Les méthodes de géo-ingéniérie pour réduire le réchauffement mondial

 
Notez bien que l’argument du réchauffement climatique global 
prétendument dû au CO2 et autres gaz à effet de serre 
sans mention de la vapeur d’eau 
qui est pourtant, sur Terre, le premier agent et de loin, de l’effet de serre, 
est en lui-même un énorme HOAX 
qui masque les effets de chauffage de l’atmosphère 
par les installations HAARP et consorts. 
Voir le diaporama « les causes de la crise climatique sont-elles vraiment celles que l’on croit ? ». 
A télécharger ICI  

Article  en anglais sur ACSEIPICA yahoo groupe.
Source: http://www.alterinfo.net/La-geo-ingenierie-atmospherique_a50099.html

Institute of Science in Society, Julian Rose, 20 septembre 2010

      Un rapport anonyme confirme que des expériences de manipulation météorologique et climatique ont été effectuées par la Zunie (Etats Unis) et ses alliés durant les dernières décennies.
Les traînées chimiques (chemtrails) dévoilées
      Beaucoup de soupçons ont été suscités au cours des dix dernières années par les formations nuageuses inhabituelles et les sillages anormaux de jet dans la haute atmosphère [*]. J’ai personnellement été témoin de centaines de jours d’ingénierie de traînées et de nuages par des jets, à la fois au Royaume-Uni et en Pologne. Cependant, il s’est avéré être extrêmement difficile d’avoir des informations de source officielle sur le phénomène. Sur interrogation, la réponse normale est : « il ne se passe rien d’anormal. »
[* Ndt : La nature anormale de ce phénomène ressort du fait que c’est en gros seulement depuis la fin des années 90 que l’on peut voir le ciel défiguré par des chemtrails persistants, sans que la densité d’avion n’ait changé notablement.]
      Il s’avère que c’est très loin de la réalité. Bien que la plus grande partie de cet article se focalise sur une seule affaire récente de recherche professionnelle sur ce sujet, des centaines de documents à la fois officiels et officieux explorent et exposent les agissements loufdingues de l’aviation civile et militaire, chargées quotidiennement depuis quasiment dix ans de pulvériser couche après couche des substances toxiques sous forme de traînées d’aérosols chimiques dans le ciel au-dessus de nos têtes.
      Les épisodes d’épandage ne sont pas signalés par les médias et les gouvernements gardent le silence. Cette collusion, qu’elle soit intentionnelle ou non, nous maintient dans l’obscurité au sujet d’une grande expérience de géo-ingénierie qui a pour effet de desservir notre santé et de perturber gravement l’environnement naturel. Et, sans Internet, nous n’aurions rien su.
      Le Groupe Belge basé à Belfort a rassemblé plus de sept ans de recherche et d’enquête sur les faits et les activités qui sont devenues largement connus sous le nom « chemtrails. » Le 29 mai 2010, lors d’un symposium international à l’université de technologie Delft à Gand, le Groupe de Belfort a demandé au Dr Coen Vermeeren, ingénieur principal en aéronautique, de prendre la parole sur la question. Vermeeren a établi sa présentation sur un rapport scientifique de 300 pages intitulé [1] « Case Orange: Contrail Science, Its Impact on Climate and Weather Manipulation Programs Conducted by the United States and Its Allies » (Affaire Orange : Sciences des traînées de condensation, impact sur le climat et la météo des programmes de manipulation conduits par la Zunie et ses alliés). Selon Vermeeren, les auteurs du rapport sont « un groupe de scientifiques ou d’initiés qui ont choisi de rester anonymes. »
      Dans son exposé, le Dr Vemeeren reconnaît franchement l’existence des traînées persistantes. » Il dit :
      « Nous savons aussi que les chemtrails existent parce que nous faisons des pulvérisations, pour les cultures, par exemple, et nous savons qu’ils sont faits à des fins militaires. Les chemtrails ne sont donc pas nouveaux. Nous le savons. »

