Vous avez reçu récemment reçu de moi un message transmis au monde politique [1], et je vous y ai inclus dans l’espoir que vous le transmettiez, en transmettiez l’exemple. Un agriculteur en grande peine, bien que très combattif, m’y a déjà répondu en me demandant dépité « où est le champ de bataille ? ». Ma réponse, notre réponse face aux galères de nos paysans ne peut qu’être humble. Et je crois en tout cas que le combat commence à cette double exigence ou nécessité :
1/ trouver et maintenir le contact avec les êtres de bonne volonté, qui ne se maintiennent plus dans l’illusion politique, pour chercher des voies (ou des issues de secours) et par cette communautarisation-là, déjà se défaire des affres de la dépression. Avec ceux d’entre vous avec lesquels j’avance, des échanges d’idées importantes nous ont déjà fait avancer, un peu à tout point de vue.
2/ faire ententre notre voix, non pour convaincre, parce qu’il est trop tard pour cela, mais comme je l’explique mieux dans le texte que vous avez reçu, pour armer notre camp dans une guerre qui se livre à même les corps avec les âmes pour point de mire, écrire pour ne plus devoir le faire, écrire pour avoir fait tout notre possible et ne plus devoir le faire, et revenir au premier point par un meilleur sentiment d’accomplissement.
Au débotté parce que la vie de famille m’appelle. J’ignore si tout le monde est acquis à cette idée que les patientes explications et le ton didactique sont désormais superflus, et que la communication publique, à la mesure des enjeux du temps, ne peut qu’être déclarative, mais se doit de porter les jugements dont notre monde manque si cruellement (contre cet accablant poncif des créatures de « safe spaces » : « il ne faut pas juger »), se doit de traiter de morale, restée si longtemps muette et dont plus personne ne parle. Je relisais récemment du Modeste Schwartz et du Phillipe Forget pour me dire qu’au-devant de ce que nous vivons, ces phraseurs qui macèrent dans les constats de notre perte pour ne finalement rien dire, ne bousculer personne, ne prendre aucune direction d’action, ces discutailleurs attendent la mort par le décorum des mots derrière ils ne font que cacher, en dernière instance, leur lâcheté.
La marchandise a presque tout emporté, mais n’aura pas emporté l’essentiel tant qu’il nous restera notre dignité, dont nous avons à retrouver le fil précisément dans ce que cette marchandise s’acharne plus que jamais à physiquement faire brûler, disparaître… Et c’est de cette dignité que nous avons à témoigner, sans en attendre de résultats directs.
Le ton du message que je voudrais que vous fassiez circuler partout, et que vous pouvez reprendre par ici donc : http://inmediares.be/ovdns/exemple, est expressément libre, et c’est bien d’abord dans cette liberté totale qui ne peut transiger avec la censure sans ne déjà tout y perdre que nous devons déjà identifier les ferments d’une action résistante véritable…
Je vous invite — vous exhorte — à transmettre ce texte, partout et de façon à ce qu’il soit perturbateur, disruptif, impertinent.
Vous pouvez en modifier éventuellement l’un ou l’autre passage. Dans ce cas, je ne vous demanderais qu’une chose : c’est de retirer ses quelques mentions « OVDNS », c’est tout. [c’est nous qui marquons]
Le message est envoyé à quelques centaines de personnalités politiques, publiques, de tout poil, tous les jours. Faites-en svp autant, en n’oubliant pas les réseaux sociaux.
Je vous transmets ici les adresses déjà contactées par moi [2], et l’idéal est que des adresses reçoivent le message par diverses personnes/voies : faites donc de même en me communiquant les adresses [3] non personnelles que vous joignez de votre côté, que je contacterai moi-même tout en les transmettant à d’autres. Il est trop tôt encore, vis-à-vis de la maturité de nos échanges, pour que je dévoile les adresses de mes interlocuteurs privilégiés à chacun d’entre vous. En attendant, puissiez-vous par vos propres cercles aussi multiplier les envois.
Si possible, que l’ACSEIPICA qui me lira me fasse parvenir les adresses des personnalités publiques qui ont répondu négativement à leur requête ; voir celles aussi qui y ont répondu positivement. [3]
Et je vous attends surtout donc pour 2.
Amicalement, François
Les remarques ajoutées au moment de la publication du texte sont marquées de []
Dans mon discours Kla.TV du 11 mai 24, j’ai exprimé pour la première fois le soupçon que les nouvelles précipitations de poussière du Sahara avaient peut-être plus à voir avec l’utilisation d’armes météorologiques brevetées depuis longtemps qu’avec le sable du Sahara lui-même. Aujourd’hui, je vous présente un 1er rapport d’analyse qui indique qu’à chaque pluie de poussière dite du Sahara, au moins 26 éléments, dont certains très toxiques, nous tombent sur la tête. Mais pas seulement sur la tête, mais aussi sur notre agriculture, sur nos lacs, nos rivières, nos jardins, nos prairies, sur tous nos animaux, sur les populations d’insectes dans l’air, sur le sol et sous le sol. Mais reprenons les choses dans l’ordre : Tout d’abord, je rappelle une nouvelle fois le brevet américain 9924640. Et ce n’est qu’un des dizaines de brevets similaires : Il y est décrit comment des avions Boeing sont transformés pour transporter des charges de 25 tonnes de nanoparticules de type sable à 18 000 mètres d’altitude. La raison : pour contrôler, manipuler notre météo et notre climat. Ensuite, je rappelle encore une fois le carburant de l’OTAN « JP 8 », que l’OTAN maçonnique vend depuis longtemps à environ 90% de l’aviation civile, c’est-à-dire à presque tous les grands aéroports du monde. Ce qui est effrayant, c’est les résultats d’analyse des additifs nommés : En effet, des quantités importantes d’aluminium, de baryum, de béryllium, de plomb, de cadmium, de chrome, de cobalt, de fer, de cuivre, de molybdène, de sodium, de nickel, de strontium, de titane, de vanadium, de zinc et d’étain ont été détectées dans ces carburants militaires. Également de nombreux oxydes de