Reportage de RTS, Mai 2024 🎬14mn
Les techniques pour modifier la météo se multiplient, et inquiètent les scientifiques. On vous explique pourquoi.
Merci Agnès !
Les techniques pour modifier la météo se multiplient, et inquiètent les scientifiques. On vous explique pourquoi.
Merci Agnès !
FRANKENSKIES
https://www.youtube.com/watch?v=ChdeEcbgWbY
Réalisation : Matt Landman
Sous-titrage en français : association Ciel voilé
mis en ligne le 20 juin 2017
www.FrankenSkiesTheMovie.com
www.ActualActivists.com
FRANKENSKIES est un documentaire de 80 minutes sur les programmes en-cours de géo-ingénierie solaire ou Chemtrails qui affectent chaque être vivant sur Terre. La lutte pour sensibiliser à ce sujet, malgré les obstacles d’une population socialement conditionnée et un complexe militaro-industriel aux ressources infinies, est palpable dans cette tentative d’éveil à la vérité.
Selon une progression impeccablement synchronisée, le film révèle la campagne mondiale de désinformation concernant la formation des nuages chimiques via les pulvérisations atmosphériques d’aérosols. Face à un calendrier de désinformation ou normalisation comprenant des médias contrôlés et un système éducatif et politique endoctriné, les militants posent la question : êtes-vous silencieux parce que vous consentez ?
Un film informatif choquant sur l’ingénierie climatique, le contrôle des fréquences et les manipulations de la CIA. Le récit du film se déroule selon une chronologie historique d’expérimentations sur les êtres humains, qui aboutit au laboratoire actuel qui veut contrôler l’atmosphère de notre planète, y compris l’air que nous respirons, et qui décide quand et où le soleil brillera, ou pas…
Pour aider au financement d’une suite : FRANKENSKIES 2 – CHAINES CLIMATIQUES: Gofundme.com/Frankenskies2
https://reporterre.net/Pourquoi-les-chemtrails-n-existent-pas
Extrait de l’article de Reporterre du 24 avril 2024, par Vincent Lucchese :
La science ne peut rien contre les croyances, mais l’une des rares fois où elle s’est penchée sur la rumeur des chemtrails, ce fut à l’initiative de Ken Caldeira, chercheur au département écologie de l’institution Carnegie pour la science (États-Unis).
Il sollicita l’avis de dizaines de spécialistes en chimie atmosphérique et autres géochimistes sur l’existence des chemtrails. L’analyse des soixante-dix-sept chercheurs ayant répondu à cette enquête, synthétisée dans une étude publiée en 2016 [ce lien donne sur un article de Science&Avenir], conclut à l’absence d’éléments probants pouvant justifier la théorie des chemtrails.
Source: https://reporterre.net/Pourquoi-les-chemtrails-n-existent-pas
Qu’à cela ne tienne : avec l’aide de deux autres chercheurs et d’un spécialiste de ces théories conspirationnistes, Ken Caldeira a sollicité les compétences de scientifiques susceptibles d’avoir un avis pertinent sur la question.
Source: https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/la-conspiration-des-chemtrails-au-crible-de-la-science_19958
2. Reporterre ne va pas rechercher les intérets défendus par l’institution Carnegie pour la science. C’est une erreur professionelle grave. Tout le monde connait l’adage
« Dis-moi qui te paie, je te dirai le résultat de tes études scientifiques. »
Et d’ailleurs, Reporterre …. qui vous paie ?
A l’ACSEIPICA, nous sommes tous bénévoles.
