Version du 6 mai 2025
La campagne nationale de mesure d’aluminium dans l’eau de pluie a débuté en octobre 2024 à la suite de l’assemblée générale de l’association. Elle vise à acquérir des données pour tenter de caractériser la pollution des milieux humides mais surtout, mobiliser l’expertise citoyenne afin de mettre en évidence l’urgence de la question de la manipulation du climat sous le paravent de la lutte contre un réchauffement anthropique.
Ce document vise à répondre aux questions principales.
Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux participants, afin de couvrir tout le territoire français. Voir section 5.
Table des matières
2.Pourquoi seulement l’aluminium et le pH ?
4.Comment est réalisée la mesure citoyenne ?
7.Quelle serait les valeurs normales ?
8.Quelles sont les normes pour l’aluminium ?
9.Quelles sont les sources de diffusion de l’aluminium dans l’air et donc dans la pluie ?
10.Quels sont les risques pour nous et l’environnement ?
1.À quoi sert la campagne ?
La campagne de mesures citoyennes vise à populariser l’action de contrôle de notre environnement vis-à-vis de ceux qui le polluent, d’améliorer nos connaissances dans le secteur, à caractériser plus précisément la pollution, à mobiliser notre capacité à communiquer.
Nous n’avons pas besoin de ces mesures pour savoir que certaines traînées d’avions sont artificielles, provoquées par l’injection de particules dans l’atmosphère, soit préalablement mélangées au carburant pour l’aviation civile, soit lâchées dans le sillage des réacteurs pour l’aviation militaire.
Nous ne nous substituons pas aux pouvoirs publics qui ont ce rôle de vérifier ce qui est reconnu par la constitution comme une liberté fondamentale : « vivre dans un environnement équilibré et respectueux pour la santé ».
2.Pourquoi seulement l’aluminium et le pH ?
Le choix de se restreindre à l’aluminium et au pH permet de se faire une idée de la pollution dans un budget serré. Chaque participant peut très bien mesurer tout un ensemble de paramètres physico-chimiques de l’eau de pluie. Seule la mesure de l’aluminium sera financée par le projet, le reste étant à la charge du participant.
3.Durée du projet
Les premiers appels à dons permettent d’envisager des mesures jusqu’à l’été 2025. Nous verrons à l’assemblée générale de septembre quelle suite à donner à cette initiative.
4.Comment est réalisée la mesure citoyenne ?
Chaque participant prend contact un laboratoire d’analyse d’eau et établit une relation de client-fournisseur en son nom propre : devis, mesure, facture. Le mieux est de ne pas mentionner l’association ACSEIPICA dans la relation avec le laboratoire, sinon on s’expose à toutes les questions et soupçons auxquels il faudra fournir moultes explications rassurantes pour établir une confiance mutuelle.
Jusqu’à présent, c’est le particulier qui réalise la collecte : un récipient, en verre de préférence, est placé en hauteur hors de portée des animaux, loin de tout (immeubles, arbres), recueillant la pluie directement sans passer par aucune surface de collecte.
Ensuite, soit le laboratoire effectue le prélèvement dans ce récipient (il facture donc un déplacement), soit le laboratoire fournit un flacon au particulier qui réalise lui-même le prélèvement immédiatement après la collecte de l’eau de pluie et porte ce flacon au laboratoire dans un délai inférieur à 24h.
Le laboratoire procède à la mesure d’aluminium et donne le résultat, accompagné d’une facture. Le commanditaire paye et peut se faire rembourser la mesure par l’association ACSEIPICA qui recueille des dons pour la campagne « Pluvialu ».
Il est étrange que les laboratoires d’analyses réalisent des prélèvements dans les rivières mais refusent de collecter l’eau de pluie eux-mêmes. Donc pour l’instant, c’est toujours au particulier de réaliser la collecte. On continuera à demander aux labos de bien vouloir intégrer cette opération de collecte dans leur catalogue de services : il n’y a pas de raison.
En ce qui concerne le pH, il peut être mesuré par le participant à l’aide des bandelettes pH pour piscine. On peut aussi demander au labo de l’inclure dans la mesure.