ces métaux et d’autres substances toxiques. Ces résultats de mesures nous ont donné l’idée que des substances similaires pourraient peut-être se trouver dans les nanoparticules de poussière fine semblables au sable. Ceux-ci ont déjà été pulvérisés par centaines de millions de tonnes au-dessus de la tête de chacun d’entre nous. Et que la prétendue pluie de poussière du Sahara pourrait également être une précipitation contenant précisément de telles substances. Car les brevets de manipulation météorologique dévoilés, c’est-à-dire les brevets d’armes météorologiques, décrivent noir sur blanc comment ces nanoparticules de sable, une fois éjectées, restent en suspension jusqu’à deux ans dans la haute atmosphère – avant de retomber progressivement sur nous. Et je dis bien : cela soit sans bruit, soit en association avec une pluie battante qui s’abat alors sur nos têtes, mais aussi sur les têtes de nos proches, nos enfants. Et puis, ils empoissent aussi nos installations solaires, recouvrent tous nos moyens de transport, empoisonnent tous nos champs etc., etc. Avant d’en venir aux résultats de l’analyse de la pluie de poussière du Sahara, je dois encore une fois évoquer les expériences à grande échelle menées sur les peuples, par exemple en 1994 aux États-Unis, expériences qui ont été révélées depuis longtemps. Je dois le faire pour que vous compreniez suffisamment que des expériences aussi cruelles sur les peuples sont effectivement menées par des gouvernements et qu’elles sont ensuite couvertes par la justice. Et ici, nous ne traitons que la pointe de l’iceberg que les lanceurs d’alerte libres ont déjà dévoilée : Les sujets involontaires des tests de 1994 étaient des citoyens américains – des grandes villes entières. Que s’est-il passé ? Des avions militaires les ont délibérément aspergés de poison pendant de longues périodes, car l’armée disait qu’elle voulait voir ce qui se passerait ; en effet les substances de combat doivent être testées avant d’être utilisées chez « l’ennemi ». Même une école primaire avec des enfants a été aspergée quotidiennement et de manière ciblée pendant trois mois de sulfure de zinc et de cadmium. Retenez déjà ces deux substances, car vous allez en entendre parler dans un instant. Les conséquences de ce seul brouillard de sulfure de zinc et de cadmium ont été terribles. La moitié d’une classe entière est alors littéralement morte, l’autre moitié a souffert des plus graves maladies, stérilisations et autres handicaps. Car ces victimes sans défense, ces petits enfants, plus tard quand ils sont devenus adultes, ont eux-mêmes donné naissance à des enfants gravement handicapés, etc. Et comprenez ici que nous ne parlons pas de simples théories du complot, mais de crimes commis par des gouvernements entiers et leur justice, qui ont été reconnus depuis longtemps, mais jamais punis comme il se doit, ni publiés. Interrogés à ce sujet, ils ont indiqué que les avions ne pulvérisaient que des produits chimiques inoffensifs. Les mêmes réponses nous sont d’ailleurs données par nos gouvernements lorsque nous les interrogeons sur le contenu des millions de tonnes de nanoparticules pulvérisées. Et les prétendues pluies de poussière du Sahara ne suscitent aucun tollé – surtout de la part de nos médias grand public. Mais venons-en aux résultats d’analyse effrayants qui nous ont été remis par des lanceurs d’alerte indépendants de Bosnie. Les documents originaux sont affichés en arrière-plan. Ces derniers ont en effet fait réaliser une analyse comparative entre le sable saharien original et le prétendu sable saharien issu des précipitations en Bosnie-Herzégovine. Ils voulaient seulement savoir s’il y avait peut-être des éléments toxiques dans cette prétendue « pluie de poussière du Sahara ». Quelque chose qui nous nuit, à nous-mêmes ou à notre écosystème. Et c’est précisément ce qui aurait dû être le rôle des gouvernements. Mais comme ils n’ont rien fait, l’analyse qui suit a été réalisée à titre privé. Vous avez donc envoyé à l’Institut de génie chimique de Tuzla, en plus du sable saharien original, un échantillon de sable de Lukavac. « Le 6 mai 2022, nous avons envoyé deux échantillons à l’Institut de génie chimique de Tuzla : Un échantillon de sable prélevé sur les rives d’un lac dans le sud de la Tunisie et un échantillon de sable prélevé à Dobošnica Donja, près de Lukavac, le 7 avril 2022, après la « pluie de sang » rouge. » … prélevée le 7 avril 2022 après ce qu’on appelle la pluie du Sahara. Cet échantillon est d’autant plus important qu’en Bosnie, le vent souffle généralement de l’ouest et que les précipitations à Lukavac n’ont donc pas pu être influencées par les fumées d’une quelconque industrie ou par des centrales thermiques ou autres. Et voilà : Pas moins de 26 éléments, dont certains très toxiques, ont été trouvés dans la prétendue pluie de poussière du Sahara étudiée : Aluminium, arsenic, bore, baryum, béryllium, bismuth, cobalt, chrome, cuivre, fer, lithium, manganèse, molybdène, nickel, plomb, antimoine, sélénium, étain, strontium, thallium, vanadium, zinc, cadmium. Je vous l’ai dit, retenez ces deux derniers éléments. Rien que la proportion d’aluminium dans la prétendue pluie de poussière saharienne en provenance de Bosnie était 728 fois plus élevée que dans le sable saharien original. Les poussières fines d’aluminium peuvent par exemple provoquer la maladie d’Alzheimer, endommager les reins, le foie et les os, et bien d’autres choses encore. Les taux d’arsenic étaient 44 fois plus élevés, les taux de baryum 660 fois plus élevés et les taux de nickel même 2.500 fois plus élevés que dans le sable saharien original. On a trouvé 64 fois plus de zinc dans la pluie dite saharienne, 23 fois plus de fer, etc. Après cette révélation, une seule chose intéresse les peuples concernés : Qui diable permet que ces nouveaux cocktails hautement toxiques soient de plus en plus déversés sur nos têtes ? Qui fait exactement ce genre de choses et pourquoi ? Quels sont les noms de ces malfaiteurs ? C’est ce que