Le Dr Benjamin Santer, un des scientifiques les plus respectés au monde, a falsifié un rapport crucial sur le climat dans les années 90. L’université dont Santer était diplômé est également impliquée dans une série de scandales climatiques. Une coïncidence ? Dans cette émission, vous en apprendrez plus sur les incohérences, les données manipulées et les tricheries manifestes.
En ce qui concerne les aurores boréales vues hier [le 05 11 2023] de Roumanie ainsi que de plusieurs pays européens – phénomène polaire spécifique aux deux pôles magnétiques de la Terre, Arctique et Antarctique, PAS au parallèle 45 et en-dessous, la Croatie, la Bulgarie, la Grèce, l’Italie – maintenant c’est aussi officiel :
Une annonce a été publiée sur le site Web du programme HAARP de l’Université d’Alaska Fairbanks informant le public d’un programme de recherche qui sera mené entre le 4 et le 7 novembre 2023. « Le programme de recherche HAARP mènera une campagne de recherche du 4 au 7 novembre pour étudier la lueur artificielle de l’air et les ondes radio à très basse fréquence/extrêmement basse fréquence (VLF/ELF). Les principaux objectifs de cette campagne de recherche sont de mieux comprendre les mécanismes ionosphériques qui produisent les émissions optiques et d’étudier si certains types d’ondes ionosphériques peuvent amplifier les ondes VLF/ELF. Des expériences supplémentaires chercheront à déterminer si les satellites peuvent utiliser les ondes de plasma dans l’ionosphère pour détecter et éviter les collisions. (…) Le programme de recherche aurorale active à haute fréquence (HAARP) est un programme scientifique visant à étudier les propriétés et le comportement de l’ionosphère.» Important.. « L’unité de recherche HAARP a été transférée le 11/08/2015 de l’armée de l’air américaine à l’université d’Alaska à Fairbanks. » plus d’informations sur le site Web du programme HAARP de l’Université.
Source : https://haarp.gi.alaska.edu C’était donc très joli, pas naturel du tout et je ne suis pas sûre qu’il y a de quoi se réjouir.
05 novembre 2023: lueurs boréales rouges par endroits au dessus de l’Ukraine. https://twitter.com/HromadskeUA/status/1721231041661227338 « Les Ukrainiens voient maintenant des aurores boréales dans le ciel de Kiev, Donetsk, Odessa, Kherson et d’autres régions. »Merci @HromadskeUA
Les Chinois lancent une expérience pour contrôler la météo / Tout un monde / 14 min. / le 23 mai 2018
La Chine se lance dans un projet à grande échelle pour faire tomber la pluie à la demande, sur une région aussi vaste que l’Europe de l’Ouest. Elle met sur pied la plus grande infrastructure au monde de ce genre.
Connu sous le nom de code « rivière céleste », ce projet expérimental pharaonique consiste à cultiver des nuages. Il s’agit de « semer » des microparticules très fines dans l’atmosphère.
Ces particules – de l’iodure d’argent – agissent comme un aimant, en attirant la condensation ou la vapeur d’eau, un peu comme un noyau qui rattacherait à lui des particules d’eau. Des milliards de particules d’eau sont ainsi accumulées dans l’atmosphère et forment des nuages et donc de la pluie.
Le journal La Quotidienne de la Croissance en parle aussi le 16 mai 2018
Comment la Chine plie la météo à sa volonté Etienne Henri
On croyait l’ingénierie climatique oubliée, passée directement des fantasmes des planificateurs centraux et des militaires aux films de science-fiction sans jamais faire vraiment irruption dans le monde réel ; la voilà qui revient.
L’ingénierie climatique, qui consiste à mettre en oeuvre des pratiques et installations humaines pour modifier globalement ou localement le climat, fait de nouveau parler d’elle.
Oubliez (officiellement) les raisons militaires et hostiles censées être proscrites par les Nations Unies depuis 1977 : en 2018, elle s’attache à rendre la vie des citoyens plus agréable et durable.
La Chine a annoncé il y a quelques semaines être en train d’installer un système capable de déclencher artificiellement des pluies sur le plateau tibétain.
Plusieurs centaines de millions de personnes dépendent aujourd’hui de rivières issues du Tibet pour subvenir à leurs besoins en eau, mais la région est en déficit hydrique chronique.
La fonte des glaciers ne pourra durer éternellement : le régime de Pékin s’inquiète par conséquent de voir nombre de cours d’eau de la région se tarir à moyen terme.
Pas question de faire l’autruche et de laisser ces territoires aller vers des sècheresses chroniques comme en Californie ou en Russie : la Chine a décidé de faire preuve de volontarisme et de plier le climat aux besoins humains.
Avec moi le déluge Le Tibet fournit aujourd’hui plus d’eau qu’il n’en reçoit du ciel ? Les précipitations annuelles sont trop aléatoires pour faire grossir les glaciers de manière suffisante après leur fonte estivale ? Qu’à cela ne tienne : la région est régulièrement survolée par des masses d’air humide qui ne demandent qu’à se transformer en nuages de pluie.
