Article du London Telegraph (16/11/2008)


« Le monde n’a jamais connu de chaleur aussi frigorifiante. »


(The world has never seen such freezing heat)
par Christopher Booker

Lien de l’article :
http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml

Cet article d’un journal anglais grand public remet en cause clairement la théorie du réchauffement climatique et la crédibilité du GIEC des Nations Unies (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat).

Traduction – résumé :

* L’institut NASA GISS (http://www.giss.nasa.gov) a rapporté que le mois dernier fut le mois d’octobre le plus chaud jamais enregistré, alors même que des chutes de neiges exceptionnelles sont signalées dans nombreuses régions du monde.

* Origine de l’erreur : des températures de Russie et d’ailleurs, parfois 10°C au dessus de la normale, ont été en réalité reprises des mois précédents.

* Pour compenser l’erreur, le GISS a ensuite déclaré avoir trouvé en Arctique des températures particulièrement hautes. Mais les images satellite montrent une glaciation de 30% supérieure à celle de l’année précédente. Le Giss a également admis s’être basé pour les relevés russes sur un organisme tiers dont il n’a pu vérifier la fiabilité.

* Le GISS, présidé par le Dr Hansen (principal allié scientifique d’Al Gore) est l’une des 4 autorités sur lesquelles se base le GIEC des Nations Unies (IPCC en anglais) pour justifier sa thèse du réchauffement climatique.
Le Dr Hansen est lui-même depuis 20 ans un des avocats les plus alarmistes de cette thèse et de ses conséquences.

* Pourtant la méthodologie et les statistiques du GISS sont remises en question par de nombreux sceptiques. Il fut en particulier forcé d’admettre que la décennie la plus chaude du 20e siècle était les années 30 et non les années 90 comme il le prétendait.

* Un des représentant du GIEC commençait il y a peu une conférence en Australie en montrant des températures mondiales augmentant « plus vite que jamais » alors qu’on sait maintenant qu’elle n’augmentent plus depuis quelques années et qu’elles ont baissé en 2007.

* Sur la base de telles preuves est-il sage pour les gouvernements du monde d’engager des mesures parmi les plus couteuses jamais proposées, pour remédier à un problème qui pourrait en réalité ne pas exister ?

Sources :
L’article : http://www.telegraph.co.uk/opinion/main.jhtml?xml=/opinion/2008/11/16/do1610.xml
Le GISS : http://www.giss.nasa.gov
Le GIEC : http://www.ipcc.ch/languages/french.htm
Analystes sceptiques cités dans l’article :
http://wattsupwiththat.com/
http://www.climateaudit.org/

***

L’article original en anglais :

The world has never seen such freezing heat

By Christopher Booker
16/11/2008

A surreal scientific blunder last week raised a huge question mark about the temperature records that underpin the worldwide alarm over global warming. On Monday, Nasa’s Goddard Institute for Space Studies (GISS), which is run by Al Gore’s chief scientific ally, Dr James Hansen, and is one of four bodies responsible for monitoring global temperatures, announced that last month was the hottest October on record.

This was startling. Across the world there were reports of unseasonal snow and plummeting temperatures last month, from the American Great Plains to China, and from the Alps to New Zealand. China’s official news agency reported that Tibet had suffered its « worst snowstorm ever ». In the US, the National Oceanic and Atmospheric Administration registered 63 local snowfall records and 115 lowest-ever temperatures for the month, and ranked it as only the 70th-warmest October in 114 years.

So what explained the anomaly? GISS’s computerised temperature maps seemed to show readings across a large part of Russia had been up to 10 degrees higher than normal. But when expert readers of the two leading warming-sceptic blogs, Watts Up With That and Climate Audit, began detailed analysis of the GISS data they made an astonishing discovery. The reason for the freak figures was that scores of temperature records from Russia and elsewhere were not based on October readings at all. Figures from the previous month had simply been carried over and repeated two months running.

The error was so glaring that when it was reported on the two blogs – run by the US meteorologist Anthony Watts and Steve McIntyre, the Canadian computer analyst who won fame for his expert debunking of the notorious « hockey stick » graph – GISS began hastily revising its figures. This only made the confusion worse because, to compensate for the lowered temperatures in Russia, GISS claimed to have discovered a new « hotspot » in the Arctic – in a month when satellite images were showing Arctic sea-ice recovering so fast from its summer melt that three weeks ago it was 30 per cent more extensive than at the same time last year.