De la manipulation météo à la géo-ingénierie

      Le rapport Case Orange révèle l’existence de documents disponibles au public, indiquant que diverses formes de géo-ingénierie sont en cours depuis « au moins 60 ans. » Les premiers exemples incluent « les opérations du Royaume-Uni d’ensemencement des nuages au-dessus de l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale et les tentatives de la Zunie pour débusquer les Vietnamiens du Nord pendant la guerre du Vietnam. C’est toutefois pâle comparé à l’ampleur des activités actuelles.
      La controverse sur les effets potentiellement nuisibles sur l’environnement et la santé humaine de ce genre d’agissement a conduit à l’interdiction des armes de modification environnementale (En Mod), sous les auspices de « La Convention des Nations Unies sur l’interdiction des techniques de modification de l’environnement à des buts militaires ou à toute autre fin hostile » en 1987. Il n’est pas clair si cette interdiction a été encore pleinement appliquée. Pourtant, l’intérêt envers l’En Mod a rapidement pris de l’importance lorsque l’alarme du réchauffement mondial et des questions environnementales associées insistantes ont attiré l’intérêt scientifique mondial [2].
      Le rapport Case Orange cite un certain nombre de brevets zuniens concernant l’invention d’un « dispositif spécifique de génération de traînée, destiné à produire une traînée de poudre dotée d’une capacité de diffusion de rayonnement maximale pour un poids donné de matière. Afin de produire une traînée stable ayant une période de latence pouvant atteindre une à deux semaines, » la substance dispersée se compose de 85 pour cent de particules métalliques et 15 pour cent de silice colloïdale et de gel de silice.
      Puis, en 2009, la publication d’un rapport intitulé « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement mondial, » a complété l’affaire de stratégies de géo-ingénierie [3]. Tout cela a été déclaré dans l’intention de créer une couche de nuages réfléchissants, capables de renvoyer les rayons du Soleil pour empêcher le réchauffement indésirable du climat terrestre. Le rapport indique que les conclusions du GIEC appuient la proposition décrite dans le brevet Hughes Aircraft 1991 relatif à l’ensemencement stratosphérique pour réduire le réchauffement mondial. Ce brevet a ensuite été acheté par Raytheon, l’entrepreneur privé de la défense du gouvernement zunien. C’est la même compagnie qui a obtenu le contrat de construction de HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program) à Gakona, en Alaska.

Le complexe militaro-industriel pour le contrôle complet de la météo contre le réchauffement climatique

      HAARP est un grand réseau de 180 antennes qui projette de puissantes impulsions électromagnétiques dans le but de réchauffer un point particulier de l’ionosphère terrestre. Cela a pour effet de créer des fréquences électromagnétiques qui peuvent être réfléchies en des endroits désirés de la Terre, en provoquant de graves perturbations de la météo et des milieux géophysiques, même profondément sous terre [4, 5]. HAARP peut fournir jusqu’à 3,6 milliards de watts, élever la température de l’ionosphère à plus de 50.000 degrés et « soulever une zone de 30 kilomètres carrés de l’ionosphère, et altérer de cette façon les systèmes de pression localisés ou même modifier le trajet du jet-stream. »
[Ndt : Cela pourrait-il expliquer le blocage du jet-stream à l’origine des étranges conditions météo en Russie et au Pakistan cet été ?]
      Le rapport Case Orange cite la preuve que Raytheon pourrait développer une capacité à « exercer une forme de contrôle complet de la météo, » une situation ayant une ressemblance marquée avec les ambitions déclarées de Monsanto à « contrôler la chaîne alimentaire. » Il convient de noter qu’il existe actuellement plus de 500 brevets de plantes génétiquement modifiés « climate ready » (adaptées au climat) en attente d’approbation de licence à Washington et à Bruxelles. Selon leurs créateurs, les semences et les plantes génétiquement modifiées « climate ready » promettent d’être capables de produire une récolte à la fois dans des conditions d’inondation et de sécheresse.
      Le « Groupe ETC », des droits de l’homme et de la surveillance de l’environnement, décrit ainsi l’évolution de la géo-ingénierie atmosphérique : « Le déploiement du « Plan B » (une référence au recours à la géo-ingénierie, si les autres mesures visant à réduire les émissions devaient être jugées inefficaces) est habilement exécuté : des comités éminents parrainés par des groupes de prestige, une avalanche d’articles évalués par les pairs dans les revues scientifiques et, dans les pays nordiques, des hommes politiques alignés pris de panique, hochant nerveusement la tête pour acquiescer tandis que les scientifiques attestent du « besoin de rechercher le Plan B. »
      Rady Ananda déclare à la fin de son document [6] : « Avec des détails tels que les pulvérisations horaires du gouvernement, les commandes de produits chimiques, la nomenclature exacte utilisée dans les manuels d’exploitation des services aériens et les appels des économistes en faveur de la géo-ingénierie, Case Orange concorde au rapport publié en 1996 par le personnel militaire supérieur de Zunie, intitulé « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » [7] à l’appui de sa notion de « forte implication des gouvernements au plus haut niveau dans des projets de contrôle du climat. » Ananda continue [6] : « Maîtriser la météo en 2025 fournit un calendrier précis du recours aux techniques En Mod en coopération avec l’Association de Modification Météorologique, un groupe en affaire avec le gouvernement qui promeut les effets bénéfiques du recours aux modifications de l’environnement [8] 
  • 2000-2025, usage de produits chimiques dans l’ensemencement atmosphérique fait par l’aviation civile (et militaire) 
  • 2004, grâce à la nanotechnologie, création de nuages intelligents ayant un accroissement exponentiel, à partir de 2010
  • 2005, introduction de poussière noire de carbone. »