nous voulons savoir maintenant. Dans quelle mission et avec quels objectifs ultimes agissent-ils ? Etant donné que les analyses présentées constituent plus qu’un simple début de soupçon que l’Europe entière est devenue la cible des pires terroristes hybrides, j’appelle tous nos téléspectateurs à participer activement à la poursuite du travail d’enquête sur cette affaire. Car, comme d’habitude, les médias à prélèvements obligatoires n’en disent rien et cachent même, contre toute évidence, des choses bien pires encore. Nous en parlons tous les jours depuis 2012. N’oubliez pas qu’à chaque nouveau nuage de soi-disant poussière du Sahara, vous respirez toutes ces choses aussi longtemps qu’elles flottent librement dans l’air. Et ensuite, vous absorbez ces nanoparticules du tableau par tous les pores de votre peau, vous les mangez aussi avec vos légumes bio, vous les avalez avec votre eau potable et même lorsque vous nagez, ces trucs vous pénètrent. De tous les côtés, pas seulement par la bouche. N’oubliez pas que l’étendue finale des dégâts et les conséquences à long terme doivent encore être déterminées. Pourtant, rien que les déformations croissantes de nos arbres nous laissent présager le pire. Toute information pertinente peut donc protéger et sauver la vie de notre nature et l’existence de peuples entiers ! Pour obtenir une attestation définitive sur l’origine, la cause et les objectifs de cette composition chimique de poussières, il faut un maximum d’analyses supplémentaires d’échantillons de différentes origines. De même, on ne sait pas encore de quelle manière, dans quelle mesure et avec quelles conséquences les éléments trouvés sont absorbés par les différents organismes. Mais je dis : Demandez sans relâche aux députés de votre circonscription d’interdire non seulement la pulvérisation des carburants de l’OTAN par nos avions, car ils sont des tueurs de climat et d’êtres humains ! Expliquez également à tous ceux qui ne le savent pas à quel point nombre de ces éléments précédemment cités sont mortels pour nous. Demandez à vos députés d’informer les peuples sur la pulvérisation annuelle de dizaines de millions de tonnes de nanoparticules d’aluminium jusqu’aux particules fines de charbon. Demandez sans relâche un débat ouvert sur tous ces brevets de manipulation du temps et d’utilisation d’armes météorologiques mentionnés ici, ainsi que sur le génocide insidieux qui en découle. Il n’y a pas d’autre mot pour décrire cela. Demandez à vos politiciens et à vos députés de rendre compte publiquement de l’analyse de la poussière du Sahara dont nous venons de parler. Les originaux sont affichés, chers amis. Enfin, en tant que peuple, nous devons exiger le droit à notre compétence décisionnelle finale jusqu’à ce qu’elle soit fermement ancrée dans toute constitution et que les politiciens élus ne puissent plus simplement s’opposer à nos objections. S’il vous plaît, diffusez des émissions comme celle-ci auprès d’autant de personnes que vous le pouvez, en particulier auprès des personnes encore ignorantes de cela. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 48 ans.
« Manipulations météorologiques : Ce que nous savons avec certitude – Exposé du physicien de l’ETH, Dr. Philipp Zeller » www.kla.tv/27872
Le débat sur le CO2 comme moyen de détourner l’attention de la manipulation .. https://www.kla.tv/16595
Bande dessinée Covid-19 de 2012 https://www.kla.tv/16831 (Cette émission prédit précisément qu’après le Covid, les systèmes HAARP seront utilisés pour décimer la population). 1 an après les inondations catastrophiques de la vallée de l’Ahr (2021) : Incohérences révélées https://www.kla.tv/GeoEngineering/19752
Arme de guerre – taxes sur l’audio-visuel | 40 raisons pour lesquelles je ne paie plus (par Ivo Sasek) www.kla.tv/28967
Des updates pour Greta ! Les vrais tueurs du climat https;//www.kla.tv/28157 Les USA ont testé des poisons sur leur propre population https://www.kla.tv/28308
Si j’ai pris telle décision ou qu’il y a eu décision collective de mener un programme de géo-ingénierie, nous pourrions bien tuer des centaines de milliers de personnes annuellement en résultat de cette décision.
La question ne revient pas vraiment à la morale, mais plutót au préjudice pour nos petits-enfants.
David KEITH codirecteur du programme solar geoengineering research fondé à Harvard en 2017
J’ai mentionné qu’il s’agit de ce qu’on appelle le Great Reset, Agenda 21 ou Agenda 2030 pour le développement durable, adopté au sein de l’ONU. Et si tous les pays, sans exception, suivent le même ordre du jour, le résultat qui sera atteint sera commun à toute l’humanité. C’est-à-dire la disparition de tout élément d’identité religieuse, civilisationnelle et culturelle collective. Il s’agit du vaste programme des élites mondialistes qui se résume à deux priorités: DÉPEUPLEMENT et CONTRÔLE.
(…)
En ce moment historique, critique pour l’humanité, l’esprit de sacrifice et le courage des élites intellectuelles anti-Système est la condition indispensable de notre effort pour réveiller les nations. Toute tentative d’édulcorer la réalité et d’éviter les risques de confrontations directes avec des gouvernements asservis à des centres de commandement mondialistes peut être fatale pour le monde entier. L’histoire est mise en avant par des personnages forts et lucides. Le temps des marchands et de l’esprit petit-bourgeois doit rester révolu. Le temps des héros frappe à la porte. L’avenir dépend de la volonté de quelques minorités qui constituent les véritables élites des nations. L’on ne peut pas bâtir sur les fondations fragiles de la médiocrité et de la lâcheté. Notre futur sera compromis si nous manquons le moment opportun.
(…)
À ce moment crucial de l’histoire, une révolte majeure, mondiale, inconciliable et victorieuse des nations s’impose. Un nouveau monde ne peut être construit que sur les ruines d’un ancien monde. La génération actuelle est destinée à devenir le fossoyeur du capitalisme mondialiste, mais aussi de la technocratie démoniaque.