5.Qui participe ?
Tout particulier peut participer à la campagne de mesure. Nous voudrions au moins un participant dans chaque département. Il y a au moins un laboratoire d’analyse d’eau par département.
Pour participer, contactez par mail l’association : acseipica.association@gmail.com.

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6.Résultats données brutes
La campagne a donné les résultats suivants qui ne sont pas interprétés ici pour l’instant. Nous partageons ces résultats comme un service public devrait le faire.
Date | Département | microgrammes/litre | pH |
13.03.2025 | Puy-de-Dôme (63) | <5 | |
25.02.2025 | Morbihan (56) | 4 | |
25.02.2025 | Gironde (33) | 14 | |
12.02.2025 | Haute-Vienne (87) | <20 | |
30.01.2025 | Isère (38) | 13 | |
28.01.2025 | Gironde (33) | 6 | |
21.01.2025 | Hérault (34) | <10 | |
08.01.2025 | Ille-et-Vilaine (35) | 15 | |
02.01.2025 | Aube (10) | 20 | |
23.12.2024 | Sarthe (72) | 32 | |
13.12.2024 | Hérault (34) | <3 | 7,8 |
04.12.2024 | Hautes-Alpes (05) | 1800 | 4,0 |
29.11.2024 | Val-d’Oise (95) | < 100 | |
25.11.2024 | Indre-et-Loire (37) | 33 | |
21.11.2024 | Bouches-du-Rhône (13) | 60 | |
14.11.2024 | Puy-de-Dôme (63) | 12 | |
24.10.2024 | Manche (50) | 66 | |
05.10.2024 | Doubs (25) | 129 |
Voici des valeurs plus anciennes, effectuées par des particuliers, soit de l’ACSEIPICA, soit de l’association Ciel Voilé.
Date | Département | microgrammes/litre | pH |
01.02.2024 | Doubs (25) | 476 | |
11.09.2022 | Corrèze (19) | 860 | |
07.09.2022 | Vaucluse (84) | 50 | |
20.04.2021 | Doubs (25) | 526 | |
22.02.2018 | Vaucluse (84) | <1 | |
07.09.2013 | Vaucluse (84) | 14 | |
03.06.2012 | Vaucluse (84) | 31 |
À noter que les valeurs de 860 μg/L et 1800 μg/L ont été établis par les laboratoires à partir de grêle pour le premier et de neige pour le second. On pourrait en déduire que les formes solides de la pluie agglomèrent bien plus les particules d’aluminium que les formes liquides. Mais cette conclusion n’est pas validée par des statistiques consolidées, elle reste une hypothèse.
7.Quelle serait les valeurs normales ?
Nous avons peu de références. Le biologiste Francis Mangels affirme qu’il ne devrait pas y avoir de présence d’aluminium dans la pluie1. Le CDC usaméricain écrit ceci2 :
Page 188 : « L’aluminium, en tant que constituant du sol, des roches altérées et des déchets solides provenant de processus industriels, est transporté dans l’atmosphère sous forme de particules soufflées par le vent et se dépose sur les terres et dans l’eau par voie humide et sèche.»
Page 197 : « L’aluminium a été mesuré dans les précipitations atmosphériques (pluie et neige) aux États-Unis à des concentrations allant jusqu’à 1,2 mg/L (Dantzman et Breland 1970; DOI 1971; Fisher et al. 1968; USGS 1964). Les concentrations d’aluminium (dissous plus particules) dans les échantillons de précipitations de l’Atlantique Nord prélevés en 1988 variaient entre 6,1 et 827 μg/L (Lim et Jickells, 1990). »
Ainsi, dans les années 1960, époque où les militaires usaméricains et russes ont développé la géo-ingénierie, c’est-à-dire la manipulation de la météo, il existait déjà des mesures très élevées d’aluminium dans l’eau de pluie (1200 μg/L).
Ce qui nous manquera pour connaître les valeurs « normales » dans un environnement non pollué, ce sont des mesures réalisées avant l’ère industrielle moderne, avant le XIXè. siècle disons.