3. Après avoir entendu les propos de Ken Caldeira dans la vidéo ci-dessous, on se demande ce qui est vraiment étudié dans le département « écologie » 🤨🤔 de l’institution Carnegie pour la science…
Cliquer sur l’image pour démarrer la video [1:05mn], VOSTFR
🔸Ken Caldeira, chercheur principal (émérite) au département d’écologie de la Carnegie Institution for Science, évoquait en toute décontraction les réunions auxquelles il a participé dans le passé où étaient suggérées la manipulation climatique comme arme, la création de tsunamis, ou encore, l’introduction d’agents pathogènes dans un nuage qui se déplacerait et produirait de la pluie empoisonnée sur « l’ennemi »
🔸 D’après sa biographie (https://dge.carnegiescience.edu/biographies-ken-caldeira) sur le site Web de Carnegie Inst. for Science, il travaillait dans le laboratoire via lequel il a pris part à ces échanges jusqu’en 2005. Plus de 17 ans après, est-il complotiste d’imaginer qu’ils ont certainement bien eu l’occasion de parfaire ces techniques ?
🔸 Toujours d’après sa biographie, il conseille à présent Bill Gates en termes de climat. Tous deux sont de fervents partisans de la géo-ingénierie pour « lutter contre le réchauffement climatique »
SOURCE:
Un grand merci au canal Telegram https://t.me/janet13_geoingenierie qui a posté cette vidéo + texte ici: https://t.me/janet13_geoingenierie/3
https://www.youtube.com/watch?v=eZgvODaokSI
La rumeur des « chemtrails » racontée par Thomas Snégaroff, 🎬 5:34 mn.
Thomas Snégaroff fait lui aussi référence à « l’étude » de Ken Caldeira avec ses 77 chercheurs.
Crédit photo: Maje Ojala / CC BY-SA 2.0 Deed / Flickr
Sources
« De nombreux types de phénomènes météorologiques extrêmes ne montrent aucun signe d’augmentation et, dans certains cas, ils sont en diminution »
Rapport de l’Institut Fraser du 18 avril intitulé Extreme Weather and Climate Change (phénomènes météorologiques extrêmes et changement climatique)
Un nouveau rapport de l’Institut Fraser met en doute les affirmations selon lesquelles les phénomènes météorologiques extrêmes sont de plus en plus fréquents, estimant que les dires des gouvernements et des médias ne sont pas « irréfutables ».
« De nombreux types de phénomènes météorologiques extrêmes ne montrent aucun signe d’augmentation et, dans certains cas, ils sont en diminution » peut-on lire dans le rapport du 18 avril intitulé Extreme Weather and Climate Change (phénomènes météorologiques extrêmes et changement climatique).
Le rapport met en garde contre le fait que les gouvernements ont adopté des « réglementations de plus en plus restrictives » à l’égard des consommateurs de produits énergétiques canadiens, sur la base d’affirmations dont la véracité n’a pas été prouvée, ce qui a eu des répercussions en matière de coûts sur l’économie canadienne et sur le niveau de vie des citoyens.
« Les allégations concernant les conditions météorologiques extrêmes ne devraient pas servir de base pour s’engager dans des régimes réglementaires à long terme qui nuiront au niveau de vie actuel des Canadiens et aggraveront la situation des générations futures », indique le rapport.
Les auteurs s’inquiètent également du fait que les dirigeants mondiaux utilisent des « affirmations extraordinaires » sur le climat de la Terre pour justifier des actions qui réduiront le niveau de vie, telles que l’abandon du capitalisme et l’élimination des combustibles fossiles. Selon eux, le capitalisme et les combustibles fossiles ont permis à l’homme de se libérer du travail manuel dans l’agriculture, de développer des technologies conduisant à une plus grande longévité et à une réduction de la mortalité infantile, et de participer à la démocratie.
Ces évolutions sont « vraiment extraordinaires », affirme le rapport, avant de se demander s’il existe « des preuves extraordinaires correspondantes pour étayer l’affirmation selon laquelle le changement climatique est si grave et s’aggrave encore » qu’il justifie des « actions extraordinaires » telles que celles qui sont entreprises.