Iurie Rosca
Il y a ceux qui ne se révoltent jamais et laissent couler la vie, indifférents au sort des humains et parfois même aux injustices dont ils sont eux-mêmes victimes. D’autres vivent des moments de révolte, mais, incapables de lui donner un sens, ils ne peuvent traduire leur révolte en actions ou en lignes de conduite. Et puis il existe de rares personnes qu’on dirait nées avec un besoin si aigu de justice, d’équité et de bonheur qu’il leur est impossible de ne pas vivre en état de révolte permanente. On pense souvent que ces hommes révoltés vivent tristement, occupés qu’ils sont à sans cesse dénoncer les injustices, et qu’ils ne peuvent jouir des beautés de la vie. On se trompe. L’homme révolté, pour parvenir à l’équilibre sur la corde raide de la critique permanente, doit croire profondément au bonheur et à la beauté des choses. C’est parce qu’il est profondément inspiré par la beauté et le bonheur qu’il en fait sa revendication incessante.
Gil Courtemanche
Ces opérations doivent être considérées comme l’entreprise la plus insensée jamais déployée par la race humaine. Celles-ci font dérailler tous les systèmes de support de la vie sur terre. La totalité de l’architecture de vie est systématiquement contaminée et décimée par l’ingénierie climatique en cours. Et ajouté à toutes les autres formes d’activités humaines ou anthropiques qui déjà causent des ravages dans celle-ci, le génie climatique est mathématiquement et statistiquement parlant la menace la plus grande et la plus immédiate à laquelle nous sommes collectivement confrontés à l’exception d’un cataclysme nucléaire.
Dane Wigington, chercheur principal de Geoengineeringwatch.org
Le Kentucky est le cinquième État cette année (New Hampshire, Rhode Island, Dakota du Sud, Illinois) où les électeurs et les responsables politiques de leur État prennent des mesures législatives pour rejeter la gouvernance fédérale des mandats d’expérimentation de la MRS. La modification du rayonnement solaire (MRS) et l’injection d’aérosols stratosphériques (IAS) impliquant la libération intentionnelle d’aérosols chimiques et d’autres émissions dangereuses, y compris la pollution par rayonnement électromagnétique, sans le consentement du public.
“Pour préserver les utilisations sûres et saines de l’atmosphère du Commonwealth pour ses habitants, son environnement et son agriculture, et pour améliorer les efforts bénéfiques en matière de climat, il est nécessaire d’interdire la géo-ingénierie et de prévoir des mesures d’application et des sanctions pour les activités en infraction.”
Les militaires américains sont passés maîtres dans l’art de camoufler leurs opérations secrètes sous le couvert de recherches pacifiques. Ainsi, HAARP signifie « High Atmosphere Auroral Rechearch Program » (« programme de recherche sur les aurores boréales en haute atmosphère »), un nom calculé pour ne faire peur à personne, avec un budget apparemment pas trop élevé (30 millions de dollars par an officiellement). En réalité, depuis plus de quinze ans, se déroule sous ce couvert un projet gigantesque de construction d’une nouvelle arme terrifiante. La première réalisation est une station située à Gakona en en Alaska, station dont la puissance double régulièrement au fur et à mesure que de nouvelles installations voient le jour (960 kW en 2003, 3,6 mégawatts en 2006, 20 mégawatts en 2008). D’autres stations sont en construction. Mais cela ne constitue que la partie émergée de l’iceberg. L’île américaine de Diego Garcia, au sud ouest de l’inde, serait un autre maillon de HAARP. Il y en aurait un autre à Pine Gap, en Australie.
L’objectif réel de HAARP est simple : pouvoir atteindre et bombarder à volonté n’importe quel point de la terre et de l’espace proche avec un faisceau d’énergie directif ultra-puissant… sans utiliser de satellite ! Mais en fait Haarp marche si bien qu’un grand nombre de nouveaux objectifs sont apparut possibles et sont en cours de développement / tests :
Détruire en vol les missiles, fusées, avions et satellites,
Mettre HS des installation electriques civiles et militaires
Communiquer avec les sous-marin même à grande profondeur
Provoquer des incendies dans des installations industrielles
Interdire les communications radio sur une zone donnée, à volonté
Scanner le sol et les océans à grande profondeur
Manipuler à distance l’esprit des gens et le comportement des foules (si, si !)
Réaliser un bouclier antimissile pour les USA
Attaquer des cibles au sol
Et même contrôler le climat et créer une arme climatique
Ces objectifs ne sont pas bien sûr avoués par les américains, car ils sont contraire à la convention ENMOD de 1977 qui interdit les modifications de la biosphère à des fins hostiles. Notons cependant que les nations-unis ont récemment, sur l’instigation des américains, exclu de leur ordre du jour les changements climatiques résultant des programmes militaires. Cependant, les USA n’ont pu empêcher quelques informations de filtrer, et cela a commencé à alarmer les autorités de certains pays. En février 1998, le Comité des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du parlement européen a tenu une audience publique à Bruxelles au sujet de HAARP. Ce comité à présenté au parlement européen en 1999 une motion stipulant que « HAARP… en vertu de son impact étendu sur l’environnement , constitue une préoccupation mondiale… [le comité] demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évalués par un organisme international indépendant… [le comité] regrette le refus réitéré des États-Unis d’apporter des preuves à l’audience publique concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP ». Cette requête fut rejetée sous le prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans les liens entre l’environnement et la défense. La vérité, c’est que Bruxelles ne souhaitait pas entrer en conflit ouvert avec Washington… Retenons une chose : Haarp, c’est du sérieux.
La Douma, le parlement Russe, s’est également inquiétée de HAARP : en 2002 ses membres ont exprimé leur vive inquiétude en évoquant « un saut qualitatif considérable en matière d’armement ». Le rapporteur a indiqué trois sites prévus pour HAARP : Alaska, Groënland et Norvège. Un appel contresigné par 90 députés de la Douma a été transmis à l’ONU ainsi qu’au parlement et leaders des pays adhérents à l’ONU.
