Notre mission

Nous sommes l’Association Citoyenne pour le Suivi, l’Etude et l’Information sur les Programmes d’Interventions Climatiques et Atmosphériques.

Nous œuvrons à pallier le déficit total d’information et de transparence sur les épandages aériens clandestins que nous constatons, de manière généralisée depuis 2002 et, plus largement sur la géo-ingénierie (techniques de modification du climat et de l’environnement).

Les organismes officiels évitent le sujet et s’abstiennent d’adopter une réelle démarche scientifique, du fait qu’ils dédaignent en tout premier lieu le B.A.BA de la science : l’observation.

Qui sommes-nous ?

Contact et adhésion

Pourquoi rejoindre notre combat ?

Pour les générations futures

Sauvons notre santé, la Terre et tout ce qui y vit

Soyons des êtres souverains

Pourquoi rejoindre notre combat ?

Pour en finir avec les épandages aériens, illégaux et clandestins, ainsi qu’avec l’ensemble des manipulations de la biosphère. Ce sujet coiffe tous les problèmes d’aujourd’hui relatifs à l’empoisonnement général. C’est le fil à tirer pour ouvrir la porte d’un monde nouveau, sur des bases réalistes et saines : celles des lois de la Nature au lieu de celles d’un impérialisme sans bornes dont nous arrivons aujourd’hui au paroxysme.

Car il est donné à tout un chacun de constater l’évidence ; seule la croyance que « ce n’est pas possible » fortement enracinée, peut l’empêcher.

Le constat

L’ombre grise s’étend sur le monde entier. Sur les cieux des pays du Commonwealth depuis 1995, sur ceux des pays de l’OTAN depuis 2000, sur ceux des autres pays, les uns après les autres, inexorablement ; dernièrement le Brésil, Taïwan …

De moins en moins de Soleil, un ciel de plus en plus gris, des nuages de plus en plus sombres, au-dessus d’un nombre de plus en plus grand de pays …

Peut-on condamner nos enfants à ne plus voir le Soleil ? Que serons-nous sans lui ? Sans vie !

Et quand par bonheur l’astre du jour, notre étoile se montre encore à nous, c’est à travers un voile, dans un ciel blanchâtre, une atmosphère éblouissante et qui ne vibre plus

Et des avions, des avions, des avions, à 2 000, 3 000, 4 000, et jusqu’à 13 000 mètres d’altitude, suivis de leurs traînées persistantes qui rayent, zèbrent, salissent et défigurent le ciel. Au-dessus de la couche nuageuse, cela ne cesse de vrombir des heures durant, chez moi, chez vous, au-dessus de larges zones en même temps.

Notre sang véhicule des taux de baryum et de strontium aujourd’hui 20 fois plus élevés que normal.

Les taux d’aluminium dans les eaux et les sols ne cessent d’augmenter.

Alzheimer, les maladies cardio-vasculaires, respiratoires, neurologiques font des ravages.

Depuis le temps que ça dure, il faut que ça cesse !

Pourquoi font-ils cela ?

Parce qu’on les laisse faire !

Comment s’y prendre pour gagner ? (nous n’avons pas le choix)

Bien que nous recevions énormément de doléances, nous tenons à dire ceci :

Nous ne sommes pas une association de victimes et de plaignants : inutile d’espérer que les pouvoirs publics puissent faire quelque chose pour nous. C’est se méprendre grandement sur la nature du problème : une machine infernale est en route, concoctée il y a quelques décennies, qui s’est mise en place en toute illégalité et clandestinité sous couvert de secret militaire pour des affaires juteuses, au détriment de millions de gens. Ses serviteurs d’aujourd’hui ont été si bien formatés dans nos plus prestigieuses écoles, instituts ou ONG qu’ils croient dur comme fer que « ce ne sont que des traînées de condensation » et que le CO2 produit par nos activités civiles est la cause du « réchauffement climatique ».

Il n’y a pas de pilote dans l’avion, c’est le cas de le dire !

Nous sommes en pays occupé et cette occupation gagne la planète entière.

Or,

nous sommes des êtres souverains (texte fondateur, d’Alexis Robert)

C’est dans cet esprit que nous nous efforçons de faire tourner les rouages de la citoyenneté pour insuffler de la vérité dans un consensus d’ignorance et de mensonge.

Le vieux monde – faussement appelé « Nouvel Ordre Mondial » est déjà mort ! Il ne tient que par notre ignorance de ce fait (OPPT – 25 décembre 2012) et notre soumission.

Faire valoir l’évidence et la vérité n’est pas si difficile que ça : voir notre argumentaire délivré au colloque « Confiance, crédibilité et autorité dans les sciences et politiques du climat », organisé par le CNRS et le Centre A.Koyré les 20 et 21 novembre 2014 au Musée des Arts et Métiers (CNAM) à Paris, également envoyé à 4 ministres (Ecologie, Santé, Agriculture et Défense).

Pour que la conférence mondiale sur le climat prévue en décembre à Paris ne puisse aboutir à une approbation de la géoingéniérie – qui nous accable clandestinement déjà, il nous faut apporter cet argumentaire dans les conférences et colloques sur le climat qui fleurissent partout en France cette année. C’est le petit grain de sable qui vient déranger la machine bien huilée mais sans tête qui nous précipite dans le chaos : non, on ne peut pas leur faire confiance, la seule chose que ces « scientifiques » référents nous prouvent, c’est qu’ils n’observent pas et ne savent pas compter !

Notre action est donc celle de David contre Goliath : trouer la baudruche du mensonge au bon endroit, au bon moment. Que ce soit avec votre voisin, votre cousin ou le Président de la République, cela exige une information précise, factuelle et non pas des commentaires ou des suppositions.

Toujours avec courtoise et patience. C’est parfois difficile car ce sujet tabou éveille de vives réactions quand il vient sur le tapis.

Il n’y a pas de « coupables », il n’y a que des endormis.

On ne réveille pas un endormi en lui tapant dessus.

Inutile de prévoir un nouveau procès de Nuremberg. C’est grâce à lui qu’on en est là.

Faisons plutôt monter la voix du bon sens avec calme et autorité, pour cela prenons connaissance des documents essentiels, énonçons clairement notre identité, respectons chacun de nos interlocuteurs, qu’ils nous agréent ou non, cultivons la cohérence entre nous.

C’est ainsi que nous gagnerons. Et l’échéance est proche !

Nous sommes des êtres souverains.

Claire Henrion