Manuel de cours de chimie de l’US Air Force datant de 1990

où se trouve mentionné pour la première fois le mot « chemtrails »

Le document est téléchargeable ici

Ci-dessous video de présentation par celui qui l’a déniché, en anglais.
Voilà la traduction de l’intro:
D’après celui qui l’a fait: « j’ai un document de 172 pages sur transparents qui était un cours pour l’Académie de l’US Air Force, intitulé « chemtrails ». Cela n’a pas été une mince affaire de le trouver. Je l’ai trouvé à la Bibliothèque de l’Université d’Alamosa qui est un dépôt du gouvernement. Le document est un cours sur les produits chimiques, la plupart de ceux que l’on trouve dans les chemtrails. Ce cours était donné en 1990. Ainsi l’US Air Force a inventé le terme « chemtrails » en 1990 ou avant. « 


Si vous regardez la video jusqu’à la fin, le gars montre le titre (qui se trouve en tous petits caractères en introduction du document et également, en gros caractères, en avant-dernière page du manuel) : « Chemtrails ». Quant à la dernière page, elle affiche, elle, en très gros caractères: « END »

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2 réflexions sur “Manuel de cours de chimie de l’US Air Force datant de 1990

  1. Les fluctuations de courte durée des hormones thyroïdiennes ne sont pas un problème chez les adultes en bonne santé, mais les perturbations prolongées peuvent entraîner une hypothyroïdie et des changements métaboliques, une diminution de la performance intellectuelle et une altération du développement. Ces effets sont particulièrement préoccupants pour les personnes qui souffrent déjà d’hypothyroïdie ainsi que pour les femmes enceintes et les enfants.

    Des études scientifiques et l’élaboration de lignes directrices relativement au perchlorate sont en cours. La National Academy of Science américaine a publié un rapport concernant les répercussions sur la santé reliées à l’ingestion de perchlorate. Ce rapport a été utilisé par l ‘Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis dans l’établissement d’un objectif préliminaire de nettoyage de 24,5 ppb de perchlorate dans l’eau potable. Ni le Canada ni les États-Unis n’ont encore fixé une norme nationale exécutoire sur l’eau potable en ce qui a trait au perchlorate, bien que divers États aient mis en place des lignes directrices ou des objectifs quant à la teneur de l’eau potable en perchlorate, les limites fixées pouvant aller de 1 ppb à 18 ppb.

    Dans un cas où un approvisionnement d’eau potable aurait été contaminé, Santé Canada recommande une valeur-guide pour l’eau potable de 6 ppb, basée sur un examen des évaluations de risque courantes d’autres organismes.

    Il n’existe aucun cas connu de contamination d’un approvisionnement en eau potable au Canada par du perchlorate à des concentrations approchant ou dépassant 6 ppb. Si l’on soupçonne une contamination, les collectivités qui dépendent de sources potentiellement contaminées par le perchlorate peuvent décider de vérifier la présence et les concentrations de perchlorate dans leur approvisionnement. Dans l’éventualité où ces concentrations sont supérieures à 6 ppb, la collectivité devrait, en consultation avec les autorités sanitaires et municipales, envisager des mesures pour réduire l’exposition. Voici certaines des options à ce chapitre : trouver une source d’eau potable de remplacement; améliorer le traitement pour porter la teneur en perchlorate en deçà de la valeur de référence; utiliser des dispositifs certifiés de traitement de l’eau dans les maisons alimentées par des puits privés.

    Il existe des technologies permettant de réduire le perchlorate dans l’approvisionnement en eau. Les systèmes de traitement municipaux et plusieurs systèmes domestiques certifiés de purification par osmose inversée permettent de réduire la teneur en perchlorate à 6 ppb ou moins. Dans l’éventualité où les consommateurs souhaiteraient acheter un système de traitement, Santé Canada recommande fortement de chercher une marque ou une étiquette indiquant que le dispositif a été certifié conforme à la norme NSF/ANSI appropriée sur les dispositifs de traitement de l’eau potable, et ce, par un organisme accrédité. Ces normes ont été conçues pour protéger l’eau potable en permettant d’assurer la sûreté et l’efficacité matérielles des produits qui entrent en contact avec celle-ci.

    Il est nécessaire de mener d’autres recherches sur les teneurs en perchlorate dans l’approvisionnement en eau (eau souterraine et eau de surface) et dans les produits alimentaires, ainsi que sur les effets potentiels de l’exposition au perchlorate sur la santé.

  2. Le perchlorate et la santé humaine

    Le perchlorate est une substance chimique utilisée dans des produits militaires et industriels tels que les propergols solides, les munitions, explosifs et pièces pyrotechniques militaires, les fusées éclairantes et les coussins gonflables. De faibles niveaux de perchlorate peuvent se retrouver naturellement dans l’environnement, notamment dans les régions arides. Des échantillonnages récents ont permis de détecter de très faibles concentrations de perchlorate dans certaines sources canadiennes d’eau potable.

    Une analyse préliminaire d’échantillons d’eau souterraine et d’eau de surface a décelé des niveaux très faibles de perchlorate, d’où l’on conclut que les niveaux dans l’eau potable devraient être extrêmement faibles ou non-existants. À l’heure actuelle, le perchlorate a seulement été décelé dans un approvisionnement public d’eau potable, à une concentration inférieure à 1 partie par milliard (ppb); un ppb équivaut au volume d’une demi-cuillerée à thé dans une piscine olympique. Selon des données des États-Unis, le perchlorate peut aussi se trouver dans des aliments comme la laitue, le lait et l’eau embouteillée.

    Le risque posé à la santé humaine par une exposition au perchlorate aux niveaux présentement observés dans l’eau potable est extrêmement faible. L’exposition à des concentrations beaucoup plus élevées de perchlorate peut avoir des effets sur la santé, principalement en ce qui concerne la fonction thyroïdienne. Le perchlorate inhibe le captage par la glande thyroïde de l’iodure présent dans la circulation sanguine. Or, ce captage est essentiel pour que la glande thyroïde produise des hormones qui interviennent dans le métabolisme et la croissance.

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