L’ONU engagé dans le combat de géo-ingénierie contre le climat

      En 2007, l’Organisation météorologique mondiale (de l’ONU) a publié une déclaration incluant des « Directives de planification des activités de modification de la météo. » Ce document implique clairement les Nations Unies dans le projet de conduite des activités de pulvérisation d’aérosols à grande échelle.
      Dans une partie du rapport Case Orange portant sur « le strict nécessaire de la géo-ingénierie grâce à la création de nuages pour la survie de la planète, » les auteurs déclarent : « Notre équipe d’enquête arrive à la conclusion que les programmes de maîtrise du climat, contrôlés par les militaires, mais approuvés par les gouvernements, sont discrètement mis en œuvre afin d’éviter le pire cas de figure qu’ils veulent éviter. Les deux instruments de base sont la maîtrise de la température, grâce à la création de nuages artificiels, et la manipulation de l’ionosphère, grâce à des dispositifs de chauffage.
      « Tous deux restent essentiellement des systèmes militaires de combat avec l’option de lancer l’offensive si nécessaire. Toutefois, étant donné que plusieurs systèmes de chauffage ionosphérique sont installés en divers endroits du globe, on peut supposer qu’il existe une large coopération entre gouvernements afin d’atteindre l’objectif climatique d’ici à 2025 : le contrôle de la météo et de la planète. »
      Les systèmes de pulvérisation semblent organisés en combinaison logique pour que l’ensemble de l’Europe soit couverte en une période de trois jours. Des cartes colorées de l’Europe indiquent à quel moment doit s’effectuer chaque opération.
      Dans la section intitulée « Recommandations » du rapport, les auteurs déclarent : « Les chemtrails persistants ont un impact dévastateur sur les écosystèmes de la planète et la qualité de vie en général. » Les auteurs appellent à la divulgation complète au public des activités actuelles du En Mod, ainsi qu’au respect de tout règlement de l’aviation civile.

Moratoire sur les activités de géo-ingénierie

      Donnée encourageante, en réponse à l’intérêt politique envers la géo-ingénierie comme moyen de contrôle du climat, le sous-comité de la Convention des Nations Unies sur la biodiversité a proposé en mai 2010 un moratoire sur les activités de géo-ingénierie [9]. Cette proposition sera entendue à la dixième Conférence des Parties en faveur de la Convention des Nations Unies pour la diversité biologique à Nagoya, au Japon, en octobre de cette année (2010).
      Le rapport Case Orange indique en outre que la Zunie permet de tester en plein air des armes chimiques et biologiques. Cela annule le droit civil mentionné plus haut dans cet article. Les auteurs paraphrasent ainsi la loi permissive : « Le ministre de la Défense peut effectuer des essais et des expériences impliquant l’utilisation d’agents chimiques et biologiques sur les populations civiles. » Il semble que des soucis de « sécurité nationale » peuvent servir au président pour rejeter les considérations environnementales et de santé publique. Est-ce la même chose en Europe ?
      J’ai fourni une vue d’ensemble du témoignage principal découlant du rapport Case Orange. Elle apporte une contribution importante pour ouvrir les ordres du jour secrets qui n’ont sans cela pas leur place dans une démocratie auto-déclarée. Parmi d’autres rapports conséquents, il y a un document important du Dr Ilya Perlingieri, intitulé « Conséquences des aérosols de métaux et produits chimiques sur la santé humaine » [10]. Mme Perlingieri déclare : « Ces dix dernières années, des tests indépendants sur des chemtrails dans tout le pays ont montré un dangereux brouet très toxiques contenant du baryum, des particules nanométriques d’aluminium recouvertes de fibre de verre (connues sous le nom de CHAFF), du thorium radioactif, du cadmium, du chrome, du nickel, du sang desséché, des spores de moisissure, des mycotoxines de champignons jaunes, du dibromure d’éthylène et des fibres de polymère. Par sa toxicité le baryum peut être comparé à l’arsenic [11], et il est connu pour affecter le cœur. L’aluminium a la réputation d’endommager la fonction cérébrale. » Je n’ai pas besoin d’ajouter que le dibromure d’éthylène est un pesticide agricole hautement toxique.
      Maintenant que nous partageons cette information, nous devons agir en conséquence. Il est vital de soutenir le moratoire qui sera présenté en octobre au Japon. Écrivez à votre député pour lui dire que ces activités mondiales ne sont pas des balivernes de « théories du complot, » et qu’elles se déroulent sans consultation du public et sans aucun effort de mise en garde de leurs répercussions éventuelles.

