Courrier en provenance de la Présidence de la République

Nous avons reçu, jeudi 2 septembre 2011, une lettre en provenance de la Présidence de la République !
C’est la deuxième que nous recevons, la première ayant été le 2 avril 2010, suite à l’envoi d’un premier lot de signatures à notre pétition.

Cette fois-ci, nous n’avions pas effectué d’envoi de pétition (à moins qu’il n’y ait eu un envoi automatique de « mes opinions.com ») ?
Est-ce une relance d’intérêt sur le sujet ?

En tous cas, quels que soient nos jugements sur l’actuelle présidence, nous ne pouvons que nous réjouir de ce contact, car nous faisons œuvre citoyenne, donc nous faisons marcher les rouages de la république et la République, c’est chacun d’entre nous !

Voir notre page « Lettres officielles »

CIEL BLEU ???

Article du Dr Sandra Illya Prelinghieri traduit de l’anglais

Tout semblant de ciel bleu azur foncé des années 1990 a disparu, à cause de ces breuvages mortels.
Le soi-disant « ciel bleu » intermittent que des millions d’entre nous ont vu ces six derniers mois n’est, en fait, PAS un retour au vrai ciel bleu que nous avions avant que ce cauchemar délibérément créé ne commence. Il s’agit d’une autre illusion.
Selon le Dr Castle, cette « nouvelle couleur bleue est due aux composés chimiques Manganèse di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (sels). Ils sont ajoutés aux traînées chimiques de façon à ce que la lumière ne soit pas réfléchie ; au contraire, ces composés réfractent à la fois la lumière et l’obscurité. Par conséquent, l’atmosphère est transformée en ce que l’on appelle « une réfraction de phase cohérente par fibre optique » dans un matériau cristallin (les sels) de couleur bleue. Ainsi, le ciel « semble » bleu, mais en réalité il n’a que la couleur réfractée de la couleur (claire ou foncée) qui se trouve au-dessus de lui.« 


Le Dr Castle m’a dit hier que « la couleur est basée sur le bleu outremer/violet qui a été micronisé en particules aérosolisées et déployé dans l’atmosphère ouverte« . Il ajoute : « Cet aérosol a une puissance de 500 fois supérieure à celle de l’air ambiant : « Cet aérosol contient 500 fois plus de manganèse et un niveau élevé de composés dibromo-flouro-benzène toxiques. Cela permet aux aérosols de rester plus longtemps en altitude, contrairement au baryum et à l’aluminium, plus lourds. Ce dernier a également été testé et présente des niveaux plus élevés d’arsenic et de gallium, qui ont tous deux été testés de manière indépendante par Arizona Skywatch et d’autres. « 

Article original en anglais du Dr Sandra Illya Prelinghieri
Extrait:

Any semblance of the real, dark azure-blue sky of the 1990s is gone, due to these deadly brews.
Our intermittent so-called « blue sky » that millions of us have seen these past six months is, in fact, NOT a return to our real, blue, pre-Chemtrails sky that we had before this deliberately created nightmare began. This is another illusion.
According to Dr. Castle, this « new color blue is due to the chemical compounds Manganese di-Bromo di-Fluoro-Benzidine (salts). They are added to Chemtrails so that light is not reflected; but, rather, these compounds refract both light and dark. Therefore, it works the atmosphere into what is called ‘a coherent phase fiber optics refraction’ in a crystalline (the salts) blue material. So, the sky ‘looks’ blue; but actually it only has the refracted color of whatever color (bright or dark) is above it. »
Dr. Castle told me yesterday, « the color is based on ultramarine blue/violet that has been micronized into aerosolized particulates and deployed into the open atmosphere. » He notes: « This aerosol has 500 times more manganese and a huge level of a toxic dibromo-flouro-benzene compounds. This helps the aerosols stay aloft for longer periods of time, unlike the heavier barium and aluminum. This also has been tested; and has higher levels of arsenic and gallium, both of which have been independently tested by Arizona Skywatch and others. »

Le film "Bye bye blue sky" suites

Récapitulatif historique de la « modification du climat »

Après sa diffusion sur la chaîne de TV suisse RSI2, le film de Patrick Pasin a suscité quelques réactions hostiles, niant le phénomène.