HAARP utilise les propriétés de l’ionosphère, une couche atmosphérique située à 270 Km d’altitude environ, qui possède la propriété de réfléchir les ondes radio. Les radio-amateurs connaissent bien l’ionosphère, c’est elle qui leur permet d’établir par exemple des liaisons radio transatlantiques, sans satellite. L’ionosphère est ainsi une sorte de miroir radio naturel, qui renvoie vers le sol les ondes radio (de certaines fréquences précises) émises depuis la terre. L’ionosphère est ainsi appelée parce que ce sont des ions (des atomes électrisés) qui réfléchissent les ondes.
Seulement l’ionosphère est capricieuse. Les conditions radio et les fréquences changent d’heure en heure, voire de minute en minute, et sont sujettes aux variations de l’activité solaire. C’est d’ailleurs dans l’ionosphère que se produisent les aurores boréales, ou aurores polaires.
D’où l’idée : et si on pouvait, avec un émetteur HF de forte puissance, contrôler l’ionosphère, au moins sur une petite portion (quelques centaines de kilomètres carrés), et la transformer en un miroir parfait, et même en un miroir parabolique parfait, est-ce qu’on ne pourrait pas en profiter pour envoyer un second faisceau d’ondes, bien plus puissant, qui se réfléchirait sur ce miroir pour frapper toute cible désignée avec une précision de quelques mètres ?
Dit comme ça, ça parait simple, mais les détails techniques sont très compliqués. Les américains, toutefois, semblent y être parvenus. La station de Gakona (Alaska), malgré sa gigantesque puissance HF émise, ne sert qu’à amorcer dans l’ionosphère les conditions radio pour que d’autres stations, bien plus puissantes (!) (on parle ici de gigawatts émises par radio) et opérant dans d’autres gammes de fréquence (VLF et ELF), puissent utiliser le miroir ainsi créé pour atteindre instantanément une cible au sol, en vol ou dans l’espace, partout dans le monde, et avec une puissance telle que la cible est immédiatement vaporisée. Haarp a ceci de « merveilleux » que le miroir ionosphérique fonctionne dans les deux sens et permet aussi de créer un radar parfait, donc de suivre la cible en même temps qu’on la détruit. Et comme l’ionosphère se désionise très rapidement, aucune preuve ne peut être apportée quant à l’auteur du tir. Ni vu ni connu ! Mais s’il n’y avait que ça…
De nombreux experts en armement et scientifiques ont fait part de leur vive inquiétude face à HAARP, y compris au parlement européen. Le physicien allemand Zielinsky et le chimiste Richard William affirment que les énormes puissances mises en jeu sont susceptibles d’influencer la météorologie d’un pays et d’y provoquer des effets catastrophiques. Gratan Healy, expert en énergie, a été chargé par des parlementaires de rassembler des preuves sur cette arme terrifiante.
Station de Gakona
Elle s’étend sur plusieurs hectares à Gakona, une petite localité au sud d’Anchorage. Elle est située tout à coté des immenses réserves de gaz et de pétrole de la société (écran) ARCO, qui est … propriétaire des brevets HAARP. L’installation est reliée à l’un des plus puissants ordinateurs de la planète, sur le campus de l’université D’Alaska, dans le Butrovich building. Elle est protégée par un réseau de défense antiaérien comparable à celui de Washington : des batteries de missile sol-air sont disséminés partout en Alaska dans le seul but de protéger la station de Gakona. La photo ci-contre ne montre qu’une partie des installations, elle a été « caviardée », mais hélas je n’en ai pas trouvée de meilleure.
HAARP dispose (actuellement) de 48 énormes antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur de 1 mégawatt. Le projet à terme prévoit 360 antennes de 3 mégawatts chacune, soit 1 gigawatt ! (Et rappelons que c’est uniquement pour créer le « miroir » qui sera utilisé par des installations secrètes dont la puissance est largement supérieure… et reste inconnue).
Les émetteurs HF sont alimentés en énergie par 6 turbines brûlant 95 tonnes de diesel par jour. L’installation rejette 7 tonnes de déchets par jour.
En 2005, la société BAE Systems Advanced Technologies Inc, située à Washington D.C. s’est vue attribuer un contrat ferme de 35 mllions de dollars TTC dans le cadre des des contrats hors limitation d’attribution et de de volume ( N00014-02-D-0479 ) pour construire des transmetteurs haute fréquence dans la cadre du projet de rechercher HAARP, de recherche d’activation aurorale par hautes fréquences, situé à Gakoma, et opérant grâce à un système d’antennes émettrices. Le travail sera effectué à 72 % à Dallas, Texas, et à 28 % à Washington et il était prévu que tout serait achevé en juin 2007. Le Bureau des Recherches Navales, Washington S.C. est la structure chargée de gérer ce contrat. Bien sûr, ce n’est que l’un des multiples contrats liés à HAARP…
A quoi ça sert ?
Au début, il s’agissait simplement de faibles énergies: on utilisait des ondes HF émises depuis Gakoma pour ioniser l’ionosphère et créer un miroir sur lequel on envoyait des ondes ELF, utilisées pour communiquer par exemple avec les sous-marins : les ondes de très basses fréquences, ou ELF, ont en effet la propriété de pouvoir pénétrer plusieurs kilomètres sous terre ou sous la mer. Seulement ces ondes sont très peu directives, et il faut des antennes de plusieurs kilomètres de long (les sous-marins nucléaires traînent derrière eux des fil d’antenne de cette longueur). Avec Haarp, l’ionosphère permet enfin de focaliser les ELF et d’envoyer des puissances gigantesques (on sait faire des émetteurs extraordinairement puissants dans ces gammes d’ondes) directement vers les sous-marins. Les applications sont incroyables puisque on parle même de recharger des batteries à distance…
Très rapidement, les militaires américains se sont aperçus que HAARP marchait super bien et que d’autres applications étaient envisageables : tout d’abord un « radar ELF » capable de scanner le sous-sol de la terre entière à la recherche de bases secrètes, et les mers à la recherche de sous-marins (qui ne donc sont plus du tout invisibles pour les américains, ce qui fout en l’air une bonne partie de la stratégie de dissuasion nucléaire, au moins française).