8.Quelles sont les normes pour l’aluminium ?
L’OMS s’est refusée à établir une limite d’exposition à l’aluminium fondée sur des critères de santé chez l‘humain. Les valeurs annoncées sont des références de qualité, c’est-à-dire établies à partir des données de présence de l’aluminium dans l’air, dans l’eau, dans les aliments, dans les produits cosmétiques, dans les produits d’entretien de distribution d’eau potable.
L’OMS a déclaré que l’eau potable de qualité ne devrait pas contenir plus de 200 μg/L d’aluminium. Cette concentration maximale admissible de 0,2 mg/L dans l’eau n’est pas fondée sur des arguments sanitaires. Elle est fixée par certains industriels qui utilisent des sels d’aluminium dans le traitement de la turbidité de l’eau potable, sachant que la ville de Paris traite la turbidité en utilisant du fer, beaucoup moins problématique3. La directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 a repris la valeur de 0,2 mg/L comme paramètre indicateur de bon fonctionnement des installations de production et de distribution, valeur dictée par les industriels.
L’OMS a également établi une dose hebdomadaire tolérable à titre provisoire (DHTP) (Provisionally Tolerable Weekly Intake) de 7 mg/kg de poids corporel (WHO, 1989)7 mg/kg par jour, en ce qui concerne l’exposition totale à l’aluminium4.
9.Quelles sont les sources de diffusion de l’aluminium dans l’air et donc dans la pluie ?
Les sources potentielles de libération de particules d’aluminium dans l’air sont énumérées ici, selon nos recherches :
- l’érosion naturelle des roches,
- les usines de traitement de l’aluminium,
- les incinérateurs,
- les décharges de déchets dangereux,
- les centrales thermiques à charbon (au total 2300 dans le monde),
- les épandages aériens.
Pour connaître la part respective de chaque activité dans la pollution à l’aluminium dans l’air, il faudrait un programme de recherche qui n’est à l’ordre du jour ni du Ministère de l’Environnement, ni d’aucune organisation caritative de protection de l’environnement. Si vous demandez au Ministère de l’Environnement, à la IQAir Fondation, à WWF, à Greenpeace, il vous diront invariablement que le financement de politiques de réduction du CO2 anthropique est leur priorité plus urgente.
10.Quels sont les risques pour nous et l’environnement ?
En milieu acide, les formes chimiques en monomères (ions) de l’aluminium migrent plus facilement et sont très toxiques pour tous les êtres vivants. Aussi, on recherche de préférence non seulement la concentration en aluminium mais aussi le pH (potentiel Hydrogène) du milieu pour évaluer sa toxicité.
La bioaccumulation de l’aluminium a été observée dans les organes des poissons d’une rivière des Vosges dont l’eau est acide (pH=5,4). Ces poissons montraient des signes de mauvaise santé5. L’aluminium peut produire une toxicité pour la reproduction chez les rongeurs mâles et femelles6.
La toxicité de certaines formes solubles de l’aluminium dans le sol, constitue pour de nombreux auteurs, la principale cause des pertes de production des cultures dans les sols acides7.
Les niveaux accrus d’aluminium sont corrélés à une diminution de la qualité du sperme chez l’humain (échantillon de 330 hommes en Chine)8. Des preuves non équivoques de concentrations élevées d’aluminium dans le sperme humain ont suggéré des implications possibles pour la spermatogenèse et le nombre de spermatozoïdes (62 patients au centre hospitalier de St-Étienne)9.
Les apports chroniques d’aluminium par l’eau d’alimentation du poste de dialyse et l’apport oral d’hydroxyde d’aluminium se traduisent par une augmentation des teneurs en aluminium du cortex cérébral mesurées après la mort10. Cela signifie que les faibles doses chroniques ont des effets biologiques importants.