Voilà ce qu’écrit le réalisateur Patrick Pasin aux dirigeants de cette chaîne:

Messieurs,

Les messages que vous avez reçus après la diffusion de « Bye Bye Blue Sky » ne sont pas une surprise pour moi. Quels que soient les éléments objectifs que l’on peut apporter, par exemple les analyses du sol telles celles que j’ai fait réaliser à Paris ou le fait que l’armée française ait acheté 10 tonnes de sulfate de baryum, vous recevrez toujours ce type de messages de gens qui s’auto-proclament « debunkers ».

J’enquête sur les questions climatiques et les chemtrails depuis plus de 7 ans. J’ai lu des dizaines de livres, d’études et de rapports sur la question. En janvier, j’ai terminé la rédaction d’un livre dont le titre est « La Manipulation du climat par les militaires ».

La « modification du climat » (c’est le terme officiel) possède déjà une longue histoire. Le premier essai officiel remonte aussi loin que 1891, avec l’expérience dans les Staked Plains au Texas conduite par le Général Dyrenforth. Le Congrès américain alloua alors la somme de 10 000 $, mais arrêta au bout de deux ans compte tenu des faibles résultats (j’ai acheté des journaux de l’époque pour connaître les détails de ces opérations).

La pulvérisation de produits chimiques dans le ciel par les militaires présente aussi une longue histoire. La première tentative de modification du climat à bord d’avions est certainement celle qui se produisit aux Etats-Unis en 1924, lorsque le Army Air Service équipa 2 avions selon les instructions du Dr Emory Leon Chaffee, un physicien de Harvard. Les militaires américains ne sont pas les seuls à avoir tenté ces expériences : les Russes, les Chinois et certainement d’autres ont aussi essayé. J’ai lu, par exemple, que l’armée chinoise avait répandu du deolin en 1930 au-dessus de Hong-Kong afin de combattre la sécheresse.

Ce n’était que le début, mais tout commença vraiment après 1946 et la découverte par le Dr V. Schaeffer de General Electric qu’en déversant de l’iodure d’argent dans les nuages, cela déclenchait des précipitations. Des milliers d’expériences ont été réalisées à travers le monde, dont bien sûr par les militaires. Pour les Etats-Unis, les recherches initiales furent principalement confiées à la Naval Aionr Weapons Stati à la base de China Lake, en Californie du Nord.

Pulvériser des produits chimiques dans le ciel devint une affaire courante pour les militaires américains (et les autres), par exemple dans la lutte contre les ouragans, avec notamment les projets de longue durée Cirrus (1947-1952) et Stormfury (1961-1983). 

Officiellement, la première utilisation de produits chimiques pour modifier le climat comme arme de guerre se produisit pendant le Vietnam, sous le nom de code « Operation Popeye ». De 1967 à 1972, près de 2 700 vols furent effectués pour répandre ces produits au-dessus du Vietnam et du Laos. Presque jusqu’à la fin de l’opération, les militaires réussirent à la garder secrète. Elle ne fut révélée qu’en 1971, ce qui aboutit à une audition devant le Congrès des Etats-Unis le 20 mars 1974 (cette audition ainsi que les détails de l’opération Popeye sont présentés dans un petit livre officiel intitulé  »Prohibition of weather modification as a weapon of war: Hearing before the Subcommittee on International Organizations of the Committee on International … first session, H. Res. 28 … July 29, 1975 » – j’ai ce livre, évidemment).

J’ai indiqué que le Pentagone n’est pas le seul à avoir pratiqué ces épandages chimiques : les Anglais l’ont fait aussi. La BBC, par exemple, a révélé en 2001 que l’inondation soudaine qui dévasta en 1952 la petite ville de Lynmouth, faisant 34 morts, était due à des expériences menées par la RAF sous le nom de code « Operation Cumulus

 (http: //www. uagrdian.co.uk/uk/2001/aug/30/sillyseason.physicalsciences). Malgré les preuves apportées par la BBC, le gouvernement nia sa responsabilité et refusa l’ouverture d’une enquête officielle.