Enfin HAARP permet de créer une arme EMP, une arme à impulsion éléctromagnétique… sans faire péter de bombe atomique dans l’espace. Les armes EMP anéantissent instantanément toutes les communications et dispositfs électronique chez l’ennemi. Une arme EMP a été utilisée contre l’Irak en 1991 au cours de la guerre du gofe, ce qui explique pourquoi Saddam et sa clique se sont rendus si vite.
Mais le « jeu » ne s’est pas arrêté là : les américains ont très vite compris qu’ils pouvaient utiliser des énergies encore plus intenses pour détruire carrément des cibles terrestres ou aériennes… Et même carrément contrôler la météorologie ?
Contrôler le climat ?
Et si les américains avaient vraiment la capacité de créer / influencer des ouragans et des tornades ?
Encore plus fort : manipulation mentale ?
Un certain nombre de personnes se sont engagées dans un véritable jeu de détective afin de déterminer les véritables but de HAARP : Rosalie Bertelle, scientifique et consultante pour le parlement européen, et Nick Begish, écologiste qui avec Jeanne Manning, Journaliste indépendante, est l’auteur du livre « les anges ne jouent pas de cette haarp », qui fit grand bruit.
Selon eux, les armes EMP (et à plus forte raison, HAARP) ont un effet psychologique perturbant sur l’être humain. Il se pourrait que HAARP, arme polyvalente s’il en est, puisse aussi être utilisée dans ce but. Une arme « psychotronique » utilisant une onde ELF (ultra basse fréquence) de forte puissance, capable de manipuler mentalement les populations à leur insu. Les ondes ELF sont en effet, comme l’avait découvert dès 1952 le professeur Jose Delgado de l’uniersité de Yale, capables de d’interférer avec les fréquences cérébrales et de provoquer la synthèse de substances neurochimiques altérant les émotions : peur, dépression, colère… Ceci pourrait (?) expliquer pouquoi lors de la guerre du golfe, des milliers de militaires irakiens se sont rendus sans combattre.
Et c’est un fait que les molécules d’ADN et ARN, à cause de leur longueur, sont particulièrement sensibles aux hautes fréquences modulées en basse fréquence. Il est possible que des maladies affectant le système d’orientation des cétacés, les faisant s’échouer par troupeaux entiers sur les côtes (ce qui ne s’était jamais vu auparavant) soient causés par les essais HAARP pour communiquer avec les sous-marins.
REMARQUE:
scientifiques et experts en armement ainsi que des députés du Parlement européen se montrent préoccupés, c’est un euphémisme, par le développement de ce projet. C’est pourquoi un expert en énergie, Gratan Healy, conseiller auprès des parlementaires, rassemble pour l’instant les pièces accusatoires de ce projet de fin du monde.
Magda Haalvoet, une eurodéputée belge, chef de file du groupe des Verts au Parlement européen est en charge du dossier. C’est elle qui doit donner une suite officielle aux demandes d’éclaircissement des membres de son groupe et qui fera en sorte que le Parlement fasse pression, via l’Otan, pour que les Etats-Unis répondent à toutes questions utiles, Magda Haalvoet est inquiète. Elle affirme même que ce type d’armement (« non lethal weaponery »), outre les conséquences écologiques désastreuses qu’il implique, « peut mettre en danger les libertés individuelles et la démocratie ». Rien de moins. 30 millions de dollars
Les initiales HAARP signifient en anglais « High-frequency Active Auroral Research » (recherches dans le domaine des hautes fréquences appliquées aux aurores boréales.) De prime abord, derrière ces initiales un peu ésotériques, se cache un projet de 30 millions de dollars de cotitation annuel que l’armée américaine présente comme d’innocente recherches sur l’ionosphère. Les promoteurs du projet n’épargnent ni leur énergie, ni leurs dollars en campagnes de relations publiques et en publicité pour rassurer l’opinion américaine. Néanmoins, il est difficile de croire qu’il ne s’agit pas d’un projet à des fins militaires lorsque l’on sait que les vrais bailleurs de fond sont la Navy, l’Air Force et le Département de la Défense.
A quoi ressemble Haarp sur le terrain ? Il s’agit d’une vaste installation qui s’étend sur plusieurs hectares, à Gakona, une petite localité au nord-est d’Anchorage en Alaska. Le coin n’est pas si perdu que cela puisque l’installation jouxte les immenses réserves gazières et pétrolières appartenant à la société Arco, par ailleurs propriétaire des brevets technologiques composant Haarp et « financier-écran » de ces équipements.
En outre, Haarp est relié à l’un des ordinateurs les plus puissants de la planète à l’université d’Alaska dans le Butrovich building. Quant à son aspect physique, il s’agit somme toute d’un vaste périmètre plat et déboisé, planté de 48 antennes de 20 mètres de haut, reliées chacune à un émetteur d’un peu moins de 1 million de watts de puissance. A terme, le nombre d’antennes et la puissance des émetteurs sont appelés à se multiplier pour atteindre la puissance phénoménale de 1 milliard de watts émis par un réseau de 360 antennes. Les émetteurs sont alimentés en énergie par 6 turbines de 3.600 CV brûlant quelque 95 tonnes de diesel par jour.
On notera ici que l’ensemble de l’installation est assez nocive pour l’environnement proche puisqu’elle émet plus de 7 tonnes de matières polluantes par jour.
A quoi ça sert ?
Officiellement, les scientifiques qui travaillent sur cet émetteur radio mégalomaniaque veulent étudier l’ionosphère. Officieusement, Haarp va tirer parti de l’ionosphère pour en faire une arme à énergie. L’ionosphére est cette couche située au-dessus de la stratosphère, constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie et qui démarre à une altitude moyenne de 48 km pour se terminer à 600 km de notre surface terrestre. Cette couche à haute densité énergétique est vitale pour notre planète car elle joue un rôle fondamental de bouclier, au même titre que la couche d’ozone. Elle nous protège des dégagements nocifs du soleil. L’ionosphère « capture » entre autres choses les particules chargées électriquement et nées des « vents et tempêtes » solaires et galactiques. On sait par ailleurs que les recherches menées depuis un siècle par une serie de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce « manteau énergétique » protégeant la terre pouvait, avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique de toute première importance.