« L’aluminium est une neurotoxine environnementale abondante et pro-inflammatoire, un métal trivalent qui a été impliqué dans la formation, le développement et la propagation de la neurodégénérescence et du déclin cognitif dans plusieurs troubles neurologiques humains, y compris la maladie d’Alzheimer, le syndrome de démence par dialyse, et la trisomie 21 »11.
Nous avons noté d’après les chiffres de la Direction Générale de la Santé que lorsque l’eau pour la consommation humaine est extraite des sous-sols (forages, captage de sources, etc.), elle contient sept fois moins d’aluminium que lorsqu’elle est pompée en surface (rivières, retenues, etc.)12.
11.Quels indices montrent que les épandages aériens contiendraient des métaux, notamment de l’aluminium ?
La littérature scientifique et notamment les rapports du G.I.E.C. abondent en articles de recherche sur l’Injection Stratosphérique d’Aérosols (en Anglais S.A.I.) autrement appelé « Géo-ingénierie solaire » ou encore S.R.M. (Solar Radiation Management : gestion de la radiation solaire). Sous le prétexte de sauver la planète d’un réchauffement anthropique, il s’agirait de pulvériser des particules, notamment d’aluminium, dans la stratosphère pour refléter les rayons du soleil vers l’espace, à l’image de l’obscurcissement que réalise une éruption volcanique. Ces travaux sont financés par les fondations philanthro-capitalistes dont la plus importante depuis les années 2000 : la Fondation Bill et Melinda Gates. Officiellement, aucun de ces programmes n’a débuté mais la littérature scientifique continue d’enfler.
En France en 2023, la DGRIS et l’IRIS ont publié un rapport de prospective qui présente la géo-ingénierie solaire comme une solution au réchauffement anthropique et qui envisage plusieurs scenarii13 :
- Hypothèse 1 : un déploiement multilatéral de la géo-ingénierie solaire ; ce serait la « communauté internationale » qui s’accorderait sur « une température à atteindre » et qui coordonnerait les « chercheurs modélisant le déploiement de la géo-ingénierie solaire et ses effets sur le climat, à l’instar du projet GeOMIP »14.
- Hypothèse 2 : un déploiement unilatéral par un État (les USA), sans aucune coordination avec les autres. Ceci est proposé par le National Intelligence Council.
- Hypothèse 3 : un déploiement par une coalition d’États, soit 10 parmi les « riches et industrialisés », soit 10 parmi les pays « particulièrement vulnérables aux changements climatiques (États insulaires, pays du Moyen-Orient, certains pays dit du Sud-Global) ».
- Hypothèse 4 : un déploiement par des acteurs « non étatiques », c’est-à-dire soit un riche acteur privé et son ONG philanthrope – Bill Gates et Elon Musk sont cités –, soit plein de particuliers qui achètent sur Alibaba des ballons pulvérisateurs de particules dans l’atmosphère pour sauver le climat : la géo-ingénierie solaire, un nouveau bien de consommation de masse…
Ce rapport encourage notamment à « estimer les opportunités et les risques que présente la géo-ingénierie solaire pour la France » et à « renforcer les partenariats avec les instituts de recherches en sciences atmosphériques (à l’instar de MétéoFrance) ».
Mais nous sommes de plus en plus nombreux à constater que le prétexte de sauver la planète d’un réchauffement anthropique est un faux drapeau : ce ne sont jamais que les éternelles promesses d’un avenir meilleur pour faire accepter le présent de la pollution et des inégalités.
Derrière l’écran de fumée du réchauffement anthropique, on décèle la course à l’armement : la recherche de l’arme absolue, celle intégrerait des manipulations du climat à des fins de destructions15, et qui anéantirait toutes les capacités de riposte nucléaire de « l’ennemi ».
Le projet Manhattan (1942-1945) nous a déjà montré qu’une organisation totalement secrète, largement financée par les banquiers, entièrement supportée par les cartels industriels, totalement déconnectée d’un État et de ses élus, pouvait modifier le cours de l’histoire de l’humanité16. Les armées secrètes de l’OTAN ont également joué un sombre rôle : la CIA et le MI6 ont créé des cellules terroristes dans nos pays d’Europe occidentale sous prétexte de nous sauver du communisme17.