A GISS spokesman lamely explained that the reason for the error in the Russian figures was that they were obtained from another body, and that GISS did not have resources to exercise proper quality control over the data it was supplied with. This is an astonishing admission: the figures published by Dr Hansen’s institute are not only one of the four data sets that the UN’s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) relies on to promote its case for global warming, but they are the most widely quoted, since they consistently show higher temperatures than the others.

If there is one scientist more responsible than any other for the alarm over global warming it is Dr Hansen, who set the whole scare in train back in 1988 with his testimony to a US Senate committee chaired by Al Gore. Again and again, Dr Hansen has been to the fore in making extreme claims over the dangers of climate change. (He was recently in the news here for supporting the Greenpeace activists acquitted of criminally damaging a coal-fired power station in Kent, on the grounds that the harm done to the planet by a new power station would far outweigh any damage they had done themselves.)

Yet last week’s latest episode is far from the first time Dr Hansen’s methodology has been called in question. In 2007 he was forced by Mr Watts and Mr McIntyre to revise his published figures for US surface temperatures, to show that the hottest decade of the 20th century was not the 1990s, as he had claimed, but the 1930s.

Another of his close allies is Dr Rajendra Pachauri, chairman of the IPCC, who recently startled a university audience in Australia by claiming that global temperatures have recently been rising « very much faster » than ever, in front of a graph showing them rising sharply in the past decade. In fact, as many of his audience were aware, they have not been rising in recent years and since 2007 have dropped.

Dr Pachauri, a former railway engineer with no qualifications in climate science, may believe what Dr Hansen tells him. But whether, on the basis of such evidence, it is wise for the world’s governments to embark on some of the most costly economic measures ever proposed, to remedy a problem which may actually not exist, is a question which should give us all pause for thought.

 

Faire-part de naissance

Bonjour,

Nous avons la joie de vous annoncer que l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Intervention Climatique et Atmosphérique a été fondée par une douzaine de personnes, ce 18 Octobre 2008 à La Guette en Beauvais, commune de Paimpont (35380) en Forêt de Brocéliance (Ille et Vilaine, Bretagne) peu avant le coucher du soleil.

Si vous avez, comme nous, remarqué ces curieux ballets d’avions, leurs traînées et leurs évolutions se mêlant aux nuages,

que celles ci vous semblent anormales,

si vous jugez bon de savoir ce qu’il en est, de confronter les observations et les recherches à ce sujet,

si vous pensez comme nous qu’il n’est absolument pas sage de laisser se perpétrer ce qui s’avère être des épandages chimiques aériens quasi quotidiens,

dans l’ignorance de leurs effets sur notre santé , le climat et la nature en général,

et qu’il est de notre devoir citoyen d’intervenir sur la question des manipulations de l’atmosphère, délibérées et secrètes.

Si vous avez à témoigner,

rejoignez nous à l’ACSEIPICA !

Claire

Association d’ecologie pratique
La Guette en Beauvais 35350 PAIMPONT

A noter : signature du Professeur Belpomme

La pétition de l’ASCEPICA a été signée par le Professeur Dominique Belpomme président de l’ARTAC (Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse) à l’occasion d’une conférence organisée par l’association « Sauvegarde de Brocéliande » sur le rôle des polluants dans le développement de certains cancers (lire l’article) :

ASSOCIATION

Interview dans l’émission Armorique.net par Bruno Gaulin sur France Bleu Armorique, le 1er décembre 2008 :


Ecouter ou télécharger l’émission


Vous pouvez également écouter l’émission depuis le site de
France Bleu Armorique :
ACSEIPICA, études des traînées aériennes

Faire-part de naissance de l’association : lire l’article

Assemblée Constituante de l’ACSEIPICA :

le 18 octobre 2008 à 10 heures

Association d’écologie pratique
LA GUETTE EN BEAUVAIS
35380 PAIMPONT
en Forêt de Broceliande

Nous contacter par mail :
acseipica.association@gmail.com

Téléchargez la pétition

INFORMATION

Informations, articles de presse et analyses.

1) Chemtrails, aviation
2) Ondes électro-magnétiques (HAARP)
3) CO2 et théorie du réchauffement climatique
4) Contexte géopolitique, analyses
5) Les solutions

1) Chemtrails, aviation

Chemtrail : (littéralement trace chimique)
Traces d’avions, ne présentant pas les caractéristiques normales d’une trace de condensation :
* elles se forment à basse altitude (contrairement à la condensation)
* elles sont persistantes et s’étendent au lieu de se dissiper.
* elles créent un voile nuageux de nature artificielle.
* elles présentent des trajectoires incohérentes avec des vols d’avions commerciaux.
* elles peuvent être produites par des avions à hélices alors que les traces de condensation sont le fait des avions à réaction.