Analyse des allégations relatives aux phénomènes météorologiques extrêmes
Le rapport ne s’oppose pas aux affirmations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations unies selon lesquelles la Terre se réchauffe depuis les années 1950, qualifiant cette évaluation de « largement acceptée comme reflétant fidèlement la réalité ». En revanche, il conteste les affirmations selon lesquelles les phénomènes météorologiques extrêmes tels que les inondations, les ouragans, les sécheresses et les incendies de forêt sont devenus plus fréquents.
Alors que le groupe d’experts de l’ONU affirme avec une confiance moyenne qu’il y a eu une certaine augmentation des conditions météorologiques propices aux incendies (« Fire weather ») dans « certaines régions » depuis 1950, le rapport de l’Institut Fraser affirme que les données ne montrent pas de tendance claire à l’augmentation de la fréquence ou de l’intensité des incendies. Il ajoute qu’au Canada, le nombre et la taille des incendies de forêt ont diminué entre les années 1950 et aujourd’hui.
Le rapport n’inclut pas les données de 2023, année où le Canada a connu sa saison d’incendies de forêt la plus destructrice de l’histoire récente, avec 18,4 millions d’hectares brûlés par rapport à la moyenne décennale de 2,5 millions d’hectares. Le gouvernement fédéral a attribué cette saison destructrice au changement climatique, le premier ministre Justin Trudeau affirmant dans un message sur X que le Canada voyait « de plus en plus de ces incendies à cause du changement climatique ».
En ce qui concerne les sécheresses, l’Institut Fraser souligne que le GIEC a une « confiance moyenne » dans l’augmentation du nombre de sécheresses. Les preuves sous-jacentes à ces affirmations sont « clairement mixtes et incohérentes », indique le rapport, citant les données de l’Agence internationale de l’énergie de 2021 qui suggèrent que la gravité des sécheresses au Canada entre 2000 et 2020 n’était que légèrement supérieure à la moyenne mondiale.
Alors que le GIEC affirme que les inondations ont « probablement » augmenté depuis 1950, le rapport indique que les tendances montrent une « grande variabilité régionale et l’absence de signification statistique globale d’une diminution ou d’une augmentation sur l’ensemble du globe ». Il cite également le rapport du Canada sur le changement climatique de 2019, qui indique qu’il ne semble pas y avoir de « tendances décelables dans les précipitations extrêmes de courte durée au Canada pour l’ensemble du pays ».
En ce qui concerne les ouragans, les tornades et les cyclones, le rapport reconnaît que le GIEC « suggère qu’il y a probablement une augmentation de certaines caractéristiques des cyclones tropicaux ». Mais les preuves que ces phénomènes deviennent plus fréquents ou qu’ils sont causés par les activités humaines « contredisent le récit du GIEC ou ne révèlent aucune tendance dans les données », souligne le rapport.
Une émission de Claude Janvier sur TV-ADP
Invités : Loïc Barbarin et Vincent Souchaud, spécialistes en géo-ingénierie.
Sujet de l’émission : Les épandages – Chemtrails – dans l’atmosphère par les avions. Mythe où réalité ?
Bonjour,
J’aimerais connaître votre position quant à la géo-ingénieurie. Allez
vous faire comme la plupart des médias ou groupes écologistes c’est à dire nier l’évidence?
Pour info je fais partie d’une association Acseipica qui fait de la
ré-information depuis plus de 10 ans sur ce sujet et personnellement je
ne comprends pas que l’on puisse défendre la biodiversité et ne pas
informer sur cet empoisonnement venu des airs. La défense du monde
naturel implique la défense du climat et la lutte contre les épandages
aériens.