Modifier le climat est une chose, empoisonner les populations en est une autre. En 1997, à la demande du Congrès, le National Research Council (NRC) publie un rapport stupéfiant, dont le titre est « Toxicological assessment of the U.S. Army’s zinc cadmium sulphide dispersion tests ». Il est expliqué que 40 ans plus tôt, dans les années 50 et 60, l’armée américaine déversa à partir d’avions, du toits des immeubles et de véhicules mobiles, un composé de sulfure de cadmium-zinc et de micro-organismes au-dessus de trente-trois zones urbaines et rurales des Etats-Unis et du Canada, dans le cadre de tests de guerre bactériologique. Des villes aussi importantes que Minneapolis et St. Louis furent visées. Bien évidemment, le NRC et ses experts concluent dans leur rapport que ces expériences ne présentaient aucun danger pour la population. La lecture complète du rapport démontre plutôt le contraire. Signalons que les militaires déclarèrent ne plus savoir exactement où furent conduites ces opérations et que la plupart des dossiers a disparu…

Nous apprenons aussi dans ce rapport que les mêmes expériences contre la population et l’environnement furent menées à la même période en Scandinavie et au Royaume-Uni, pendant près de 40 ans ! Le journal The Observer enquêta sur le sujet (à lire sur le site de The Guardian http://www.guardian.co.uk/politics/2002/apr/21/uk.medicalscience). « Beaucoup de ces tests consistaient à disperser des produits chimiques et des micro-organismes potentiellement dangereux au-dessus de vastes zones habitées, sans en avoir informé préalablement les populations. »

Les conséquences furent terribles, mais de nouveau, comme aux Etats-Unis, des experts distingués conclurent quatre décennies plus tard que ces expériences étaient sans danger pour la population et l’environnement. Et tout fut classé définitivement.

Tandis qu’ils aspergeaient les gens aux USA, en Angleterre et ailleurs, bien évidemment des « experts » et des « savants » expliquaient que ces traces dans le ciel étaient absolument normales. Par exemple, le journal américain The Free-Lance Star du 6 Mai 1972, explique que « les contrails familières souvent laissées par les avions volant à haute altitude peuvent persister pendant une longue période sous certaines conditions. » 

De même, dans le livre Clouds of the World: A Complete Color Encyclopedia publié en 1972, il est expliqué dans le chapitre 11 – Condensation trails, que ces traînées persistantes sont tout à fait normales. Dans les films et les séries TV américains de l’époque, on en voit parfois. Un exemple flagrant : l’épisode n°25 de la première saison de ZORRO, diffusée en 1957-58 (il n’y a eu que deux saisons). Vous verrez ces traînées, tout particulièrement pendant la course. Elles sont manifestement persistantes, car elles apparaissent, mais (heureusement) pas les avions qui les ont produites…

Dans son livre « Planet Earth, The Latest Weapon Of War », le Dr Rosalie Bertell écrit que « les Etats-Unis et le Canada collaborent à des expériences de modification du temps depuis 1958. […] Le Programme Churchill CRM (Chemical Release Modules) comprenait différents composés du baryum, dont de l’azoture de baryum, du chlorate de baryum, du nitrate de baryum, du perchlorate de baryum et du peroxyde de baryum. Tous sont combustibles et la plupart sont destructeurs de la couche d’ozone. Dans un programme de 1980, environ 2 000 kg de produits chimiques furent déversés dans l’atmosphère, incluant 1 000 kg de lithium. Le lithium est un produit chimique hautement réactif qui est ionisé très facilement par les rayons du soleil. Ceci augmente la densité des électrons dans les couches basse de l’ionosphère et crée des radicaux libres qui sont hautement réactifs et capables de produire d’autres changements chimiques.