Références

1. Discours du Dr Coen Vermeeren au symposium de l’université de technologie Delft, le 29 mai 2010,
www.ustream.tv/recorded/7299427

2. « L’organisme scientifique supérieur demande le ‘’plan B’’ de géo-ingénierie, » Catherine Brahic : New Scientist, 1/9/2009,
www.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-bodywww.newscientist.com/article/mg20327243.500-top-science-body

3. Mitchell DL et Finnegan W. « Modification des cirrus pour réduire le réchauffement climatique. » Lettres de la Recherche Environnementale, 30 octobre 2009,
iopscience.iop.org/1748-9326/4/4/045102

4. « À propos de HAARP dans un article de Belitsos, » Radical Wisdom, 14 juillet 2010,
radwisdom.com/2010/07/14/chemtrails-aerosol-madness-above-the-earth/

5. Pour en savoir plus sur HAARP, voir : « Maîtriser la météo mondiale, » du professeur Michel Chossudovsky, Global Research,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=319

6. « La géo-ingénierie atmosphérique : manipulation météo, traînées de condensation et chemtrails, » de Rady Ananda, 30 juillet 2010,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=20369

7. Colonel Tamzy J.House, et autres, « La météo comme force multiplicatrice : Maîtriser la météo en 2025, » ministère de la Défense, Air Force zunienne, 17/06/1996. Publié publiquement en août 1996. Reproduit à la Fédération des scientifiques zuniens :
www.fas.org/spp/military/docops/usaf/2025/v3c15/v3c15-1.htm

8. Site Internet de Weather Modification :
www.weathermodification.org/

9. Organe subsidiaire chargé de fournir des avis scientifiques, techniques et technologiques, « Examen approfondi des travaux sur la biodiversité et les changements climatiques, » projet de recommandations, Convention sur la diversité biologique, Programme environnemental des Nations Unies, UNEP/CBD/SBTTA/l.9, 15/05/2010.
www.cbd.int/doc/meetings/sbstta/sbstta-14/in-session/sbstta-14-L-09-en.pdf

10. « Conséquences des métaux et des aérosols de produits chimiques toxiques sur la santé humaine, » Ilya Perlingieri, 12 mai 2010,
www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=19047

11. Voir Pesticide Action Network North America (PANNA)
www.pesticideinfo.org/Detail_Chemical.jsp?Rec_Id=PC41174

Original: www.i-sis.org.uk/atmosphericGeoengineering.php
Traduction copyleft de Pétrus Lombard


Envoyé par supahumandignity dans SupaHumanDignity le 9/24/2010 12:59:00 PM

4 réflexions sur “Les méthodes de géo-ingéniérie pour réduire le réchauffement mondial

    1. un complot si énorme que tout un chacun en est à la fois la victime et l’acteur …
      Nous on s’occuper des FAITS observés ou observables et quantifiables

  1. actuellement en indre et loire et vienne j ai compter 8 avion en meme temps repandre leurs saloperies.symptome pour la population MAUX DE GORGE POUR LA PLUPART DE MES CONNAISSANCE .enfant et adulte .

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