Lettre ouverte à l’intention du GIEC concernant la géoingénierie

Une initiative de l’ETC Group

 » Les organisations signataires de cette lettre aimeraient exprimer leurs inquiétudes concernant la prochaine rencontre d’experts du groupe de travail conjoint du GIEC portant sur la géo-ingénierie, qui se tiendra à Lima (Pérou) du 20 au 22 juin 2011… suite (http://www.etcgroup.org/en/node/5269 )

Mise à jour du 21 juin 2011

Nous en sommes co-signataires,  
ainsi que, pour la France: la Fédération Sciences Citoyennes, Helio-France et Supahuman dignity
Télécharger le pdf avec la liste des signataires

GEO-INGENIERIE. En attendant qu’ils se RAND !

Transmis par Les Lucindas.

http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html

Vu sur http://www.handsoffmotherearth.org
Publié le 27 avril 2011.

L’armée américaine s’intéresse depuis longtemps à la modification de la météo et à la géoingénierie, mais nous pouvons maintenant jeter un œil à ses réflexions sur la gouvernance de la recherche dans le domaine de la géoingénierie.

En effet, la RAND Corporation  (note shd: pour en savoir plus sur le plus vieux think-tank militaro-industriel mondial, voir aussi la page fr.wikipedia.org sur la RAND) vient de publier un rapport de 93 pages qui tente de déterminer quels scénarios serviraient le mieux les intérêts des Etats-Unis, que ce soit l’interdiction totale, l’absence de normes ou la présence de normes très contraignantes. ( http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html)

Voici une preuve additionnelle que le gouvernement américain ainsi que le Département de la défense prennent la géoingénierie très au sérieux. Rien de rassurant.

Télécharger directement le  rapport complet / rapport résumé en anglais.
Lire en ligne le rapport résumé en anglais.
Traduction du résumé du rapport de la RAND-LIRE EN PLEIN ECRAN-

Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6 

Source :  http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html

Traduit par Les Lucindas.

La géoingénierie – la modification délibérée du climat planétaire – représente une proposition risquée, et effrayante pour certains. Mais le concept a attiré de plus en plus l’intérêt ces dernières années de part son habilité potentielle à changer de façon significative l’éventail des options pour limiter l’ampleur des futurs changements climatiques. Comparées à la plupart des approches visant à réduire les gaz à effet de serre, certaines approches en géoingénierie pourraient faire preuve d’une action plus rapide, moins onéreuse, et être déployées par une seule ou un petit nombre de nations sans coopération globale. Ces caractéristiques offrent un défi significatif pour la gestions des risques, la sécurité nationale, et la gouvernance internationale qui commence juste à faire l’objet de réflexion.

Ce rapport fournit tout d’abord un examen et une comparaison des risques associés aux approches alternatives internationales que les Etats Unis pourraient mener pour gouverner la géoingénierie SRM (gestion du rayonnement solaire). Pour traiter un vaste champ d’incertitudes, nous employons un cadre décisionnel analytique cooptant vulnérabilité et réaction. Plus spécifiquement, nous identifions des scénarios dans lesquels les alternatives des politiques américaines concernant la gouvernance de la géoingénierie pourraient échouer à atteindre leurs objectifs et suggèrent comment elles pourraient réduire ces vulnérabilités. Ce rapport exécute cette approche en utilisant une simple simulation afin de diriger les premières étapes d’une analyse de prises de décisions robuste (RDM, Robust decision Making). L’analyse identifie certains des risques  des trois approches les plus communément débattues concernant la gestion des recherches en géoingénierie : établir des normes imposantes à cette recherche, bannir totalement toute recherche, ou laisser cette recherche déréglementée.

Ce rapport a pour but de servir trois objectifs. Premièrement il démontre l’habilité potentielle d’une analyse des risques basée sur un cadre analytique cooptant vulnérabilité et réponse à informer le débat sur la géoingénierie. Deuxièmement, il aide à définir les étapes nécessaires à la conduite d’une analyse complète pour une prise de décision robuste (RDM) concernant ces questions de gouvernance. Troisièmement, il fournit des résultats politiques très intéressants, bien qu’à titre purement suggestif.

Cette analyse a comparé trois alternatives de politiques que le gouvernement américain pourrait mener concernant une gouvernance à court terme. Le rapport cible les technologies SRM parce que ce technologies offre un éventail complet de caractéristiques qui font que la géoingénierie  apparaît  à la fois  attrayante et dangereuse : une action rapide, relativement peu onéreuse, et qui est passible d’avoir des conséquences globales, même s’il s’agit d’une action unilatérale.