[…] J’ai interrogé un jour le conservateur de la bibliothèque du Parlement du Canada pour savoir s’il existait des comptes-rendus officiels sur les conséquences de ces expériences. Il me fut répondu qu’il n’y avait aucun problème d’ordre environnemental étant donné que les scientifiques menant ces expérimentations n’en avait mentionné aucun et qu’il n’y avait pas de tollé de la part du public. Evidemment, puisque le public ne savait pas que les couleurs magnifiques qu’il observait dans le ciel pouvaient avoir été causées par des expériences. »

Pour ceux qui essayeraient de nous faire croire que ces expériences n’existent plus, voici un extrait d’une correspondance récente avec le Dr Rosalie Bertell :

« Le 19 septembre 2010, l’U.S. Navy a effectué un tir de fusée de sa base en Virginie pour créer des nuages artificiels d’oxyde d’aluminium à environ 800 kilomètres au-dessus de la côte Est des Etats-Unis. Les nuages naturels les plus élevés se situent autour de 80 km. L’ombre nuageuse gigantesque a ainsi généré une neige précoce sur la côte Est. […] Le plan original prévoyait aussi un test au-dessus de Singapour. L’U.S. Naval Reserve a retiré de son site les informations sur ce projet lorsque j’ai commencé à en parler. Qui sait ce qu’ils peuvent bien manigancer d’autre ? »

Ainsi que je l’ai indiqué ci-dessus, j’ai écrit un livre sur le sujet, donc évidemment je pourrais en ajouter encore sur ces expériences et opérations militaires devenues monnaie courante depuis plus de 60 ans. Qui peut encore avancer que tout cela n’existe pas ? Qu’il s’agit de « théorie du complot » ? Chacun peut vérifier toutes les informations ci-dessus, car elles proviennent de rapports officiels et de grands médias comme la BBC et The Guardian.

Parlons maintenant du film. J’ai évidemment interviewé des scientifiques (dont un météorologue membre distingué du GIEC), qui m’ont expliqué que les chemtrails n’existent pas et que tout est contrail. Lorsque, durant l’interview, je leur ai demandé s’ils avaient effectué des analyses de quelque sorte que ce soit pour étayer leurs propos, leur réponse fut naturellement négative. En fait, ils n’ont pas du tout étudié le phénomène : ils connaissent la « réponse officielle » et se contentent de la délivrer. Ce n’est plus de la science mais de la politique.

De même, lorsque je leur ai demandé comment expliquer la présence de baryum à la surface des bacs à sable à Paris et dans les endroits où apparaissent régulièrement ces traînées, ils n’avaient pas d’explication…
Et je ne parle pas mêmes des 10 tonnes de baryum achetées par l’armée française : aucun expert ou scientifique n’a été en mesure de me fournir une explication plausible quant à leur utilisation… Et je rappelle, ainsi qu’il est mentionné dans le film, que les militaires ont retiré l’information de leur site immédiatement après ma visite et le fait que je l’aie enregistrée. Pourquoi ?

Donc ces scientifiques que j’ai interviewés ne sont pas dans le documentaire : porter une blouse blanche et être qualifié officiellement de scientifique n’est pas suffisant, encore faut-il avoir travaillé sur le sujet pour être pertinent. C’est un respect minimum dû au public. De plus, la « réponse officielle » est déjà dans le film, puisque je cite cet extrait de la brochure de l’US Air Force affirmant que les chemtrails sont un « hoax », un canular. Je me suis donc clairement centré sur les scientifiques qui ont étudié le phénomène de ces traînées persistantes et depuis plusieurs années.

Certains emails que vous avez reçus tentent de jeter le discrédit sur eux. Est-il vraiment utile d’y répondre ? Le Dr Rosalie Bertell est une grande Dame, avec tant de références, de réalisations, de récompenses ! En juin dernier, elle a de nouveau été invitée à s’exprimer aux Nations Unies sur les questions de désarmement. Elle a dirigé la Commission médicale internationale de Bhopal, qui a enquêté sur les conséquences de cette catastrophe en Inde, elle a organisé la Commission médicale internationale à Tchernobyl, elle a travaillé sur le projet de guerre des étoiles de Reagan, etc., etc. Elle est l’une des rares scientifiques cités dans le Rapport Theorin (1999) du Parlement européen, que chacun devrait avoir lu.

