Chemtrails, HAARP, aluminium : que se passe-t-il vraiment dans le ciel ?

Quelle joie pour moi qui œuvre depuis 2002 à faire constater et reconnaître la réalité des chemtrails et de la géo ingénierie avec l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques (ACSEIPICA). Chercheur indépendant et spécialiste en astronomie, je confirme les propos tenus par Luc Vervliet et je remercie Tocsin et Alexandre Cugnace encore du plus profond de mon cœur de donner enfin à ce sujet, des plus épineux, une voix médiatique conséquente qui s’allie à celle de Nexus il y a 2 jours. Je commence à voir la fin du tunnel !
Les aviateurs suivent leurs lignes dans le ciel et peuvent donc tenir le discours de M. Ayham Hakki Alexander mais vu du sol on peut constater qu’il n’y a pas que les lignes aériennes civiles habituelles qui sont fréquentées. De partout, ça peut croiser dans tous les sens ! Comment expliquent-ils le fait que certains jours, vu du sol en de multiples lieux il y ait 100 fois plus d’avions que d’autres jours ? Il faut s’accorder le temps de compter les avions et d’observer le comportement de leurs traînées … Comment expliquent-ils les croix, les quadrillages ? Le fait de voir la carlingue des avions à l’oeil nu, ce qui traduit qu’ils sont en-dessous des couloirs civils (qui doivent voler à 8000 mètres minimum) ?
Il y a des militaires au départ et des civils ensuite parce qu’effectivement, l’arsenal militaire, à lui seul ne peut suffire. Tout ce qui vole est réquisitionné. Flight Radar, puisque M. Hakki Alexander le mentionne permet de se rendre compte que certains jours, il passe beaucoup plus d’avions que ceux recensés par ce service (les avions qu’il relève ont activé leur transpondeur, les autres, non). Et encore pire: que parfois un avion épandeur passe au-dessus de votre tête à 3000 mètres maximum, alors que Flight Radar en répertorie un exactement sur la même trajectoire mais 9000 mètres plus haut ?
Quelques témoignages: en 2003, un parachutiste ayant achevé son engagement et constatant avec moi le manège des avions et leurs traînées persistantes, me dit: « c’est la guerre non-conventionnelle » (quelque chose de banal pour lui)
Il y a une dizaine d’années, un matelot du Charles de Gaulle rencontré sur un vide-grenier nous dit: on a recueilli par 3 fois des avions en détresse qui n’étaient ni civils, ni militaires conventionnels et leur cargaison a troué la piste du porte-avions!
La haute éthique des pilotes et autres « volants » par rapport aux « rampants » fait qu’il est impensable pour eux d’être impliqués, utilisés à leur insu, dans une telle affaire. C’est effectivement la plus sordide de toutes, il fallait y penser. C’est la chambre à gaz à l’échelle planétaire, à petit feu. Mise au point sur plusieurs générations. Dans la mise en oeuvre, chacun fait son job, et surtout pas plus. Du point de vue de ceux qui s’enrichissent de la guerre, il faut bien faire son beurre ! Tous les moyens sont bons ! Qui plus est, certains veulent faire advenir la fin du monde, c’est aussi une affaire de croyance dans laquelle ont été élevés les descendants des concepteurs de ces horreurs. Ils croient pouvoir se protéger des méfaits dans leurs îles privées, leurs bunkers, leurs tunnels …
Merci encore pour cette excellentissime émission, bravo d’avoir réuni ces deux interlocuteurs de valeur.

Claire Henrion

FILAMENTS TOMBES DU CIEL, RESULTAT DES ANALYSES

Filaments. Tombés du ciel ?

COMMUNIQUE DE PRESSE de l’ACSEIPICA*

*Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques

NOTA: exceptionnellement pour cet article, nous désactivons les commentaires momentanément à la demande du labo, le sérieux de l’affaire souffrant d’être discrédité avant même que d’être confirmé par des pairs. Merci de votre compréhension.
Si vous souhaitez consulter le rapport d’analyse, merci de nous téléphoner ou de nous contacter par email.

Des filaments atmosphériques aéroportés, collectés au sol aux quatre coins de la France en fin d’année 2012 par de simples citoyens, ont été confiés à AnAlytikA (Centre Indépendant d’Investigations et d’Expetises en Chimie Organique, situé à Cuers, Var, France).

Le rapport analytique publié récemment par AnAlytikA apporte les preuves scientifiques de l’origine anthropique de ces filaments.
Parmi les nombreux composants organiques détectés figurent plusieurs molécules connues pour entrer dans la composition des carburants et lubrifiants de réacteurs d’aviation, y compris plusieurs « phtalates » perturbateurs endocriniens.
Bernard Tailliez, Fondateur et Directeur Scientifique d’AnAlytikA, se déclare préoccupé car ses investigations révèlent l’existence d’une nouvelle forme de pollution atmosphérique, directement imputable au trafic aérien.
La communauté scientifique et les autorités compétentes -maintenant alertées- doivent rapidement approfondir leur connaissance de l’origine et des conséquences, sanitaires et climatiques, de cette nouvelle forme de pollution atmosphérique.
Et publier leurs conclusions, puisque : « L’obligation de subir donne le droit de savoir » (Jean Rostand).
AnAlytikA remercie l’association ACSEIPICA et les citoyennes ayant participé à la collecte des échantillons et au financement des investigations : sans un tel engagement citoyen la problématique en question n’aurait jamais éveillé l’attention des autorités.

PRESS RELEASE from ACSEIPICA*

(*Association Citoyenne pour le Suivi, l’Étude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques )
Atmospheric airborne filaments, collected on the ground from several places in France during the end of year 2012 by simple citizens, have been submitted to AnAlytikA (Independent Center for Investigations and Appraisals in Organic Chemistry, located in Cuers, Var, France).

The analytical report recently published by AnAlytikA gives the scientific evidences of the anthropic origin of these filaments.
Among many organic components detected, several molecules are known to be present in fuels and lubricants of aviation reactors, including several endocrin disrupting « phtalates ».
Bernard Tailliez, Founder and Scientific Director of AnAlytikA is concerned that his investigations reveal a new form of atmospheric pollution, directly induced by air traffic.
The scientific community and relevant authorities -now alerted- must quickly improve their knowledge of the origin and consequences, on health and on climate, of this new form of atmospheric pollution.
And publish their findings, since : « The obligation to suffer gives us the right to know » (Jean Rostand).
AnAlytikA wish to thank ACSEIPICA and the citizens who participated in collecting samples and financing investigations : without such citizen engagement the issue in question would never have attracted the attention of the authorities.


coloration rose du soir – explications


ce qu’on voit, et de manière plus qu’ inhabituelle, malheureusement, était qualifié de carte postale de mauvais goût quand j’étais petite !

L’auteur de ce blog a posé la question pour tester la résonance :

http://forums.futura-sciences.com/chimie/
voilà les réponses
Profitez en pour nous instruire sur la diffusion de Mie, et demandons nous quelles particules peuvent ainsi activer une coloration bien plus intense que celle, naturelle, des couchers de soleil pour ceux qui ont eu la chance d’en contempler avant ce gâchis …
Enfin, il y en a qui trouvent ça beau !
Claire

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