Chemtrails et cendre de charbon

Source : Ciel voilé

 

Cette vidéo sous-titrée en français vient de : The Haarp report sur YouTube :

https://www.youtube.com/watch?v=F6r0GqbH9Os

L’industrie du charbon recyclerait ses déchets notamment les cendres du charbon, pour fournir la base des chemtrails.
L’auteur de la vidéo a découvert, après sa mise en ligne, deux erreurs [avoir enlevé le mot « base » et ajouté le mot « slurry » ( boue) ] qu’il rectifie :

* Les cendres volantes du charbon constitueraient la base du mélange pour chemtrails, mais d’autres composants seraient ajoutés.
* Les cendres volantes sont traitées à sec en utilisant des équipements de transport pneumatique en vrac. Par conséquent, l’ensemble des opérations : homogénéisation, broyage, et stockage, se font complètement à sec.
* Les cendres volantes sont envoyées, via les wagons-citernes, aux unités de retraitement sur place, où les composants supplémentaires sont ajoutés, et l’ensemble du mélange est homogénéisé et stocké, pour le chargement sur les avions à réaction, à proximité.
* Le processus de traitement de cendres volantes se compose de: « lixiviation » des métaux à partir des cendres volantes, séparation et lavage du résidu. Le sable de silice est considéré comme un déchet, et n’est pas utilisé dans le mélange de base chemtrail.
* Pour prouver que les chemtrails ne sont pas des trainées de condensation : comparer avec les relevés d’humidité de l’air. Si l’humidité de l’air n’est pas supérieure à 60%, ce n’est pas de la condensation.

Le « charbon » est bien utilisé comme carburant alternatif dans l’aéronautique : le CTL ( coal to liquid) :

http://www.cielvoile.fr/2015/02/carburants-pour-l-aeronautique-le-juteux-marche-europeen-de-l-otan.html

Pour le reste consultez : http://chemtrailsplanet.net/2015/02/07/chemtrails-are-coal-ash-really/

2 réflexions sur “Chemtrails et cendre de charbon

  1.  » * Pour prouver que les chemtrails ne sont pas des trainées de condensation : comparer avec les relevés d’humidité de l’air. Si l’humidité de l’air n’est pas supérieure à 60%, ce n’est pas de la condensation. »

    Je suis d’accord avec vous. Si l’air est sec (de l’ordre de 60% d’humidité, ou moins), il ne peut pas y avoir de trace persistante de condensation.
    Mais comment peut on mesurer simplement le pourcentage d’humidité à l’altitude à laquelle volent les avions ? Tout le monde n’est pas équipé d’un ballon stratosphérique…

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