Rapport d’analyses d’eau de pluie Décembre 2021

Eau prélevée le 26 décembre 2021 à Miserey-Salines (Doubs),

analyses effectuées par le laboratoire le laboratoire Qualio de l’Université de Besançon.

PDF, 2 pages

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Retrouvez les rapports d’analyses précédents (échantillons recueillis dans le même lieu, analyses effectuées par le même laboratoire) en suivant ce fil https://www.acseipica.fr/rapport-danalyses/

Rapport d’analyses d’eau de pluie Avril 2021

d’eau de pluie prélevée le 19-20 avril 2021

dans le Doubs (Miserey Salines)

effectuées par le laboratoire Qualio de l’Université de Besançon

PDF, 2 pages

Eau de pluie directe, quelques extraits:

Aluminium NF EN ISO 11885 526 µg/L

Baryum NF EN ISO 11885 <20 µg/L

strontium NF EN ISO 11885 11 ,0 µg/L

A comparer avec les résultats précédents (échantillons obtenus au même endroit, dans les mêmes conditions et analysés par le même laboratoire)

http://www.acseipica.fr/analyses-2019-2020/

http://www.acseipica.fr/analyses-deau-de-pluie/

les liens dans ce dernier article vous permettrons d’accéder aux résultats précédents

Analyses d’eau de pluie 2019-2020

avant et après confinement

  • Faites par le laboratoire Qualio de Besançon (agréé COFRAC) depuis 2012; échantillons recueillis par Laurent Bernard: recherche de métaux lourds dans l’eau de pluie par analyse de l’échantillon liquide et des particules de fond de bassine (résidu sec) dans des échantillons relevés toujours au même endroit.
    • Laurent a fait analyser un échantillon prélevé en décembre 2019 ; puis un nouvel échantillon en mai, après 2 mois de confinement, sans circulation aérienne ni épandages ou si peu…
  • Voilà les comparaisons pour l’échatillon liquide (mesures en microgrammes ou miligrammes) :
    • sensiblement égal pour le magnésium, le potassium, cérium, gadolinum, titane, lanthane,
    • 2 fois moins d’aluminium,
    • un peu moins de fer,
    • environ 2 fois plus d’argent, d’arsenic, de barium, de cadmium, de chrome, cobalt, plomb, lithium, manganèse, nickel, strontium, calcium, gallium.
    • 6 fois plus de cuivre,
    • 9 fois plus de zinc

L’augmentation de ces taux nous interpelle … Pourquoi y a t-il davantage de baryum, strontium, etc … dans cet échantillon liquide alors qu’il y a eu moins de circulation aérienne et moins d’épandages ?

  • Mais voilà les comparaisons pour le résidu sec (mesures en miligrammes ou grammes ; il faut toutefois noter que le laboratoire déclare avoir une trop faible masse d’échantillon et donc un fort taux d’incertitude ; mais le poids de résidu sec  n’est pas mentionné) :
    • 150 fois moins de cobalt
    • 130 fois moins de cadmium
    • 60 fois moins d’argent, de bismuth
    • 40 fois moins d’arsenic, de nickel,
    • 30 fois moins de lithium
    • 3 fois moins de calcium
    • environ 2 fois moins de baryum, de manganèse, potassium
    • un peu moins de magnésium
    • 1,5 fois plus de zinc, de fer, de titane
    • environ 4 fois plus de cuivre
  • On constate avec l’analyse du résidu sec qu’il y a beaucoup moins de métaux lourds après ces deux mois de calme …

A comparer avec les taux donnés dans l’article de l’Institut d’astrophysique de Zurich (metionné dans le film Overcast) pour les résidus de combustion des avions de ligne (sachant que le carburant qui les alimente est enrichi en métaux lourds -depuis 2008 afin qu’ils contribuent à « l’effort d’épandage » même s’ils n’en font pas délibérément) http://www.acseipica.fr/rejets-dechappement-des-avions-caracterisation-chimique/

et ceux de ces analyses d’échantillons prélevés en vol en Italie http://www.acseipica.fr/analyses-dechantillons-de-poussieres-fines-prelevees-en-altitude/