Les références et les réalisations du Dr Nikos Katsaros sont également impressionnantes. De plus, il écrit et s’exprime sans relâche sur le sujet, y compris devant les parlements et les institutions qui l’invitent régulièrement. Quant au Dr Coen Vermeeren, en tant qu’expert en aéronautique, il est totalement engagé dans ce sujet sur lequel il enquête depuis des années avec tous ses efforts et son humilité.

De l’information documentée peut être trouvée partout. La chaîne allemande RTL9 a diffusé un reportage (http://www.youtube.com/watch?v=RWsQ2KnIvH0&feature=more_related) où des météorologues menés par Karsten Brandt ont obligé l’armée allemande à reconnaître qu’elle avait répandu des produits chimiques dans le ciel en  2005 et 2006.

De nombreuses analyses sont disponibles sur Internet (http://www.carnicom.com/flame1.htm). Ce qu’explique le Dr Hildegarde Stanninger est incroyable : elle a fait réaliser des analyses qui montrent au Texas et ailleurs que les substances trouvées dans des chemtrails et sur des patients souffrant de la maladie des Morgellons sont les mêmes (http://morgellons-info.blogspot.com/2010/11/morgellons-intervista-alla-dottoressa.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+MorgellonsDiseasetankerEnemy+%28Morgellons+Disease+%28Tanker+Enemy%29%29

Les contrôleurs aériens commencent aussi à parler (lire l’article de William Thomas, qui enquête depuis longtemps sur le sujet des chemtrails, sur http://www.rense.com/general20/cc.htm).

Vous pouvez aussi lire ce qu’en dit le Dr R. Michael Castle : « Au cours de ce siècle, nous pensons que nous assistons à la fin progressive et délibérée du système naturel de la Terre. Il y a ceux qui « débunquent » / désinforment tout ce qui est écrit au sujet des chemtrails. De quoi s’agit-il ? Les chemtrails ne sont que la vague description, en termes profanes, d’un théâtre bien plus vaste de produits toxiques déversés dans l’atmosphère / la stratosphère, pour une myriade de programmes bruts et toxiques. »

Je pourrais ajouter tellement d’autres informations, mais j’arrête la liste, car ce texte est déjà long. J’espère qu’il vous aidera. Ainsi que je l’ai indiqué au début, vous pouvez l’utiliser comme vous le souhaitez.

Pour finir, je voudrais saluer votre courage et votre sens des responsabilités. Espérons maintenant que le public fera pression sur les hommes politiques pour qu’ils obligent les militaires à arrêter tout ça.

Bien cordialement,

Patrick Pasin

Producteur et réalisateur de « Bye Bye Blue Sky »

CIELO BLU, ADIO !

Le film BYE BYE BLUE SKY de Patrick Pasin diffusé sur la chaîne de TV suisse « RSI LA2

lundi 28 février à 21 h en italien.

Plusieurs d’entre nous interviennent dans ce film. et aussi d’autres de divers pays d’Europe, engagés dans la lutte pour la vérité, la dénonciation et l’abandon des épandages aériens de produits chimiques.
Il semble difficile de capter cette chaîne TV sur le territoire français.
Essayez quand même zatoo live tv ou wilma (en allemand) pour la regarder sur votre ordi (mais apparemment indisponible hors du territoire suisse).
Sinon, croisons les doigts que l’émission soit disponible en podcast.

Rapport Case Orange traduction intégrale en français

Case Orange, la première étude scientifique menée de manière indépendante par des experts de l’aéronautique qui fait le point sur les épandages aériens.
Un document de référence pour tout dossier que nous pouvons envoyer à nos élus ou autres.