Sous une régulation imposante, le gouvernement américain encouragerait l’établissement de normes internationales pour réglementer les recherches en géoingénierie. Si elles sont bannies, les Etats Unis auraient à promouvoir une prohibition sur toute recherche en géoingénierie. En cas de déréglementation, les Etats Unis auraient à décourager activement toute tentative de réglementation. Une comparaison des performances de ces trois stratégies, à travers plusieurs états possibles du monde futur suggère que, si les dirigeants américains croient que certains types de technologies SRM sont possibles, ils auront à choisir une politique de réglementation stricte. Sous de telles conditions, cette option surpasse les alternatives parce que cela augmente la probabilité d’un déploiement réussi dans les cas où la géoingénierie prouverait sa faisabilité. Cela réduit également les probabilités d’échec dans les déploiements des nations luttant contre les impacts climatiques graves.

Si les dirigeants américains croient que les technologies SRM ne pourront pas réussir, ils auront à choisir de bannir toute recherche ou de les laisser sans réglementation. La politique de bannissement apparaît préférable si les dirigeants croient que les changements climatiques ne seront pas catastrophiques. Dans de telles conditions, cette option réduit les risques d’un excès de confiance dans le déploiement d’un système d’ingénierie qui aurait passé les tests mais échouerait en pratique. Cette option augmenteraient également la probabilité d’un accord international pour la réduction des gaz à effets de serre.

Pour comparer, les dirigeants pourraient choisi l’absence de réglementation s’ils croient que les technologies SRM ne sont pas fiables mais que le changement climatique peut être catastrophique. Sous de telles conditions, et en cas de bannissement de la géoingénierie, d’autres nations pourraient défier la prohibition et déployer une technologie SRM qui échouerait. L’absence de réglementation des recherches pourrait aboutir à des tests faits par des nations chacune de leur côté, sans communiquer leurs résultats. Ainsi, dans ce cas, une politique de déréglementation éviterait un déploiement secret de la géoingénierie.

Il y a beaucoup de mises en garde dans ces premiers résultats. L’analyse ne considère qu’un petit éventail des options possibles pour le gouvernement américain. Le rapport ne traite que les décisions des gouvernements nationaux et ne considère pas explicitement les choix des entreprises privées ou autres organisations non gouvernementales qui peuvent influer sur l’évolution politique en ce qui concerne la géoingénierie. Une analyse RDM plus complète avec une simulation plus complexe pourraient probablement ajouter d’autres vulnérabilités que celles identifiées précédemment et identifierait les directions à prendre pour en améliorer au moins quelques unes. Toutefois, ce rapport démontre que cette analyse des risques se fait sous des conditions de grande incertitude, ce qui pourrait aider les dirigeants américains à développer et évaluer des politiques robustes envers la gouvernance de la géoingénierie. L’étude offre également un aperçu des conditions futures sous lesquelles les approches de gouvernance des recherches en géoingénierie pourraient ne pas marcher comme prévu, et fournit quelques suggestions concernant l’arbitrage de telles stratégies, et décrit les étapes d’après qui pourrait se résoudre avec une estimation plus complète des arbitrages entre les politiques à court terme de gestion des risques et opportunités de la géoingénierie.

Traduction du résumé du rapport de la RAND, p.5-6 

Source :  http://www.rand.org/pubs/technical_reports/TR846.html

Traduit par Les Lucindas.

http://supahumandignity.blogspot.com/2011/05/ils-vous-le-rand-bien.html

« Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel » 22/04/2011 | LADEPECHE.FR – Ariège

"Montaut . Chemtrails, des épandages qui intriguent dans le ciel" PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR

PUBLIÉ LE 22/04/2011 08:41 | LADEPECHE.FR

L’article n’est plus sur Ladepeche, mais encore ICI.

Intrigué par des traînées blanches anormalement persistantes laissées dans le ciel ariégeois par des avions, Thierry Baudouy, de tempérament curieux, décide de faire des recherches sur Internet et les informations qu’il va trouver vont l’amener à se poser de nombreuses questions. Il s’aperçoit que ce phénomène n’est pas tout récent – il serait apparu en 1996 – et découvre que ce sont des chemtrails (de l’anglais « chemical trails », traînées chimiques) provenant des avions civils et militaires équipés de cuves contenant des produits toxiques, aluminium, baryum, fibres de polymères… Ces épandages sont effectués entre 9 000 et 10 000 m d’altitude, quand le taux d’humidité atteint moins de 30 %.