In fine, pour comprendre la chimie qui s’opère dans les épandages, il faudrait se pencher sérieusement sur le manuel de cours pour les pilotes de l’US Air Force datant de 1991, intitulé « chemtrails », origine du nom. Qui aura le courage de mettre ce pain sur sa planche de travail (200 pages en anglais mais surtout des formules) ? http://www.acseipica.fr/wp-content/uploads/2013/11/chemtrails-chemistry-manual-usaf-academy-1999.pdf

Autres analyses

Une analyse de poils de chien dans le Cantal par une association paysanne révèle la présence de baryum mais contact difficile avec cette association qui ne veut pas que cela s’ébruite.

D’autres analyses avaient été menées sur des poils de chèvre en Haute-Loire en 2009-2010 par notre regretté Jean Claude Bourdon, vétérinaire et membre de l’ACSEIPICA, décédé en 2013, qui avaient également révélé la présence de baryum dans le poil de ces chèvres qui vivaient à l’air libre sur des causses déserts.

« La planète Terre, ultime arme de guerre » de Rosalie Bertell, tome 2

16 mai 2020: vient de paraître

1ere de couverture
4e de couverture

Il apparaît sur le site de la Fnac : https://livre.fnac.com/a14745467/Rosalie-Bertell-La-Planete-Terre-ultime-arme-de-guerre-tome-2#ficheResume

Eau de pluie, rapport d’analyse du 9 juillet 2018

Rapport d’essai Qualio18-07 09

Nous poursuivons régulièrement depuis 2012 des analyses d’eau de pluie prélevée à Miserey Salines dans le Doubs, qui sont effectuées par le laboratoire Qualio de l’Université de Franche Comté, agréé COFRAC.
Le dernier rapport, que voici a été édité le 9 juillet et porte sur un prélèvement effectué le 11 juin (2018).

Rapport d’essai Qualio18-07 09

C’est le deuxième pour lequel nous faisons faire une analyse beaucoup plus détaillée: elle porte sur 27 éléments dans l’eau de pluie directe et sur 18 éléments dans les sédiments de fond de bassine.
On peut constater le taux hallucinant de l’aluminium dans l’eau de pluie directe: 329 microgrammes par litre ! (entre 10 et 20  microgrammes par litre en général dans cette série d’analyses ainsi que dans les autres sauf exception).
Dans le présent rapport, il n’est pas donné dans le fond de bassine …
Dans le précédent, on relève 4950 milligrammes d’aluminium par kilo en fond de bassine pour 20,9 microgrammes par litre dans l’eau de pluie directe.
Quelle quantité cela peut-il bien faire en fond de bassine dans les présentes analyses ?
Y a t-il un rapport entre ces deux types d’analyse ? ou pas  ?
Car pour le baryum, qui a doublé en moyenne en 6 ans et qui se tient autour de 20 microgrammes par litre en janvier comme en juillet, nous avons en fond de bassine, 81,8 milligrammes par kilo dans le rapport de janvier pour 31,2 (seulement) dans celui-ci, de juillet.
Quant au strontium, les valeurs sont les mêmes dans les deux rapports, il est à moins de 10 microgrammes par litre dans l’eau de pluie directe et inférieur à 50 milligrammes par kilo en fond de bassine.

Rapport d’essai Qualio18-07 09

Remonter le fil des analyses précédentes

analyses d’eau de pluie

rapport du 18 janvier 2018

du laboratoire QUALIO de Besançon

recherche de 27 métaux dans l’eau de pluie

par analyse d’échantillons récoltés du 27 au 30 novembre 2017 à Miserey Salines (25- Doubs):

1) eaux propres et

2) sédiments de fond de bassine

Commentaires (Claire Henrion) : En comparant avec les analyses précédentes débutées en 2012, on peut noter que la valeur moyenne de l’aluminium (ici 20,9 microgrammes par litre) est en constante augmentation. Elle était autour de 10 microgrammes par litre en moyenne dans les premières analyses de Miserey et d’ailleurs.

En comparant les mêmes analyses, la valeur moyenne du baryum est elle aussi passée d’inférieure à 10 microgrammes par litre à 20 microgrammes par litre environ.