Pékin prépare la construction de dizaines de milliers de chambres de combustion qui auront pour fonction de produire à la demande des vapeurs d’iodure d’argent.
Ce composé chimique, une fois emporté à haute altitude par le vent et les phénomènes de convection, permettra à l’humidité de l’air de se précipiter en nuages puis en pluie.
Une chambre de combustion lors de sa mise en place par des techniciens
L’objectif est ambitieux : une fois le réseau de chambres de combustion installé, les précipitations supplémentaires devraient atteindre 10 milliards de m3 d’eau par an soit l’équivalent de la consommation de l’ensemble des Californiens ou 7% de la consommation totale de l’Empire du Milieu.
Les nouvelles technologies au service de la low-tech La conception des brûleurs a été confiée à la China Aerospace Science and Technology Corporation. Si ce nom ne vous est pas familier, sachez que la CASC est le bras armé technologique de Pékin. Elle conçoit des vaisseaux spatiaux, des fusées, des équipements médicaux et autres missiles. En bref, tout ce qui nécessite un savoir-faire de pointe sur les matériaux, le spatial et les télécommunications en Chine passe par ses ingénieurs.
Malgré la relative simplicité des chambres de combustion, leur conception a été faite selon un cahier des charges particulièrement strict. Installation en milieu isolé et hostile oblige, chaque chambre de combustion se doit d’être robuste, fiable et relativement autonome.
La CASC a eu pour mission de concevoir des brûleurs capables d’être contrôlés par des signaux satellitaires, embarquant suffisamment de combustible pour pouvoir fonctionner durant plusieurs mois sans maintenance, le tout dans une enveloppe budgétaire inférieure à 10 000 $.
Il semblerait que le défi ait été relevé puisque Pékin annonce que les premiers prototypes sont désormais disponibles pour un coût d’environ 8 000 $ pièce.
Quand la réalité dépasse la (science) fiction Ne pensez pas que ce projet soit une simple redite des fantasmes de géo-ingénierie des années 1970. Nous ne parlons pas de simples projections de scientifiques ou d’un effet d’annonce politique pour rassurer les populations locales : 500 chambres de combustions ont déjà été installées.
Fidèle à ses habitudes, le régime de Pékin mène ce projet à marche forcée et passe par une phase de test que l’on appellerait, dans nos contrées, un déploiement à grande échelle.
N’oublions pas que la Chine ne rechigne pas à modeler la planète à l’image de ses besoins. Lors de l’ouverture des Jeux Olympiques de 2008, l’ingénierie climatique avait été mise à contribution pour que les nuages de pluie se dispersent avant d’arriver sur les lieux de la cérémonie. S’il est envisageable de faire la pluie et le beau temps pour une simple compétition sportive, nul doute que l’approvisionnement en eau des populations locales justifiera les moyens les plus démesurés.
Reste une épineuse question : si les chambres fonctionnent aussi bien que le prévoient les scientifiques, et qu’elles parviennent effectivement à capturer 10 000 000 000 m3 par an de précipitations, quelles seront les conséquences pour les régions voisines — y compris les autres provinces chinoises ?
Les scientifiques ne disposent aujourd’hui d’aucun modèle pour prévoir l’impact d’un tel prélèvement d’humidité. De nouvelles zones arides pourraient se créer en aval du Tibet si le cheminement des masses de vapeur d’eau était interrompu.
Tout le travail fait pour mettre en adéquation la ressource hydrique avec la consommation pourrait paradoxalement conduire à plus de problèmes d’approvisionnement en eau dans le futur… et il n’existe aucun moyen de le savoir avec certitude avant de mettre en fonctionnement les brûleurs.
Plus compliqué encore, les effets négatifs pourraient être totalement absents lors des phases de test et ne devenir visibles que lors de l’utilisation simultanée des dizaines de milliers de chambres de combustion prévues — voire ne se manifester que des mois ou des années plus tard.
La géo-ingénierie du XXIème siècle, si elle a pu progresser sur les aspects techniques comme sur l’acceptation politique qui entoure son déploiement, reste une discipline jeune sur laquelle aucun recul n’est aujourd’hui possible.
La mise en place d’un dispositif de pluies artificielles à grande échelle ne peut donc que s’accompagner d’une prise de risque majeure pour les populations locales. Si un tel projet devait être envisagé en Europe, nul doute que le principe de précaution l’emporterait et le tuerait dans l’oeuf avant même la phase de test.
Aucun gouvernement occidental ne prendrait le risque de voir ses citoyens scruter avec inquiétude le ciel, les polluants émis par les chambres de combustion dans d’atmosphère et l’évolution des précipitations sur place et dans les zones annexes.