Thierry continue ses recherches, il veut savoir à quoi servent ces pulvérisations ; les réponses sont troubles : à des fins climatiques, pour lutter contre le réchauffement planétaire, à l’usage militaire… Bon nombre d’informations sont données mais toujours sans aucune certitude. Il contacte alors des associations, dont la principale en France, l’association citoyenne pour le suivi, l’étude et l’information sur les programmes d’intervention climatique et atmosphérique (ACSEIPICA), dont le but est de trouver des réponses ainsi que d’informer le public. Il apprend alors que ces épandages sont réalisés dans le monde entier, sans que personne ne connaisse réellement la raison. A l’heure actuelle, Thierry cherche toujours une réponse. « Nous sommes très inquiets des conséquences du nucléaire, précise-t-il, mais peut-être pourrions-nous nous poser la question sur les conséquences de ces épandages ». Site http://acseipica.blogspot.com/

Comment reconnaître des chemtrails : ce sont des traînées blanches sous forme d’alignements parallèles ou de quadrillage qui par la suite s’étalent pour couvrir le ciel d’un large voile blanc ; on peut même apercevoir plusieurs avions qui se suivent pendant l’épandage.

CIEL BLEU ???

Article du Dr Sandra Illya Prelinghieri traduit de l’anglais

Tout semblant de ciel bleu azur foncé des années 1990 a disparu, à cause de ces breuvages mortels.
Le soi-disant « ciel bleu » intermittent que des millions d’entre nous ont vu ces six derniers mois n’est, en fait, PAS un retour au vrai ciel bleu que nous avions avant que ce cauchemar délibérément créé ne commence. Il s’agit d’une autre illusion.
Selon le Dr Castle, cette « nouvelle couleur bleue est due aux composés chimiques Manganèse di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (sels). Ils sont ajoutés aux traînées chimiques de façon à ce que la lumière ne soit pas réfléchie ; au contraire, ces composés réfractent à la fois la lumière et l’obscurité. Par conséquent, l’atmosphère est transformée en ce que l’on appelle « une réfraction de phase cohérente par fibre optique » dans un matériau cristallin (les sels) de couleur bleue. Ainsi, le ciel « semble » bleu, mais en réalité il n’a que la couleur réfractée de la couleur (claire ou foncée) qui se trouve au-dessus de lui.« 


Le Dr Castle m’a dit hier que « la couleur est basée sur le bleu outremer/violet qui a été micronisé en particules aérosolisées et déployé dans l’atmosphère ouverte« . Il ajoute : « Cet aérosol a une puissance de 500 fois supérieure à celle de l’air ambiant : « Cet aérosol contient 500 fois plus de manganèse et un niveau élevé de composés dibromo-flouro-benzène toxiques. Cela permet aux aérosols de rester plus longtemps en altitude, contrairement au baryum et à l’aluminium, plus lourds. Ce dernier a également été testé et présente des niveaux plus élevés d’arsenic et de gallium, qui ont tous deux été testés de manière indépendante par Arizona Skywatch et d’autres. « 

Article original en anglais du Dr Sandra Illya Prelinghieri
Extrait:

Any semblance of the real, dark azure-blue sky of the 1990s is gone, due to these deadly brews.
Our intermittent so-called « blue sky » that millions of us have seen these past six months is, in fact, NOT a return to our real, blue, pre-Chemtrails sky that we had before this deliberately created nightmare began. This is another illusion.
According to Dr. Castle, this « new color blue is due to the chemical compounds Manganese di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (salts). They are added to Chemtrails so that light is not reflected; but, rather, these compounds refract both light and dark. Therefore, it works the atmosphere into what is called ‘a coherent phase fiber optics refraction’ in a crystalline (the salts) blue material. So, the sky ‘looks’ blue; but actually it only has the refracted color of whatever color (bright or dark) is above it. »
Dr. Castle told me yesterday, « the color is based on ultramarine blue/violet that has been micronized into aerosolized particulates and deployed into the open atmosphere. » He notes: « This aerosol has 500 times more manganese and a huge level of a toxic dibromo-flouro-benzene compounds. This helps the aerosols stay aloft for longer periods of time, unlike the heavier barium and aluminum. This also has been tested; and has higher levels of arsenic and gallium, both of which have been independently tested by Arizona Skywatch and others. »

Campagne à Chypre contre les épandages aériens de produits chimiques

Les Verts de Chypre et le Comité d’Action contre les Épandages Aériens de produits Chimiques ont organisé avec succès deux conférences, une à Limassol et une à Paphos, avec comme intervenant principal le Dr Nikos Katsaros, chimiste, du Demokritos National Center of Scientific Research. 
Lire l’article – en anglais

 

« Malheureusement le gouvernement américain contribue à toutes sortes d’activités eugéniques de ce type » [VIDEO 2:45mn]

Interview de Joe Bannister, ancien agent spécial de la division des enquêtes criminelles de l'Internal Revenue Service (IRS) parle des chemtrails

Interview de Joe Bannister, ancien agent spécial de la division des enquêtes criminelles de l’Internal Revenue Service (IRS)

Ex agent spécial IRS témoigne sur les chemtrails.

Lien: https://www.dailymotion.com/video/xh94oo

Merci à chem trails pour cette vidéo.
En anglais avec sous-titres en francais, 2:45mn.