered temperatures in Russia, GISS claimed to have discovered a new « hotspot » in the Arctic – in a month when satellite images were showing Arctic sea-ice recovering so fast from its summer melt that three weeks ago it was 30 per cent more extensive than at the same time last year.

A GISS spokesman lamely explained that the reason for the error in the Russian figures was that they were obtained from another body, and that GISS did not have resources to exercise proper quality control over the data it was supplied with. This is an astonishing admission: the figures published by Dr Hansen’s institute are not only one of the four data sets that the UN’s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) relies on to promote its case for global warming, but they are the most widely quoted, since they consistently show higher temperatures than the others.

If there is one scientist more responsible than any other for the alarm over global warming it is Dr Hansen, who set the whole scare in train back in 1988 with his testimony to a US Senate committee chaired by Al Gore. Again and again, Dr Hansen has been to the fore in making extreme claims over the dangers of climate change. (He was recently in the news here for supporting the Greenpeace activists acquitted of criminally damaging a coal-fired power station in Kent, on the grounds that the harm done to the planet by a new power station would far outweigh any damage they had done themselves.)

Yet last week’s latest episode is far from the first time Dr Hansen’s methodology has been called in question. In 2007 he was forced by Mr Watts and Mr McIntyre to revise his published figures for US surface temperatures, to show that the hottest decade of the 20th century was not the 1990s, as he had claimed, but the 1930s.

Another of his close allies is Dr Rajendra Pachauri, chairman of the IPCC, who recently startled a university audience in Australia by claiming that global temperatures have recently been rising « very much faster » than ever, in front of a graph showing them rising sharply in the past decade. In fact, as many of his audience were aware, they have not been rising in recent years and since 2007 have dropped.

Dr Pachauri, a former railway engineer with no qualifications in climate science, may believe what Dr Hansen tells him. But whether, on the basis of such evidence, it is wise for the world’s governments to embark on some of the most costly economic measures ever proposed, to remedy a problem which may actually not exist, is a question which should give us all pause for thought.