La construction du barrage des Trois-Gorges nous a montré que les projets les plus pharaoniques sont menés à bien lorsqu’ils bénéficient du soutien du régime de Pékin. Dépenser des milliards de yuans ou déplacer des populations n’est pas un problème lorsque l’intérêt général est en jeu. Que l’idée de faire tomber la pluie sur le Tibet soit bonne ou mauvaise, il y a de fortes chances qu’elle soit mise en oeuvre dans un futur proche.
Cinquante ans après l’utilisation militaire des chutes de pluie artificielles par les Américains, nous verrons la géo-ingénierie redevenir une réalité — en espérant que son usage s’avère, cette fois-ci, plus bénéfique à l’humanité.
De l’anglais chemical trails, traînées chimiques, produits chimiques répandus illégalement par des avions et qui persistent et s’étendent dans le ciel pendant plusieurs heures, par opposition à contrails, de l’anglais condensation trails, traînées de condensation provoquées par le gel de la vapeur d’eau, générées (rarement) par des avions normaux et qui disparaissent en quelques secondes ou dizaines de secondes. -Projet secret des gouvernements des pays industrialisés financé illégalement avec vos impôts et consistant à épandre des produits chimiques en général à haute et moyenne altitude à l’aide d’avions vraisemblablement en majorité militaires pour une raison cachée du public.
Si l’on considère que le critère axial du politique[14] est constitué par la désignation de l’ennemi, nous sommes ici confrontés à un ennemi qui se dérobe à notre prise ; car les globalistes politiques refusent de se présenter comme guidés par une volonté de puissance et de domination. Il n’existe dès lors selon nous qu’un seul moyen efficace pour identifier clairement l’ennemi mondialiste : analyser et scruter ses actions et ses méthodes pour comprendre (et peut-être anticiper) ses actions. C’est ce que nous faisons à nouveau dans cette étude avec la question de la guerre climatique comme nous l’avons précédemment fait avec celle du néo-malthusianisme, des « armes d’immigration massive », de la manipulation des droits de l’homme ou encore des « révolutions de couleurs ».
Nous allons voir qu’en matière de guerre climatique, comme pour les autres pans de l’action métapolitique globaliste, l’accusation de complotisme ne constitue qu’une façade bien fragile qui ne résiste pas à l’analyse. Cette diversion sémantique martelée de manière orwellienne, constitue l’habituelle barrière psychopolitique que les globalistes politiques tentent d’ériger entre le grand public et la réalité de l’existence des technologies de géo-ingénierie et de contrôle climatique.
Ces technologies relèvent pour nous de cette nouvelle norme sociopolitique qui accompagne la montée en puissance de la forme globalitaire (globaliste et totalitaire) : l’extension de la guerre à toutes choses et la fin de la limite, de la frontière, entre guerre et paix, entre civil et militaire, entre géopolitique et « métropolitique ».
« Selon FlightRadar24, une enquête ou une expertise peuvent être à l’origine de ce tracé, caractérisé par de longues lignes parallèles et des virages à 180 degrés. Il peut s’agir d’un avion de Google Maps, d’un promoteur immobilier, etc. »
FlightRadar24, quadrillage sur LondresParis 13 juillet 2022, avion sur FlightRadar24 Pyrénées 13 juillet 2022, avion sur FlightRadar2413 juillet 2022, le même qui redémarreSur FlightRadar24 le 1 juillet 2022
Entrevue avec Olivier Boucher climatologue, directeur de recherche au CNRS.
traces de condensation, vapeur d’eau
si l’air est humide, les traces mettent plus de temps à partir
« je pense que ça existait avant »
« il n’y a aucune raison de penser que les traînées d’avion contiennent autre chose que de la vapeur d’eau »
ces traces ont un impact sur le climat
REMARQUES: NOUS N’AVONS AUCUNE RAISON DE PENSER QUE CE QUE VOUS PENSEZ EST JUSTE ! FAITES DONC DES MESURES D’ALUMINIUM, DE BARYUM ET DE STRONTIUM dans ces traînées SVP !!!
Comment expliquez-vous l’augmentation énorme des taux d’aluminium dans l’eau de pluie ?
Avions supersoniques et géo-ingénierie solaire… Joue-t-on avec le feu dans la stratosphère ?
Refroidir la Terre pour freiner le réchauffement climatique ? Des techniques de géo-ingénierie suscitent l’intérêt des chercheurs mais préoccupent l’UE et l’ONU
Rappel: un papier de 1996 pose clairement que l’armée US contrôlera la météo en 2025 et explique les bénéfices d’augmenter la réflectivité de la ionosphère pour diverses applications. https://www.acseipica.fr/weather-as-a-force-multiplier-owning-the-weather-in-2025/
Un papier de 1996 pose clairement que l’armée US contrôlera la météo en 2025 et explique les bénéfices d’augmenter la réflectivité de la ionosphère pour diverses applications.