Haarp se fonde sur les recherches de Bernard Eastlund, qui s’est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla, un scientifique croate, inventeur de génie du début du siècle, à qui l’on doit le courant alternatif (combattu par Edison favorable au courant continu) et le courant triphasé… Tesla mit notamment au point un procédé permettant de transférer de hautes quantités d’énergie électrique sans l’apport de c,ble sur une distance de 42 km et il consacra une bonne partie de ses recherches à « l’énergie ionosphérique » et aux phénomènes électromagnétiques. Ses travaux furent financés, canalisés, puis censurés pour des raisons financières par le banquier JP Morgan et la société Westinghouse. (voir remarquable génie Nikola Tesla et comment mener une guerre biologique et psychologique)
Un peu moins d’un siècle plus tard, Bernard Eastlund n’a fait qu’adapter les premiers travaux de Tesla dans lemdomaine de l’énergie électromagnétique. Et c’est ainsi que ce chercheur déposa douze brevets, entre 1987 et 1994, qui constituent l’ossature du projet « Haarp » et de ses technologies dérivées en matière d’armements. Le vrai propriétaire et exploitant de ces brevets n’est plus Eastlund (qui a fini par être éjecté du projet pour des raisons obscures) mais bien la société Apti-Arco, un consortium pétrolier derrière lequel se profilent la Navy, l’Air Force et le Départment of Défense US. Depuis le dépôt des brevets Eastlund, toute la recherche dans le domaine de l’énergie électromagnétique, par exemple à des fins médicales, est bloquée. C’est donc un vaste champ hautement prometteur de la science et de la médecine qui a été ainsi monopolisé par des intérêts liés à l’armée américaine.
Comment cela fonctionne-il?
Toute la technologie contenue dans le projet « Haarp » revient, grosso modo, à pointer vers l’ionosphère un faisceau d’ondes (comme le ferait un émetteur radio) à hautes fréquences (HF) afin de voir ce qui s’y passe. Le bombardement d’une zone donnée de l’ionosphère avec ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette « antenne » virtuelle réémettra des fréquences extrêmement basses (ELF : extremely low frequency) vers la terre. pour employer une image, outre l’effet d’antenne virtuelle ainsi déployée dans le ciel, on crée une sorte de four micro-ondes géant dans un territoire donné de l’ionosphère. Malheur aux avions et aux missiles qui passeraient dans le ciel à ce moment-là . selon la puissance des émetteurs, on pourrait tout aussi bien affoler les systèmes de guidages électroniques, radars et autres appareils radio de ces missiles et aéronefs que de les griller.
Par ailleurs, grâce à l’antenne virtuelle constituée d’ondes ELF, on peut véritablement scanner la croùte terrestre à des profondeurs extrêmes pour en faire une sorte de radiographie. De la sorte, les militaires américains sont fiers d’affirmer que grâce à « Haarp », plus aucun pays ne pourra leur cacher l’implantation de bases secrètes souterraines abritant des armes nucléaires… Selon des études de spécialistes américains en armement, on pourra également communiquer avec les sous-marins en plongée profonde situés dans des coins reculés des océans, détecter puis détruire tout missile ou avion, même furtif, s’engageant dans l’espace aérien américain.
Le but ultime étant de générer un bouclier protecteur global capable de faire le tri entre les cibles ennemies, nucléaires ou conventionnelles, et de les « traiter » de la façon adéquate. Enfin « Haarp » a surtout pour but d’empêcher toutes les communications radio et satellites ennemies dans une zone précise. En plus, avec l’aboutissement de ce projet, les Américains pourront rendre leur propre système de communication quasiment inviolable. Voilà pour la version officielle.
Les buts occultes
Sur la base des travaux et brevets d’Eastlund, d’autres scientifiques, chercheurs, journalistes et militants écologistes se sont engagés dans un véritable jeu de détective avec l’armée américaine afin de déterminer d’autres aspects non avoués par l’Air Force et la Navy du projet « Haarp ». Parmi ceux-ci, le Dr Rosalie Bertell, une scientifique de haut niveau qui, naguère, avait été désignée comme expert par l’administration Reagan pour étudier les effets du projet d’armement « Star Wars ». Elle est aujourd’hui consultante pour le Parlement européen sur « Haarp ». Ou encore le Dr Nick Begich, un écologiste convaincu et Jeanne Manning, une journaliste indépendante qui s’est spécialisée dans les recherches sur les énergies dites « non conventionnelles » qui sont coauteurs d’un livre « anti-Haarp » au titre évocateur : « Angel dont’ play this Haarp », qui a fait grand bruit outre-Atlantique et qui révêle, sur la base de données sérieuses, les applications occultes du projet. Le fruit de leur enquête a été corroborée par d’autres scientifiques comme le Pr Zielinski, un physicien allemand spécialisé dans l’électrodynamique quantique ou le chimiste américain Richard Williams. La liste des détracteurs scientifiques de Haarp est innombrable.
Pensées contrôlées
Selon ces scientifiques, les militaires n’en sont qu’à la phase expérimentale de leurs travaux mais les résultats déjà enregistrés sont très prometteurs. Ainsi, grâce à l’injection de fortes quantités d’énergie dans l’ionosphère, on pourra influencer la météorologie pour provoquer des effets bénéfiques dans une région donnée… ou cauchemardesque dans une autre.
Comment? Tout simplement en modifiant la circulation des vents en haute atmosphère là o ils entrent en interaction avec l’ionosphère. On pourra également provoquer la libération soudaine d’une énorme quantité d’énergie en imitant par exemple le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude. Un type d’action militaire qui ne relève en rien de la science-fiction puisqu’elle a déjà été utilisée sur le terrain en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l’opération « Desert Storm ». Selon le périodique militaire officiel Defence News (n19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon). Le but de cette arme est double: il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d’empêcher toute forme de communication radio chez l’ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre. Autre application de la technologie « Haarp » : transmettre sans l’apport d’un cable électrique de fortes quantités d’énergie d’un point à l’autre. Utile, par exemple, pour ravitailler à distance les batteries électriques d’un sous-marin.