L’armée est intéressée à ce que l’atmosphère soit plus métallique donc plus conductrice des ondes : lorsqu’il s’agit de communiquer avec les sous-marins lanceurs d’engins avec têtes nucléaires, on parle d’enjeu « stratégique » pour dire que tout le reste peut être sacrifié afin de réaliser cet objectif, y compris la pureté de l’air qu’on respire.
L’aluminium est cité comme un aérosol possible dans les nombreuses publications scientifiques décrivant un système de géo-ingénierie solaire. Mais il est tellement stupide d’imaginer que le SRM (pulvérisation d’aérosols pour masquer le soleil) soit utile à l’écologie de la planète qu’il n’est plausible qu’en tant que paravent aux opérations militaires.
1Interview du Biologiste Francis Mangels, 32 ans de carrière au département des forêts du ministère de l’agriculture US – https://www.youtube.com/watch?v=9jf_nVLGDTo – septembre 2012
2« Toxicological Profile for Aluminium » CDC 2008 – https://scholar.google.com/scholar_lookup?title=Toxicological%20profile%20for%20aluminum&author=S%20Keith&author=D%20Jones&author=Z%20Rosemond&author=L%20Ingerman&author=L%20Chappell&publication_year=2008&
3Documentaire « Du point dans l’eau du robinet » de Sophie Le Gall, Ligne de Mire avec la participation de France Télévision https://www.youtube.com/watch?v=xTbJ211AMHM
4ANSES – Fiche 8 : Évaluation des risques sanitaires liés au dépassement de la référence
de qualité de l’aluminium dans les eaux destinées à la consommation humaine – janvier 2005
5C. Chassard-Bouchaud, CH. Galle, E ? Lopez-Rabereau « Bioaccumulation d’aluminium chez la truite Salmo trutta fario soumise aux retombées de pluies acides : étude structurale, ultrastructurale et micro-analytique ». Revue des science de l’eau, vol. 5, 1992, pp. 37-54.
6Robert A. Yokel « Aluminum reproductive toxicity: a summary and interpretation of scientific reports » Critical Reviews in Toxicology, vol. 50, 2020
7A. Bouthier, P. Castillon « La toxicité aluminique : risque majeur lié à l’acidité dans les sols agricoles » ITCF (Institut Technique des Céréales Français) 2015
8Lingmin Hu et al. « Associations between seminal plasma metals/metalloids and semen quality: A cross-sectional study » Ecotoxicology and Environmental Safety, vol. 279, juillet 2024
9J.-P. Klein, M. Mold, L. Mery, M. Cottier « Aluminum content of human semen: Implications for semen quality », Reproductive toxicology, oct. 2014
10C. Gourier-Fréry, N. Fréry, C. Berr, S. Cordier, R. Garnier, H. Isnard, C. Ravault, C. Renaudeau « Aluminium – Quels risques pour la santé ? Synthèse des études épidémiologiques » Institut de Veille Sanitaire
11Lukiw et al. « Aluminum in neurological disease – a 36 year multicenter study » J Alzheimers Dis Parkinsonism. 2019;8(6):457
12Direction Générale de la Santé – Circulaire DGS/SD7 A n° 2001-190 du 12 avril 2001 relative aux teneurs en aluminium dans les eaux destinées à la consommation humaine
13DGRIS et IRIS « Géo-ingénierie solaire : enjeux géostratégiques et de défense » nov. 2023
14GeoMIP : Geo-engineering Model Intercomparison Project. https://climate.envsci.rutgers.edu/geomip/index.html
15James Spy « Menaces Chemtrails HAARP » Broché avril 2024 – Patrick Pasin « L’arme climatique : la manipulation du climat par les militaires » Broché juin 2017
16Jean-Marc Royer « Le monde selon le projet Manhattan » Editions du Rocher 2017
17Daniele Ganser « Les armées secrètes de l’OTAN – Réseaux Stay behind, Gladio et terrorisme en Europe de l’Ouest » Editions Demi-Lune 2018