Lettre à Ségolène Royal

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A Madame Ségolène ROYAL,

Ministre de Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie

 

Le 6 juillet 2014

Madame,

 

Nous avons pris connaissance de votre réponse à la question de novembre 2013 du député des Hautes Alpes, Monsieur Joël Giraud, faisant suite à la réponse de votre prédécesseur, Monsieur Philippe Martin, à la question d’octobre 2012 du député de la Haute Garonne, Monsieur Gérard Bapt, sur le même sujet. Nous vous savons gré de l’avoir apportée sans tarder, cependant nous sommes au regret d’apporter un démenti à vos assertions.

 

Voici 12 ans que nous interpellons nos responsables politiques, ainsi que les organismes scientifiques, aéronautiques et météorologiques et que nous obtenons toujours – quand nous en obtenons– une réponse qui peut se résumer en : « ce ne sont que les traînées de condensation des avions de ligne », ce qui à moins d’être aveugle et de ne pas savoir compter, est manifestement faux.

 

Face au déni des services publics et des corporations auxquels nous nous sommes adressés, nous compilons les notes, photos et vidéos d’observation du ciel à travers toute la France.

Nous pouvons assurer que des avions en très grand nombre circulent dans les couloirs militaires et produisent ces traînées longues, larges, épaisses et persistantes, qui voilent le ciel et le défigurent. Elles sont apparues de manière généralisée au-dessus de toute la France en 2002. Elles sont émises – pour ce que l’on voit du sol – par des avions qui circulent dans les couloirs militaires à des altitudes bien inférieures à l’altitude requise pour que de la simple condensation se forme. Elles n’ont rien de comparable aux traînées de condensation des avions à réaction que l’on voyait auparavant, qui ne pouvaient apparaître qu’au-dessus de 8000 mètres et duraient au maximum deux minutes.

 

Nous compilons également les analyses d’eau de pluie et de sol qui attestent de taux inquiétants et croissants d’aluminium et de baryum pour ne parler que des deux composants principaux de ces traînées de ce qu’il faut appeler « épandage aérien clandestin ». Le discours prétendument scientifique sur le taux d’humidité pouvant occasionner de telles traînées n’est recevable que si des aérosols sont ajoutés au carburant.

 

Sans parler des filaments aéroportés, de plus en plus fréquents, récoltés en de nombreux endroits – dont un échantillon collecté devant huissier – qui s’avèrent, suite aux deux rapports d’analyses du laboratoire indépendant AnAlytikA, n’être non pas organiques mais des composés pétrochimiques comportant des phtalates, ce qui signale qu’ils proviennent d’aéronefs.

 

 

Devrons-nous nous résigner à ce que nos responsables politiques et nos diplômés scientifiques nous mentent ?

 

Tout ce que vous avez à gagner à vous ranger à cette politique du mensonge est un discrédit grandissant. Car vous comme nous, sommes tous concernés par le fait de laisser ou non se voiler, lacérer et torturer le ciel, par le fait de se laisser ou non asperger de produits chimiques, toxiques pour notre santé et pour tout l’environnement et ceci à nos frais. Nous ne sommes pas dupes de la politique d’austérité qui cherche à nous cacher ces faits et leur nécessaire financement.

 

Aussi, chère Madame, si après avoir pris connaissance des documents joints ou signalés ci-après, vous vous mettez comme nous à regarder le ciel et à compter les avions tout en estimant leur altitude, vous ne pourrez plus tenir le même discours. A moins que vous n’ayez vraiment pas conscience d’être en vie ni de la valeur de la vie sur cette planète, vous aurez, nous l’espérons, un sursaut salutaire. Vous serez, dans ce cas, assurée de notre meilleur soutien.

 

Recevez, Madame, l’expression de notre meilleure considération, pleine d’espoir.

 

Claire HENRION

Fondatrice de l’ACSEIPICA

 

 

 

Documents joints :

– Demande de création d’une Commission d’Enquête Parlementaire, dossier envoyé le 17 décembre 2011 à tous les députés, sénateurs et eurodéputés de France.

– Compte rendu de la conférence du collectif « Skyguards » au Parlement Européen à Bruxelles le 9 aril 2013

– Rapport Case Orange sur les « traînées de condensation »

– 1ère et dernière page du manuel de cours de l’US Air Force intitulé « chemtrails » datant de 1990

– « Dix années de guerre chimique par les épandages aériens », rapport du Dr I.S. Perlingheri

– Rapport d’analyses de filaments aéroportés récoltés devant huissier le 13 novembre 2013 à Saint Martin de Crau (Bouches du Rhône) par le Centre Indépendant d’Investigations et d’Expertises en Chimie Organique AnAlytikA (Cuers – Var)

– La guerre environnementale globale a déjà commencé, article du Général italien Fabio Mini

– Lois de la physique et valeurs des radiosondes, article de Corrado Penna, professeur de Physique (Italie)

 

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A Mme le Ministre de l’environnement_reponse à J Giraud

Observations : traînées à disparition rapide

Message d’un lecteur (en date du 12 octobre)
après avoir à maintes reprises regardé le ciel par temps dégagé (comme aujourd’hui), j’ai comme l’impression qu’il y a également des avions épandant des chemtrails dont la disparition est rapide, car ce sont apparemment les mêmes avions (militaires), volant très bas qui épandent les memes chemtrails persistants. Leur nombre est assez important, et on en observe parfois egalement plusieurs avions de front, volant à la même vitesse.
avez-vous de votre côté fait ce constat ? Cela aurait, je pense, pour conséquence de blanchir le ciel, sans le rendre complètement opaque. Qu’en pensez-vous ?

réponse de Claire

bonjour Fred,

oh que oui !

ça dépend si la pression atmosphérique est en hausse ou en baisse, et du contenu des traînées.

Quelle que soit le type de traînée (condensation ou chimique) elle « prend » si la pression est en baisse et ne « prend pas » si elle est en hausse, ceci relativement à ce qu’elle contient : une traînée de condensation sera invisible par pression en hausse, alors qu’une traînée chimique pourra sembler être de condensation.
Par pression en baisse, une traînée de condensation pourra être visible et une traînée chimique sera lngue, large et persistante.
En cas de doute, en observant plus finement l’altitude de l’avion qui l’émet, on peut savoir de quel type de traînée il s’agit puisque les traînées de condensation ne peuvent se produire qu’en haute altitude (avant que n’apparaissent les chemtrails on disait 8 000 m, maintenant on trouve n’importe quoi à propos des traînées de condensation, histoire de nous faire gober que les chemtrails en sont …).
Merci d’avoir soulevé cette question.

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