Je vous transmets le dossier constitué par notre association sur cette
alerte environnementale et sanitaire:
https://www.acseipica.fr/demande-de-creation-dune-commission-denquete-parlementaire/
Sincèrement,
sur KlaTV : https://www.kla.tv/28157
ou sur CrowdBunker: https://crowdbunker.com/v/PVmkwAnjwa ou Odysee : https://odysee.com/@etresouverain:c/KLA-11022024:5
En effet, les mêmes personnes qui nous imposent des filtres à particules de plus en plus chers pour « sauver notre santé et le climat » et qui privent les agriculteurs de leurs vaches parce qu’elles pètent trop, envoient chaque année des dizaines de milliers de millions de tonnes de poussières fines de charbon dans notre air. Sans oublier des milliers de millions de tonnes de particules d’aluminium et toutes sortes d’autres nano-cocktails hautement toxiques. Parallèlement, les mêmes personnes ont déjà abusé de notre ionosphère en 2010 avec 180 installations militaires HAARP pour déclencher divers tremblements de terre, sécheresses, tempêtes, inondations, etc. Alors que Wikipedia & compagnie s’obstinent à nier ces faits, les brevets de géo-ingénierie admettent ouvertement que les installations HAARP, associées à des millions de tonnes de cocktails de nano-particules, peuvent même déclencher des tsunamis et endommager n’importe quel climat.
Vous pensez que la recherche sur internet était illimitée et libre? Ben c’est terminé. Petite démo en 5 minutes. Faites le test chez vous et montrez ça à vos amis normies 🙂
Durée: 1h20. En Anglais avec sous-titres en francais.
Lien URL: https://www.youtube.com/watch?v=zmfRG8-RHEI
Cliquez sur la roue des paramètres en bas de votre écran pour choisir la langue des sous-titres.
Ce film expose l’alarme climatique comme une frayeur inventée sans aucun fondement scientifique. Cela montre que les études traditionnelles et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes – ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Cela contredit catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures et les niveaux actuels de CO₂ atmosphérique sont inhabituels ou inquiétants.
Au contraire, par rapport au dernier demi-milliard d’années de l’histoire terrestre, les températures actuelles et les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une période glaciaire. Cela montre également qu’il n’existe aucune preuve que l’évolution des niveaux de CO₂ (ils ont changé à plusieurs reprises) a jamais « entraîné » le changement climatique dans le passé. Pourquoi alors nous répète-t-on, sans cesse, que le « changement climatique catastrophique provoqué par l’homme » est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredit ? Pourquoi dit-on, que quiconque, qui remet en question le « chaos climatique » est un « platiste » et un « négationniste de la science » ?
Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines du mouvement de financement climatique et la montée en puissance d’une l’industrie climatique, pesant des billions de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Cela explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour qu’ils ne remettent pas en question l’alarme climatique : retrait des fonds, rejet par les revues scientifiques, ostracisme social. Mais l’alarme climatique est bien plus qu’un mouvement de financement et d’emploi.
Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de libre marché. La solution était des impôts plus élevés et davantage de réglementation. Dès le début, l’alarme climatique a séduit, et a été adoptée et promue par, les groupes favorables à un gouvernement plus important. C’est une division politique tacite qui se cache derrière l’alarme climatique. La peur du climat séduit particulièrement tous les membres de l’establishment tentaculaire financé par l’État. Cela inclut l’intelligentsia occidentale largement financée par l’État, pour qui le climat est devenu une cause morale. Dans ces cercles, critiquer ou remettre en question l’alarme climatique est devenu une violation d’étiquette sociale.
Le film comprend des entretiens avec un certain nombre de scientifiques de renom, dont le professeur Steven Koonin (auteur de « Unsettled », ancien doyen et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), professeur Nir Shaviv (Institut de physique de Racah), professeur Ross McKitrick (Université de Guelph), Dr Willie Soon et plusieurs autres.
Le film a été écrit et réalisé par le cinéaste britannique Martin Durkin, et est la suite de son excellent documentaire de 2007 « The Great Global Warming Swindle. » Tom Nelson, un podcasteur qui examine en profondeur les questions du débat climatique, depuis près de deux décennies, a produit le film. #ClimateTheMovie sera disponible gratuitement sur de nombreux sites en ligne à partir du 21 mars 2024. Des sous-titres dans de nombreuses langues sont actuellement créés par la Fondation Clintel. Suivez @ClimateTheMovie et @ClintelOrg pour les mises à jour.