– Version originale en anglais  
Version intégrale en français (traduction de Monique Degueldre)
Le document, de 38 Mo avec toutes les annexes est téléchargeable ICI (s’il n’est plus en ligne -cela peut arriver si personne ne le télécharge pendant un mois – nous en faire part, nous le remettrons).
Vous pouvez aussi le télécharger sur cette page

Il a été présenté pour la première fois au symposium de Gand pour la vérité sur les épandages aériens, le 29 mai 2010, organisé par le


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Nous sommes UN – We are all one

Une video superbe et profondément vraie, qui expose la sage connaissance des « native americans ».
En anglais. Mériterait grandement d’être traduite.
Lien sur YouTube

traduction intégrale (merci à Jean Luc Di Cesare):

« À l’arrivé des Européens avec Christophe Colomb,
on pouvait boire l’eau des rivières.
Si les Européens avaient adopté le mode de vie des Indiens,
nous boirions toujours cette eau
car l’eau est sacrée,
l’air est sacré.

Notre ADN est fait du même ADN que celui de l’arbre.
L’arbre respire ce que nous expirons
Et à notre tour, nous avons besoin de ce qu’il exhale
Notre destin est donc commun à celui de l’arbre

Nous venons tous de la Terre,
et lorsqu’on souille le sol, l’eau et l’atmosphère,
la Terre-Mère réagit à sa manière

Le monde est devenu, je cite : « un marché »,
un marché qu’il faut savoir gérer,
tout comme le concept de ressources
illimitées, inépuisables…
En réalité, ces « ressources »
sont notre famille, nos proches,
Ce ne sont pas juste des ressources mais une famille
qui exige le plus grand respect.

La structure du monde
est régie par la Loi de la Nature,
et la Loi Naturelle est un puissant
processus de régénération,
un processus qui se poursuit inexorablement
si chacun approuve et respecte cette loi.
Mais en défiant la Loi
et en pensant qu’on a le pouvoir de la changer,
on se voue à l’échec
Et cet échec secrètera bien de la souffrance
car la Loi Naturelle est impitoyable,
c’est LA LOI !

La Terre est toute puissante
Elle n’a pas été créée pour les humains,
[IL a dit qu’] ils n’en sont qu’une partie
Mais notre présence ici n’est pas indispensable
car la Terre possède son propre mécanisme d’évolution.
Si on en arrive à se détruire en tant qu’êtres humains,
à détruire la vie et finir par quitter la Terre,
la Terre ne disparaîtra pas,
comme dans cette vision intéressante
de « fin du monde »,
mais ce sera notre fin à NOUS.
Et peu importe les dommages infligés par nous,
le monde se régénèrera, reverdira,
refera tout ce qui a existé jadis,
à ceci près que les hommes seront absents.
Pour la bonne raison que
le monde a tout le temps du monde

Imaginez un cavalier
qui s’élance sur sa dernière ligne droite,
avec un mur au bout,
et ne retient ni n’arrête sa monture
mais au contraire accélère :
c’est ma métaphore de l’utilisation de
ce qu’on nomme « ressources » :
On les exploite plus vite qu’elles
ne se régénèrent.
On court à la catastrophe
et aucun cavalier ne ralentit le galop.

Chaque jour où on n’œuvre pas
dans le bon sens
est une occasion manquée,
et chaque jour on laisser filer des choix possibles

Un arbre ne pousse pas tout seul,
un arbre est une communauté.
Certaines plantes se rassemblent
autour de certains arbres,
et certaines plantes médicinales cherchent
la proximité d’une végétation particulière.
Ainsi, si on abat et tue tous les arbres,
on détruit du même coup
les communautés entières
qui s’épanouissent autour d’eux,
y compris des médicaments essentiels
aux animaux et aux hommes.
Et si l’on pratique le déboisement systématique
comme on le fait beaucoup aux US, au Canada
et partout ailleurs,
alors on est une force vraiment destructrice.
Et se contenter de replanter des arbres ne signifie pas
replanter la communauté qui s’y rattache
car les pertes causées par les coupes sont énormes.
Si vous ne comprenez pas encore le sens de tout ça,
ça viendra mais la prise de conscience
sera très douloureuse