Un grand nombre de sites présente ce phénomène :
chemtrails-france.com
evolutionquebec.com
chemtrails-suisse.ch
EndOfLine

Les techniques de modification du climat par l’aviation sont connues et utilisées officiellement :

L’Organistion Météorologique Mondiale (WMO : World Meteorological Organization)
http://www.wmo.int/pages/index_fr.html
Fait la promotion et rapporte les résultats d’un grand nombre de programmes de modification artificielles du climat :
Téléchargez le document en anglais :
http://www.wmo.int/pages/prog/arep/wmp/documents/CD_WMP_44.pdf
(attention : document de 24,5 Mo)

Une entreprise privée de modification du climat :
weathermod.com

Une association faisant la promotion des technique de modification du climat :
Weather Modification Association
Leur but : « Promoting research, development and understanding of weather modification for beneficial uses. »
weathermodification.org

2) Ondes électro-magnétiques (HAARP)

* la site officiel de HAARP :
http://www.haarp.alaska.edu/haarp/index.html

* Une présentation datée de 1998 du programme HAARP :

http://www.grip.org/pub/rapports/rg98-5_haarp.pdf
(Rapport du GRIP – Auteur Luc Mampaey – 1998)

Ce rapport présente par ailleurs le document de 1996 « Maîtriser le climat en 2025 » de l’US Air Force (dont il traduit les passages les plus importants).

* http://www.consciencedupeuple.com/html/controle_et_manipulation.html

3) CO2 et théorie du réchauffement climatique

Le futur des politiques environnementales et économiques mondiales est aujourd’hui basé sur la théorie qui veut que la production de CO2 due à l’activité humaine soit responsable d’un réchauffement global de la planète.

a. Le fait que la planète se réchauffe a été largement remis en cause : les dernières années montrent une baisse générale des températures :
voir l’article du London Telegraph : « Le monde n’a jamais connu de chaleur aussi frigorifiante »

b. Le rôle du CO2 en tant que gaz à effet de serre capable de réchauffer la surface de la planète est remis en cause par de nombreux analystes indépendants. De plus la production d’origine humaine ne représente qu’une très faible part de la production naturelle de CO2 de la planète (l’océan étant la source principale).

http://climat-sceptique.over-blog.com/

http://www.pensee-unique.fr/theses.html

D’autres façons d’aborder la question du climat :

http://system.solaire.free.fr/soleilactivite.htm

http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/XML/db/planetterre/metadata/LOM-milankovitch-2005-09-27.xml

En anglais :
http://wattsupwiththat.com/
http://www.climateaudit.org/
http://www.realclimate.org/
http://www.john-daly.com/index.htm

4) Contexte géopolitique, analyses

Les « projets noirs » derrière les trainées chimiques dans le ciel et les antennes de type HAARP.
http://astrosophie.blogspot.com/

Un document révélateur de l’ US Air Force :
« Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025 »
(« Maîtriser le climat en 2025 »)
https://www.acseipica.fr/weather-as-a-force-multiplier-owning-the-weather-in-2025/

5) Les solutions

Chembusters, orgonite, … à venir.
http://orgonite.actifforum.com/

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SUIVI

 

Photographies et témoignages.

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Si vous possédez des photos ou des vidéos, merci de nous contacter par mail :
acseipica.association@gmail.com

Ces traces ont été nommées chemtrails en anglais car elles ne présentent pas les caractéristiques d’une trace normale de condensation (nommées contrails) :

* elles peuvent se former à basse altitude (contrairement à la condensation)
* elles sont persistantes et s’étendent au lieu de se dissiper.
* elles créent un voile nuageux de nature artificielle.
* elles présentent des trajectoires incohérentes avec des vols d’avions commerciaux.
* elles peuvent être produites par des avions à hélices alors que les traces de condensation sont le fait des avions à réaction.

Conférence IGAC 2008


Sur les liens entre changements climatique et composition chimique de l’atmosphère.

La 10ème conférence du projet international IGAC (International global atmospheric chemistry) visant à étudier le lien entre changements climatiques et composition atmosphérique se tiendra du 7 au 12 septembre 2008 à Annecy.

Cette conférence réunira plus de 500 experts internationaux dans le domaines des sciences atmosphériques.

source :
insu.cnrs.fr

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