Mais il reste un domaine d’application, encore plus effrayant dont les militaires américains pourraient tirer parti grâce au projet « Haarp ». Vu le passif de l’Air Force et surtout de la CIA en matière d’expérimentations chimiques et bactériologiques, il est concevable que les militaires n’aient pu résister à la tentation de faire de Haarp une arme polyvalente. On se souviendra en effet des terribles expériences secrètes réalisées sur de pauvres soldats conscrits qui consistaient à leur injecter d’énormes quantités de drogues pour modifier leur comportement. Ou encore les expériences pour influencer les activités cérébrales avec des ondes : dès 1952, le Dr Jose Delgado, professeur à Yale, avait découvert que l’on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et certaines ondes.
Le Dr Nick Begich, coauteur de l’ouvrage Angels dont’ play this Haarp, maintenant traduit en français titré « Les anges ne jouent pas de cette HAARP » chez Louise Courteau Éditrice, n’hésite pas à affirmer qu’un des buts du projet Haarp est de mettre sur pied une telle arme « il est douteux que les organisateurs du projet Haarp n’aient jamais discuté de ce type de recherches. Selon mes sources, tous ceux qui sont impliqués dans le projet sont en fait aux première étapes de développement de ce genre d’application ». des scientifiques comme Delgado ou encore le Dr Robert Becker ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF identiques à celles utilisées par Haarp, couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences « où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’éxtérieur avec des résultats très tangibles ». Certaines ondes peuvent en effet provoquer l’apparition dans le cerveau de substances neurochimiques qui génèrent, nous explique le Dr Begich, « un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels tels que des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour, etc. »
Ce type de technologie ne rebute absolument pas les stratèges du Pentagone, loin s’en faut. Pour preuve, on peut lire dans une revue à circulation interne (The revolution in military affairs – Stategic Studies Institute-US Army War College) qui n’est pas censée tomber entre des mains civiles la conception suivante: « Nos valeurs changent et la technologie s’ouvre sur de nouveaux horizons. Il y a peu, pendant la guerre froide, les opérations psychologiques et l’armement psychologique étaient encore primitifs. Alors que nous entrons de plain-pied dans l’ère de l’électronique et de la bioélectronique, il devient nécessaire de réévaluer les barrières morales et éthiques que nous avons posées en interdisant (toute technologie) pouvant manipuler l’esprit de nos ennemis tant à l’intérieur du pays qu’à un niveau international… Dès que cela sera possible, nous encouragerons des entreprises privées ou semi-privées à développer une technologie appropriée… Nous pouvons agir de même avec les nouveaux types d’armements comme les armes biologiques incapacitantes et les armes psycho-technologiques avancées… »
Bouclier global
L’utilisation des ondes et de leurs propriétés électromagnétiques est une arme terriblement efficace. Le Dr Rosalye Bertell affirme que les Américains expérimentent à l’insu de tous et surtout au mépris des conventions internationales ce genre d’armement depuis plus de quarante ans. Se sont succédé ainsi une série de projets : « Argus » (1958), « Starfish » (1962), « Solar Power Satellite » (1968 et 1978), « Space Shuttle Experiments » (1985), « Mighty Oaks » (1986) ou « Desert Storm » (1991), qui avaient tous pour but de jouer avec l’ionosphère ou avec certaines ondes pour différentes raisons : rupture des communications de l’ennemi, armes à plasma, etc.
« Haarp » est donc le dernier chapitre en date de ces projets. Les Américains auraient même l’intention de développer un véritable réseau de stations similaires à travers le globe afin de créer de la sorte un bouclier modulable total. Ainsi, il existe d’autres complexes de recherches sur l’ionosphère comme à Puerto Rico, en Norvège à Tromsoe, au Pérou à Jicamarca, en Russie (près de Moscou) ou encore à Nizhny Novgorod, en Ukraine ou dans le Tadjikistan.
Le cofondateur de Wikipédia, Larry Sanger, a fait part des doutes majeurs que lui inspirait désormais sa création. Il a expliqué dans une interview que la neutralité des informations fournies par l’encyclopédie collaborative en ligne n’était plus garantie et ne serait plus jamais possible. Il a confié ne plus accorder sa confiance au site, qu’il a quitté en 2007.
Larry Sanger, cofondateur de Wikipédia, a exprimé de lourdes réserves sur la très populaire encyclopédie en ligne dans un entretien avec LockdownTV, le 14 juillet dernier [2021]. L’Américain de 53 ans a notamment jugé la plateforme « tellement cassée qu’aucune réparation n’est possible ». Il a remis en question l’objectivité de l’organisation communautaire qui constitue un des gages de neutralité du site, relate également Slate.
Les opinions des différents contributeurs publiant du contenu dans l’encyclopédie numérique étaient en effet contrebalancées par les écrits d’autres internautes, a expliqué Larry Sanger. Le principe de ces batailles idéologiques salutaires a cependant été abandonné en 2009, a déploré le cofondateur. En désaccord avec les nouvelles directions prises, il avait d’ailleurs lui-même quitté ses fonctions deux ans auparavant.
Le développeur du site est dépité
« Le site Internet que j’ai créé ne m’inspire plus confiance », a déclaré l’intéressé, qui a évoqué un parti pris de gauche. « On ne peut pas du tout citer le Daily Mail, a regretté Larry Sanger. On ne peut pas non plus citer Fox News sur des sujets sociaux ou politiques. […] Cela signifie que si une polémique n’apparaît pas dans les médias grand public de centre gauche, elle n’apparaîtra pas dans Wikipédia », a-t-il ajouté et dont les propos sont également relatés par le magazine Unherd.
Le développeur est d’autant plus dépité qu’il accorde une grande importance à la neutralité. « Nous voulons des outils pour réfléchir à un sujet, a-t-il analysé. […] On ne veut pas se faire mener en bateau, si ? Nous sommes des individus libres voulant se faire leur propre opinion ». Larry Sanger a au passage dénoncé « un sale jeu étendu et complexe qui se joue dans les coulisses pour faire dire à un article [de Wikipédia] ce que quelqu’un veut qu’il dise ».