Sur les 100 plus grosses « unités » économiques – comme on les appelle –
qui dominent le monde aujourd’hui,
49 sont des pays et 51 sont des grandes sociétés.
Réfléchissez un instant à ce que ça veut dire :
Cela veut dire que se sont les grandes compagnies
qui sont le plus puissant moteur des prises de décision
alors qu’elles ne se soucient
ni des droits de l’homme
ni de la vie humaine
pas même de donner des salaires décents
à leurs propres employés.
Alors, quel genre de décisions seront prises
pour nous par ce pouvoir économique – ces États-entreprises
comme je les appelle ?
La note s’annonce astronomique pour
réparer certains des agissement actuels
Alors, je crois que les gens doivent se réveiller et prendre conscience.
Le pouvoir est toujours aux mains du peuple
Et les esprits doivent s’unir pour
défier les valeurs qu’on leur assène
Car la société de consommation est motivée par l’économie
et non par le bon sens.
Il n’y a aucun bon sens à suivre quelqu’un
dont on ne sait dire pourquoi on le suit.
Emboîteriez-vous le pas à quelqu’un
qui se jette d’une falaise ?
Faites marchez votre sens commun.
Tout le monde devrait être son propre maître.
En un mot, pensez par vous-mêmes

Nous cherchons des alliés, des amis,
des gens qui comprennent et approuvent ces missions pacifistes.

Nous mettons à présent entre vos mains TOUTE la vie.
Et il en va de votre responsabilité et votre devoir
de protéger TOUTE vie
Par là, IL ne désignait pas nos oncles, tantes,
cousins, pères et mères
Mais TOUTE LA VIE :
Les arbres, les poissons, les animaux,
tout ce qui pousse, tout ce qui vit
parce que c’est
UNE FAMILLE »

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Contribution proposée à "Demande d’action de masse: chemtrails, geoingéniérie et démocratie"

Envoyée ce jour à Sylain Henry qui anime le groupe « Mass Action Demand: chemtrails, geoengineerg and democraty » sur Facebook, en vue d’une action mondiale simultanée de relance de nos représentants politiques.

Ici version française:

Comme en atteste le rapport Case Orange (originalrésumé en français) émanant de professionnels de l’aviation, les traînées d’avions longues, larges, épaisses qui rayent et quadrillent le ciel de manière durable et forment un voile ne sont pas que des traînées de condensation mais aussi des épandages aériens de produits chimiques, pour partie militaires.
La Convention ENMOD, signée en 1998 par l’ONU, les autorise dans un cadre « pacifique ».
Quel motif, autre qu’absurde, peut faire croire à une utilité quelconque, à un bienfait possible de ces épandages ? Empoisonner globalement et délibérément l’atmosphère, vouloir manager le rayonnement solaire, de telles actions et intentions peuvent-elles reposer sur des arguments autres que faussés à la base, une ignorance profonde et une conception hostile de la vie, qui fait écho à l’injonction biblique « soumettez la » –la terre ?
Cela peut-il être d’un bénéfice quelconque à quiconque, hormis celui qui en fait le commerce ?
Aucun argument n’étant jusqu’à présent avouable, ces épandages se déroulent, depuis 15 ans en Amérique du Nord, 10 ans en Europe et maintenant dans tous les pays du monde dans le silence le plus total, du moins de la part des médias et des dirigeants politiques.
Mais des alibis, entre autres celui du « réchauffement climatique » tendent aujourd’hui à vouloir cautionner cet ignoble fait.
Il est urgent que tout un chacun réalise que cette offense majeure à la nature est suicidaire pour l’ensemble de la planète et que nos représentants portent cette prise de conscience.
Nous laisserons nous encore mener docilement, préoccupés par mille autres choses, moins fondamentales que celle d’être en vie et de l’honorer?
Certes, les personnes qui épandent, ce n’est ni vous ni moi mais comme le disait Einstein :
« Le monde est dangereux, non pas à cause de ceux qui font le mal mais à cause de ceux qui regardent et lassent faire ».
En tant que notre représentant, nous comptons sur vous.

Merci de votre attention et de votre engagement.
Claire Henrion

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